Le weekend d'Inès et son patron se poursuit. L'apprentissage est un peu laborieux, mais Inès fait des efforts pour faire plaisir à son patron, apprendre ses cours spéciaux et mériter sa récompense.
Proposée le 20/06/2024 par Vincent20100
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Après le premier round de ce samedi, Bruno propose à Inès de faire une petite pause et de préparer le déjeuner. C’est alors que le téléphone d’Inès sonne. C’est sa mère qui appelle.
Merde, déjà ? Pense Bruno. Elle ne laisse pas sa fille tranquille en virée entre filles ? Il fait signe à sa soubrette qu’il va prendre une douche.
Celle-ci hoche la tête pour lui faire comprendre qu’elle a saisi. Puis, continue de répondre à sa mère (en mentant bien sûr) en affirmant qu’elle ne fait pas de bêtises et que tout se passe bien dans le weekend entre filles. Elle se sent tout de même un peu gênée, parce que tout en parlant au téléphone, elle sent que sa chatte est à l’air, sans culotte, que sa mouille a coulé sur ses cuisses et qu’elle a encore en bouche le gout de la pine de Bruno…
Mais elle dit la vérité en disant que la maison où elle se trouve est très jolie et qu’elle s’amuse bien.
Inès finit par raccrocher, soupire et se dit que sa mère la traite comme une gamine alors qu’elle a déjà 23 ans et qu’elle n’a pas envie de lui raconter ce qu’elle fait de son corps avec un homme qu’elle connait à peine. Déjà que Cindy pose trop de questions…
Bruno redescend, il est très souriant dans sa chemise en lin blanche et son jean bleu. Sa soubrette flaire qu’il dégage un parfum de gel douche vanille. Le professeur invite Inès à prendre une douche pendant qu’il fait la cuisine. Elle accepte immédiatement et s’empresse de monter à son tour.
Bruno pendant ce temps prépare le déjeuner. Après quelques minutes, alors qu’il démarre la cuisson, il reçoit un sms. C’est la copine d’Inès qui demande comment ça se passe. Il ricane, et se dit que cette Cindy est bien curieuse et qu’elle a déjà du interroger Inès à l’instant.
Le portable sonne.
- Bonjour monsieur Bruno.
- Bonjour Cindy. Vous me paraissez bien curieuse et empressée.
- Il faut bien ! Inès n’est peut-être pas vierge mais elle est un peu trop innocente pour son âge et il faut la dépuceler sur certaines choses quand même. Mais n’allez pas trop vite… Là le déguisement c’est top. Vous avez eu une bonne idée.
- Merci. Mais il ne faut pas sous-estimer votre copine, elle est plus dévergondée que vous l’imaginez.
- Ah bon ? Et elle a fait quoi ? Elle s’est allongée pour se faire bouffer gentiment l’abricot ? Elle s’est mise à quatre pattes pour se faire prendre en levrette ? C’est classique.
- Ok, mais pour une fille innocente elle suce avec conviction.
- Non… Inès ?
- Oui, Inès, oui. Elle y met beaucoup d’entrain. La dernière qui m’a sucé comme ça est une cochonne de plus de trente-cinq ballets. C’était pas une turlute de gamine ce matin qu’elle m’a fait. Vous avez dû lui donner des idées.
- Un peu, je l’ai un peu aiguillée j’avoue… Mais sérieux ? Elle suce comme une cochonne ? On dirait pas quand elle me raconte vos aventures.
- J’aurais dû la filmer pour vous montrer.
- J’y crois pas… La salope…
- Si ça vous fait rien, je prépare le déjeuner. Je préfèrerais qu’on débriefe plus tard.
- Vous allez faire quoi cet après-midi ?
- Vous êtes trop curieuse.
- Mais allez ! Je lui dirais pas…
- Je vais lui faire boire du jus. Bon appétit, à plus tard.
- Quoi boire du jus ? C’est naze ça monsieur Bruno !
- Du jus de pine ! Ça vous va ? Au revoir !
Bruno raccroche. Quelques secondes plus tard, un nouveau sms de Cindy arrive. Bruno l’ouvre. C’est un gif où une fille boit un verre d’un liquide blanc plutôt épais. Bruno sourit. Quelle salope celle-là aussi ! Une sacrée chaudasse qui chauffe Inès et la dévergonde au maximum pour la rendre pareil à elle. Encore une fois, Bruno se demande si les deux filles se sont déjà embrassées ? Léchées la moule ? Un plan à trois est-il possible ? Cindy finirait par dire oui pour sûr, mais Inès ? Il faut la travailler encore un peu…
L’assistante est redescendue. Elle porte un t-shirt trop grand pour elle et un minishort en jean troué.
- C’est quoi ça ?
- Ben c’est mes vêtements !
