Histoire Erotique

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Inès, la nouvelle assistante de Bruno 9

La première journée de week end de sexe s'achève. Inès va mettre en œuvre son apprentissage tout en recevant une récompense. Se rebellera-t-elle encore ? Apprendra t-elle la docilité ?

Proposée le 22/08/2024 par Vincent20100

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


L’après-midi commence paisiblement. Bruno et Inès prennent une douche. Inès est autorisée à s’habiller avec ses propres vêtements. Elle choisit la robe qu’elle a apporté spécialement pour ce week end. Une robe épousant sa taille, réhaussant sa poitrine et évasée au niveau du bassin. Une robe style pinup comme Bruno les aiment. Ils regardent ensuite un film sur une plateforme à la demande. Et enchainent sur une promenade à pied.

Sur le chemin du retour, Inès signale à Bruno qu’elle a faim et que comme c’est l’heure du gouter, il doit lui en préparer un. Mais pas de la banane, dit-elle, un vrai un gâteau ou une tarte avec une boisson. Avant même que Bruno ne puisse répondre, elle précise en le regardant dans les yeux que ce n’est pas du jus de pine qu’il faut lui servir.
Bruno éclate de rire.

- Ce n’est pas drôle ! Se révolte-t-elle.
- Mais si. Tu me fais bien rire.
- C’est de ta faute, tu en profites à chaque fois alors je dois faire gaffe à tout ce que je dis.
- Ok, ma petite choute, mais en échange du goûter tu auras une autre tenue à porter demain.

Inès hésite. Elle se demande ce qui l’attend. D’un côté, une tenue ce n’est pas si terrible, elle l’a déjà fait en portant des robes qui lui plaisent, puis simplement des dessous et la tenue de soubrette. Donc pourquoi pas ? Mais quel genre de tenue ce serait ?

- Est-ce que c’est une tenue que je voudrais bien porter ?
- Comme pour le reste, tu me diras stop si tu ne veux pas. Mais ce que j’ai prévu est du même style que la soubrette, ça ne te fera pas peur. Au contraire. Et d’ailleurs, je suis sûr que tu aimes ça.

Inès rougit. Manifestement, oui, elle aime porter des tenues pour Bruno. Et la tenue de soubrette l’a complètement libérée. Elle a aimé jouer un rôle, ne pas être vraiment Inès, mais la soubrette du maitre de maison. Cela lui a donné la liberté de se comporter comme une cochonne sans avoir de remord, car elle n’avait pas l’impression d’être elle-même, mais d’être dans la peau de quelqu’un d’autre. Elle a pu faire ce qu’elle n’aurait jamais osé faire dans la vie normale, malgré les encouragements de sa copine Cindy.

- Ok. Répond-elle résolue.
- Très bien. Il y a de la tarte à l’abricot au frigo et du jus de pommes. Après le goûter je te donne ta récompense.

De retour dans la maison de Bruno, Inès englouti une part de tarte et avale le jus de pommes. Contrairement au matin, où elle prenait son temps pour retarder l’échéance, elle se presse pour pouvoir profiter au plus vite de sa récompense.

- Déjà ma petite choute ?
- Ben oui ! Répond Inès souriante, rayonnante et visiblement impatiente.
- Tu es pressée que je palpe tes deux grosses pommes et que je suce ton abricot ?

Inès baisse les yeux tout en souriant encore. Elle joue les mijaurées, ce qui excite d’autant plus Bruno car avec le comportement de véritable salope qu’elle a eu le matin, il sait qu’elle agit par réflexe. Un réflexe conditionné par son éducation. Une éducation qui disparait bien vite depuis quelques jours…

Son apprentie étant assise sur une chaise face à la table, Bruno passe derrière elle et lui agrippe les seins. Il les palpe consciencieusement à travers la robe et le soutien-gorge. Elle se laisse faire et ne dit rien. Bruno lui demande alors si cela lui plait et elle opine du chef.
- Parfaite petite apprentie, dit-il tout en lui caressant les épaules dénudées. Tu es prête pour ta récompense ?
-
Inès opine silencieusement.

- Je n’ai rien entendu Inès.
- Oui…
- Plus fort, je ne t’entends pas.
- Oui !
- Tu veux ta récompense ?
- Oui !
- Oui, qui ?
- Oui patron ! Je veux ma récompense.
- Ok, enlève ton sous tif et ta culotte.

