Le Bonus promis par l'auteur. Qui s'avère en fait écrit par moi, celle qui est l'héroïne de cette histoire. Il ne sait pas ce qui est écrit. Et personne ne saura avant qu'elle ne soit publiée.
Proposée le 21/03/2025 par GuiNancy
Votre note pour cette histoire érotique
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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Bonus
Bon, je vais me présenter même si vous me connaissez tous je pense maintenant. Je suis le personnage principal de ce récit. Mais pour une fois, c'est vraiment moi qui écrit. Et pas Lui se mettant à ma place. Il ne sait pas ce que je vais écrire. Il ne le verra que quand le site le publiera. Et je suis totalement libre d'écrire ce que je veux.
J'ai pris le temps de réfléchir, d'écrire, d'effacer, de recommencer... raison pour lesquelles ce bonus arrive tardivement.
Évidemment, je ne m'appelle pas Julie et je n'ai pas fait d'études de médecine (mais des études dans un domaine médical poussé malgré tout). Pour le reste ma description physique est parfaite. Tout ce qu'il a décrit (et ce que je pense de mon corps) est vrai. D'ailleurs la photo a du vous le prouver.
Revenons d'ailleurs sur cette photo. J'étais assez mécontente quand je l'ai vue. Je ne le savais pas et ça m'a fait un choc de la voir diffusée. Néanmoins, une fois le choc passé, j'ai reconnu que personne ne pourrait m'identifier sur cette photo. Et qu'il avait amplement suffisamment brouillé les pistes pour que personne ne puisse se poser la question. Donc pas de mal. Et, j'ai honte de le dire mais ça m'a un peu excité. Combien d'entre vous messieurs se sont vidés en matant cette image et en lisant mes exploits ? Un bon nombre je pense.
Pour ceux et celles qui se demanderaient : oui tout est vrai. Aussi bizarre que ça puisse paraître, je n'ai plus aucune honte maintenant que je relis tout ça. Ça n'a pas toujours été évident, soyons honnête. Je ne sais pas si ça vient de la belle image qu'il donne de moi mais en tout cas je n'ai plus honte d'avoir fait tout ça.
Sur la partie se passant dans mon cerveau, mon ressenti à l'époque, mes pensées etc... là aussi je pense qu'il est vraiment très proche de la réalité. Je n'ai pas vu d'erreur, de choses qui ne collent pas à ce que je pensais au moment où ça se passe. Il manque quelques détails mais je ne lui disait pas absolument tout. Non franchement, tout ça est plus que réaliste. C'est vrai.
Je suis assez troublée de voir qu'il me connaissait, me comprenait aussi bien. Et ça me trouble de manière profonde. Et ça m'inspire beaucoup de tendresse et de regret d'avoir perdu ça. Je savais ce que j'avais, j'ai fait un choix. Mais lire tout ça m'a simplement fait réaliser à quel point j'avais une relation formidable et belle. Mais c'est ainsi. C'est la vie et je ne reviendrai pas en arrière. Ce n'est pas mon genre.
Je suis actuellement en couple. Un couple vanille comme on dit dans ce milieu. Il a mon âge, il est issu de mon monde professionnel. Il est présentable à mes proches pour résumer. Est ce que je l'aime ? Ça ne vous regarde pas. Je sais juste que les sentiments que j'ai pour lui sont réels mais sont moins intenses et puissants que ceux que j'avais pour Lui. Vous suivez ?
Mon nouveau compagnon ne sait rien de mon passé de soumise (et de chienne car oui j'en étais une). Et il ne le saura jamais. Tant pis pour moi. C'est encore un choix. Sexuellement, c'est bon. Même si j'aimerais qu'il soit bien plus bestial et qu'il ne me traite pas comme une chose fragile. Et oui, forcément ça me frustre un peu.
Cette frustration a fortement gonflé à la lecture de mes exploits passés. Au point de.... au point de ne pas me retenir et de faire ce que je ne pensais plus jamais faire de ma vie. Et qui sera votre bonus.
