Bruno est consultant et a ouvert son cabinet conseil. Le hasard lui a fait rencontrer sa nouvelle assistante. L'une de ses cliente ne le laisse pas indifférent. En parallèle il s'imagine et espère des activités peu professionnelles avec son assistante...
Proposée le 10/07/2023 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Le lendemain, Inès arrive au bureau de Bruno comme promis : en robe.
C'est une robe cintrée couleur noir imprimée de pois blancs, bretelles nouées dans le cou sur le haut. Une robe qui marque la taille et évasée sur le bas, donnant du volume. En coton style décontracté, mais élégant. Une paire d’espadrilles compensées rehausse le côté romantique et féminin.
Inès tourne sur elle-même, faisant tourbillonner sa robe qu'elle montre ainsi à son nouveau patron. Elle veut qu'il voit que sa robe, aussi sublime qu'elle, est bien à la hauteur du gage. Elle passe ses doigts dans ses cheveux, les effleurant. Un peu comme si elle voulait attirer autant l'attention de Bruno sur sa chevelure brune que sur sa tenue.
Bruno remarque que le dos de sa nouvelle assistante est nu et participe au charme de cette tenue. Un nœud au niveau de la taille accentue la silhouette. Elle est vraiment resplendissante dans cette robe pinup !
"Alors ?" Demande Inès. "Vous validez le gage ? C'est bon ?" Oui, c'est bon, Bruno valide en hochant la tête.
Inès arbore son plus beau sourire. Ses yeux sont remplis de fierté. Elle a réalisé son gage et est certaine qu'elle a fait effet sur son nouveau patron. Assurément pense-t-elle, elle prend un peu d'ascendant sur lui. De son côté, Bruno a le sentiment qu'à travers d'autres gages il finira peut-être par faire faire ce qu'il veut à Inès. Son esprit se plait à imaginer qu'elle se soumettra bientôt à tous ses désirs.
La journée de travail débute pourtant. Bruno doit quand même honorer ses contrats pour faire bouillir la marmite. Il explique alors à Inès les services qu'il propose, la façon dont il travaille. Il lui raconte comment il cherche des clients. Mais il avoue que le bouche à oreille reste son plus grand atout. D'abord, il confie à sa nouvelle assistante le soin de lire quelques contrats, fiches produits et classer ce qu'il n'a pas eu le temps de classer.
Alors qu'Inès débute sa journée, Bruno prépare un contrat de travail à partir de celui de son assistante précédente. La matinée se passe sans difficulté.
La nouvelle et charmante assistante travaille sérieusement et semble réellement se montrer efficace. Bruno guette le moindre signe d'intérêt de la part de la demoiselle : un sourire, un regard... Mais rien. Durant la pause déjeuner, elle lui apprend qu'elle doit passer le weekend avec son petit ami.
Mais bien sûr ! Se dit Bruno déçu en apprenant cela. Mais bon, une aussi belle fille a forcément quelqu'un dans sa vie... Donc le gage n'était que pour le poste et rien d'autre. Tant pis se dit-il.
L’après-midi, Laura, la cliente que Bruno a eu en ligne la veille le rappelle. L’occasion pour Inès de décrocher pour son premier appel. Surprise, l’interlocutrice de l’assistante pense d’abord s’être trompée de numéro. Lorsque Bruno la reprend en ligne, la question tombe immédiatement : « vous ne m’aviez pas dit que vous aviez une assistante ? ». Bruno lui explique alors qu’elle a débuté ce matin pour un essai. Puis, Laura, une pointe de jalousie dans la voix demande à quoi ressemble l’assistante, l’âge, la tenue…
Ce qui amuse le consultant. Finalement, il n’aura surement pas la jeune brune, mais la blonde mûre par contre… La conversation se poursuit mais n’est pas professionnelle. Laura cherche manifestement à savoir si la présence d’Inès est liée à une nécessité professionnelle ou non. La belle blonde est ferrée se dit Bruno.
Après avoir raccroché, Bruno s’imagine un scénario. Il inviterait Laura à déjeuner. La conversation se déporterait sur le sexe et évidemment sur un 5 à 7 endiablé.