- Et la tenue de soubrette ?
- Euh… Là-haut…
- Elle est sale ?
- Non…
- Et ben alors ? Qui t’as permis de changer de tenue ? Tu as pris une douche, ok. Mais va te remettre en tenue. Aujourd’hui tu es ma soubrette salope. Et les soubrettes salopes portent leur tenue.
Inès baisse les yeux. Elle est un peu déconcertée. Elle ne s’attendait pas à cet accueil alors qu’elle a pris du plaisir ce matin. C’est son patron qui lui a dit de prendre une douche. Donc, elle s’est changée après…
Inès retourne à la salle de bain de mauvaise humeur. Le weekend s’annonce mal si son patron la reprend déjà et la met en rogne. Elle attrape la tenue de soubrette et la scrute de tous les côtés : pas de tache, pas de saleté… Effectivement… L’apprentie s’avoue à elle-même que la tenue n’a rien et que c’est idiot de changer de tenue et de charger un lave-linge pour rien. Et puis, son maitre de sexe veut la voir porter ce costume de soubrette. C’est vrai qu’il était tout excité ce matin. Elle aussi d’ailleurs.
Inès pose sur le panier à linge son short et son t-shirt, remet la petite robe noire, rattache le tablier, enfile les bas et repose la coiffe sur la tête. Elle se sourit à elle-même dans le miroir et se lance un bisou de la main avec un regard de braise : C’est ça qu’elle va faire en descendant à son maitre de sexe !
Elle se trouve magnifique, sexy. Inès prend son portable, envoie un message à Cindy « il veut que je reste en soubrette ». Quelques secondes passent. Une réponse arrive. « Normal, ça l’excite. Et ce personnage te va bien. Profites bien ma belle ».
Inès redescend, ragaillardie par sa vue dans le miroir et les encouragements de Cindy. Arrivée dans la cuisine elle se présente à Bruno qui la scrute comme pour vérifier sa tenue. Elle tourne sur elle-même, puis, lance à son professeur un bisou de la main accompagné d’un regard de braise.
- Très bien ma petite chatte... A table.
Ils déjeunent sagement sans échanger plus que quelques mots. A la fin du repas, Inès interroge son professeur.
- Il y a du dessert ?
- Du dessert ?
- Ben oui. Un dessert ! Ça m’a donné faim tout ça.
Bruno se trouve un peu penaud. Il n’a pas prévu de dessert. Il y a bien un gâteau au congélateur mais il faudra plusieurs heures pour qu’il soit décongelé. Il ne doit pas se laisser déstabiliser pour ne pas perdre l’ascendant sur Inès. Trouver quelque chose pour le dessert serait aussi l’occasion de reprendre le contrôle de la situation.
- Un dessert ? As-tu mérité un dessert ?
Inès reste apparemment imperturbable et silencieuse. Elle réfléchit. Bien sûr qu’elle a mérité. Elle porte le costume de soubrette, se trouve plutôt obéissante et se donne sans modération au plaisir de son patron. Donc, pour elle, il y a bien un dessert qui l’attend.
- Vous n’en avez pas ? C’est parce que vous êtes trop radin. Dit-elle en baissant les yeux mais en souriant. Elle tente de dissimuler son sourire, un sourire de malice, de défi.
- Trop radin ?
- Oui, comme pour vos pancakes de l’autre jour.
- Inès… Je t’ai donné mes pancakes. Et tu te permets de me dire que c’est radin ? Tu cherches la fessée ?
- Non, mais tu n’as pas de dessert aujourd’hui. Je l’ai mérité, je sais.
- C’est vrai, tu as mérité ton dessert… Regardes sous la table.
Inès sourit et, incrédule, se penche pour regarder. Elle n’y voit que les pieds de la table, les carreaux au sol et les jambes de Bruno. Elle se relève, son sourire a disparu.
- Ha ! Ha ! Très drôle ! C’est un gâteau invisible ? Ou un gros vent ?
- Regardes mieux.
Inès soupire et regardes à nouveau.
- Il n’y a rien… Ce n’est pas drôle.
- Et la banane ?
- La bana…
Inès vient de remarquer le pieu dressé de son professeur qui dépasse de la braguette grande ouverte. Serait-ce le dessert annoncé ? C’est ça la banane ?
- Vous n’êtes pas drôle.
En disant cela Inès étouffe un rire. Bruno ricane. Inès, par mimétisme glousse mais se force à s’empêcher de rire.
- Non ce n’est pas drôle.
- Oh que si ! Allez ! Vient prendre le dessert. C’est la banane ou la fessée !
Inès a un début de rire, glousse, se retient, bafouille… Elle ne sait pas si elle doit rire ou pleurer. Ses yeux s’apprêtent à pleurer mais sa bouche sourit. Elle rit tout en sanglotant.
