Le journal d'une Vierge soumise - 8

Le jour d'après. C'est dingue ce qui peut vous traverser l'esprit quand vous êtes folle. Le genre de réflexion que les filles bien n'ont jamais. Parce qu'il ne leur arrive jamais rien...

Proposée le 2/09/2024 par GuiNancy

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Thème: Femme soumise
Personnages: Solo
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Chapitre 7 – Le jour d'après (enfin pas exactement)

Bon, comment reprendre après un tel passage ? Pas facile hein ? Entre ceux (et celles j'espère) qui ont eu leur compte pour se faire plaisir, ceux qui se disent « ouai... trop gros pour être vrai » et ceux qui se disent « la pauvre, elle est sous l'emprise d'un pervers narcissique, prévenons Me Too !! », dur de savoir quoi dire.

Pour commencer, tout est vrai (et pour rappel si j'écris pour elle, c'est après 10ans de relation et de confidences. Les faits sont 100% exacts, ses pensées le sont à plus de 90% je dirai). Ensuite, un pervers narcissique ? Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre. Ou alors, il faut admettre ma propre perversité. Car bon, tout ça, je l'ai cherché, je l'ai voulu et je le voulais déjà avant de le rencontrer. Bon d'accord, je n'avais jamais imaginé me faire dépuceler le cul, à sec, de manière particulièrement bestiale sur un capot de voiture. Mais maintenant que vous me connaissez un peu, ça ne devrait plus vous surprendre.

Alors non, je ne suis pas une victime du machisme, du patriarcat ou de quoi que ce soit de ce genre. Si j'ai été une victime c'est plutôt du féminisme je pense. Ce féminisme qui me faisait rejeter mes envies de soumission, qui me faisait prendre pour folle. Ce féminisme qui a été incapable de me faire assumer mon corps et ses défauts. Défauts qu'il n'a jamais rejeté Lui. Je n'ai jamais autant été une femme que depuis que je le connais. D'ailleurs, être une femme, ce n'est pas s'accepter tel qu'on est et non tel que la société voudrait qu'on soit ? Joli sujet de philo. Mais je digresse.

Et question narcissique, il vous suffirait de voir ses yeux quand il me regardait pour être rassuré. J'ai toujours eu l'impression d'être la plus belle femme sur terre quand il me regardait. Et hormis nos moments de sexe, qui eux étaient intenses et sans aucun respect (ni limite ou presque), c'était l'homme le plus prévenant que je connaisse. Jamais avare de petits cadeaux, de petites attentions, de tendresse. Vu la bestialité de nos rapports (pour notre plaisir réciproque et à notre demande réciproque je rappelle), ça faisait contrepoids je dirai. Et l'équilibre était parfaitement respecté.

Tiens d'ailleurs en parlant de respect, c'est aussi quelque chose que j'ai découvert. Aussi soumise, aussi chienne, aussi salope que je sois avec Lui, aussi rabaissée et humiliée sexuellement que je sois, je n'ai jamais eu de doutes sur le fait qu'il me respectait. Ça peut paraître bizarre hein ? Mais c'est vrai. C'est d'ailleurs pour ça que j'acceptais de me soumettre à Lui. Car je n'avais aucun doute sur son respect à mon égard.

Je ne pourrai pas accepter le quart de ce qu'il me faisait de la part d'un autre homme. Car bon, sans spoiler la fin (qui sera écrite si les lecteurs font connaître leur envie d'en savoir plus), je n'ai eu que lui comme Maitre et je pense que je n'en aurai jamais d'autre.

Ouai, pour quelqu'un qui ne savait pas quoi dire, ça fait beaucoup de parlotes. Mais bon, vous n'imaginez pas à quel point mon cerveau a bouilli dans les jours qui ont suivis mon passage sur son capot (et mon dépucelage anal par la même occasion).

J'assumais parfaitement ce qu'il s'était passé. Je l'avais voulu, je l'avais demandé et donc, si quelqu'un devait être blâmé, ça ne pouvait être que moi. On ne peut pas attendre d'un Lion affamé qu'il se maîtrise devant une gazelle offerte qui le mets au défi de la dévorer. Et puis, j'ai hurlé, pleuré tellement c'était douloureux mais finalement, à chaque fois que j'y repense, je ne peux pas m'empêcher de me masturber. Donc non, au final, je ne regrette rien.

Je me demandais juste jusqu'où j'irai. Si j'étais capable de lui demander ça, comme ça, que ferais je d'autre un jour d'extase ? Et qu'est ce que ça disait sur moi ? Sur la jeune fille modèle, élevée en école privée (et catholique même si je n'étais pas pratiquante), sur la jeune femme sérieuse à qui tout le monde aurait donné le bon dieu sans confession ? Surtout sachant que les jours entre ce passage forestier et notre rencontre suivante me semblaient d'une longueur interminable. J'avais hate de le revoir, qu'il me pose mon collier, qu'il me tienne dans ses bras, qu'il prenne mon cul encore.

Car oui, maintenant que j'y avais goûté, hors de question de m'en passer. Ça fait mal (un mal de chien même) mais bon, la prochaine fois, à n'en pas douter, il y aurait du gel, de la préparation... enfin moins de bestialité. A l'entrée tout du moins. Donc, oui la vierge venait d'accepter que son cul serve de défouloir à son homme.

Pour être honnête, dans les semaines qui ont suivies, mon cul a servi comme une porte de saloon. Il m'enculait (oui, sodomie c'est trop gentillet vu la manière dont on le faisait) à chaque rencontre. Voir plus d'une fois si je provoquais mon Lion en mettant en doute ses capacités de recommencer. Ce dont je ne doutais pas. Mais j'ai un côté joueuse et provocatrice. Encore quelque chose que j'ai découvert avec Lui. Mon Dieu, que serais je devenue si je ne l'avais pas rencontré ? Une bonne sœur frustrée sûrement !

Et ça m'excitait de rentrer ensuite chez mes parents, comme si de rien n'était alors que mon cul dégoulinait de son foutre. Un petit ange totalement souillée de stupre et de luxure. Un jour, alors que j'étais seule à la maison et qu'il faisait beau, je suis allée dans le jardin lire et bronzer. Et je ne sais pas ce qui m'a pris mais j'ai eu envie de le chauffer. On devait se voir deux jours plus tard mais j'avais envie de le provoquer.

J'ai enlevé mon bikini (personne n'avait de vue sur le jardin) et j'ai pris quelques photos osées (voir porno!). Et je les lui ai envoyés. L'effet ne s'est pas fait attendre. Il travaillait mais s'il avait été disponible, j'aurai du filer chez Lui immédiatement (avec un grand sourire!). Nous avons donc du attendre deux jours.

Bon, mon petit cul a payé mon insolence deux jours plus tard. Mais comme il ne négligeait jamais mon plaisir (et donc mon clito) je n'ai pas eu à m'en plaindre.

C'était la dernière fois où je rentrais chez moi encore vierge.....

P.S : Pour les impatients, ceux en manque d'imagination ou autre, voici en prime une photo. Vous n'en verrez jamais plus que ça et ne rêvez pas, il est probable que vous n'en voyez jamais d'autre. Mais ça vous donnera une bonne idée d'à qui vous parlez ;)

P.S 2 : le plaisir de l'auteur est dans le nombre de gens le lisant et son interaction avec ses lecteurs (via les commentaires notamment). N'hésitez pas à en laisser. Pour dire ce que vous en pensez, ce que vous aimez (ou pas) ou ce que vous aimeriez pour la suite.

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