Le journal d'une Vierge soumise - 24

Dans une relation comme la notre, la hiérarchie, c'est important. Voir crucial. Comme les règles de manière générale. Alors il faut que tout soit clair pour tout le monde

Proposée le 4/12/2024 par GuiNancy

Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Chapitre 23 – Domination et hiérarchie

Je sortais à peine de chez Sophie que je lui envoyais un message. Il était tard. Mais je voulais lui parler. J'avais besoin de lui en parler. Il était nécessaire que je lui en parle. J'avais l'impression de l'avoir trompé, de l'avoir trahi. Je sais que c'est idiot car c'est une femme et non un mec. Elle ne m'a pas pénétré. Mais je l'ai dominée. Comme Lui le fait avec moi. J'avais vraiment l'impression de l'avoir trahi.

Je retournais à ma voiture quand sa réponse tomba.
« Tu peux passer maintenant si tu veux »
« J'arrive »

Hors de question de faire durer ça. Je voulais qu'il sache tout, tout de suite. Que je puisse m'excuser, me faire pardonner. Faire tout ce qu'il désirera pour ne pas le perdre. Car autant j'ai adoré dominer cette salope, autant je suis SA chienne, SA soumise. SA propriété. Je suis Sienne. Et je ne veux pas que ce qu'il vient de se passer puisse changer cela. Ou au moins faire tout ce que je pourrais pour que ça n'arrive pas.

Je frappais à sa porte dans la même robe que celle qui m'avait servi à jouer avec Sophie. A peine entrée, je m'agenouillais, tête baissée, honteuse. Mon collier autour du cou, je ne l'ai pas laissé dire quoi que ce soit.
« Je dois te raconter quelque chose. Mais je tiens à te dire que je m'excuse d'avance. Je suis ici pour me faire pardonner. Aussi difficile que cela sera, je le ferai »
« Eh bien... quelle entrée en matière »

Il s'est dirigé vers le salon et je l'ai suivi en restant à 4 pattes. Une fois dans le salon, je me suis mise totalement nue devant Lui. Sans qu'il le demande. Je voulais qu'il sache que mon corps était prêt à servir attendre. Et c'est ainsi qu'à genoux devant Lui, je lui ai tout raconté. Dans les moindres détails. Y compris ce que j'ai ressenti en la dominant et le plaisir que j'ai pris à le faire. Je n'ai vraiment oublié aucun détails.

Quand j'ai eu terminé, il a prit plusieurs secondes avant de me répondre. Ce silence me faisait craindre une réaction de rejet à mon égard. J'en avais les yeux humide.

« Bon. Plusieurs choses. D'abord tu as bien fait de venir m'en parler immédiatement. J'apprécie cela »
« Merci Maitre. Je ne voulais rien te cacher »
« Je vois. Ensuite, il est évident que tu aurais du me demander l'autorisation avant quoi que ce soit de ce genre »
« Je sais. Je m'en excuse.... »
« T'excuser ne sert à rien. La faute est commise. Et tu la paieras »
« Je sais Maitre et j'y suis prête. Tant que je reste tienne, je suis prête à tout »
« Tu restes mienne »
« Merci. Merci. » et je relevais la tête vers Lui avec un réel soulagement.
« Si tu m'avais demandé à l'avance, je t'aurais donné mon accord. A mes conditions. »
« Quelles seraient elles ? »
« Je ne vais pas te le dire ici et aujourd'hui. Avant toute chose, veux tu continuer à voir Sophie et éventuellement à la Dominer et en faire ta soumise ? »
« Je ne sais pas.... »
« Vraiment ? Ne me mens pas »
« Oui, j'aimerais bien faire d'elle ma chienne soumise. Comme je le suis pour toi »
« Bien. Dans ce cas, tu vas faire deux choses : tu vas organiser un rendez vous pour nous deux demain midi chez Sophie. »
« Bien. Et la seconde ? »
« Tu vas te rhabiller et rentrer chez toi »

Et sans en dire plus, il s'est penché sur moi et m'a enlevé mon collier. C'était la première fois, la première fois qu'il me libérait sans avoir joué avec mon corps et sans avoir usé de moi sexuellement. Je l'avais déçu. J'en aurais chialé. Mais j'ai obéit. Je l'avais déçu alors hors de question de ne pas lui obéir et de le décevoir encore.