J'ai déménagé après notre rupture. Pour des raisons personnelles et professionnelles. Avant de rencontrer mon compagnon actuel, je m'interrogeais sur ce que j'allais faire de ma vie. Notamment de ma vie sexuelle. Passer de tout à rien n'est pas évident.
J'avais repéré un club qui ressemblait pas mal à celui où nous allions ensemble. Enfin, je le pensais vu que jusqu'à ce bonus, je n'avais jamais mis les pieds à l'intérieur. Un endroit en bordure d'agglomération, dans une zone semi industrielle. J'avoue avoir été tenté à plusieurs reprises. Même après avoir rencontré mon nouveau compagnon.
Mais un soir, un soir où j'étais seule chez moi, où il était en déplacement et où je ne l'avais pas vu depuis plus d'une semaine, j'ai eu envie. Envie de me faire baiser, envie d'être une traînée. Soyons clair, mon Maître (oui, ça sera toujours mon Maître même si notre relation a pris fin) aurait été à moins de 2h de route, je serai allé m'offrir à Lui. J'espère que ça ne te fait pas trop mal de lire ça. C'est vrai. Tu le sais et moi aussi. Mais c'est ainsi.
Je venais de lire le passage dans lequel je me suis tapé le petit ami de ma copine Sophia sans que ni lui ni elle ne le sache. Si vous avez tout lu, vous savez de quoi je parle. J'étais chaude, brûlante. Démentiellement brûlante. J'ai repensé à ce club. Si proche. Si tentant. Et j'ai craqué. J'ai voulu aller voir.
Bien évidemment, je voulais juste aller voir à quoi ça ressemblait hein.... Mais bien sur ! J'y suis allé en me disant ça. J'y vais juste pour voir. Mais au fond de moi, je savais parfaitement que je ferais bien plus que regarder. Je voulais juste me donner bonne conscience car j'allais faire cocu mon mec. J'en avais conscience. Mais j'étais en mode « one life » à ce moment là.
J'ai enfilé une petite robe noire, un poil sexy mais pas trop. Je voulais pouvoir garder la possibilité de dire « je viens juste pour voir ». Mais comme je voulais garder l'autre possibilité ouverte aussi, je n'ai enfilé qu'un porte jarretelles et des bas en dessous. A quoi m'aurait servi une culotte si je voulais baiser ? Et un soutif, vous avez compris que ça ne me sert à rien.
Sur ces belles idées et en moins de temps que je ne l'aurai pensé, je me suis retrouvé devant ce club. Enfin, dans le club même. Car je n'ai eu aucune hésitation une fois devant la porte. Mon bas ventre était la cible d'un incendie trop puissant pour que l'hésitation soit possible.
Une fois dedans, j'ai pu remarquer que ça ressemblait effectivement à ce que je connaissais. La disposition des lieux était différente évidemment. Mais je retrouvais le même genre de pièce. Une grande pièce principale, des petites alcôves intimes et des pièces dédiées à la baise. Je me suis baladé un peu à l'intérieur, jouant la curieuse. J'avais un cocktail à la main et j'ai attiré pas mal de regard. Ce qui est toujours flatteur.
J'ai rapidement vu un mâle très tentant. Très très tentant même. Le genre rugbyman, musclé, beau gosse. Et un bel engin entre les jambes. Je me demandais comment l'aborder quand j'ai remarqué le pire tue l'amour pour moi. Son collier autour du cou.
Ce mec taillé pour poser dans le calendrier des « dieux du stade » était en fait un soumis. Et si j'avais eu le moindre doute, sa Maîtresse l'a levé en lui attachant sa laisse et en lui ordonnant de se mettre à 4 pattes.
Elle avait du voir mon intérêt pour ce beau spécimen masculin. Elle s'est approchée et m'a ouvertement proposé « son esclave pour une saillie virile et bestiale » tout en précisant qu'il aurait l'interdiction de jouir. Je l'ai regardé en souriant. Et autant ce mec me faisait physiquement envie, autant le fait qu'il soit soumis me coupait tout désir. Quand bien même il m'aurait démonté à mort, dans ma tête ça reste un soumis. Et j'ai besoin d'être humiliée, soumise, salie, dominée pour jouir. Ça, ça se joue dans la tête.