Inès le sort de son fantasme : « C’est une bonne cliente ? ». Oui très bonne se dit Bruno à lui-même. Mais il ne peut pas répondre cela à son assistante.
« Oui c’est une bonne cliente, sa société me consulte régulièrement.
-Je demande ça parce que vous l’avez gardé longtemps en ligne ». En disant cela, Inès jette un regard en coin, cherchant à jouer celles qui ne veulent pas en savoir plus mais qui au fond, est très curieuse de savoir s’il y a quelque chose entre la cliente et Bruno.
A son tour, elle cherche à savoir à quoi ressemble son interlocutrice de tout à l’heure. Puis, l’âge, la tenue vestimentaire… Et une question supplémentaire : se voient-ils en dehors du travail.
Bruno rit. La question le surprend et il pense détecter une pointe de jalousie ou un sentiment d’insécurité de la part d’Inès. Se pourrait-il que ces deux femmes différentes en tous points se sentent rivales alors qu’elles n’ont parlé que quelques secondes au téléphone ?
A travers le rire de Bruno et son regard interrogateur, Inès se sent dévoilée. La surprise se lit dans ses yeux. Elle passe sa main dans ses cheveux pour se les caresser : elle est stressée. Elle fait ce geste long et délicat de se brosser les cheveux avec une main dans ses cheveux lisses. Elle cherche à se rassurer. Bruno s’imagine à nouveau une ouverture avec sa nouvelle assistante.
Un silence s’installe. Un silence gênant pour la petite brune qui fuit la situation en retournant à son bureau. Bruno, n’osant pas brusquer les choses, cherche à se convaincre que la patience peut porter ses fruits.
L’après-midi se poursuit. Un nouvel appel perturbe la tranquillité ambiante. « Oui je vous le passe » répond Inès sur un ton plutôt neutre. Puis, son visage se transforme. Elle s’adresse à Bruno d’une voix sèche légèrement irritée. Une voix et un ton dissimulant à peine la jalousie : « c’est encore cette Laura qui vous plait tant ». Bruno se pince les lèvres pour ne pas rire. Mais Inès l’a vu : « ce n’est pas drôle ! Pourquoi elle rappelle ? Elle ne sait pas que vous avez du travail ? Elle vous a déjà tenu la jambe une heure tout à l’heure ».
Bruno reprend la ligne et cherche à retenir un rire. Laura commence par présenter ses excuses, elle n’a pas parlé de travail tout à l’heure, ce qui justifie ce rappel : parler du dossier en cours. Mais avant, la blondinette de cliente ne peut s’empêcher de demander jusqu’à quelle heure l’assistante reste au travail. Non pas par curiosité affirme-t-elle mais pour que Bruno ne l’exploite pas… Ce qui amuse bien évidemment le consultant qui jubile de la rivalité qui s’est installée.
La conversation dure une bonne demi-heure. Laura est interrompue. Elle doit raccrocher. Encore une fois, ils n’ont pas travaillé… Inès lève la tête. Elle semble scruter le visage de Bruno. Comme pour chercher un signe qui trahirait les pensées de Bruno.
« Alors vous avez bien parlé ? Demande-t-elle, la voix sèche, le ton aigu.
-Vous aimeriez bien le savoir ? ». Inès proteste : « non mais vous ne travaillez pas pendant ce temps et vous m’aviez dit qu’il vous fallait de nouveaux contrats ».
Le patron perd son sourire. Il se rend compte qu’il doit réconforter son assistante qui, finalement, doit plutôt être inquiète de son sort et de l’avenir de l’entreprise que jalouse.
Bruno se lève, se rapproche de son assistante et la rassure en lui disant de ne pas s’inquiéter et pose sa main sur le haut du bras juste au niveau de l’épaule.
« Mais je ne suis pas inquiète ! Et je ne suis pas jalouse ! Vous vous faites des films ou quoi ?