Pendant qu’Inès s’exécute avec entrain et enthousiasme, Bruno débarrasse la table comme si de rien n’était et qu’il était seul dans la maison. Lorsqu’il revient vers la table de la cuisine, Inès est toujours assise. Elle porte sa robe comme tout à l’heure. Par contre, sa culotte et son soutien sont accrochés sur le dossier de la chaise.
- Alors petite apprentie ? Tu es à poil là-dessous ?
- Oui…
- Je n’entends rien Inès. Tu n’apprendras jamais rien ? Il faut revenir à la fessée ?
- Euh… non, non…
- Vraiment ?
- Oui ! Oui patron pardon. Oui je suis à poil dessous. Vous pouvez vérifier comme ça vous pourrez me donner ma récompense.
- Et quelle est cette récompense ? Demande Bruno tout en caressant les cheveux d’Inès.
- Ben… J’en sais rien…
- Vraiment ?
- Ben… à part me tâter les pommes et manger l’abricot je sais pas.
- C’est toi qui l’as demandé.

A peine a-t-il prononcé ces mots qu’il tâte à nouveau les seins d’Inès à travers la robe. Le professeur de sexe demande à son apprentie si elle a plus de sensations que tout à l’heure. Ce à quoi elle répond oui. Et elle ajoute que c’est normal puisqu’il y a moins d’obstacle entre les mains de son patron et ses seins à elle. Et que d’ailleurs sans la robe, elle en aurait bien plus.

Inès s’interrompt elle-même quand elle vient de se rendre compte de ce qu’elle vient de dire : elle aurait bien plus de sensations sans la robe sur sa poitrine… Bruno va en profiter, c’est sûr. Et cerise sur le gâteau, il dira que c’est elle qui lui a donné l’idée.

Le professeur écarte les bretelles de la robe de son élève en lui disant que c’est une bonne idée, et qu’il fallait tout de suite vérifier. Ce qui fait sourire Inès. Elle sourit parce qu’elle est fière d’avoir anticipé la réaction de son amant et contente de voir que le jeu se poursuit.

Bruno pétrit les seins de son apprentie, l’embrasse dans le cou et lui demande si elle aime. Une fois qu’elle a dit oui, il lui demande si son abricot est prêt ? Pour vérifier, il la fait assoir sur la table.

Après l’avoir embrassée à pleine bouche, il soulève légèrement sa robe pour passer sa main entre les cuisses de sa jeune élève. Celle-ci ouvre instinctivement les jambes, comprenant son intention, et souhaite que bientôt ce soit la bouche de son patron qui s’y aventure. Elle a en mémoire ses dernières prestations. Les cunni qu’elle a eu avec lui la stimule de plus en plus.

- Eh ben ! On mouille déjà à ce que je constate ! Mes doigts t’ont à peine touchée qu’ils sont déjà ruisselants de ton jus d’amour. Et en plus je n’ai même à eu à faire d’efforts, le passage s’est ouvert tout seul.

Inès tente de protester, mais Bruno l’interrompt.

- Mais arrêtes ta comédie. Ça te plait ce que je te fais. Tu la veux ta récompense, hein ?
- Oui… Oui patron !

Bruno attend la suite. Il ne touche plus Inès et la regarde droit dans les yeux, comme s’il lui parlait du regard. La petite apprentie est à la fois frustrée de devoir attendre encore sa récompense et anxieuse. Elle se demande pourquoi Bruno la regarde d’un air rude. Elle s’apprête à lui dire qu’il a un regard méchant mais se retient, elle comprend qu’il attend quelque chose qu’il lui a apprit et qu’il n’est pas content qu’elle ne récite pas sa leçon.

Souhaitant plus que tout avoir sa récompense tant méritée, Inès réfléchit, repense aux différents échanges et moments passés avec Bruno. Elle s’est donnée pour lui, l’a sucé comme une dingue, ou plutôt comme une salope ou même une pute… Ah ! Se dit-elle. Merde, quelle conne je suis.

- Oui patron, je suis votre petite salope, votre petite pute et je veux la récompense que vous m’avez promis.
- Tu penses l’avoir méritée ?
- Oui patron ! J’ai fait ce que vous m’avez dit. J’ai porté les tenues, je me suis habillée en soubrette coquine et je vous ai fait les cochonneries que vous m’avez demandées.
- Quelles cochonneries ?
- …

Bruno voyant que son élève hésite à répondre, lui met une tape sur une joue et un revers sur l’autre. Ce qui la fait réagir, elle sursaute.