Après avoir déclinée poliment cette offre, j'ai repris ma déambulation. Jusqu'à tomber sur une petite pièce vide. Vide et petite. Mais les deux trous dans le mur la remplissaient pleinement pour moi. Un glory hole. J'adorais ça. Et je l'adore toujours. Je n'ai même pas réfléchi. Je suis entrée, j'ai enlevé ma robe (pour ne pas la tacher) et je me suis mise à genoux devant ces orifices.
A ma grande surprise, j'ai attendu plusieurs minutes avant de voir quoi que ce soit passer par un des trous. J'étais en pleine introspection quand c'est arrivé. Le bas ventre en feu mais la tête en plein doute.
Elle est vraiment arrivé au bon moment ! A posteriori, je pense que ça s'explique facilement. J'avais laissé la porte entrouverte, signe qu'on pouvait mater mais pas entrer dans la pièce. Et je pense que la première queue que j'ai eu était celle du premier mec m'ayant vu à genoux en train d'attendre.
Un bel engin. Pas exceptionnel mais pas mal. Légèrement plus dimensionné que mon mec mais moins que mon Maître (oui... je vois ton sourire à lire ça). Et bien raide. J'ai mis mon cerveau de côté et je l'ai prise en bouche. J'ai rapidement pris goût à cette nouvelle bite. Et je l'ai purement dégustée. Les yeux fermés. Je m'en suis délectée. A tel point que je n'ai pas senti l'éjaculation venir.
Je me suis retrouvée la bouche pleine de foutre. Il devait être bien en manque pour en mettre autant. Comme moi qui ai tout avalé sans réfléchir une seconde. Ça faisait tellement longtemps ! Mon mec n'aime pas trop me gicler dans la bouche malheureusement.
Deux coups de langue pour tout nettoyer et il se retirait. Pour laisser la place au suivant. Le bruit dans mon dos m'indiquait que j'avais du public. Et que certains devaient se déplacer pour passer de l'autre côté du mur une fois bien chauffé.
La seconde bite fut aussi bonne que la première. Tout comme la dizaine qui a suivi. Je ne sais pas combien j'en ai pris. Une douzaine me semble être un bon chiffre. Et je les ai toutes avalées. En souriant et avec envie. Une main entre les cuisses, me masturbant frénétiquement pendant que je suçais des inconnus. Je devais offrir un sacré spectacle aux mateurs.
Une fois rassasiée en sperme, je me suis levée sans attendre qu'un autre passe son engin par le trou. Tant pis pour lui. J'ai attrapé ma robe mais je ne l'ai pas remise. Et je suis sortie. Je ne pouvais m'empêcher de sourire. Deux mecs étaient dans le couloir, presque timide, la queue à la main. Espérant peut être que je m’agenouillerai devant eux. Mais il faisait trop « soumis » dans leur attitude passive.
Ils m'auraient attrapés et collés au mur, je me serai laissée faire avec plaisir. Mais rien. Même pas un mot. Tant pis pour eux aussi. Car là, je voulais qu'on me baise. Qu'on me tire. Qu'on me traite comme une chienne. Je voulais aller au bout des choses. Après tout, je venais d'avaler le sperme d'une douzaine d'inconnu alors autant aller au bout des choses.
J'ai rapidement trouvé ce que je cherchais. Dans une plus grande pièce se trouvait un grand lit. Au milieu de ce lit se trouvait une jeune femme nue. Et autour d'elle une quinzaine de mecs. Tous en érection. Et qui passait sur la demoiselle. Ou attendait leur tour de le faire.
Sans demander la permission, je suis entrée et je me suis agenouillée devant un groupe en attente. Ma bouche a fait son effet et rapidement j'ai été entourée. Après quelques minutes, je suis allée me mettre à 4 pattes sur le lit à côté de l'autre fille. Elle ne semblait pas contrariée de mon initiative. Elle se laissait faire de son côté tout en me regardant en souriant.