-Est-ce que j’ai dit que vous étiez jalouse ? ». Inès frissonne, son regard fuit, elle cherche à se rattraper. Pourquoi a-t-elle parlé de jalousie ? Ses yeux tombent sur l’horloge. La belle brune se lève d’un bond affirmant qu’il y a eu trop de bavardages aujourd’hui, qu’elle rentre chez elle et que demain il faudra travailler parce qu’elle ne veut pas que Bruno lui fasse de reproches si le travail n’avance pas…
L’imagination du consultant se remet en route alors qu’Inès quitte les locaux. Il imagine son assistante chemisier grand ouvert, seins à l’air, à genoux dans une petite jupe serrée en train d’aspirer son engin goulument, ne s’interrompant que pour dire : « alors je suis plus jolie qu’elle ? Ça te plait que je m’occupe de toi ? Elle ne ferait pas mieux que moi. » Et plutôt que de répondre, Bruno poserait sa main sur la petite tête brune pour la remettre à l’ouvrage. Son pieu reprenant place entre ces lèvres douces et retrouvant les caresses de cette langue tout aussi habile à suçoter qu’à parler.
Bruno bande comme un fou en rêvant de la scène. Si seulement son fantasme se réalisait… Mais il faut être réaliste : Inès a un petit ami et l’apparente jalousie est de la crainte pour l’avenir de la société. Car c’est également le salaire d’Inès qui sera en jeu.
Le téléphone sonne. Pourvu que ce soit Laura. Et oui, c’est elle. Le consultant jubile.
Laura se confond en excuses. Elle a dû interrompre la conversation pour une urgence. Malgré ces appels ils n’ont pas avancé sur le dossier. Bruno rebondit en tentant une nouvelle approche : pourquoi ne pas en reparler en dinant ? Un silence s’installe. Bruno frissonne… Est-il allé trop loin ? Va-t-elle accepter ou refuser sèchement. Pour réponse, Laura demande au bout de quelques secondes de réflexion si Bruno ne dine pas avec son assistante.
Il rit aux éclats : « non pourquoi ? Laura ? Enfin, Inès vient de partir.
-Inès ? C’est un peu familier d’appeler son assistante par son prénom…
-Enfin Laura, qu’est ce que c’est que cette scène de jalousie ? C’est une gamine, elle a un petit copain. Et puis c’est avec toi que je vais être familier.
-Vraiment ? Répond-elle amusée.
-Oui, nous n’avons pas travaillé aujourd’hui. Et puis tu devais me montrer que tu es une vraie blonde non ? Alors si je t’emmène diner, ce n’est surement pas pour travailler ou te nourrir… »
Quelques secondes de silence interrompent la conversation. Laura fini par s’exprimer. Elle donne à Bruno son adresse pour qu’il vienne la chercher à 20h pour aller diner.
En raccrochant, Bruno jubile. Il a souvent fantasmé sur Laura. Cette fois il peut se passer quelque chose. Tant pis pour Inès.
Le consultant s’empresse de rentrer chez lui. Il prend une douche et change de vêtements. Il s’imagine un scénario avec Laura. Il la caresserait dans la voiture. Sa passagère mouillerait comme une folle. Il s’arrêterait sur le bas-côté pour la peloter encore plus, malaxant ses seins, pétrissant ses fesses et frottant son entre cuisse… . Puis, sortant de la voiture, il la pencherait sur le capot, soulèverait sa jupe et la prendrait en levrette. Son pieu la pistonnerait, son ventre claquerait sur les fesses de sa partenaire. De temps en temps il ralentirait le rythme pour lui pincer les tétons. De temps à autre, il se retirerait pour lui claquer les fesses l’une après l’autre d’une main. L’autre la tenant par la nuque pour qu’elle reste sur le capot.
Tout en s’imaginant la scène, Bruno bande fort. Il a déjà été troublé toute la journée… Il se laisse aller à se caresser. Après tout, il veut jouir. Il est bien trop excité pour tenir plus longtemps. L’explosion arrive. Il doit reprendre une douche et changer encore de vêtements.
Arrivé enfin chez Laura, il a peur d’être en retard. Il s’arrête devant une petite maison de ville. Il y a un jardin qui sépare la porte d’entrée de la rue. Planté devant le portail, le consultant regarde l’heure. Il est 19h55. C’est juste mais il est à l’heure.