- Tu vas pas pleurer ? Dit-il. Viens là ! lui crie-t-il en se claquant les cuisses.
- Mais ce n’est pas du dessert. Bafouille Inès qui sanglote en même temps qu’elle ricane en voyant son patron commencer à se branler et lui lancer un regard lubrique tout en l’invitant à venir.
Elle se lève enfin de sa chaise.
- La banane ce n’est pas un dessert ? Demande-t-il.
- Ben non.
- Discutes pas. Viens avaler ta banane. Mais pas comme ça ! Passes sous la table. Avance à quatre pattes comme une bonne soubrette salope doit le faire. Tu boufferas ta banane sous la table.
Pendant que le patron jette son jean par terre et se débarrasse de son caleçon, Inès s’exécute. Elle passe sous la table. La voilà qui avance lentement de façon féline. Puis, elle s’arrête devant le dessert, dressé, prévu par son maitre de sexe assis sur sa chaise. Elle fait la moue.
- C’est de l’arnaque votre dessert…
- A qui tu parles ?
- Je veux un vrai dessert…
Inès est sous la table, à genoux, assise sur ses talons, tête basse. Bruno ne sait pas trop si elle joue la comédie avec ses gamineries ou si elle fait vraiment l’enfant par caprice. Il n’a pas envie de jouer à ça. Il a prévu un weekend de luxure avec une brune peu farouche mais très salope, pas une garderie pour post-ado capricieuse !
Le patron soupire de mécontentement. Inès lève les yeux. Son regard trahit son malaise et contraste avec ses formes diablement appétissantes, mises en valeur par son costume de soubrette collé au corps. Sa bouche est demie ouverte, ses yeux dubitatifs, trahissant son embarras, ses cuisses sont à peine couvertes par cette robe trop courte et la naissance des seins s’expose par le haut de la robe dont les boutons du haut ne sont pas fermés. Comment cette fille dont le corps et la tenue sont un appel permanent à la baise immédiate et primitive peut en même temps être si pénible et plomber l’ambiance comme ça ?
Bruno voit bien qu’elle a compris qu’elle l’exaspère avec ses gamineries. Après tout son père ne doit pas non plus aimer quand elle fait des caprices. Inès déglutit, elle est mal à l’aise. Visiblement, elle a cassé l’ambiance. Elle vient peut-être de se priver de récompense. Bruno la dévisage, la regarde droit dans les yeux. Elle ne bouge plus. Il lui met une claque sur une joue et un revers sur l’autre.
- C’est fini oui ? Fulmine le maitre. Inès retient ses larmes. Elle ne pleure pas pour la claque, mais pour les conséquences de ses actes. Elle a peur du regard de Bruno. Elle a cru y avoir vu la fin de ce weekend qui avait pourtant bien commencé.
- Pardon… Pardon ! Pardon ! Elle joint ses mains en prière. Pardon ! Je promets que j’arrête. Je l’ai pas fait exprès…
Bruno soupire.
- Pendant quelques secondes je me suis demandé si j’allais pas te déposer tout de suite chez ta mère.
- Non, non… C’est bon, j’arrête. Promis.
- Promis qui ?
- Promis patron !
- Ok… Ce n’est plus de ton âge ces caprices et ces gamineries… Alors ? Fessée ou dessert ?
- Euh… Ben... dessert… Dessert !
Bruno ne parle plus et regarde Inès. Elle a compris que ses gamineries ne sont plus de l’âge d’une fille de 23 ans. Elle baisse les yeux, se mord la lèvre inférieure et pose une main sur l’engin de son professeur. Puis, elle relève les yeux, fixe Bruno. Voyant qu’il penche la tête en signe d’acquiescement, elle sourit de soulagement et commence à le branler.
- On ne joue pas avec son dessert, on l’avale ! Commande Bruno.
- Euh… Oui… Pardon… Pardon patron.
La bonne petite élève a à peine prononcé ces mots qu’elle ressert sa main sur le pieu de son prof et lèche le gland du bout de la langue. Elle lape, lape et ouvre la bouche en grand, prend sa banane le plus loin possible dans le gosier et ferme le tout en collant sa langue et en pompant le gourdin avec intensité. Elle a bon espoir de tirer un soupir de satisfaction de son maitre de jeu sexuel.
- Oh putain salope !
Inès sourit. Il n’est plus fâché ! Et même si son éducation ne devrait pas tolérer ces appellations, le ton employé par Bruno et le soupir de satisfaction qui a suivi font que ces mots sonnent comme des compliments à l’oreille d’Inès. Une forme de louange de ses talents linguistiques en somme. A cet instant, la petite brune comprend pourquoi Cindy ne s’offusque pas de se faire traiter de salope par ses amants. La façon de le dire et la situation changent tout !