- Je vais te faire perdre ton éducation de princesse. Tu es ma petite salope à moi, ma petite pute. Et je veux que mon élève salope décrive les cochonneries qu’elle m’a faite.
- Je… Je vous ai sucé.
- Comment ?
- …. Ben…. Jai léché votre sexe, et je l’ai pris dans ma… dans ma bouche.
- Et ?
- …

Bruno remet une tape et un revers sur les joues d’Inès.
- La prochaine fois c’est la fessée Inès.
- Non !
- Alors donnes moi des détails. Tu es ma petite salope ? Dis-le-moi.
- Oui ! Oui, patron je suis votre petite salope à vous… Mais j’attendais ma récompense.
- D’abord raconte.
- Ok, alors je vous ai léché le sexe…
- La bite !
- Quoi ?
- La bite, la queue, le pieu… Ce que tu veux, mais pas le sexe. Diversifie ton vocabulaire. Raconte, après je te déguste l’abricot. Tu as aimé jusqu’ici quand je t’ai bouffé la chatte ?
- Euh… Oui patron, j’ai aimé que vous me… Que vous me bouffiez la chatte…

Inès a chaud, cela lui fait bizarre de parler comme ça devant son patron, mais l’émoustille en même temps. Elle a l’impression qu’elle en mouille d’autant plus.

- Donc euh… Je vous ai léché la… la bite… De haut en bas.
- Continue ma petite salope.
- Ma langue a lapé votre gland et léché votre queue tout du long.

Tout en l’écoutant, Bruno recommence à lui palper les seins.

- Continues, j’aime ta façon de raconter ton expérience avec tes airs de sainte nitouche alors que tu m’as sucé comme une salope professionnelle et que dans cinq minutes tu couineras de plaisir sous mes coups de langues…

Inès sourit en pensant à ce qu’elle va vivre dans cinq minutes. Elle s’imagine allongée sur la table, la tête de son amant entre ses cuisses et le plaisir qui monte en elle.

Rayonnante, enthousiaste, elle poursuit sa description, Donnant plus de détails. Comme quoi elle lui lapé la queue, astiqué, collé contre son palais avec sa langue, comment elle a avalé son sperme… Pendant ce temps, la main de Bruno s’est de nouveau aventurée entre ses cuisses. Son majeur et son index caressant la vulve de la conteuse effarouchée. Il lui introduit ses doigts juste à l’entrée de la chatte sans réellement y entrer. Dans le même temps, il l’embrasse dans le cou.

- Et ça t’a plu de me sucer petite salope ?
- Oui… Oui ! J’ai aimé vous faire plaisir patron.
- Pourquoi ?
- J’aime votre regard quand je vous donne du plaisir patron.
- Tu es une bonne petite salope.
- C’est que vous m’avez bien formée patron. Vous voulez que je sois une bonne salope pour vous faire plaisir.
- Tu aimes ce que je te fais ?
- Oui !
- Tu en veux plus ?
- Oui ! Oui ! S’il te plait !

Bruno sourit. Il triomphe. S’éloignant légèrement de son élève, il passe ses bras sous les jambes écartées de son apprentie et les soulèvent pour la faire basculer complètement allongée sur la table. Elle manque de se taper la tête sur la table.
- Ça va Inès ?
- Oui, oui, c’est bon.
- Ok, je me mets à table. J’ai un abricot qui m’attend impatiemment.

Inès pouffe. Elle rit de soulagement. Soulagée de ne pas se faire mal et soulagée d’avoir sa récompense.
Bruno assit sur une chaise face à la vulve offerte d’Inès caresse la peau lisse d’un toucher velouté. Son apprentie commence à respirer fortement quand elle sent la langue de son amant se déposer sur son fruit charnu, ni trop dur ni trop ferme. Il la déguste goulument, léchant les bords et titillant le clito. Les cuisses et jambes d’Inès bougent légèrement.