Bruno téléphone après avoir appuyé plusieurs fois sur la sonnette du portail. Laura ne décroche pas. Lui a-t-elle posé un lapin ? Est-ce la bonne adresse. Il rappelle. Laura décroche enfin, la voix étouffée, comme si elle venait de produire un effort. Reconnaissant la voix de Bruno elle semble surprise. Puis quand il lui donne l’heure elle s’affole : elle n’est pas prête. Descendue au portail, elle ouvre.
Confuse, Laura porte une petite robe style babydoll évasée, à manches larges, imprimée de fleurs printanières. On aurait dit que sa robe vient d’être mise à la va vite, car en temps normal, Laura porte ses vêtements de façon impeccables. Là sa robe semble déséquilibrée sur elle, avec un côté qui a l’air plus haut que l’autre. Ses cheveux sont légèrement ébouriffés. S’est-elle endormie ?
Laura tourne le dos à Bruno pour le mener à l’intérieur. « Pardon Bruno, je n’ai pas vu l’heure, je me prépare vite, et on y va ». Alors qu’elle se confond en excuse, son invité ne peut s’empêcher de remarquer qu’une tache d’humidité marque l’arrière de la robe juste en dessous de ses fesses. Le consultant s’imagine alors que Laura s’est peut-être laisser aller à un plaisir solitaire et que ce plaisir durant, elle n’a effectivement pas vu l’heure et s’est laissée surprendre par l’arrivée de son rendez-vous.
« Tu peux porter cette tenue au restaurant, ça te va bien » lui lance Bruno taquin. Car il sait qu’elle ne voudra pas la conserver. Les joues de Laura s’empourprent et elle proteste « non enfin Bruno ! Je ne peux pas y aller comme ça ! Cette robe là ça ne va pas ! Et mes cheveux sont dans un état ! De toute façon ma robe est froissée… »
Bruno s’amuse à ajouter qu’il y a une tache d’humidité sur les fesses. Laura, surprise, passe sa main derrière pour vérifier. Lorsqu’elle constate que c’est vrai, ses joues rougissent à nouveau, son regard se fige. Bruno se dit qu’il va en profiter. Il a tellement pensé à elle, tellement imaginé de scènes salaces avec Laura qu’il doit absolument aller le plus loin possible. Il se penche légèrement vers elle : « tu me fais la bise au moins ? ».
Alors qu’ils sont joues contre joues, Bruno lui murmure à l’oreille : « la petite tache c’est ce que j’imagine ? ». Entendant ces mots, Laura est pétrifiée. Elle ne dit rien, elle ne bouge pas. Bruno en profite. Il pose ses lèvres sur l’une des joues de Laura et continue à déposer plusieurs baisers, dont dans le cou.
« Alors Laura ? Tu faisais quoi ? » Dit-il entre deux baisers. « Coquin… » lui répond-elle.
Bruno poursuit. Elle se laisse faire. Il passe ses mains dans le dos la petite blonde. Descend vers sa chute de reins tout en lui caressant le dos du bout des doigts. « Tu pensais à moi pendant que tu te donnais du plaisir ? » demande-t-il. Elle sourit en guise de réponse. Bruno soulève délicatement la robe pour la remonter au-dessus des fesses rebondies de Laura et commence à les pétrir. D’une main, il malaxe fermement une des fesses, de l’autre il tient le cou de Laura et l’embrasse à pleine bouche.
Laura savoure, ses bras enlacent Bruno autour du cou. Celui-ci poursuit. A ce stade, il ne va pas attendre la fin du diner pour atteindre son but. Il veut aller plus loin, aller jusqu’au bout. Et si possible réaliser une des nombreuses scènes qu’il s’est imaginé avec elle.
Libérant la fesse de Laura, il plonge sa main dans son décolleté pour tâter l’un de ses seins. Ferme, ni trop gros ti trop petit. Il commence à presser et palper le mamelon avant de plonger sa tête entre le tissu et cette peau d’une fraicheur et d’une douceur féminine. Sa langue tâtonne et cherche le mamelon à lécher. Prenant le sein à pleine bouche, il tête. Sa partenaire l’encourage en lui caressant les cheveux.