La tête de la talentueuse apprentie coulisse sur le mât de Bruno de haut en bas. Son patron savoure les soins prodigués, quand le portable d’Inès sonne. Merde pense-t-il, encore sa mère ?
Inès s’interrompt, en laissant tout de même une main sur le pieu luisant de salive, et en continuant machinalement de le branler lentement. L’autre main tient en main son téléphone que son patron vient de lui tendre. Inès, toujours à genoux, tourne la tête, maintenant de profil par rapport à son amant, et regarde le nom de l’appelant. Elle devient blême, cesse de branler la queue de son patron, comme pour faire silence, mais laisse sa main enveloppée dessus. Du pouce de l’autre main, elle appuie sur le bouton vert.
- Allo papa ?
- …. …..
- Oui, j’avais prévenu maman.
- …. ….
- Oui je sais que tant que j’habite à la maison je dois vous prévenir.
La conversation se poursuit. Bruno ne bouge pas. Il attend de voir ce qu’il va se passer. Inès semble se détendre au fur et à mesure de la conversation.
- Oui, oui, tout se passe bien.
Elle semble toujours concentrée sur la conversation, mais apaisée. Sa main reprend son activité et branle à nouveau la bite de Bruno, lentement.
- …. ….
- Pas de soucis papa.
- …. …. …. ….
Un monologue semble s’installer. Inès tourne légèrement la tête vers son patron et lui sourit. C’est un sourire accompagné d’un regard complice, pour lui signifier que tout va bien et que la conversation se passe bien. Bruno reprend alors confiance et son rôle de maitre des activités. Il lui parle à voix très basse, quasi inaudible. Inès semble lire sur ses lèvres. Mais c’est presque trop facile, tant le commandement semble couler de source : « suces ».
Inès sourit. Elle a compris sans entendre quoi que ce soit. Elle sourit toujours et tourne la tête de droite à gauche pour signifier « non ». Mais elle continue de le branler lentement, comme pour être prête à poursuivre son ouvrage sans attendre aussitôt qu’elle aura raccroché.
- Oui on s’amuse. C’est une très jolie maison et j’ai déjà pris une douche. La salle de bain est parfaite.
- …. …. …. ….
Inès regarde à nouveau son maitre. Elle se doute qu’il va encore lui demander de sucer, et elle va pouvoir lui dire non de la tête. Ce jeu l’amuse. Vraiment ?
Non, pas vraiment finalement. Elle ne comprend pas le commandement inaudible. Bruno doit recommencer. Il semble articuler alors qu’aucun son ne sort. « ré-com-pense ». Inès sourit, elle est radieuse. Elle s’imagine recevoir sa récompense. Alors, elle approche son visage de la colonne de chair qu’elle tient toujours en main et commence à téter du bout des lèvres le gland. Elle tète, lape du bout de la langue, tète à nouveau, lape… Soudain, elle semble embarrassée.
- Hein ? Euh… Quoi papa ? Quoi ?
- …. …. ?
- Pardon papa, je n’ai pas entendu la fin.
- …. ….
- Euh, oui on rentre avec le train.
- …. …..
La petite brune que son papa pense surement sage et prude reprend son manège. Elle lape et relape, tète et retète, lape, lape, tète, tète, lape, lape…
- Pardon papa ?
- …. ….
- Euh… parce que ça capte mal ici….
Inès, toute mignonne dans sa tenue de soubrette et sa coiffe qui tient ses cheveux derrière ses oreilles, fixe à nouveau son patron pour voir s’il lui dit encore quelque chose. Un nouveau commandement ? Hein ? Quoi ? Bruno, toujours inaudible semble répéter : « menteuse ».
La petite brune que son papa pense encore angélique sourit, baisse les yeux, étouffe un rire, relève les yeux. A nouveau, elle lit sur les lèvres : « suces ».
Inès lâche le pieu en faisant le signe stop à son amant. Bruno hésite. C’est un stop, « stop » ? Ou un stop « arrêtes je suis au téléphone » ?
- Euh… Ok papa... répond-elle peu sûre d’elle tout en se levant.
- …. ….
- A demain mon papounet ! Dit-elle en raccrochant.
Elle inspire, expire : « Oh merde ». Puis, elle se tourne vers son patron. « Mon père veut venir me chercher à la gare demain… Oh… c’est chaud… ». Dit-elle en tenant fermement de ses deux mains son portable contre ses seins.