Bruno attrape les jambes de son élève et les posent sur ses épaules. Puis, il engouffre sa langue dans le chaud et doux conduit d’amour d’Inès qui accompagne l’entrée de cet instrument de plaisir vivant en inspirant fortement. Elle respire fort, porte un poing fermé à sa bouche et mordille le bout de son pouce comme pour mieux ressentir son plaisir. L’autre main est posée sur son front et les doigts s’agitent au rythme de la dégustation de Bruno.

Au bout d’un certain temps, Bruno s’interrompt.
- C’est bon hein ?
- Oui, oui !
- Tu aimes que je te déguste la chatte petite salope ?
- Oui, oui patron. J’aime quand vous dégustez ma chatte comme un abricot.

A peine a-t-elle prononcé ces mots qu’elle pose une main sur la tête de Bruno pour l’inciter à poursuivre sa délicieuse besogne. Alors que la main d’Inès caresse les cheveux de son professeur de sexe, celui-ci ricane. L’élève comprend que son amant l’asticote. Mais elle est très excitée et n’attend qu’une chose, qu’il l’amène à la jouissance. Elle est frustrée, elle sanglote tout en riant.

- Mais c’est pas drôle… S’il te plait… Continues, tu m’as promis…
- Ha ! Ha ! Oui j’ai promis ! Mais avant dis moi que tu aimes que je te bouffe la chatte parce que tu es une petite salope et que tu aimes aussi que je te baise.
- Oui, oui ! J’aime que tu me bouffes la chatte, j’aime quand tu me baise. Je suis une petite salope qui aime ça.

Puis elle reprend ses gestes de sa main sur la tête de Bruno.

- Salope… Tu es une bonne salope Inès. Ta copine doit être fière de toi… Moi je t’adore en salope tu m’excites.

Puis, il reprend sa besogne. Son élève soupire de satisfaction. Petit à petit, tout en prenant du plaisir, elle halète de plus en plus fort. Au bout d’un moment, la main d’Inès revient sur la tête de Bruno, et les cuisses se ferment contre la tête. Le professeur comprend qu’elle est sur le point de jouir.
« Oh putain ! Oh ! Oh putain ! » Enfin elle jouit, ses cuisses se serrent et desserrent sur la tête de Bruno. Elle mord son index en laissant exprimer un long râle de satisfaction.

Le patron laisse son apprentie savourer. Après plusieurs seconde, Bruno toujours entre les cuisses d’Inès, se lève, se penche au-dessus d’elle toujours allongée.
- Je vois que ta récompense t’a plu
- Grave… Répond elle dans un grand sourire.
- Et ce soupir de satisfaction !
- Ah ben oui, nous les salopes on soupire fort et longtemps quand on prend du plaisir.

A peine a-t-elle dit cela, qu’Inès explose de rire. Elle rit de bon cœur. Surprise elle-même de ce qu’elle vient de dire.

- Ok. Je vais faire une petite course ma petite choute à tout à l’heure.
- Ben je vais prendre une douche en t’attendant.
- Ok, pas de soucis. Mais ce soir ta bouche et ta chatte seront à moi.
- Eh ben… T’as pas eu ta dose aujourd’hui ?
- Non. Et j’aurais encore envie de toi avant d’aller dormir ce soir.
- Ah ouais, je suis vraiment ta pute du coup.
- Et tu sais pourquoi ? Lui demande-t-il triomphant.
- … Ben… Parce que… Tu me transforme en ta pute personnelle que tu peux baiser quand tu veux.
- Presque.
- … Parce que… Ah… oui… Parce que je suis une salope qui aime le sexe et qu’on la baise comme une pute.
- Tu vois ?
- Mais c’est de ta faute aussi…
- Il y avait déjà un terreau fertile. Tu ne demandais qu’à t’épanouir et je t’offre cette occasion de vivre un plaisir de bonne salope avide de sexe. Tu n’étais pas jalouse de ta copine Cindy qui n’a pas de soucis à se faire ramoner comme il faut ?
- Un peu… Mais je veux pas comme elle changer de mec à chaque fois…
- Ok, moi si tu deviens ma petite pute personnelle et exclusive, ça ne me dérange pas.
- Ta pute ? Pas ta petite salope ?
- Les deux, ça dépendra de mon humeur.
- Ah… Ok…
- J’y vais, à tout à l’heure.