Relevant la tête, il aperçoit la table de la salle à manger. Il la pousse légèrement dans la direction de la table. Laura se laisse complètement guider. L’excitation de son plaisir solitaire n’était pas complètement retombée et Bruno a relancé la machine à sensualité. Il fait assoir sa compagne conquise sur la table. Il lui écarte lentement mais fermement les cuisses. Là encore, elle se laisse faire. Elle aussi veut aller au bout. Elle aussi pense à ce moment depuis longtemps. Et puis, elle n’a pas pu aller au bout de son plaisir solitaire. Il lui faut achever cette activité, aller jusqu’à la jouissance. Elle ne veut pas rester frustrée.
De son pouce, le consultant taquine la vulve de sa partenaire. Elle est déjà humide… Il introduit le pouce avec aisance et caresse doucement l’intérieur tout en embrassant sa compagne du bout des lèvres. Retirant son pouce, Bruno attrape l’une des mains de Laura, la pose sur son engin raide : « je crois qu’on se fait beaucoup d’effet mutuellement ». Elle sourit, ouvre la braguette de son nouveau compagnon, passe sa main entre l’élastique du caleçon et la peau du bas ventre avant de s’emparer à pleine main de la colonne de chair chaude et raide pour la branler tout doucement.
Bruno de son coté, introduit son index puis son majeur entre les cuisses de Laura. Les grandes lèvres s’écartent, les doigts glissent comme dans du beurre à l’intérieur du fourreau de plaisir de sa compagne. Après quelques aller et venues, il s’agenouille. Son pieu est orphelin des caresses de sa belle, ce qui va le calmer car il risque de venir. Le consultant est à bonne hauteur. Maintenant fermement écartées les cuisses de sa belle, il colle sa bouche sur la fente de sa femelle en chaleur. Sa langue tâte, lèche, s’introduit, caresse, lèche à nouveau, ses lèvres sucent, pressent, sa langue s’introduit à nouveau…
Ce traitement plait à Laura. Elle mouille de plus en plus. Sa chatte est juteuse, sa mouille coule littéralement sur le menton de Bruno qui la broute ardemment. Elle souffle fort, de temps à autre un soupir s’échappe, un petit couinement qui exprime le plaisir qu’elle prend enfin. Un petit cri bref et aigu qui souligne la satisfaction qu’elle a en approchant enfin de la jouissance.
Bruno s’arrête. Il allonge sa femelle, brulante et rayonnante sur la table. Il se rapproche de sa tête. L’intention est claire : à son tour. Son piquet est raide, et frémit au rythme de ses pulsations. Il pose son sexe sur la joue de sa belle et le frotte le long des lèvres avant de s’introduire dans la bouche offerte.
Bruno jubile. Enfin. Il est enfin dans cette bouche dont il a rêvé. Dans quelques instants, quelques minutes tout au plus, il sera dans le fourreau de plaisir de Laura…
Après plusieurs va et vient dans la bouche de Laura, après l'avoir faite saliver, Bruno se retire de la bouche de sa partenaire enflammée. Celle-ci se lèche les lèvres de satisfaction, comme si elle venait de déguster une bonne gourmandise. Son regard brillant scrute son amant, cherchant un signe de détermination. Laquelle ? Une détermination à poursuivre bien sûr. Elle veut qu'il la prenne, intensément, profondément.
Sans quitter sa femelle soumise des yeux, le regard entreprenant plongé dans celui de sa partenaire, Bruno jubile intérieurement. Il s’éloigne de la bouche qu’il vient de quitter. Avec un geste ferme et d’autorité, il fait assoir Laura sur la table, l’embrasse dans le cou, lui pétrit les seins. Puis, il la fait descendre debout face à lui. Il l’attrape par les hanches, la retourne énergiquement pour la mettre face à la table, dos à lui.
Comme dans ses rêves, il pose une main sur la nuque de sa partenaire, la fait se pencher en avant, coudes et avant-bras sur la table. Penchée ainsi, fesses en arrière, chatte offerte, Laura mouille toujours, frissonne. Son amant vérifie avec son index et son majeur que la vulve est prête pour la pénétration qui se fait attendre.
« Ça te plait ? » Demande Bruno décidément de plus en plus sûr de lui et entreprenant. Lui qui pensait être dominateur avec Inès et jouer égal à égal avec Laura. Le voilà dominant avec Laura, lui imposant positions et rythme.
