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Le journal d'une Vierge soumise - 29

La suite (et pas la fin) de notre nuit avec cette Miss Monde professionnelle. De la bonne baise. Autant pour lui que pour moi... et toujours aussi excitant d'y penser des années après....

Proposée le 13/01/2025 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie


Chapitre 28 – Une pute, juste une pute (Son Bonus partie 2)


Du coin de l'oeil, je le regardais Lui. Le spectacle lui plaisait. C'était visible. Je me frottais contre son dos, j'aurai aimé avoir le gode ceinture que j'utilise sur Sophie à cet instant. Mais elle était pour Lui. Il l'a compris. Il a lentement sorti sa bite qui était déjà à pleine érection.

Sans se cacher, Cloé m'a dit :
« Tu m'avais caché qu'il était bien monté »
Et lentement, elle s'est mise à 4 pattes pour avancer vers Lui. Je voyais sa croupe irréelle se dandiner vers lui. Une fois à sa hauteur, elle ne perdit pas de temps pour l'enfiler dans sa bouche. Mais Lui, il me regardait moi. M'invitant à la rejoindre. Je réalisais alors que, malgré Sophie, nous n'avions jamais fait de plan à 3 avec deux filles. Alors je ne me suis pas faite prier. Je me suis mise à 4 pattes et je l'ai rejoint.

Nous étions toutes les deux entre ses genoux écartés. Elle m'a regardé et m'a offert sa bite. Et nous nous sommes retrouvées chacune d'un côté, son gland gonflé entre nos deux langues. Ce qui l'excitait à mort. Son gémissement fut excellent. Mon cadeau lui plaisait.

On l'a sucé toutes les deux pendant un bon moment. Sa queue sortant de ma bouche pour rentrer dans la sienne. Et c'était une bonne suceuse car je l'ai entendu dire « technique et passion ». J'ai cru une paire de fois qu'il allait se vider et jouir mais j'avais envie qu'il en profite un max. On ralentissait un peu à chaque fois.

Puis, je me suis dit que j'avais envie qu'il profite de la bouche de cette bombasse seule. Moi j'avais envie d'autre chose. Je me suis reculée et je me suis allongée sur le dos. Et j'ai lentement glissée ma tête sous son bassin. Elle a compris car elle l'a surélevée pour me permettre de passer. Et quelques instants après, elle venait poser sa petite chatte exquise sur ma bouche.

Je l'ai littéralement dévorée. Son clito, sa fente étroite, ma langue est passée partout. Son bassin jouait sur mes lèvres, elle se tortillait comme une chienne en chaleur. Et je l'entendais gémir. Son plaisir était étouffée par la queue de mon Maitre profondément enfoncée dans sa bouche. Je ne pouvais pas le voir, mais j'étais sure que la main de mon Maitre était venue derrière la tête de notre petite pute.

Ça a duré... je ne sais pas combien de temps ça a duré. Mais le fait est qu'elle a fini par se lever. Sûrement sur son impulsion à Lui. Pour se retrouver allongée sur le dos, cuisses ouvertes. Je me suis relevée. Je l'ai vu Lui me regarder. Je savais ce dont il avait envie. Après tout, j'avais fait de même avec mon puceau. Alors je lui ai fait signe « oui » de la tête.

Il a alors attrapé ses cuisses pour bien les tenir ouvertes. Sa bite était posée sur son ventre. Et, s'il était bien monté de base, cette queue de bonne taille semblait énorme sur ce petit ventre, ces hanches étroites et cette taille dont il aurait pu faire le tour de ses deux mains. Elle le regardait, les yeux pleins d'envie. Sa chatte était luisante d'envie.

Il a alors placé sa queue à l'entrée de sa fente. Il l'a regardé avant de lui dire :
« Ça te va comme ça ? » il parlait évidemment de l'absence de capote. J'ai apprécié qu'il guette mon approbation. Tout comme j'ai apprécié qu'il lui demande son accord. Elle a hésité quelques secondes avant de répondre :
« Oui vas y.... » Elle était bien chaude. Elle en avait envie et elle allait en avoir pour son compte.

