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Le journal d'une Vierge soumise - 30

La fin de notre petit bonus (oui autant le mien que le sien finalement). Avec une belle note finale... Quand le plaisir et l'agréable rencontre l'utile et la bonté

Proposée le 17/02/2025 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie


Chapitre 29 – Une pute, juste une pute (Son Bonus partie 3)

« Je peux sortir fumer une cigarette ? »
« Oui bien sur » répondit il « tu n'es pas prisonnière »
« Je vais aller prendre l'air avec elle un peu ». J'avais envie de sortir et je savais que ce moment serait propice pour la discussion entre filles.

On s'est rhabillé. Enfin, moi j'ai enfilé une tenue « normale » issue de ma valise. Et pour elle, on a découvert qu'elle rentrait dans une de mes robes. Même si le haut était vraiment ultra moulant sur elle. Et avec elle, elle était vraiment décolleté comme pas croyable.

Mais elle mettait un petit 36 en pantalon comme moi. Même si son cul était plus bombé et ferme que le mien. J'ai enfilé ma veste, elle avait un gilet dans son sac et nous nous sommes retrouvés en bas, dans la cour du château. Seule dans une grande cour sans éclairage. Libre de discuter.

« Sacrée soirée » lança t'elle.
« Oui on peut le dire »
« Tu m'expliques ta tenue ? Parce que là, j'ai du mal à comprendre. »
Avec un peu de difficulté, je lui ai expliqué mon fantasme et ma soirée. Elle m'a écouté en silence avant de répondre :
« Je comprends ça. J'avoue que j'avais la même envie que toi. Avant que ça ne devienne une nécessité »
« Tu fais ça depuis longtemps ? »
« Depuis la rentrée universitaire »
« Et tu le fais souvent ? »
« Une à deux fois par mois. Selon la somme dont j'ai besoin et comment se passe ma nuit »
« Tu as besoin de beaucoup ? »
« 300 à 400 en général. En fait, je m'y suis prise trop tard et je n'ai pas pu avoir de logement étudiant. Donc j'ai un logement privé. Avec un loyer vraiment cher. Et mes parents ne peuvent pas trop m'aider.... »
« Je vois » Rien à voir avec moi. Elle le faisait vraiment par nécessité. Ça me désolait pour elle. J'étais triste. Mais je ne regrettais vraiment pas l'argent que je lui avais donné du coup. Elle était tranquille avec ça.

« Et toi, c'est quoi votre relation ? »
« Ouh là... ça va être long »
« On est pas pressée. Il faut bien qu'il se repose un peu » dit elle en riant.
« Oui c'est vrai ». Et ensuite, je lui ai expliqué notre relation. En n’omettant aucun détail. Y compris ceux les plus hard et intime.
« Ah oui ! Je me considérais comme une belle salope mais franchement, j'ai trouvé mieux que moi. Et c'est un compliment, ne te vexe pas » Elle me regardait avec un petit sourire admiratif avant de reprendre « Je comprends pourquoi tu encaisses mieux la sodomie que moi »

« Je ne le prends pas mal. Et perso, je trouve que le qualificatif « belle » est très insuffisant pour toi. Tu es juste divine. J'aimerais être faites comme toi »
« Tu es jolie aussi crois moi. Je suis bi mais sélective sur les filles. Donc ne t'inquiète pas. Et crois moi, ce physique est un avantage et un inconvénient. J'obtiens tout ce que je veux des hommes. Mais le nombre de mec qui veulent me baiser est énorme. C'est compliqué à gérer »
« J'imagine bien »
« Si je peux me permettre, le tien ferait bien mon affaire. Tu as de la chance »
« Je sais. Il me baise comme une vraie chienne et je suis SA soumise. Mais en dehors de ça, il me traite comme une princesse »
« La relation idéale. Il baise bien, il est bien monté et en plus il est galant et prévenant. Quoi demander de mieux ? »