Je me suis rhabillée et je suis allée vers la porte. J'étais triste comme une pierre. Mais avant de sortir, il m'a redonné le sourire. Il m'a violemment plaqué face au mur et de sa main libre, il s'est introduit sous ma robe. Et dans ma chatte. Elle n'était pas prête à cette entrée bestiale mais j'ai orienté mon bassin pour faciliter son action. Et il ne lui fallut que quelques secondes pour qu'elle soit bien humide.

Il me doigtait violemment. Mais putain que j'aimais ça. Quel soulagement de le sentir me traiter comme ça. Et je ne me retint pas de gémir.
« Alors, on dirait que mes doigts te plaisent toujours »
« Oh oui Maitre.... merci »
« Les siens sont meilleurs ? »
« Non, ils sont bons, mais les tiens sont meilleurs »
« Vraiment petite pute ? »
« Oui. Sans toi, rien n'est vraiment bon... » et je le pensais vraiment. C'est dire si son emprise sur moi était démentielle.
« Profites en alors.... »
« Hmmmm.... Aahhhhh »
J'allais jouir quand il a sorti ses doigts de ma fente.

« Allez rentre chez toi. Sophie t'as fait jouir. Moi je décide si tu peux jouir. Bonne nuit »
Et il déposait un baiser sur mes lèvres.

J'étais frustrée au possible. Mais sincèrement, j'étais souriante. Le simple fait qu'il ait voulu jouer avec moi suffisait à mon bonheur. Avec un sourire de petite fille frustrée, je suis partie et une fois à la maison, j'ai prévenu Sophie que je passerai demain midi avec Lui. Elle ne posa aucune question et se contenta de me répondre que c'était ok.

Le lendemain, je me rendit chez Lui. Pour l'occasion, j'avais revêtu une mini jupe (presque micro tellement elle était petite), un haut à bretelles fines et absolument aucun sous vêtements. Je voulais l'allumer et je comptais bien prendre sa bite aujourd'hui.

Il a sourit en me voyant ainsi.
« Tu as quelque chose en tête on dirait. Tant mieux. A genoux. Je te pose ton collier et on y va »
J'obéis et nous sommes ainsi sorti. C'était la première fois que je portais mon collier ainsi de jour et sans rien pour le cacher. Heureusement que j'avais vraiment une longue chevelure. Ça me servit pour rester discrète. 10 minutes de voiture et nous étions devant son immeuble. Une minute après, nous étions dans son salon. Sophie avait mit une jolie robe fendue très sexy.

« On a pas été présenté la dernière fois je crois »
« Non, tu étais plus occupée à servir de jouet sexuel »
« Oui. Un très bon souvenir d'ailleurs. Donc moi c'est Sophie »
« Et moi Guillaume. Et elle tu la connais je pense »
« Oui, très bien »
« Tu sais ce que je suis pour elle je pense »
« Oui. Et si j'avais eu un trou de mémoire, son collier aurait suffit à me le rappeler. »
« Donc tu sais que je suis son Maitre et qu'elle est mienne »
« Oui »
Je suivais cet échange avec intérêt. Et curiosité.

« Tu te doutes donc qu'elle m'a raconté en détails votre soirée d'hier »
« Je m'en doutais oui »
« Et notamment comment elle t'a dominé »
« Notamment.... »
« Tu es soumise ? »
« Je ne dirai pas ça. Enfin, pas jusqu'à hier soir. Je suis naturellement docile et j'aime être dominée. Mais je n'ai jamais eu de Maitre et je n'en ai jamais cherché. Mais j'aime être traitée ainsi. »

« Je vois. Tu souhaiterais pousser plus loin l'aventure avec elle ? »
« Oui... j'avoue que oui. J'aimerais bien savoir ce que ça fait d'avoir un Dominant... enfin une Dominante pour l'occasion. »
« Je te pose clairement la question : tu veux devenir sa soumise ? »
« Oui. Si elle veut devenir ma Maitresse »
« Elle le veut. Elle me l'a dit hier soir »
« Tant mieux »

Le regard que Sophie a échangé avec moi était des plus équivoques. Et excitant.
« Mais elle est Mienne. Donc elle n'est pas libre de contracter cette union sans mon accord. Tu le comprends je pense »
« Je le comprends »
La vraie partie s'engageait. Les règles allaient être énoncées. J’espérais juste que Sophie les accepteraient car si elle disait non, je n'irai pas contre la volonté de mon Maitre.