En souriant devant l'idée de la suite, il s'enfonça lentement dans son ventre. Elle gémissait de plaisir. Et lui aussi. Il semblait apprécier son étroitesse.
« Ma parole... cette chatte... »
« Putttaaaiiinnnn ouuuuuiiii... »
Elle semblait vraiment aimer ça. J'étais curieuse de savoir si elle aurait pu encaisser l'étalon que j'ai connu au club (et que je n'ai pas revu depuis).

Je suis allée m'asseoir dans le fauteuil. Et j'ai commencé à me masturber en les regardant. Mon Maitre poussa jusqu'au fond de son ventre. Elle le regardait dans les yeux, on sentait qu'elle en voulait plus. Et elle a eu ce qu'elle cherchait. Il a mis deux trois vas et vient assez lent, sûrement pour profiter de cette chatte serrée, puis il a rapidement accéléré.

« Hhmmmmmmmm oooouuuuiiiii ». Elle fermait les yeux et se pinçait les lèvres. Elle semblait vraiment prendre son pied comme si on ne l'avait jamais baisé. Et pourtant, il n'était même pas à moitié de ce qu'il me faisait. Ses seins ballottaient à chaque coups de reins. Et rapidement, j'ai vu ses deux mains venir attraper sa magnifique poitrine. Je le comprenais. Moi aussi je les avais pris en main.

Je me doigtais gentiment la chatte devant ce spectacle. J'étais trempée. Il la baisait fort et elle ne se gênait pas pour faire savoir qu'elle aimait ça. Il a fini par la mettre sur le côté, sans sortir de son ventre. Ses jambes repliées mais laissant accès à ses seins, son visage tourné vers moi. Enfin, jusqu'à ce qu'il attrape ses cheveux et qu'il tire sa tête en arrière. Sa bouche était grande ouverte, il tapait fort dans ses hanches. Elle semblait ne pas savoir si elle devait dire « stop » ou « encore ».

C'était vraiment un spectacle délicieux. Tout comme son premier orgasme. Je l'ai vu se crisper, attraper les draps, les coussins comme si elle allait tomber. Je l'ai entendu, ce long cri guttural, ressenti cette impression qu'elle était au bord de la folie. Il la démontait comme une chienne et elle adorait ça. Il a continué encore un peu avant de lui dire :

« A 4 pattes »
Elle a mis quelques secondes avant de pouvoir se mettre en position. Elle a tourné la tête vers moi avec un sourire qui était plus qu'expressif. Elle était heureuse d'être là. Elle était à peine à 4 pattes sur le matelas qu'il retourna dans son ventre. Encore une fois, il semblait apprécier cette chatte étroite. Et elle aussi.

« Hmmmm putain c'est bon..... » lâcha t'elle.
Et sans attendre cette fois, il enfila les bons coups de reins dans son sexe trempé. Je voyais ses seins ballotter sous son corps au rythme des coups de butoir. Je n'en pouvais plus. Moi aussi je voulais jouir. Je les ai donc rejoint. Et je suis venu me positionner devant elle, cuisses ouvertes. Elle a tout de suite compris et elle s'est jetée comme une affamée la tête la première sur ma chatte. Sa langue sur mon clito, deux doigts dans mon ventre et le souffle de ses gémissements de plaisir sur ma fente.

Bon dieu que c'était bon. Surtout que je voyais mon Maitre la pilonner en prime. Que du bonheur. J'ai joui en moins de deux minutes. En tenant fermement sa tête collée contre ma chatte à deux mains. Et cette petite pute n'en perdait pas une goutte. Délicieux.

Quand je l'ai relâché, j'ai vu le regard de mon Maitre. Je connaissais cette bestialité dans ses yeux. Il voulait plus. Il voulait la souiller. Je me suis redressée et j'ai embrassée cette petite pute. D'ailleurs mon Maitre la traitait régulièrement de pute, de chienne, de salope. Et ça ne la dérangeait pas. Après ce baiser, je lui ai demandé au creux de l'oreille :

« Ton cul est dans le tarif ? »
Elle m'a regardé, elle semblait vraiment débordée par ses émotions et son plaisir. Elle hésitait. D'un côté, je la sentais vraiment au delà de ses limites et du plaisir, de l'autre je voyais en elle une part de crainte. J'ai alors compris.
« Ton cul est vierge ? » toujours en douceur dans son oreille pour que mon Maitre n'entende rien.