« Tu n'as pas de mec ? » Difficile à croire vu son physique. Mais la réponse tombait sous le sens.
« Un mec qui accepterait que je règle mes problèmes financiers comme ça ? Et puis, où je trouverais le temps ? Le peu de temps libre qu'il me reste finit sur un trottoir... non, franchement, si j'avais eu la chance d'être à ta place, ça m'aurait plu »
« N'oublie pas ce que j'encaisse »
« Oui... mais j'aime ça. Il baise comme j'aime. Et bon, mon cul a survécu au premier passage donc il survivrait à la suite. Non, franchement, ça faisait longtemps qu'on ne m'avait pas aussi bien baisé que ça »

Sur ces paroles, nous sommes remontés à la chambre. Il venait d'entrer dans la salle de bain.
« A mon tour d'aller sous la douche mesdemoiselles »
Elle m'a alors regardé. Et j'ai compris ce qu'elle avait en tête. J'ai souris avant qu'elle ne parle.
« Ça te dérangerait si... »
« Si tu allais le rejoindre ? »
« Oui. Franchement, je sais pas quand je trouverais un mâle comme ça. Certainement pas avant longtemps. Et si j'ai bien compris, je n'ai aucune chance de vous revoir et je ne suis pas sure que tu me le prêterais quoi qu'il arrive » dit elle en riant.
« Je comprends... ça me va mais je pose mes conditions »
« Je t'écoute »

« Tu laisses la porte de la salle de bain ouverte. Que je puisse en profiter par le miroir sur la commode. Tu lui fais profiter un max de tes seins car c'est pas moi qui lui donnerai ça. Et tu lui montres à quel point tu es une salope. »
« Ça me va.... tu tiens vraiment à lui »
« Oui. Et tu es son cadeau, pas le mien »
« Je vois » et sur ces mots, elle s'est déshabillée avant de le rejoindre entièrement nue dans la salle de bain. En laissant la porte ouverte. Il n'était pas encore sous l'eau mais il était nu lui aussi. Elle n'a pas perdu de temps. Elle s'est agenouillée directe pour le prendre en bouche. Et j'ai rapidement vu sa virilité revenir et durcir dans sa bouche. Il n'avait pas remarqué que je voyais tout. Cet aspect voyeuse était plaisant.

Rapidement sa main vint derrière la tête de Cloé. Elle le suçait avidement et les gémissements de plaisirs de mon Maitre ne laissait aucun doute sur sa technique. Puis, certainement parce qu'elle se rappelait mes conditions, elle l'a sorti de sa bouche. Elle s'est redressée et elle a placée sa queue tendue entre les deux magnifiques globes de sa poitrine.

Elle a laissé couler un long filet de salive et elle a commencé à le branler entre ses seins. Mon dieu que j'aimerais pouvoir faire ça. Je voyais sa queue disparaître puis ressortir de ses deux superbes mamelles. Quel spectacle sensuel. Je me serai bien rapprochée si je ne lui avais pas assurée de Lui laisser pour elle.

Il lui disait qu'elle était une petite chienne, une vraie salope, une traînée. Et elle lui a répondu que si elle avait connu un homme comme lui plus jeune, elle serait vraiment encore meilleure que maintenant. Qu'elle se sentait l'âme d'une chienne assoiffée de sperme. Elle remplissait vraiment bien les conditions. J'en étais au point où j'étais heureuse qu'on ne soit pas dans la même ville car je pourrais avoir des craintes sinon.

Elle continua de le branler dans ses seins pendant de longues minutes, faisant couler régulièrement de la salive pour faciliter la chose. Puis il l'attrapa par les cheveux pour la relever. Et la tourner dos à lui. Il s'occupa d'elle alors comme je l'ai fait plus tôt dans la soirée. Une main sur ses seins, l'autre entre ses cuisses.

A son tour à elle de gémir. Il fallait dire que ses doigts étaient magiques et que j'étais bien placée pour le savoir. Et là, il me remarqua à travers le miroir. Je m'étais mise à l'aise, nue, cuisses ouvertes, me caressant lentement.

