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Le journal d'une Vierge Soumise -23

Sophie... Vous vous souvenez de Sophie? Mais si... ma "sœur" du club. Il était évident que nous nous fréquenterions après ça. Et cela a pris une tournure imprévue...

Proposée le 12/11/2024 par GuiNancy

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Chapitre 22 – Sophie

Bon, avant de parler de Sophie, on va parler de Sophia. Histoire d'éviter les quiproquos. Sophie c'est cette jolie rousse bien salope que j'ai connue au club. Sophia c'est ma salope de copine que j'ai fait cocue. C'est bon, vous y êtes ?

Sophia, cette gentille Sophia. Je l'ai recroisée le week-end suivant. Une soirée avec deux autres copines. L'entendre parler de son Kévin, le mettre sur son piédestal. Quel délice. Un vrai plaisir. J'ai bien évidemment gardé le silence. Mais quand Sophia nous a quitté et que je me suis retrouvée seule avec Emma et Klara, on s'est lâchée. Comme des salopes. Bon, les filles on est souvent comme ça entre nous.

Emma a reparlé des fois où il matte mon cul. Mon dieu, s'il avait su que mon cul, il l'a eu pleine main pendant qu'il me défonçait. Et Klara a raconté qu'il l'avait déjà dragué un soir où Sophia était absente. Un beau petit salaud le Kévin. Mais pas si bien monté que ça. Un bon baiseur mais sans plus.

Revenons à Sophie, ma jolie rousse. On était devenue copine. C'était la seule à qui je pouvais tout raconter. Et elle ne se gênait pas pour en faire autant. Une vraie petite cochonne elle aussi. Elle était commerciale. Tout le temps en déplacement ou presque. Elle avait un ou deux mecs qu'elle revoyait à l'occasion mais souvent elle prenait des coups d'un soir.

Elle avait des histoires qui vous ferait rougir. Bon comme vous vous en doutez, je pourrais vous faire un spin off avec Sophie comme dans les séries américaines. Je le ferai peut être d'ailleurs. Car je la voyais avec l'accord de mon Maitre. Et on avait un accord concernant Sophie. Auquel Sophie était partie prenante pour son plus grand plaisir. C'est de ça dont on va parler aujourd'hui.

Donc quelques jours après le club, je me suis souvenu que j'avais la carte de Sophie. Et je lui ai envoyé un message. Ça a eu l'air de lui faire plaisir car elle m'a répondu immédiatement et de manière enthousiaste. Elle était en déplacement mais elle revenait le lendemain. Elle m'a tout de suite proposée de nous retrouver en ville pour prendre un verre le soir. Ce que j'ai accepté.

Évidemment je lui en avais parlé. Il trouvait ça bien que j'ai quelqu'un avec qui je n'aurai pas à me cacher. Il me demandait juste de le tenir au courant.

Le lendemain, je me retrouvais dans un petit bar sympa du centre ville avec Sophie. Une petite robe sympathique elle aussi mais rien qui ne corresponde à un rencard. J'étais vraiment là pour prendre du bon temps avec une copine. Elle avait mis une petite robe elle aussi. Franchement, on sentait les regards sur nous mais on prenait tellement du bon temps qu'aucun mec n'était venu nous aborder. Et tant mieux.

Le verre se transforma en repas dans un restaurant à côté. Qui finit par un verre chez elle vu qu'elle habitait à côté. On avait vidé deux trois verres quand on arrivait chez elle. Le suivant, un mojito maison, rendit la conversation plus libérée. Et plus intime vu qu'on était plus qu'à deux. Je lui racontais ma rencontre avec Lui. Sans lui mentir sur quoi que ce soit.

Elle me regardait d'un autre œil après ça. Un œil rieur. Le regard de quelqu'un qui a une idée en tête. Elle me racontait de son côté certains de ses coups les plus osés. On avait pas mal de point commun. Si ce n'est qu'elle, elle n'avait pas eu besoin d'attendre un Maitre pour l'amener sur les chemins de la dépravation. Ni attendu 20 ans.

J'étais plutôt bien émoustillée quand elle m'a dit quelque chose qui m'a totalement surprise. Mais avec du recul, cela n'aurait pas du me surprendre. Pas du tout.