Entre deux gémissements, elle a juste hoché la tête pour dire oui. J'ai souri. Je voulais offrir ce cadeau à mon Maitre. Il s'éclatait avec cette fille alors son cul serait le top du top. Toujours au creux de l'oreille, je lui ai demandé :
« Tu veux jouir encore ? »
Là aucune hésitation. Dans un gémissement de plaisir, elle a répondu « oooouuuiiii ».
« Je vais lui demander de te laisser encore jouir petite pute. Mais dans ce cas, il aura ton cul vierge. On est d'accord ? »
Elle a encore hésité avant de souffler « oui ». Il la mettait vraiment dans tous ces états.

Je l'ai embrassé une nouvelle fois et je suis allé me frotter à Lui. Il la pilonnait sans relâche. Un truc de fou. J'adorais quand il me baisait comme ça. Et au creux de l'oreille je lui ai dit :
« Son cul est vierge. Elle est ok pour que tu l'encules si elle jouit encore une fois »
Il m'a regardé dans les yeux. J'ai juste lu l'animalité et la bestialité dans son regard. Il n'était plus qu'un mâle en rut voulant imposer ses désirs à une femelle. Il a continué de la baiser tout en faisant son possible pour mettre le petit truc en plus pour la faire monter.

Pendant ce temps, je suis allé vérifier dans son sac à main. En plus des capotes, j'ai trouvé du gel lubrifiant. Une vraie pute prête à tout. Je l'ai pris et je les ai rejoint. Elle hurlait comme une folle. Elle n'était plus qu'un animal elle aussi. Un animal soumis cédant à ses plus bas instincts.

Je sentais qu'elle approchait du plaisir. Ça ne faisait aucun doute. Alors autant commencer tout de suite. J'ai mis une noix de gel sur mon index et je l'ai posé sur son anus tout serré. Putain, cette chienne était vraiment serrée par tous les orifices. J'ai commencé à préparer son petit cul vierge. Elle s'est immédiatement raidi. Mais il la baisait tellement bien et fort qu'elle s'est rapidement détendue.

Au point de laisser passer ma première phalange dans son cul. Et là, je l'ai senti jouir. Elle a joui alors que ma phalange était dans son trou serré et vierge. J'ai senti son corps se contracter, tous ses orifices devaient en faire autant. Il devait kiffer ce moment. Cette salope avait enfoncé sa tête dans les oreillers mais même comme ça, elle hurlait. Heureusement que l’hôtel était quasi vide et bien insonorisé.

Il a continué de la labourer un petit moment. Juste le temps qu'il me fallait pour finir d'assouplir son petit trou. Quand il est sorti de son ventre, elle a poussé un soupir de soulagement et de frustration mêlée. Et elle a compris ce qui l'attendait. A ma surprise, elle n'a pas tenté de se dédire. Elle a juste tourné la tête vers Lui pour dire :
« En douceur... en douceur... »
« Tu veux que je baise ton cul petite pute ? »
« Oui... quitte à y passer autant y aller» et là, elle lui a sourit. Elle commençait à m'énerver. « mais en douceur... je n'ai jamais dit oui par là »

Si elle avait su lire son regard de carnassier aussi bien que moi, elle aurait eu peur. Son gland s'est retrouvé à l'entrée de son cul à peine ouvert par mon doigt. J'ai rajouté un peu de gel et je lui ai moi même ouvert les fesses à pleine main. Tout doucement il a poussé. Son anus résistait et elle serrait les dents. Son gland glissait très lentement malgré le gel.

« Putain, t'es encore plus serrée par là salope »
« Jeeee saaaiiiss.... Aaarrrggghhh »
Il a continué à pousser, sans à-coup. Si cette pute savait que mon propre dépucelage anal avait été bien plus hard que le sien, elle serait choquée. En attendant, petit à petit son cul s'ouvrait et sa bite entrait lentement. Jusqu'à ce que son gland soit entier dans son cul. Lui arrachant un « aaaahhhh » non simulé.

Une fois à ce stade, il progressa lentement, sa tige s'enfonçant lentement dans ses entrailles. Elle soufflait de plus en plus fort comme si sa respiration pouvait l'aider à vaincre sa douleur. Car aucun doute, elle avait mal. Mais aussi surprenant que ça soit, elle ne lui a pas demandé de ralentir.

