Une petite vengeance sur une copine. Que du plaisir sans que ni lui ni elle ne le sache. C'est vraiment bon d'être une salope sans scrupules. Hein Sophia?
Proposée le 12/11/2024 par GuiNancy
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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Chapitre 21 – Plaisir et vengeance
Il y a des fois où la vie fait bien les choses. Je vous ai parlé un peu de mes copines. Et notamment de Sophia. Sophia était sympa, une bonne copine plus qu'une amie. Mais elle était assez.... comment dire... elle prenait un peu tout le monde de haut. Et surtout moi qu'elle devait imaginer trop prude question sexe.
Sophia était une jolie brune, plus petite que moi. Plus de forme aussi. Elle avait une belle paire de seins (que j'avais déjà vue bien sur) mais un cul plus large que le mien. Un peu typée italienne.
Dés que la conversation entre copines s'épiçaient, elle me traitait comme une gamine. J'avoue que ça m'énervait. Le nombre de fois où j'ai eu envie de lui répondre qu'elle en connaissait sûrement moins que moi en la matière. Mais bon, discrétion oblige, je me retenais.
Mais j'ai eu l'occasion de me venger. Comme une vraie salope pour le coup.
Depuis le club, on s'amusait un peu dans ce style d'endroit avec mon Maitre. J'aimais bien le glory hole. Et lui aimait bien le spectacle que ça donnait. Donc, de temps à autre, à son initiative en général, je finissais à genou devant un mur à bite comme j'appelais ça.
On avait trouvé un sex shop pas trop loin qui était équipé pour ça. Ca nous convenait parfaitement. C'était une pièce fermée, assez petite. On était donc juste nous deux de notre côté du mur. Et il n'y avait « que » trois trous donc le nombre de mecs à gérer en même temps était raisonnable.
Je ne sais plus trop précisément mais disons que les 6 à 8 semaines, je venais avaler ma dose de sperme. Et il prenait avec lui une cagoule. Le genre avec un trou pour les deux yeux et la bouche. En tissus, pas en cuir. Pourquoi ? C'était proche de chez lui donc ça me garantissait mon anonymat dans une ville pas si grande que ça en fait.
Et vu que quand je tombais sur un engin de bonne taille, il aimait me voir me faire baiser par la grosse queue en question, il arrivait que certains mecs aient l'honneur de venir nous rejoindre de notre côté pour obtenir plus que ma cavité buccale.
Donc ce jour là, j'étais à genoux, nue, portant juste mon collier, depuis une demi heure environ. J'avais déjà vidé deux mâles dans ma bouche quand une nouvelle queue passa par le trou. Pas mal. Pas exceptionnelle mais une queue sympathique. Mais pas de quoi l'inviter de notre côté cependant.
Je la suçais depuis quelques minutes quand j'ai entendu le mec de l'autre côté parler. Me parler. Ça arrive souvent. Surtout pour me traiter de chienne ou me complimenter sur mes qualités de suceuse de bite. Mais là c'était différent. Je connaissais cette voix. Je l'ai reconnue toute suite. Ce qui provoqua un petit temps d'arrêt avant que je ne continue.
C'était la voix de Kévin. Le mec de Sophia. J'en étais absolument certaine car on le voyait souvent. Kévin le parfait, Kévin dont Sophia vantait les mérites en nous souhaitant à toutes de tomber un jour sur un mec aussi bien. Sophia qui nous prenait de haut avec son Kévin.
Mon Maitre a remarqué mon temps d'arrêt et mon trouble. Il s'est approchée discrétement de moi et au creux de l'oreille m'a demandé ce qu'il se passait. J'ai sorti la bite de Kévin de ma bouche et en le branlant doucement, j'ai expliqué à mon Maitre de qui il s'agissait. Il savait qui était Sophia, ce qu'elle me provoquait comme sentiment et il avait déjà entendu parler de Kévin.
Et là, il me montra la cagoule et au creux de l'oreille me dit :
« T'as envie de la faire cocue cette salope ? »
En ayant la bite de Kévin dans la bouche, je lui ai fait signe que oui. Oh oui que j'avais envie que cette petite pute de Sophia soit cocue et que ce soit avec moi que son mec la trompe.
Alors mon Maitre me tendit le petit papier qu'on avait pour ces cas là. Il était juste marqué « rejoint nous » et on glissait une capote avec. Je l'ai donc passé par le trou situé un peu plus haut que sa bite. Et quelques secondes après, sa bite quittait le trou et on l'entendait dire :
« J'arrive »
Les couloirs étaient assez longs pour que j'ai le temps d'enfiler ma cagoule et de m’asseoir cuisses ouvertes sur le fauteuil en cuir très large qui était dans cette pièce. Mon Maitre se leva pour se mettre dans un coin. La cagoule recouvrait mon visage mais pas mon collier. Ce qui ne laissait jamais de doutes aux mecs sur ce que j'étais et pourquoi Il était là.