Je n'ai pas eu à attendre longtemps pour qu'une première queue (recouverte d'une capote, je m'en suis assurée) s'enfile dans mon bas ventre et glisse bestialement jusqu'au fond tellement j'étais trempée. Mon cri fut un hurlement de plaisir et de soulagement. Qui fut parfaitement interprété. Pas de round d'observation. Directement de la baise. Pur et bestiale. Exactement ce dont j'avais besoin.
Deux mains puissantes qui agrippaient mes hanches, les claquements de ses hanches contre les miennes... quel plaisir ! J'aurai sûrement hurlé de plaisir comme une folle si un mec n'avait pas attrapé ma longue tignasse pour tirer ma tête brutalement en arrière et coller sa bite dans ma bouche.
Là encore, j'ai tout avalé. Soyons clair, tout ceux qui se vidaient dans ma bouche avaient le plaisir de me voir déglutir. Et les mecs ont défilés dans ma chatte. En levrette ou en missionnaire. Et à ceux qui y allaient trop doucement, je savais comment les inciter à se lâcher. Peu ont choisis de se vider dans la capote. La plupart ont préférés sortir au dernier moment, virer la capote et me voir avaler leur jus.
Ça a duré..... je ne sais pas combien de temps. Mais je suis sure qu'une quinzaine de nouveaux mecs ont pu profiter de moi. C'était tellement bon, j'étais tellement chaude que je n'ai même pas remarqué l'autre nana partir. J'ai joui... là aussi je ne sais pas combien de fois. Mais plusieurs. En fait, je n'avais pas joui aussi fort depuis mon Maître. Mais j'ai respecté mon serment. Aucun n'a pu toucher à mon cul (et aucun autre homme que Toi ne le fera jamais. Je te l'ai promis et tu sais que je tiendrai ma promesse).
Ça a pris fin faute de participant. J'ai tant bien que mal réussi à me relever et à enfiler ma robe. Et toute souriante, mais épuisée, je me suis dirigée vers la sortie du club. J'étais entrée dans les lieux peu après 23h. Il était plus de 4h du matin. Une sacrée nuit. Mais je me suis offert un dernier cadeau avant de quitter ces lieux, source de ma magnifique débauche.
La Maitresse et son soumis sportif se trouvait sur mon chemin. Elle m'a regardé avec un sourire complice. Elle avait peut être pu admirer mes exploits en baladant son chien en laisse. Je me suis approché d'elle. Je lui ai demandé si son offre tenait toujours. Elle m'a répondu que oui. En précisant qu'il venait de baiser 5 femmes ce soir mais qu'il n'avait pas giclé une seule fois. Le supplice que ça devait être pour lui !!
Mais je m'en foutais là qu'il soit soumis. Lui ne comptait plus. J'avais eu ma dose de mâle en manque et de souillure pour la nuit. Ce que je voulais savoir c'était si sa chatte à elle était accessible à ma bouche. Je n'avais pas léché une chatte depuis Sophie. Et j'en avais envie. Et cette belle bite serait un plaisir supplémentaire. Il n'était plus qu'une bite, rien d'autre là.
Elle m'a sourit avant de simplement relever le bas de sa robe en guise de réponse. Elle ne portait rien de plus que moi en dessous. Elle s'est assise sur une table basse, cuisses ouvertes, et je me suis agenouillée. J'ai dévoré cette belle chatte et dégusté son clitoris très sensible.
Pendant que sa lavette me prenait en levrette. Une bonne bite. Vraiment une bonne bite à n'en pas douter. Il baisait fort. Mais sans aucune passion. C'était mécanique. Trop pour que je puisse jouir. Mais suffisant pour me faire du bien bien que ma chatte soit douloureuse tellement elle avait été défoncée. C'est ça de perdre le rythme.
J'ai fait jouir sa Maîtresse sur mes doigts et ma langue. Puis, je me suis redressée. Elle m'a sourit, m'a remercié et m'a dit que mon cou mériterait un collier.