Il embrasse avidement Inès et sort de la maison tandis qu’Inès descend de la table les jambes tremblantes. Elle a pris son pied une fois de plus. Elle se dit qu’effectivement Cindy à raison, elle devrait quitter son copain. De toutes façons avec le comportement de salope de concours qu’elle a avec Bruno, la séparation est déjà actée.
Inès avance doucement vers l’escalier. Elle tremble moins mais s’assied quand même sur les premières marches et commence à envoyer des messages à sa copine Cindy.

Comme à chaque fois Cindy demande des détails. Ce qui embarrasse moins Inès qu’avant. Elle raconte donc à sa copine comment elle a appris à boire du jus de pine et comment elle a reçu sa récompense tout en disant à Bruno qu’elle était une petite salope et une pute.

- Je vois que tu prends ton pied ma chérie.
- Ce soir il veut remettre ça.
- Eh ben ! Il a la niac celui-là. Ça te change de l’autre.
- Oui ben je pense que cette fois c’est définitivement terminé.
- Très bonne décision. Devenir une salope convaincue te fait prendre une bonne décision.
- Est-ce que je dois le laisser me faire dire que je suis sa salope et sa pute ? Je sais pas trop si…
- Enfin ma chérie, c’est un jeu. Il ne te fait ça que pour le sexe si j’ai bien compris. Il t’a appelée comme ça autrement ?
- Ben pendant la promenade et le film non. Il ne m’a pas appelée comme ça. Quand c’est pas sexuel il me dit ma petite choute.
- C’est mignon… Oui je pense qu’il fait ça pour le sexe, pour s’exciter. Et puis c’est comme le costume, ça fait partie de ton personnage. Te prends pas la tête ma chérie. Profites, fais la salope intégrale, soit ce personnage et tu continueras à prendre ton pied.

La discussion se poursuit et Inès finit par raccrocher pour avoir le temps de prendre sa douche le temps que Bruno revienne. Alors qu’elle a retiré sa robe et entre nue dans la douche, un message de Bruno arrive. Il prévient qu’il sort du magasin et sera rentré dans une dizaine de minutes. Inès répond qu’elle entre dans la douche. Bien entendu, Bruno demande une photo. Inès est un peu surprise. Elle hésite mais finit par en prendre une. On voit sa tête, le haut de ses épaules et la douche en arrière-plan.

Bruno reçoit la photo. Il sourit, puis, bien évidemment, demande plus. Inès sent qu’elle à chaud aux joues. Elle n’a jamais fait ça… D’un autre côté, elle ne s’était jamais habillée en soubrette, ne s’était pas habillée en dessous coquins pour un homme et n’avait jamais avalé de sperme… Elle prend donc une autre photo sur laquelle on voit son corps nu, ses seins exposés mais sa chatte dissimulée par une main pudique. Son plus beau sourire orne son visage.

Son professeur de sexe ouvre grand les yeux. A la vue de la photo, il sourit, bande comme un âne et s’imagine la ramoner en profondeur dans la douche. Il l’appelle immédiatement en visio. Inès hésite à prendre la visio, mais accepte finalement l’appel en pointant le téléphone sur son visage.

- Tu es toujours dans la douche ma petite choute ?
- Oui.
- Douche-toi mais montre-moi, j’arrive.

L’élève frissonne, elle n’ose pas.
- Tu me montres ?
- Euh… Mais tu fais attention sur la route alors ?
- Oui oui ne t’inquiète pas.
- Et tu n’enregistre pas ?
- Non, je te préfère en vrai. Sauf si ça t’excites que j’enregistre.
- Euh non, non.
- Bon vas-y, montre-toi, savonnes toi, frotte bien tes lolos, tes nibards que j’adore.

Inès pouffe, étouffe son rire, s’apprête à sangloter mais veut rire en même temps. Elle hésite, puis elle pose finalement le téléphone sur une étagère en visant la douche. Bruno peut ainsi voir Inès dans la douche de la taille jusqu’en haut de la tête. Il préfèrerait la voir entière, mais il se doute que ce ne doit pas être facile de positionner le téléphone correctement.

Il regarde Inès. Elle a maintenant un grand sourire, se savonne les épaules. Elle regarde le téléphone.
- Ça va comme ça patron ?
- Oui. Mais savonnes toi les seins maintenant.

Inès s’exécute. Elle met du gel douche dans ses mains puis l’étale sur sa poitrine face caméra et fait mousser le gel tout en massant de façon ostentatoire ses seins.
- Petite garce…
- Pardon patron ?
- Continue… Lèche toi les seins.