Inès s’inquiète vraiment. Elle a peur que son père la voit avec Bruno. Que lui dirait-elle ? Papa voilà mon patron, j’ai passé le weekend avec lui et pas avec Cindy, pardon d’avoir menti ? Pardon de mentir à mon âge ? Pardon d’avoir jeté 23 ans d’éducation à la poubelle pour s’adonner à de la baise avec un presque inconnu ? Pardon, pardon ma bouche et ma zétète ont été souillée pendant deux jours par mon patron qui est devenu mon professeur de sexe par contrat papier signé de ma main ? Contrat que j’ai signé pendant que sa bite était dans ma chatte ? Pardon de me laisser traiter de salope et de pute, me comporter comme une trainée. Pardon de lui avoir pompé le dard comme une cochonne, de m’être laissée recouvrir de sa semence sur mon corps et ma petite frimousse ? Oui, j’ai commencé en portant dans la semaine les robes qu’il m’a demandé, et après je me suis foutue à moitié à poil à la fin de la semaine. Le dernier jour j’étais en sous-vêtements, je l’ai laissé me sauter juste après ! Ah ! Et j’oubliais : je suçais mon patron alors que j’étais au téléphone avec toi…
Oh non… Non, non, non… Il faut éviter ça. Conclue-t-elle intérieurement.
- Merde c’est chaud… Comment je vais faire ?
- Tu vas prendre le train et puis c’est tout.
- Mais comment ? Et puis Cindy ne sera pas là, il va poser des questions !
Bruno rit. Inès se trouve à nouveau entre un début de sanglots et un ricanement qu’elle tente d’empêcher.
- Non ! Ce n’est pas drôle !
Bruno cesse de rire. Il affirme qu’ils vont trouver une solution et lui fait signe de s’approcher. Une fois qu’elle s’est placée près de lui, il passe une main sous sa robe de soubrette et commence à lui caresser la croupe.
- Il faut que j’appelle Cindy.
- D’abord enlève ta culotte.
- Mais c’est pas le moment !
Bruno se lève, la fixe dans les yeux. Elle baisse les siens instantanément. Il lui rappelle qu’il lui a dit qu’il trouverait une solution, qu’ils ont signé un contrat de sexe, qu’elle est venue pour apprendre pas pour passer des appels et qu’il ne l’a pas autorisée à remettre de culotte sous sa robe.
- Ok, j’ai compris. Dit-elle à demie vaincue.
- …
- Quoi ? Demandes Inès incrédule.
- Eh bien j’attends.
- Attend quoi ?
Bruno soupire. L’apprentissage va être long… Il inspire fortement, expire.
- Penche-toi, appuie-toi sur la table.
- Tu vas faire quoi ?
- Discutes pas bordel !!
Inès s’exécute, se penche en avant, bras tendus, avec les mains en appui sur la table. Elle tourne la tête.
- Tu vas pas me mettre une fessée ?
- C’est un stop ?
- …
- Qui ne dit mot consent ?
- …
Devant le silence d’Inès, Bruno reprend. Il soulève la robe d’une main tandis que l’autre se glisse entre la culotte et la peau de la soubrette. Il fait ensuite descendre la culotte vers le bas. Une fois sous les fesses au niveau des cuisses, il agrippe la culotte et la tire vers le bas mettant ainsi son apprentie cul nu, exposée, soumise. Inès n’a pas bougé et se demande pourquoi la robe est toujours soulevée ? Est-ce qu’il va vraiment lui mettre une fessée ? Ou prépare-t-il autre chose ?
- Euh… C’est bon ? Tu…
CLAC ! Inès sursaute : « Oh putain ! » crie-t-elle.
- Bouges pas. Ordonne son maitre.
Elle a été interrompue dans sa question par une fessée sonore, expression du contact sauvage mais éphémère de la main de Bruno sur son postérieur. Elle l’a senti juste en dessous des fesses à la jointure avec les cuisses. Il s’en suit une légère brulure à l’arrière train qui persiste mais s’estompe tout doucement.
Bruno lui caresse les fesses pour atténuer la douleur.
- Personne ne t’a demandé de remettre ta culotte ? Ni même de redescendre sans ta tenue de travail ?
- Euh non, pardon.
- Pardon qui ?
Une deuxième claque retenti. Une nouvelle brulure démange Inès.
- Aaaah… Putain… Pardon patron…
- C’est compris ?
- Euh… Oui… Oui, oui, patron. Je ne remets pas de culotte si vous l’enlevez et je garde ma tenue si vous me demandez pas de l’enlever… Même si je prends une douche je la remets.
- Très bien petite salope… Tu es ma salope ?
- Oui, votre petite salope à vous patron… Et votre petite pute aussi… Votre petite pute à vous, rien qu’à vous. Ma chatte est à vous. Tout ça. Vous pouvez me demander de vous sucer quand vous voulez et me baiser quand vous en avez envie.
Bruno hoche la tête en signe d’acquiescement. Il lâche la robe et commence à caresser avec tendresse le cul rebondi de sa soumise en apprentissage à travers le tissu.
- ça fait mal ?