Il était à moitié dans ses reins quand j'ai rajouté un peu de gel. Je dois avouer que voir sa bite disparaître dans le cul de cette petite pute avait quelque chose de plaisant. Surtout que je voyais son regard crispé. Elle encaissait cette sodomie. Ce n'était rien d'autre. Elle faisait le nécessaire pour mériter son argent. Il la traitait aussi bien que possible vu la situation. Il y allait aussi doucement que possible.

Lentement, il commença ses vas et vient. Tout doucement. Et cette petite salope semblait apprécier ça. Il était vraiment lent et doux. Pas son habitude. Mais là, j'ai réalisé qu'elle n'était pas sa chienne. Et que donc, il la traitait autrement que moi. Ce qui me fit plaisir. J'étais unique à ses yeux. Oui, je sais je suis débile. Je me réjouis d'être la seule qu'il défonce sans se soucier de comment je le prends et si j'aime ça ou non. Débile.

J'ai remis un peu de gel et ses mouvements se firent plus rapides, plus fermes. Et elle, elle semblait encaisser de mieux en mieux. Ses gémissements contenaient de plus en plus de plaisirs même si la douleur était encore là. Elle venait même de se redresser sur les coudes. Il baisait son cul. Il ne l'enculait pas encore vraiment. Et visiblement, c'était la bonne méthode avec cette pute.

Il a même marqué un temps d'arrêt pour lui demander :
« Tu en veux encore ? »
Elle a vraiment pris plusieurs secondes avant de répondre :
« Oui vas y ». Sa réponse était vraiment réfléchie. Ça s'entendait.

Là, il a repris sur son rythme régulier. Mais rapidement, il a accéléré. Et tapé plus fort dans son cul. Et elle le sentait. Ses gémissements étaient entrecoupés de « aaahhh », « putain », « ouuiii ». Il commençait vraiment à l'enculer là. Il l'a attrapé par ses longs cheveux pour bien la cambrer. Ce qui transforma définitivement ses gémissements en cris à chaque coups de bite. Et de nouveau, ses superbes seins ballottaient sous elle.

Elle se faisait casser le cul pour la première fois. Et je sentais qu'elle approchait de plus en plus de sa limite. Son visage n'exprimait plus de douleur mais plutôt de l'épuisement. Je me suis approchée d'elle pour lui dire :
« Tu en penses quoi ? »
« C'est bon.... mais j'en peux plus »
« Merci » et je lui ai sourit. Elle n'a pas compris avant de me voir me mettre à 4 pattes à côté d'elle et de dire à mon Maitre.

« Elle n'en peux plus Maitre. Mais je suis toujours là pour vous satisfaire ». J'avais envie qu'il m'encule. C'est tout ce que je voulais. Et je voulais aussi qu'elle voit que j'encaissais mieux et plus fort qu'elle. Une sorte de compétition.

Il a rigolé, lentement il a extrait sa queue de son cul et elle a gémit de soulagement à sa sortie. Puis il agrippé mes hanches et il a prit mon cul. Très fort directement. J'ai gémis en lui disant « merci » et il m'a directement défoncé le cul. Il tapait plus fort dans le mien que dans le sien. Et je prenais plaisir à leur montrer à eux deux que j'encaissais ça.

Elle s'est allongée sur le dos à mes côtés pour se remettre et admirer le spectacle. Je ne comptais pas lui gâcher ça.

« Je suis vraiment une chienne de me laisser enculer comme ça... »
« Tu es une putain de chienne » et il m'a agrippé par les cheveux à ce moment là pour tout rendre plus bestial. J'avais envie de lui en donner encore plus.
« Faut vraiment être une trainée pour offrir une pute à son Maitre... surtout une pute gaulée comme elle... »
« Tu es une trainée... c'est ce que j'ai fait de toi »
« Oui... ta trainée... Encule moi comme ce puceau aurait aimé le faire tout à l'heure » Je savais que cette phrase finirait de le satisfaire.
« Putain de chiiiieeennneeeee » et dans ce grand cri, il a fini dans mon cul. Moi j'ai fini par m'écrouler à plat ventre quand il est sorti de mon orifice bien ouvert.

Il en a fait de même à ma droite. J'étais entre Lui et notre partenaire de la nuit. Il avait vraiment bien donné et il se reprenait. Je l'ai embrassé. Là aussi autant pour le plaisir que pour qu'elle voit ça. On peut être la dernière des chiennes et aimer son partenaire.

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