Inès tente tant bien que mal de porter un téton à sa bouche et peine à obéir à son patron.
- Quelle salope tu fais…
- Tu es sur la route ?
- Pas encore.
- Ok.
- Bon je pars. A tout de suite. Savonne-toi bien. Par contre, je pense pas que je pourrais attendre ce soir.
- Comment ça ?
- Ben tu devines pas ? Petite salope, tu m’excites trop. Dépêches de finir ta douche, parce que dès que j’arrive tu suces.

Inès n’a pas le temps de répondre que Bruno a déjà raccroché. Elle se savonne partout tout en se demandant si elle va vraiment sucer son professeur à son arrivée. Après tout, depuis ce matin ils ont fait pas mal de choses. Mais d’un autre côté, lui n’a rien eu depuis le déjeuner, c’est elle qui a reçu une récompense au gouter. Et puis, elle a signé un contrat de sexe. Et sa copine Cindy lui a dit de pas se priver. Il faut enfin ajouter que Bruno avait l’air très content de la voir sous la douche. Inès s’imagine son patron excité au plus au point.

« C’est moi qui lui fais cet effet, faut que je le soulage mon patron, c’est mon contrat d’apprentissage après tout ». Inès se surprend. Elle s’est parlée à elle-même en acceptant de se comporter en bonne petite salope. Merde se dit-elle, « je deviens la pute de mon patron et je commence à aimer ça… Si mes parents savaient… »

La bonne petite élève sort de sa douche en s’enroulant une serviette autour du corps du haut des seins jusqu’en dessous des fesses. La grande question s’impose. Doit elle remettre la tenue de soubrette ? Après tout son professeur de sexe ne lui a pas dit de s’habiller autrement. Quoi que si, la robe. Elle a été autorisée à la mettre tout à l’heure. Faut-il la remettre ? Si oui, avec ou sans culotte ? Surement sans…

De nombreuses questions et réflexions assaillent Inès. Elle se demande si elle ne doit pas appeler Cindy pour trancher. Connaissant Cindy, elle lui dirait d’accueillir son amant à poil. Inès rit à cette idée et baisse les yeux. Elle voit cette serviette qui la couvre à peine.

C’est là qu’une idée lumineuse lui traverse l’esprit. Pourquoi ne pas l’accueillir dans cette tenue ? Cela lui rappellera la douche qu’il vient de voir en vidéo. Et puis la serviette couvre juste ce qu’il faut pour être pudique tout en laissant exposées ses jambes et la naissance de sa poitrine. Inès sourit à nouveau. C’est cela qu’elle va faire. Cela fera plaisir à son professeur de sexe. La bonne élève se regarde dans le miroir. Et s’imagine la scène. « Ça vous plait patron ? Hein ? » Puis elle fait un clin d’œil coquin et ouvre sa serviette pour exposer ses seins et sa vulve avant de refermer immédiatement en pouffant toute seule. « Oh putain je fais vraiment salope là… ».

L’apprentie descend en serviette, regarde par la fenêtre, la voiture n’est pas encore là. Elle se pose à nouveau des questions. La serviette est-elle une bonne idée ? Oui, surement. Où attendre ? Dans quelle position ?
Inès s’assied sur le canapé, dos à la porte d’entrée. Quelques minutes plus tard la porte s’ouvre. Bruno entre et demande à Inès de ne pas bouger. Il vient de lui acheter la tenue qu’elle devra porter demain et qu’il veut ranger à l’étage en attendant.

Une fois redescendu, il vient rapidement s’assoir près d’elle. Tout en lui caressant les cuisses il lui dit combien il a aimé la voir dans la douche.
- Qui aurait cru que tu te montrerais comme ça ? Hein ? Petite garce.
- C’est de ta faute…
- Oui… De ma faute. Tu n’y es pour rien. Comme maintenant avec ta serviette que tu as mise exprès pour ne couvrir que le minimum.
- T’es bête…
- Ha ! Ha !
- Et tu es un pervers, un obsédé qui veut toujours me déshabiller et me faire l’amour.
- Oui, mais tu aimes ça…

Inès sourit et rit. Elle ne dément pas. Bruno est satisfait de sa réaction et se lève, retire son pantalon et son caleçon. Il est raide comme un piquet. Son apprentie regarde l’effet qu’elle fait sur lui et se mord les lèvres. Le professeur se rassoit, caresse la nuque d’Inès.