Laura soupire, bouge légèrement les jambes, fait onduler ses fesses d’impatience. Bruno veut vraiment une réponse. Alors il s’enhardi. « Je n’ai rien entendu » dit-il. Toujours pas de réponse. D’une main il claque le fessier de Laura. « Ça te plait ? » répète-t-il. Et sans attendre la réponse, de l’autre main claque à nouveau l’arrière train de sa partenaire. « Oui ! Oui ! » soupire-t-elle enfin.
« Très bien petite coquine ». Bruno, satisfait de la réponse, présente sa colonne de chair à l’entrée de la fente humide de Laura. Le gland frotte les lèvres suintantes de jus de chatte. Il veut encore jouer, voir si Laura est totalement à lui. « Tu la veux ? » dit-il en frottant son gland le long des grandes lèvres de sa partenaire. Celle-ci ne répond pas. Elle passe une main dans son dos, derrière ses fesses. Sa main tente d’attraper cette bite qui se fait attendre. Ce pieu qu’elle veut en elle.
Voilà des semaines qu’elle s’imagine Bruno en train de s’occuper d’elle. Voilà des jours qu’elle espère une opportunité avec lui. Elle n’avait plus la patience d’attendre le rendez-vous et avait commencé à se faire plaisir avant qu’il arrive pour se calmer. Mais il était arrivé avant qu’elle jouisse. Heureusement pour elle, il a été tout de suite entreprenant. Elle n’attend plus qu’une chose, qu’il calme ses ardeurs, qu’il la libère de sa frustration sexuelle. Elle n’en peut plus : « s’il te plait » dit-elle en trouvant enfin sa queue du bout des doigts.
Bruno exulte. Il attrape la main de cette femelle enfiévrée de sexe. De l’autre il lui saisit la nuque : « tu la veux ? Dis-moi que tu veux ma bite ». Bruno est excessivement confiant. Peut-être un peu trop. Il prend le risque de la mettre en colère, de la frustrer encore plus et qu’elle arrête tout et le foute à la porte pour se finir toute seule… « S’il te plait » répète-t-elle pourtant d’une voix suppliante. Ne voulant pas prendre de risque, Bruno introduit son gland, le glisse entre les grosses lèvres humides. Laura sourit.
Le consultant lui met une nouvelle claque sur les fesses.
« Dis-moi que tu la veux. Insite-t-il
-Oui ! Je la veux ! Tu sais bien ! Vas-y s’il te plait ! S’il te plait ! »
Femelle frustrée, n’attendant que la jouissance, Laura cède aux exigences de son amant. Est-elle prête à tout pour jouir ?
Bruno décide de la récompenser. Il s’introduit en elle d’un coup. Laura soupire de satisfaction. Lui, s’agrippe aux hanches de sa petite blonde, et la pistonne enfin... Avant arrière, comme une machine, comme un marteau piqueur, il coulisse à cadence élevée dans ce fourreau parfaitement lubrifié. Laura pousse de petits couinements saccadés au rythme du claquement de leurs peaux. Elle exprime sa satisfaction : « oui !
Oui ! Encore ! Encore ! Oui ! Oui ! ».
Bruno se régale. C’est la première fois qu’une femme est comme ça avec lui. C’est la première fois qu’il se laisse aller à ses instincts mâles. Il la pistonne toujours quand il sent la sève monter dans son engin dangereusement. Il faut qu’il ralentisse la cadence s’il ne veut pas jouir avant elle.
L’amant s’arrête. Se retire. A nouveau la main de Laura cherche cette bite qu’elle veut tant. Mais pour Bruno, pas possible pour le moment. Il doit faire retomber la pression. Il va jouer avec elle en attendant. Pour, au contraire de lui, faire monter la pression chez elle. Il attrape les deux mains de sa partenaire, les relient dans le dos comme pour la menotter. D’une main, il maintient les deux poignées de Laura ensemble. Elle est sa prisonnière. Elle se laisse complètement faire.
Les doigts de la main libre de Bruno s’introduisent là où son pieu se trouvait il y a quelques instants.