- Euh…ça brule un peu… J’ai cru avoir mal au début mais ça va.
- Tu n’as pas dit stop.
- Non… J’ai failli mais ça allait. Faut pas faire plus fort par contre.
- Ok Inès, pas de soucis. Je suis là pour te dresser, t’apprendre, te rendre docile, mais aussi pour ton plaisir… D’ailleurs en parlant de plaisir, si tu veux ta récompense, il faut finir ton dessert et apprendre une nouvelle chose.
- Euh… Oui, oui… Comme vous voulez patron.
- Les filles bien éduquées finissent leur plat n’est-ce pas ?
Inès pouffe et opine de la tête.
Le professeur retourne sur le canapé tout en se débarrassant de sa chemise. Il tient la base de son pénis entre le pouce et l’index. Dressé fièrement vers le ciel il n’attend que d’obtenir satisfaction.
- Regarde l’effet que tu me fais… Allez viens, il faut finir ton dessert. Après je te donnerais un cours et tu auras droit à une récompense.
- Pourquoi pas la récompense avant le cours ?
- Discutes pas !
Inès s’approche, s’agenouille docilement entre les jambes du maitre des activités de sexe et englouti immédiatement le pieu, comme si elle voulait en finir rapidement. Bruno lui caresse les cheveux pendant qu’il se fait pomper le dard.
- C’est bien petite cochonne… Oh la vache ! Que tu suces bien ! Oh putain de salope…
Inès sourit. A son oreille, ces mots sortis de la bouche de Bruno sonnent comme des encouragements, des félicitations, comme une reconnaissance de sa capacité à donner du plaisir. Et donc, elle anticipe derrière que sa récompense sera d’autant plus puissante.
Plusieurs vibrations s’enchainent. C’est encore le portable d’Inès. Merde, putain de bordel pense alors Bruno. C’est un standard téléphonique ou merde ? Il prenait son pied et voilà…
Inès reprend son téléphone.
- C’est Cindy.
- Tu la rappelleras, finis moi j’en peux plus.
- Pardon c’est peut-être important… Allo ?
- … …
- Il t’a appelée ? Il t’a demandé quoi ? Qu’est-ce que tu lui as dit ?
Inès fait comprendre à Bruno que son père a appelé Cindy parce qu’il la trouvait bizarre au téléphone. Inès s’inquiète. Bruno lui fait alors signe de s’approcher et de lui passer le téléphone. La petite brune en tenue de soubrette s’exécute.
- Allo ?
- Monsieur Bruno ? Vous inquiétez pas je n’ai pas vendu la mèche.
- Très bien Cindy. Je me doutais que votre copine pouvait vous faire confiance.
De sa main libre, le professeur fait signe à Inès de se rapprocher et pointe son membre raide. Elle s’approche mais s’arrête. Il claque alors des doigts en rythme en la fixant de façon autoritaire, et elle s’agenouille à nouveau.
D’une main, elle branle la queue dressée. Ses yeux fixent ceux de son patron pour suivre la conversation. Celui-ci pose sa main libre sur la nuque d’Inès qu’il agrippe. Fixant l’élève déboussolée, il la regarde et, autoritaire, ouvre grand la bouche en tirant la langue au maximum. Son regard incite Inès à l’imiter. Ce qu’elle fait.
A peine a-t-elle ouvert grand et sorti sa langue en libérant le son « aaaaaaa », comme chez le médecin, que le maitre de jeu tire sur la nuque comme une manette qu’on actionne vers le bas. La tête et les épaules d’Inès penchent en avant. La petite salope avérée a immédiatement compris. Elle englouti sans broncher la « banane » qui lui fait office de dessert.
Bruno continue la conversation avec Cindy tout en maintenant le contrôle sur la tête de sa soubrette pour laquelle il relâche et remet la pression sur la nuque. Il lui imprime ainsi le rythme auquel elle doit lui engloutir, aspirer, pomper, tempérer l’instrument jusqu’à la purge libératrice attendue.
- J’ai dit au père d’Inès qu’on était parti en weekend entre filles parce qu’elle a rompu avec son copain. Inutile de vous dire que le paternel était aux anges. Il peut pas le piffrer. Par contre il a insisté pour venir la chercher à la gare au retour. Si j’ai bien compris elle a déjà dit ok tout à l’heure.
- Effectivement, ils se sont mis d’accord… Vous pourriez la rejoindre à la gare précédente ? Comme ça vous faites le trajet et dix minutes après vous descendez à la bonne gare et le paternel vient vous chercher comme si de rien était ?
Pendant que Cindy réfléchit, Bruno relâche totalement la pression sur Inès. Elle est rassurée qu’une solution soit trouvée et que son maitre en soi la cause. Elle n’a aucune crainte à avoir avec lui. Elle reprend son travail sur la pine de son patron en penchant la tête de côté et en léchant de haut en bas comme une cochonne expérimentée le ferait. « Salope… Ta copine a dû t’en donner des conseils et t’en faire voir des pornos ».