« T'as jamais eu envie de tenter quelque chose avec une femme ? »
Alors là ! Je ne savais même pas quoi répondre. Tellement que j'ai juste répondu la vérité.
« Écoute... non. Enfin si, comme toute les filles je pense. Mais je n'y ai jamais vraiment pensé »
Mais soyons sincère, à l'instant où j'ai entendu sa question, j'ai eu envie d'elle. Peut être le fait de l'avoir vue nue, en train de subir les assauts de mon Maitre et de jouir. Ou peut être que j'en avais juste eu toujours envie sans jamais y réfléchir.

« Et là, tu y penses..... »
C'était vraiment une affirmation. Elle lisait en moi et ça me troublait ça aussi.
« Oui, j'avoue »
Quand sa main se posa sur la peau nue de ma cuisse, je l'ai laissé faire. Tout comme quand elle a prit ma main pour la mettre dans son décolleté. Des petits seins (plus gros que les miens quand même), ferme, aux tétons très réactifs. Ma main se perdait sur ses seins tandis que la sienne remontait vers mon intimité sous la robe. Avec mon consentement. Un consentement évident puisque j'ouvrais mes cuisses.

Ce qui la fit sourire. Encore ce sourire de celle qui sait ce qui va se passer. En quelques secondes, elle vint s'agenouiller entre mes jambes. Et sa tête fut sous le tissus de ma robe. Mon string fut rapidement mis hors de combat. Et sa langue me fit découvrir mon premier cunnilingus féminin.

Évidemment que mon Maitre me donnait ce plaisir régulièrement. Mais là c'était différent. Pas d'un point de vue technique. Mais d'un point de vue psychologique. C'était une autre fille qui léchait mon sexe. Et qui introduisait ses doigts en moi. Mon bassin s'orientait de lui même afin de lui ouvrir au mieux mon intimité tandis que ma tête s'oubliait en arrière dans un feulement de plaisir.

Elle savait parfaitement ce qu'elle faisait. C'était juste délicieux. Son doigt en moi était aussi bon que les siens. Et bien meilleurs que les miens encore. Et que dire de sa bouche sur mon bouton de plaisir. A en perdre la tête. A vous donner des envies.... des envies auxquelles je n'avais jamais pensé. Presque sans y penser, ma main droite vint retrousser ma robe pour voir son visage et sa longue chevelure rousse entre mes cuisses.

Elle me jeta un coup d’œil très allumeur tout en continuant son travail. Et là, j'attrapais fortement sa longue tignasse au niveau de sa nuque. Pour bien la tenir entre mes jambes. Cette prise m'électrisa les reins. Je réalisait ce que mon Maitre devait ressentir quand il en faisait de même avec moi. Et j'avais envie de la dominer là. J'avais envie d'elle mais qu'elle soit ma chienne. Alors je me suis lâchée.

« Vas y petite pute... lèche moi bien.... »
Son gémissement avec la bouche collée à ma fente faillit me faire jouir. Surtout quand je l'ai entendu répondre « oui.... je suis une petite pute ». Je gémissais sans retenue en tenant bien fermement sa tête entre mes jambes, frottant son visage contre ma fente détrempée. Et elle fit tout ce qu'il fallait pour me faire jouir. Sa langue sur mon clitoris, ses doigts dans ma chatte. J'ai joui en hurlant et en tenant fermement sa bouche contre ma fente. Un orgasme super long et très bon.

J'ai mis un petit moment à revenir à moi. Quand j'ouvrais les yeux, j'avais toujours la main dans ses cheveux mais j'avais relâché ma prise. Elle avait reculé sa tête et me regardait en souriant, visiblement fière d'elle. Et ce sourire, je l'ai pris comme une provocation.
« Tu as de quoi jouer ici je présume petite salope »
« Oh oui... »
Elle s'est relevée mais je n'ai pas lâchée sa tignasse. Au contraire. Elle était debout et moi derrière elle. Et j'ai tirée sa tête en arrière.
« Guide moi jusqu'à ta chambre et sors tes jouets chienne »

Elle le fit sans sourciller, tenue par les cheveux comme si c'était une laisse. Une fois dans la chambre, elle a ouvert un tiroir de sa commode. Pour sortir une belle collection de jouet. Un plug anal, un gode de belle taille, des menottes, un martinet, un œuf vibrant. Et un gode ceinture. Tout était sur le lit. Attendant qu'on les utilise. J'ai tout de suite su ce que je voulais utiliser.

« A 4 pattes que je m'occupe de toi »
« Oui madame ».
Ce « madame » fit toucher deux fils dans mon cerveau. J'avais déjà envie de la dominer. Mais là je voulais juste la briser, l'humilier, faire d'elle MA pute. Elle se mit en position sur le lit, sa croupe tournée vers moi. Et là, j'ai remarqué le miroir. Le grand miroir dans l'axe duquel elle était. Elle avait relevé la tête pour me regarder dans le reflet.