« Tu en veux encore ? Tu es une petite coquine ? ». Laura sourit, savoure, mais ne répond pas. Bruno maintient alors les mains de sa femelle soumise et attachée. L’autre main quitte le puits d’amour pour aller mettre une claque sur une fesse. « Tu en veux encore ? » Et il claque l’autre fesse. La blonde amante secoue la tête pour signifier oui. « tu es ma petite coquine ? ». Il claque les deux fesses, l’une après l’autre. « Oui ! Oui ! Ta petite coquine ! ».
Se sentant mâle, dominant, il lui ré administre une bonne fessée. « Tu es une petite salope ». Il réintroduit sa colonne de chair dans la grotte chaude et humide. Il fait quelques va et vient.
S’arrête à nouveau. « tu es ma petite salope ? ». Laura sur un petit nuage, le corps inondé d’hormones, le plaisir lui envahissant les jambes, l’entrejambes, la tête… Est prête à tout pour qu’il continue. Elle hoche encore la tête pour dire oui. Oui pourvu qu’il ne s’arrête pas, qu’il la fasse jouir.
Se sentant étalon. Bruno lâche sa proie. Les mains libres, Laura prend appui sur ses coudes et avant-bras. Son amant l’agrippe par les cheveux pour la relever suffisamment afin qu’elle lui offre sa bouche qu’il embrasse goulument. Il s’interrompt pour exiger d’elle ce qu’il demande : « tu es ma petite salope ? ». Elle hoche la tête à nouveau comme un oui. Elle regarde Bruno dans les yeux. Il lui caresse la joue : « dis le moi ». Cette phrase prononcée d’un ton ferme et résolu achève de soumettre Laura : « je suis ta petite salope ».
Bruno est satisfait. Il vit l’un des fantasmes qu’il s’est imaginé. La pression est retombée. Il rentre à nouveau en elle. D’une main, il tient les cheveux de son amante en queue de cheval. De l’autre, il la tient par la hanche. Sa bite coulisse en successions de va et vient. Il pistonne cette chatte brulante qui enserre son pieu. Laura couine à nouveau.
« Salope ! Salope ! » Crie-t-il. « oui ! Oui ! » répond-elle.
Bruno exulte. Il s’arrete, se retire de cette chatte de peur de jouir trop vite. La sève monte à nouveau. « S’il te plait ! S’il te plait », gémi Laura.
« Tu es une bonne salope ? Demande Bruno pour temporiser.
-Oui ! Je suis une salope ! Ta salope ! Continue s’il te plait ! Continue ! Je suis ta salope ! »
Bruno reprend. Il pistonne à nouveau, se retient de jouir mais il ne va plus tenir longtemps. Alors qu’il la baise à cadence réduite, il sent des spasmes dans sa partenaire, les muscles de la chatte tremblent sur son engin. Elle jouit. Elle gémie, soupire… Il sent qu’il vient. Une idée lui traverse l’esprit. Il se retire précipitamment, se rapproche de la tête de sa femelle comblée prend en main sa bite, la pointe vers le visage de son amante.
Avec seulement deux ou trois allers retours de sa main, il jouit à son tour, souille le visage de sa partenaire qui plisse les yeux, ne dit rien, subit docilement l’humiliation.
Bruno soupire de satisfaction. Il pose son pouce sur le menton de Laura et l’index en dessous. Elle est toujours penchée sur la table. Il appuie sur le menton pour ouvrir la bouche de sa nouvelle soumise. Elle ouvre sa bouche, accueille la bite qui perd en vigueur. Bruno pousse alors le menton de façon à ce que la bouche se referme sur son membre et baise le minois de sa petite salope blonde. Il finit de jouir et de se vider les couilles entre les lèvres de Laura.
Sa partenaire se relève, voit l’heure. Et s’exclame : « nous voilà bons pour la douche ». Bruno acquiesce et claque les fesses de sa petite salope, souriante, satisfaite.
Alors qu’elle approche de l’escalier pour aller dans la salle de bain, elle regarde fixement Bruno dans les yeux.
« Merci… Je sais pas si tu savais mais j’en avais envie depuis longtemps.
-Sans blague ! »
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Commentaires de l'histoire :
Ladouceur
Un très bon récit j'ai hâte de lire les autres Merci
Posté le 13/10/2024
mlkj0
Très bonne 2e partie A quand une suite ?
Posté le 10/07/2023
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