Elle avait les yeux fermés, la tête penchée en arrière, la bouche ouverte à gémir. Il malaxait fort ses seins. Il me regardait dans les yeux à travers le miroir et j'avoue que j'adorais ça. Puis subitement, il se retourna avec elle, me tournant le dos. Je le vis appuyer sur son dos et elle prit alors appui sur le lavabo. Je ne voyais plus sa tête. La porte coupait la vue à hauteur des épaules. Me permettant de voir ses seins pendre sous elle.

Il l'agrippa par les hanches et en quelques secondes il était en elle. Fortement, puissamment, bestialement. Il la baisait. Et je l'ai entendue elle dire :
« Je ne suis vraiment qu'une pute... putain, baise moi comme une chienne »
Il adorait ce genre de chose comme je l'ai dit. Je l'ai vu attraper sa longue tignasse. Il la défonçait vraiment et là, je sentais toute sa bestialité passer à travers le corps de cette fille magnifique.

Ça a duré un bon moment, entrecoupés de cris de plaisirs, de gémissements, de mots crus. Puis je l'ai entendu me demander :
« Tu lui accordes ton privilège ? »
J'ai mis quelques secondes à comprendre ce qu'il disait. Mon privilège était de recevoir son sperme dans ma matrice, de sentir son foutre dans mon ventre, de sentir son fluide dans ma chatte. Car, même s'il baisait Sophie régulièrement, jamais il ne giclait dans son ventre.

Mais elle, c'était différent. On ne la reverrait jamais déjà. Ensuite, elle méritait bien ces instants de plaisir. Donc je lui ai répondu :
« Oui, et qu'elle en profite »

Je l'ai alors vu donner des coups de reins puissants et presque désordonnés. Et je l'ai vu jouir. Jouir en elle. Crier son plaisir en la remplissant. Ce qui amena son orgasme à elle aussi. Un spectacle magnifique s'il en est. Il lui a lancé deux ou trois coups de reins violent supplémentaires et quand il est sorti d'elle, elle a presque faillit tomber.

Après une ou deux minutes à reprendre leur souffle et leurs esprits, je L'ai entendu dire :
« C'est bon, je peux me doucher maintenant ? »
Elle a ri. En fait nous avons ri tous les trois. Avant qu'elle ne réponde :
« Oui... de toutes façons, je ne pourrais plus rien encaisser ce soir ». Et que je complète par :
« Moi, je suis sur de recevoir ma part plus tard. »
« C'est exact. Bon, maintenant je file sous l'eau. »

Et sur ces mots Cloé est sortie de la salle de bain et m'a rejointe dans le lit. Sa chatte coulait de sperme et elle aimait ça comme moi. Après tout ça, nous étions épuisée toutes les deux. A tel point qu'on s'est endormie avant qu'il ne sorte de la salle de bain.

Je pourrais encore en faire un bon passage avant de finir ce long récit de cette longue nuit. Je me contenterai de vous dire que quand je me suis réveillée le lendemain, je l'ai pris en bouche. Un bon réveil. Et quand elle, elle s'est réveillée, j'étais à cheval sur mon Maitre, montant et descendant sur ses hanches, m'empalant sur son pieu de chair. Elle s'est contentée de nous regarder. Et de se masturber. Enfin, un peu plus. Elle a pris sa main et la posé sur ses seins. Je n'en ai voulu à aucun des deux pour ça. Car au final j'ai récupéré sa semence et mon privilège.

Après ça, il était temps de libérer la chambre. Une fois prêt (et de solides petit déjeuner avalés. Le sexe ça creuse), nous reprenions le chemin du retour. Avec le détour prévu pour déposer notre invitée de la nuit. J'avais profité de sa douche à elle de ce matin pour expliquer à mon Maitre ce que j'avais appris quand nous étions descendues toutes les deux dans la cour. Ça l'avait touché autant que moi.

Aussi, je n'ai pas été surprise par ce qui est arrivé ensuite.
« Tu veux qu'on te dépose où ? » Je lui avait laissé ma robe, celle qu'elle avait mise dans la nuit. Elle lui allait bien et ce n'était pas une robe de grande valeur. Et elle ne pouvait pas rentrer chez elle dans sa tenue de trottoir.
« Pas loin de chez moi, ça serait possible ? »
« Oui bien sur, donne l'adresse »

Elle l'a donné et le GPS a fait le reste. Pendant le trajet, elle m'a proposé de me rendre l'argent car « c'était plus du plaisir à titre privé que du travail cette nuit ». Mais j'ai refusé, car elle en avait besoin.