J'ai attrapé le gode ceinture. Le gode en lui même était de belle taille. Plus de 20cm et bien large. Je l'ai vu sourire, un sourire de plaisir cette fois. Plus aucune provocation. Je lisais même de la soumission dans ses yeux. Comme mon Maitre devait le lire si souvent dans le mien. Le fait d'être à sa place me troublait. Je savais ce qu'il ressentait quand j'étais sienne et cela me plaisait. Je comprenais parfaitement pourquoi il aimait ça et son plaisir de m'humilier comme une chienne.

Même si c'était la première fois que je le faisais, j'ai réussi à enfiler le gode ceinture facilement. Et à l'attacher solidement sur mes hanches. Voir cette bite en plastique dépasser de mes hanches et tendre vers sa fente humide.... comment dire... si j'avais bu, j'aurai bandé.

Je l'ai agrippée par les hanches et je suis entré en elle lentement. Le miroir me permettait de voir la satisfaction sur son visage. Elle aimait ça la salope. Elle n'allait pas être déçue. J'y étais à moitié quand j'ai eu envie de plus. J'ai vraiment bien saisi ses hanches et d'un coup de reins très violent, j'ai plongé le reste du gode dans son ventre.

« Aaaaahhhhhh » son cri était entre le plaisir et la douleur. Quel pied ! Mes reins étaient vraiment électrique. Cette sensation de puissance, de domination... je comprenais totalement son plaisir à Lui. Surtout qu'il y avait un double de sensation sur sa bite. Franchement, j'ai adoré ce moment.

Je n'ai pas perdu de temps. Comme les mâles qui ont eu l'honneur de ma fente, j'y suis allé directement fort. Je tenais fermement ses hanches et je l'enfilai en tapant au fond à chaque fois. Et elle aimait ça. Ses « Ouuuuuiiiii » et ses « Mon dieu » me le confirmait. Je me suis souvenu du moment où elle était à 4 pattes devant mon Maitre. Et j'ai voulu faire comme Lui.

Je l'ai agrippé par sa longue tignasse rousse et j'ai tiré sa tête en arrière.
« Aaaahhhhhhh » fut sa seule réponse. Mais ainsi tenue, son visage m'était totalement offert. Son sourire, son regard de soumission, son expression implorante. Tout. Je me regardais aussi dans ce miroir. Ça me faisait drôle de me voir ainsi, derrière elle, la défonçant, le visage déterminé. Comme Lui l'était dans cette situation.

« T'es une chienne Sophie ? »
« Oui »
« Alors dis le ». Je comprenais pleinement pourquoi il insistait sur ça aussi maintenant.
« Je suis une chienne, une pute, une salope, un garage à bite.....aaaahhhhh...... AAAAHHHHHHH ».

Et là, elle a jouit. Fortement. Pour la première fois de ma vie je sentais une femme jouir sous mes mains, sous mon action. J'ADORAIT CA ! Je l'ai défoncé de longues secondes pour qu'elle hurle vraiment avant de sortir de sa fente. Elle s'est effondrée sur le lit. Se retournant sur le dos pour reprendre son souffle. Moi aussi j'en ai besoin. Putain, c'est fatigant de baiser comme un mec !

Mais j'ai eu une dernière envie. Je ne connaissais pas le goût de sa chatte. J'avais déjà léché mes doigts sortant de ma fente bien sur. Mais goûter une autre femme, c'était autre chose. Alors j'ai placé ma tête entre ses cuisses et je l'ai léchée. Ça lui a arraché un cri de surprise et presque une supplique. Le genre « non, j'en ai trop... ». Plaisant à mes oreilles. J'ai joué un peu avec son clitoris (quel sensation bizarre et plaisante... un clito frétillant sous ma langue) et j'ai goûté son jus. Un doigt dans sa fente me permettait de sentir cette zone rugueuse si intense. Celle qui provoque le plaisir.

Mais ses gémissements étaient vraiment des suppliques. Donc je n'ai pas fait durer ça plus de deux minutes. Après quoi, je me suis allongée à côté d'elle. Et notre soirée prit fin après cette séance d'initiation à la domination lesbienne. Et un vrai baiser de cinéma. Qui ne fit qu'amplifier mon trouble.....

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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