- Tu es une petite garce. Tu le sais ? Venir dans cette tenue alors que tu m’excitais sous la douche.
- Je savais que ça te ferait plaisir.
- Ah bon ? Tu le savais en plus ? Donc c’est vraiment prémédité ? C’est bien le comportement d’une petite allumeuse. D’une petite salope. Pas vrai ?

Inès se rappelle de la conversation qu’elle a eu avec Cindy et des cours que lui donne son professeur de sexe jusqu’ici. Elle regarde Bruno droit dans les yeux et opine du chef.

- Petite salope… Tu es fière de toi ?
Inès secoue la tête de haut en bas dans un grand sourire et en se retenant de rire.

- Bravo Inès… Tu es une vraie salope comme j’en ai rêvé.

Inès ne s’empêche plus de sourire. Voir Bruno satisfait et heureux la fait rayonner. Et puis elle sait qu’avec lui il y aura sûrement d’autres récompenses à la clé.
Le professeur fixe son élève droit dans les yeux. Il lui caresse toujours la nuque d’une main et de l’autre il détache la serviette afin d’exposer la poitrine de sa jeune apprentie. Il lui caresse ensuite un sein.

- Tu te souviens de ce que je t’ai dit tout à l’heure ?
- …
- A mon retour ? Dès que j’arrive tu me suces.

Inès lève les yeux comme si elle cherchait dans sa mémoire.
- Oui je te l’ai dit, ne cherche pas.
- Euh oui…
- Tu es ma petite pute ?
- Euh oui, oui patron. Je suis votre petite pute. Votre petite pute à vous rien qu’à vous.

Bruno opine du chef, puis agrippe la nuque de son apprentie pour diriger sa tête vers son mat tendu. Inès se laisse guider docilement. Elle ouvre grand la bouche.

- C’est très bien Inès. Tu es une bonne élève.

Inès sourit et Bruno pousse la tête de son apprentie jusqu’à ce quelle avale complètement son pieu. Dès qu’elle ressert ses lèvres et sa langue contre le gourdin de son amant, celui-ci la relâche et la laisse libre de ses mouvements. Elle se met donc à la besogne.

Tout en pensant au plaisir qu’elle a pris au gouter, elle lape, lape, lape, suce, suce, suce, pompe et repompe ce dard avec délice, sachant que tant qu’elle se donnera à fond pour son professeur, il lui rendra la politesse.

Tandis qu’elle suce cette queue maintenant dégoulinante de salive, à quatre pattes, Bruno lui met une petite claque sur les fesses, puis une autre. « Oh putain de salope, ce que c’est bon ».

Inès sourit. Bruno prend son pied et cela lui plait. Elle continue à gober, pomper, libérer la queue, la laper, lécher et reprendre en bouche en serrant tant quelle peut cette bite entre sa langue et son palais. « Salope ! Saloooope ! ». Une autre claque tombe sur ses fesses, et une deuxième. Puis elle sent que les doigts de son patron lui caressent la vulve. Elle ne se laisse pas déconcentrer, continue sa besogne. Sa tête monte et descend sur cette colonne de chair pendant que deux doigts s’engouffrent dans sa chatte et la pénètrent d’avant en arrière tandis que le pouce titille de temps à autre le clito. Inès prend du plaisir par son couloir d’amour tout en tétant le gourdin raide comme un piquet. Elle soupire.

- Mais quelle salope tu fais… En plus tu prends ton pied en me suçant comme une pute.
- Glorp, gloorp. C’est de votre faute patron, c’est vous qui avez tout fait pour que je devienne votre petite pute. Glorp, glorp…
- Oui, une bonne petite pute… Ah putain de saloooope !

Bruno attrape Inès par les cheveux et soulève sa tête. Il la tourne face à lui. La bouche de son apprentie est couverte de salive dont un filet coule sur le menton.