« Elle m'appartient. Donc de ce fait, tout ce qui est à elle est à moi. Si tu es Sienne, tu es à moi aussi. Tu es sa Soumise et tu deviens la mienne de fait »
« D'accord. Donc j'aurai un Maitre et une Maitresse ? »
« Non. Tu auras une Maitresse. Et moi je bénéficie d'un droit d'usage permanent à mon gré simplement »
« D'accord. Je ne vois pas pourquoi je serai contre vu mon plaisir de la dernière fois »
« Et toi, ça te va ? »
« Oui, ça me va » Je trouvais ça juste et justifié. Et ça ne changerait rien entre nous. En plus, je goûtais suffisamment à d'autres hommes en club et autre pour qu'il puisse profiter d'une seule autre femme.

« Ensuite, ce droit d'usage ne souffre d'aucun compromis. Comme je veux, quand je veux, où je veux. Et je veux pouvoir venir ici quand je veux donc j'exige un double des clés »
« Bien, j'en ai deux ici donc pas de problème »
« Je veux également savoir à l'avance chacune de vos rencontres » et il se tourna ensuite vers moi « et je veux connaître en détails le contenu de vos rencontres.»
« Bien » répondis je. Il contrôlait ma vie et mes envies. Rien d'anormal à ce qu'il veuille tout savoir.

« Enfin, je vais vous expliquer à toutes les deux la hiérarchie de notre relation. »
Puis, il se tourna vers moi.
« Amène moi vers la chambre »
Ce que je fis sous le regard amusé de Sophie qui nous suivait.

« A poil et à 4 pattes sur le lit. Face à ce fameux miroir »
Là encore, j'obéis immédiatement.
« Elle te dominera. Mais n'oublie jamais ceci : elle est ma chienne. »
Et sur ces mots, il sortit sa bite bien raide. Puis il agrippa mes hanches. Et appuya dessus pour me forcer à les baisser. Comme il faisait quand il comptait m'enculer. J'ai alors compris ce qui m'attendait. La punition promise. Et pour elle, une leçon. Sa Maitresse n'est qu'une chienne qu'on encule sans retenue. Et elle assister à ça.

Je me suis préparée à ce qui allait arriver. Mon cul avait l'habitude mais à sec et sans aucune préparation, ça restait toujours une épreuve. Son gland fut rapidement à l'entrée de mon anus.
« Tu sais ce que j'attends »
Je le savais effectivement. Et je n'allais pas me faire prier.
« Encule moi, je ne suis qu'une chienne, un bout de viande qu'on encule sans respect, encule moi je t'en supplie, remets moi à ma place »
Et sur ces mots, il commença sa poussée. Et son entrée dans mes fesses. Je serrai les dents pour encaisser cette pénétration brutale. Mais cela ne suffit pas et mon premier cri de douleur se fit entendre quand mon anus céda d'un coup sur son gland.

Il continua de pousser, progressant lentement dans mon cul martyrisé. Il me tenait par les cheveux pour profiter du spectacle de mon visage crispé et marqué par la douleur. Ainsi, je le voyais aussi pour la première fois en pleine action. Et je voyais Sophie. Qui semblait troublée par ce spectacle. Troublée et excitée.

Une fois au fond, il entama ses coups de reins. M'arrachant des cris impossible à retenir. Et des larmes aussi. Mais je savais ce qu'il attendait de moi.

« Oui..... plus fort je t'en prie. Je ne suis bonne qu'à ça. Je veux te servir. Humilie la pute que tu as fait de moi... »
Il me labourait vraiment fort le cul. Et maintenant qu'il était dedans, son ramonage était moins compliqué. Le plaisir venait petit à petit. Mais très lentement. Ce qui ne m'empêchait pas de crier de douleurs quand certains coups de reins dépassaient la norme.