Je venais de m'installer, chatte offerte quand la porte s'est ouverte, laissant entrer Kévin comme je m'en doutais. La queue déjà à la main. Il regarda mon Maitre qui lui dit :
« Je suis son Maitre. Cette chienne est à toi, profites en »
« Avec plaisir »
Il me regarda sans savoir que c'était moi grâce à la cagoule. Il semblait bien excité. Il bandait fort et il n'eut aucun mal à enfiler la capote sur sa bite. Puis, il vint se positionner entre mes cuisses ouvertes. Et sans perdre de temps, il s'enfila dans ma chatte. J'étais plutôt excitée donc il rentra facilement. Et vu qu'il était quand même juste un peu en dessous de ce que j'ai l'habitude de prendre, aucun problème.
Sans attendre, j'encaissais de bons coups de reins. Pas mal. Pas exceptionnel mais pas mal. Sophia devait en tirer du plaisir. Il jouait un peu avec les deux tétons me servant de seins mais c'est surtout ma taille fine, mon ventre plat et mes cuisses galbées qui semblaient l'exciter. Le contraire de Sophia quoi.
J'évitais de trop gémir de peur qu'il reconnaisse ma voix. Mais je faisais ce qu'il fallait pour qu'il voit mon plaisir. Il ne pouvait pas savoir que ce plaisir venait du fait que je rendais la monnaie de sa pièce à sa salope de copine. Tiens, regarde le Sophia, ton mec parfait entre mes cuisses après que je lui ai sucé la bite. C'est moi qu'il baise là. Et visiblement je l'excite.
Là je me suis rappelée qu'Emma (une autre copine) m'avait dit que Kévin matait mon cul à plusieurs reprises. Mon petit cul ferme et bombé. Autant en profiter. Du plat de la main, je l'ai repoussé pour qu'il sorte de ma chatte. Il ne semblait pas comprendre pourquoi. Mais quand il m'a vu descendre du fauteuil, lui tourner le dos, me pencher et lui offrir ma croupe pour une levrette, il n'a pu se retenir de dire « putain, quel cul ! »
Si tu savais à qui il appartenait ce cul mon petit. Dans la foulée, j'ai entendu mon Maitre lui dire « juste la chatte, tu ne touches pas à son cul » et l'autre répondre « d'accord ». J'ai senti ses mains agripper mes hanches. Et hop, il était de retour dans mon vagin chaud et accueillant. Là encore, pas de round d'observation. Directement je prenais de grand coups de reins.
L'avantage ainsi, c'est que je pouvais enfoncer ma tête dans le coussin du fauteuil pour contenir mes gémissements afin d'être sur qu'il ne reconnaisse pas ma voix. C'était encore l'idée que cette salope de Sophia était cocue par moi qui me donnait du plaisir. Sentir les mains de son mec sur mon cul, le sentir agripper ma taille en sachant qu'il préférait ma croupe à la sienne. Et les parties de mon corps sur lesquelles il baladait ses mains étaient clairement celles sur lesquelles Sophia étaient moins plaisante.
Sa bite était bonne, il aurait pu finir par me faire jouir. Mais certainement pas aussi vite. D'ailleurs, techniquement parlant il ne m'a pas fait jouir. Je ne lui en ai pas laissé le temps. Après quelques bonnes minutes de défonce, j'ai senti qu'il allait venir. Et vu que Sophia ne se gênait pas pour décrire le goût du foutre de son Kévin, je voulais y goûter aussi pour savoir si elle disait vrai. Et savoir que quand elle en parlerait, je pourrais (si l'envie m'en prenait) lui donner des précisions.
Donc, je me suis retournée, j'ai viré la capote et je l'ai enfilé dans ma bouche de nouveau. En deux coups de langue, il se vidait dans ma bouche. Et j'avalais tout. Sans difficulté. Cette connasse de Sophia qui en faisait des caisses. Il n'était ni bon ni mauvais son foutre. Il s'avalait sans problème mais sans plaisir.
Mon Maitre lui dit qu'il pouvait nous laisser seul à présent. Ce qu'il fit sans chercher à comprendre plus loin. Une fois en tête à tête (et la porte verrouillée), j'ai enlevé ma cagoule.
« Tu as aimé ça ? »
« Oui. Cette salope de Sophia... si elle savait »
« Tout comme tes parents. S'ils savaient »
C'était tout à fait vrai. La comparaison ne m'était pas venue à l'esprit bizarrement.
« Mais tu n'as pas joui si j'ai bien vu »
« Non. Il est pas mauvais mais c'est plus l'idée de la situation qui m'excitait »
« Mets toi à 4 pattes, je vais finir le travail de ce gamin »
Sans dire un mot, mais avec un grand sourire, je me suis retournée, lui offrant à Lui une vue imprenable sur ma croupe. Et il m'a alors baisé violemment. Ce qui me fit jouir en hurlant mon plaisir en moins de 2 minutes. Après qu'il ait ralenti et que je l'ai remercié de m'avoir délivré de ma frustration, il a ouvert mes fesses.
Ce n'était que justice, il m'avait offert une vengeance sur une copine. Mais ce n'était pas son choix. C'était mon envie à moi. Et ce faisant, il avait fait une entorse à une de nos régles : jamais quelqu'un de notre connaissance. Donc son cadeau à Lui méritait une compensation. Cette compensation fut mon cul. Ce qui me fit jouir une seconde fois...... Merci mon Maitre.
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