- T’es une bonne, très bonne salope Inès… Je vais venir. Tu comprends ?
- Oui patron.
- Ok, continue. Mais si tu n’avales pas, je recouvre ta petite gueule de mon jus de pine. Et si tout ne jute pas d’un coup, je finis sur tes cheveux.
- Glorp, glorp…

Inès reprend sa besogne sans broncher. Même si elle serait moins gênée qu’auparavant d’avoir le visage recouvert de foutre, l’idée d’en avoir dans les cheveux ne l’enchante pas. Et puis, elle a appris à avaler, donc c’est préférable, pense-t-elle.

La belle brune à quatre pattes, cul rebondi relevé, seins arrogants touchant et frottant une jambe de son patron, suce et suce, pompe et pompe cette bite qui va bientôt déverser dans sa bouche le nectar promis. Elle veut faire au plus vite avant que Bruno ne change d’avis et n’explose sur sa frimousse et ses cheveux. Une main s’agrippe sur les fesses d’Inès « saloooope ! » Et au même moment, un jet frappe le palais d’Inès. Ce n’est pas si terrible se rassure-t-elle. Un deuxième jet frappe sa glotte. Elle tousse, tente de se dégager en libérant la bite de Bruno. Celui-ci pose une main sur sa nuque pour la bouche de son élève juste au-dessus de son gland. Un troisième et dernier jet jaillit dans la bouche d’Inès. Puis, Bruno la libère. L’apprentie se redresse en s’asseyant accroupie sur ses talons, tente de décoller avec sa langue le sperme collé à sa glotte tout en toussotant.

- Avale, salope, avale !

Inès obéit, et pousse de sa langue le jus au fond de sa bouche en fermant les yeux.
- C’est très bien Inès. La prochaine fois n’attend pas que je te le dise pour avaler. Et quand je dis que je viens fait attention pour ne pas toucher ta glotte. Oriente ma queue sur son palais ou au fond de ton gosier.
- Pfiou… Je m’y attendais pas.
- Par contre il en reste un peu.
- Mais non j’ai tout avalé ! Regardes ! Promis !

Inès, avec une larme sortant de chacun de ses yeux et ayant enfin arrêté de tousser ouvre grand la bouche. Bruno lui sourit. Elle sourit à son tour.

- Tu es fière de toi petite salope ?
- Ah ben y a de quoi quand même.

Inès s’imagine déjà tout raconter à Cindy. C’est vrai qu’elle est fière d’elle. Elle ne devrait pas mais elle l’est pour sûr. Bruno se lève et approche son sexe du visage d’Inès. Elle ne comprend pas…

- Il faut finir salope.
- Mais…

Bruno presse avec deux doigts sa bite et son gland, une goutte de sperme en sort.
- Mais c’est de la triche ! Affirme-t-elle rebelle.

Bruno la fixe droit dans les yeux de façon autoritaire. Inès se tait, baisse les yeux. Elle s’attend à une punition. Elle veut donc protester en levant la tête pour reprendre la parole quand son professeur attrape sa nuque pour lui immobiliser le visage.

- J’ai dit que tu n’avais pas fini ! Tu veux une fessée ou quoi ?
- Pardon…
- Tu es ma pute non ?
- Oui patron, votre petite pute à vous… Pardon…

Bruno ne relâche pas Inès. De l’autre main, il tient sa queue et colle son gland contre une des joues d’Inès et y étale le jus qui en sort. Puis, comme il en vient encore un peu, il l’étale sur l’autre.

- Tu as de la chance petite salope. S’il en restait, ce serait pour tes cheveux.
- Pardon…
- Pourquoi tu ne joues pas le jeu jusqu’au bout Inès ? On était d’accord.
- Oui patron pardon. Je sais pas, ce sont des réflexes. Mais je vais faire des efforts je vous jure.
- Vraiment ?
- Oui. Je suis votre salope personnelle, votre petite pute à vous. Je vais bien apprendre pour que vous ayez du plaisir et que vous me récompensiez…
- Parfait ma petite pute. Puisque tu es bien docile, je vais te récompenser ce soir. Et après je te baiserais.
- D’accord patron.
- Va te nettoyer.

Inès sourit. Son patron n’est pas fâché. Mais elle doit quand même prendre sur elle et se montrer un peu plus docile pendant le sexe. Après tout, il n’y a pas que son patron qui aime qu’elle lui soit soumise. Inès y prend goût. « Merde… Je deviens une vraie salope… Comme Cindy… »

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
J'en voudrais bien une d'apprentie comme Inès. Impatient de lire sa prochaine leçon
Posté le 22/08/2024


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