« Regarde la ta Maitresse. Elle te dominera, te traitera comme une chienne pour son plaisir. Mais n'oublie jamais ce qu'elle est en réalité. Ce qu'elle est pour moi. N'oublie jamais ce que tu vois. Et n'oublie pas ce que ça fait de toi à mes yeux, le fait que tu sois inférieure à elle. »

Sophie ne se faisait pas prier. Elle avait remonté sa robe et se masturbait devant ce spectacle. Le spectacle de mon humiliation par mon Maitre. Je comprenais parfaitement pourquoi il faisait ça. Il ne pouvait en être autrement. Ce n'était même pas vraiment une punition. C'était une démonstration. Un message. Adressé à elle comme à moi.

Car, je suis bien placée pour le savoir, une femme n'est jamais autant soumise que quand elle est sodomisée. Aucun sentiment dans la sodo, aucun respect. La (ou le) sodomisé reconnaît son infériorité quand elle se laisse prendre ainsi. C'est un acte de pure domination. Et il voulait marquer sa position et qu'elle le sache elle aussi. Comme le lion de la meute baise une lionne devant le jeune mâle. Pour marquer son territoire. Un message d'une clarté absolue je trouve.

Le cassage de mon cul dura un bon moment, plus d'un quart d'heure je pense. Je criais, je gémissais, je pleurais même. Mais je le laissais faire. Et à intervalles réguliers, je le suppliais de continuer et de m'en donner plus. Car soyons honnête, j'adorais être soumise à cet homme. J'adorais ça à un point qui mettrais toutes les féministes en PLS. Et je le faisais de manière consciente et volontaire, sans aucune manipulation de sa part. Je n'attendais plus que ma récompense, mon cadeau : son sperme.

Je sentais que son plaisir approchait. Je m'en réjouissais. Il attrapa Sophie par les cheveux pour approcher son visage de ma croupe. Pour qu'elle voit bien mon cul rempli par sa queue. Mais pas que. Car il fini par sortir de mes reins.
« Ouvre la bouche » lui dit il.

Je la vis s’exécuter dans le miroir. Et en deux branlées à peine, il se vida dans sa bouche ouverte. Elle avala en souriant. Je venais de me faire enculer comme une pute de bas étage mais la récompense, la friandise avait été donnée à Sophie. J'en étais dégoûtée. Elle me le paierait cette petite salope. Elle n'y était pour rien bien sur. Mais elle paierait le fait qu'elle ait pris la semence de mon Maitre à ma place.

Une fois satisfait, il se rhabilla. Cela signifiait que nous avions fini et qu'il était temps de partir. Sophie ne perdait rien à attendre. Ma vengeance n'en serait que meilleure.
« Vous avez compris toutes les deux les règles et la hiérarchie ? »
« Oui »
« Oui »
« Bien, donc nous pouvons y aller et je bénit votre relation tant que les règles seront respectées. Et tu as compris que je t'utiliserais comme elle j'espère ? »
« Oui » répondit Sophie.

« Tant mieux. Ton cul à l'habitude ? »
« Je n'ai pas été enculée depuis un an je dirai. Et jamais par une bite de ce gabarit. Ni aussi fort »
« Encore meilleur alors » puis il se tourna vers moi « tu es libre d'en user selon ton plaisir. Mais son cul est uniquement à moi. Comme le tien. Compris ? »
« Oui Maitre ».

Je finissais de me rhabiller puis nous quittions les lieux ensemble. Une fois dans sa voiture, j'ai eu le droit à un baiser passionné. J'ai toujours adoré la dualité chez cet homme. Il était capable de me traiter pire qu'une pute de rue, sans aucun respect et de m'embrasser amoureusement. Il était totalement différent en acte sexuel et en dehors. Et c'est certainement pour ça que j'acceptais toutes les humiliations qu'il m'infligeait. Pour mon plus grand plaisir.

Une fois chez Lui, direction la chambre pour une sieste câline. Et un réveil comme je les aimes : le corps de mon Maitre contre moi, ses lèvres sur les miennes, son manche dans ma chatte. Et son sperme dans mon ventre.....

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