- Ok monsieur Bruno, on fait comme ça mais à une condition.
Bruno est surpris de la réponse. Tout en s’apprêtant à écouter la condition, il remet la pression sur la nuque de sa soubrette pour la faire engloutir son engin complètement. Elle gobe, salive et se remet à pomper comme si c’était une activité quotidienne dont elle aurait l’habitude.
- Je vous écoute Cindy.
- Il faudrait que vous veniez me chercher. Je vais pas payer le bus ou bruler du carburant de la voiture alors que je vous rends service.
- Vous rendez service à Inès aussi.
Celle-ci, en entendant la phrase, sourit tout en continuant sa besogne baveuse et obscène.
- Oui mais vous en profitez bien petit pervers. Je me doute que jusqu’à la fin du weekend vous allez pas enfiler des perles… N’est-ce pas ? Hein ? On est d’accord que c’est ma copine que vous allez enfiler. Vous êtes bien un mec ? Donc je me fais pas d’illusions : ma copine, vous en faites votre petite pute du weekend pour qu’elle vous dégorge bien le poireau comme il faut !
- Ok, ok ! Pas de soucis, je viens vous chercher.
- Bon. J’espère que vous vous occupez bien d’elle… Elle m’a dit que vous êtes douée pour s’occuper de sa moule ?
- Elle a dit ça ?
- Oui. Enfin pas comme ça, j’ai dû lui tirer les vers du nez. Mais je pense que j’aurais plus de détails lors du prochain débriefe.
Bruno est excité par la façon dont Inès lui bouffe la queue, par la situation également, et même par la conversation avec la copine d’Inès, cette fameuse Cindy qui n’est certainement pas une sainte et doit être une salope de double ou triple niveau par rapport à Inès. Il remonte sa main de la nuque vers les cheveux d’Inès, les empoignent en queue de cheval. Il renforce ainsi sa domination bestiale sur elle et contrôle encore plus le rythme auquel le niais petit minois de son élève lui satisfait la bite.
Inès n’a presque plus de contrôle sur le mouvement de sa tête. Sa bouche et sa langue ne sont plus que des jouets sexuels dans la main de son patron. Elle est esclave de la volonté de son maitre et se laisse faire quand même. Elle se sent euphorique : elle est capable de donner beaucoup de plaisir. Elle vient de se confirmer à elle-même ce qu’elle soupçonnait : elle aime que Bruno prenne beaucoup de plaisir. C’est pour elle un début de récompense. Et tout à l’heure, l’autre, la vraie, sera surement d’autant plus grande !
- Donc on est d’accord monsieur Bruno... Mais avant de raccrocher, vous pouvez me repasser ma copine s’il vous plait ?
- Euh... Elle peut vous rappeler ?
Inès fait signe de la main de lui donner le téléphone. Bruno lui relève la tête, lui fait comprendre d’un signe négatif et dominateur de la tête que non. Puis, il rabaisse la tête d’Inès pour la faire reprendre en bouche sa colonne de chair enduite de bave « glorrrp glorrrrp »
- Ben juste une minute, après je vous la laisse.
- Pour ne rien vous cacher, elle a la bouche pleine en ce moment. Et comme vous le savez, les filles bien éduquées ne parlent pas la bouche pleine.
Inès glousse et manque de s’étouffer. Bruno tire la queue de cheval vers le haut pour libérer le museau baveux de sa soumise et la laisser respirer, reprendre son souffle.
Après deux ou trois secondes, de son poing qui enserre la queue de cheval brune, il exerce à nouveau une pression sur la tête pour la remettre au travail. La soubrette englouti la pine en une fois et se laisse imprimer le rythme de succion comme si sa bouche n’était qu’un simple masturbateur manuel acheté sur un site internet : « C’est bien Inès ».
Cindy reste silencieuse deux ou trois secondes, comme si elle avait peur de comprendre, ou cherchait à traduire ce qu’elle venait d’entendre.
- Parler la bouche pleine ? Non… Non monsieur Bruno… Vous voulez dire que ? Ah mais vous alors, vous perdez pas de temps… J’ai du mal à imaginer Inès en pleine action alors que je vous ai en ligne. C’est tellement pas son genre de faire ça… Elle se cache les yeux devant les pornos.
- Vous êtes sûre ? Parce qu’elle m’a l’air de quelqu’un qui n’en n’a pas perdu une miette et n’hésite pas à reproduire ce qu’elle a vu.
- Oh la salope… Inès… Inès est devenue une cochonne comme d’autres alors ?… C’est bien, je suis contente pour elle. Bon inutile de vous demander de l’embrasser pour moi.