Et une fois sur place, il lui a tendu un petit papier. Il y avait un nom, un prénom et un numéro de téléphone.
« C'est le numéro d'un ami. Il dispose de plusieurs studios qu'il loue à des étudiants à prix modiques. Surtout si tu n'as pas les moyens »
« Euh merci... » elle semblait gênée et troublée.
« Appelle le de ma part. Soit discrète sur comment nous nous connaissons. Tu peux dire que tu es une amie de ma nièce Charlène. Mais par contre n'hésites pas à lui dire que tu as peu de moyens et que tu ne peux pas payer cher. Il est très adaptatif sur les loyer »
« Vraiment ? »
« Oui. Vraiment. Il a les moyens et il se souvient de sa précarité dans notre période étudiante. Crois moi tu trouveras ce qu'il te faut et dans les prix qui te permettront de t'en sortir »
« Merci.... Mille fois merci alors... c'est gentil »
« C'est normal. Il ne nous reste plus qu'à te souhaiter bonne chance et bonne continuation »
« Oui, bonne continuation à toi ma belle »
« Merci. Bonne route. Et soyez heureux »

On s'est séparé sur cette note émotive. J'ai beaucoup apprécié ce qu'il a fait pour elle. Rien ne l'obligeait et c'était vraiment un très beau geste pour une inconnue que nous ne reverrions jamais. Mais j'ai eu un léger doute.
« Cet ami... tu ne penses pas qu'il risque d'abuser de la situation ? »
« Pierre ? Impossible » et il explosé de rire avant de reprendre « Pierre est gay. Et crois moi, plus gay que lui ce n'est pas possible. Il va la trouver belle comme on peut trouver belle une cathédrale. Mais jamais ça n'ira plus loin que ça. »
« Effectivement. Aucun risque alors »

Et nous avons pris la route vers chez nous. Quelques semaines après, il m'a appris que Pierre lui avait trouvé un appartement. 600€ moins cher que son loyer de départ. De quoi régler ses problèmes financiers. Elle n'aurait plus à faire la pute. A moins de le vouloir.....

P.S : Pour rappel, solliciter une prostituée est interdit. Bon, à l'époque de cette histoire, la loi était différente. Mais n'oubliez pas ceci. J'ai raconté cette histoire car 1- elle méritait d'être racontée 2- ça donne une vision assez réaliste de ce qu'est cette activité. Des filles qui ne sont pas forcément là pour le plaisir, des clients qui ne sont pas tous des salauds

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Commentaires de l'histoire :

Hey
Ce commentaire s’adresse davantage au chapitre 31. Mais j’ai déjà mis un 1er commentaire au chap 31, et apparemment ce n’est pas possible d’en mettre un second. J’aimerais que cet histoire ne s’arrête jamais, elle est géniale ! Plus raisonnablement, avant qu’elle ne se termine, j’aimerais bien une scène de sexe du point de vue du maître, et également savoir pourquoi les deux amants si complices se sont séparés après plus de 10 ans de relation. Si vous avez des histoires avec d’autres soumises à raconter, je les lirais avec grand plaisir ! J’aimerais beaucoup que vous continuiez d’écrire, parce que vous êtes très doué ! Vos récits sont géniaux ! Si c’est dans votre intention de continuer à écrire des histoires erotiques, il n’est pas nécessaire que ce que vous racontiez soit vrai, ce peut être une pure fiction, simplement des fantasmes, des soumises imaginaires. Il n’est pas non plus nécessaire que vos futures histoires (s’il y en a) soient aussi longues que celle-ci. Bien que la longueur soit palpitante et tienne en haleine les lecteurs, vous pouvez écrire des récits sans lien les uns avec les autres.
Posté le 10/03/2025


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