J'ai rigolé, je lui ai dit qu'il en avait porté un pendant 10ans. Celui d'un homme. Et qu'il n'en porterait jamais d'autre (j'en suis sure. Absolument certaine. Tu seras à jamais mon seul Maître). Elle a répondu qu'il m'avait bien éduqué et qu'il devait être fière de moi (j'espère que tu l'es. Même si je sais pertinemment que c'est le cas).
Je suis alors partie. Plus que satisfaite sexuellement. Bien plus. Ma frustration s'était envolée. Sur le chemin du retour, j'ai forcément réfléchi à ce que je venais de faire. Et pour résumer ma pensée : oui je l'ai trompé. Mais non, ce n'est pas si grave. Car sincèrement, j'ai fait bien pire que ça avant de le connaître. Je ne suis pas plus sale après ça qu'avant ça. Il ne le savait pas et il ne le saura jamais c'est tout. Donc ça ne change rien.
Quand à savoir si je recommencerais, j'ai appris un truc. C'est qu'il ne faut jamais dire jamais. Et je me connais paradoxalement bien mieux après cette soirée qu'avant. Je sais maintenant que mon Maître n'a fait que me révéler à moi même. Il ne m'a pas changé, il ne m'a pas transformé en ce que je n'étais pas. La meilleure des preuves vient du fait que j'ai fait de ma propre initiative (et avec beaucoup de plaisir) ce que je n'aurait fait qu'à son initiative avant.
Voilà la fin de votre « bonus ».
Maintenant je vais te parler à Toi. Ça m'a fait bizarre de redécouvrir tout ça à travers tes yeux (même si tu l'as écris à travers les miens). J'ai fait un choix difficile. Tu sais pourquoi je l'ai fait. Je ne l'ai peut être pas fait pour les bonnes raisons et je n'ai peut être pas fait le bon choix. Je le sais. Je l'ai toujours su même. Mais je l'ai fait et tu me connais assez pour savoir que je ne reviendrais pas en arrière.
J'apprécie beaucoup le fait que tu n'ai jamais tenté de me convaincre de revenir sur ma décision. Je l'apprécie d'autant plus que je sais maintenant que tu en avais envie (le simple fait que tu ai écrit tout ceci me le prouve).
Je souhaiterais juste faire une mise à jour par rapport à tout ce que tu as écrit. Oui, pendant 10 ans, je n'ai jamais vraiment su si je t'aimais ou s'il s'agissait d'autre chose. Je sais que tu le savais et je m'en veux que tu en ai souffert (oui je le sentais. Et ça transparaît dans la manière dont tu l'écris). Mais maintenant je peux le dire, avec une certitude absolue. Je t'aimais. Sincèrement. Véritablement. C'était de l'amour. Et ça en sera toujours au fond de moi. Quel qu'ait pu être mon choix, ce sentiment à ton égard ne changera jamais.
Voilà. Tout est dit. Et tout a été magnifiquement dit je pense. Par toi. Et par moi j'espère.
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Commentaires de l'histoire :
Hey
Bonjour, J’ai bien aimé lire un récit écrit par Julie (puisque c’est ainsi qu’elle s’appelle dans l’histoire). Ça donne aux lecteurs une vision plus complète de la relation, et de mieux comprendre la dynamique entre amour et soumission. Mais c’est aussi un récit triste du point de vue des sentiments. En fait, la tristesse imprègne tant le récit qu’il est moins excitant que les précédents. Mais je suis content(e) de l’avoir lu, c’est une sorte d’épilogue à cette histoire. Maintenant, j’ai hâte de lire les histoires avec Sophie !
Posté le 22/03/2025
GuiNancy
Que répondre à ça.... rien que tu ne saches déjà et qui n'ai déjà été dit entre nous. Soit heureuse. (P.S: je réponds ici car je lui ai promis de ne plus la contacter directement. Elle a besoin de tourner cette page, ce que je comprends car moi aussi. Et c'est maintenant fait).
Posté le 21/03/2025
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