- Ce sera avec plaisir que je le ferai.
Une fois raccroché, Bruno intensifie le rythme « glorrrp glorrrrp glorrrp glorrrrp glorrrp glorrrrp »
- Pardon Inès j’ai trop envie.
- glorrrp glorrrrp.
Il pousse un long râle, relâche la pression sur la tête d’Inès. La délivrance arrive et la soubrette l’a compris. Elle pose ses mains sur les cuisses de son professeur pour s’éloigner mais il ne la libère pas suffisamment pour qu’elle s’éloigne comme elle le pensait. Son sexe gonfle prêt à éjecter son fluide qui accompagne sa jouissance. L’engin quitte le minois d’Inès juste à temps et lui explose au visage…
La soubrette a les yeux fermés, les mains grandes ouvertes tournées vers le plafond, elle grimace, fronce les sourcils et grommelle d’indignation. « grrrr, mais merde pourquoi encore sur mon visage ? »
- Parce que j’aime trop ta petite bouille… Bouges pas.
En disant cela, il presse son gland entre l’index et le pouce pour en faire sortir les gouttes qu’il prend plaisir à étaler sur les joues de son apprentie. Immobile, la bouche et les yeux fermés, la petite brune subit cette humiliation. Intérieurement, elle se dit qu’elle aurait pu y échapper si elle avait détaché le haut de la robe pour qu’il jouisse sur ses seins. Mais bon, il aurait surement demandé qui a dit de faire ça, et elle aurait eu une autre fessée. Peut-être aurait-elle dû être plus obéissante ? Mais est-ce vraiment une punition ? Ça en a l’air en tout cas. Son maitre de jeu s’en sert manifestement pour l’humilier et la dominer. Mais est-ce si terrible que ça ?
Inès a la moitié du visage maculé de sperme. Elle fait la grimace parce que l’expérience est gênante. Le liquide chaud, visqueux, est collant et sent fort. A la vue de la grimace de sa soubrette, Bruno rit.
-C’est pas drôle !
-Oh que si ! Et puis si tu avalais, ça n’arriverait pas.
Inès est pétrifiée. Avaler ? Elle n’en a pas très envie. Cela étant, elle est piégée par la promesse qu’elle lui a faite l’autre jour. Et Inès tient toujours ses promesses, comme elle s’en vante elle-même.
-Mais tu n’es pas obligé de tout mettre sur mon visage.
-Non, je peux tout te mettre dans le gosier.
A nouveau Inès reste silencieuse. Pourvu que Bruno ne se rappelle pas de la promesse.
-Il faudra bien apprendre à avaler Inès, tu m’as promis.
Et voilà. Le couperet est tombé. Inès a l’impression que le ciel lui tombe sur la tête. La promesse… elle va devoir apprendre à avaler le sperme de Bruno… Qu’est ce qui lui a pris de lui promettre d’apprendre ? Est-ce que c’est ça le cours dont il parlait ?
Voyant la mine éteinte de la petite brune, le professeur demande à son apprentie du sexe si cela pose problème. Elle n’ose répondre.
-Tu te souviens Inès que d’après ton contrat tu peux dire « stop » ?
-Oui, oui je sais. Dit-elle d’un air défaitiste. Mais j’ai promis et je tiens mes promesses…
Bruno bien que soucieux de vouloir dominer Inès et en faire sa salope personnelle, ne veut pas perdre la confiance de son apprentie et surtout ne pas briser leur lien qui se développe.
-Tu as un tabou ? Un truc qu’on ne fera jamais ? Un truc sur lequel tu me dis stop maintenant ?
Inès réfléchis quelques secondes. Bruno lui donne quelques idées : des tenues ou déguisements qu’elle refuserait de porter ? Faire des cochonneries en public ? À plusieurs ? Se faire attacher ? La sodomie ?
Inès, à genoux assise sur ses talons, redresse ses épaules et met son dos bien droit, lève son visage couvert de semence vers Bruno, tend la main face à lui en criant « STOP ».
-Stop à quoi ?
-La sodomie. C’est stop, stop… Et tu dois me l’accorder le stop parce que c’est dans notre contrat que j’ai signé pendant que tu m’obligeais à te dire que je voulais ta bite.
-Tu ne la voulais pas ?
Inès sourit et tourne la tête. Bien sûr qu’elle voulait sa bite à ce moment-là ! Et même que s’il la lui proposait maintenant elle en serait ravie. Bruno lui accorde immédiatement le stop, pas de soucis. Il n’y aura pas de sodomie.
Inès est rassurée qu’elle ait pu obtenir ce stop tout de suite. Visiblement, elle peut faire confiance à son maitre du sexe. Tout à coup, apprendre à avaler lui parait moins terrible si elle échappe à la sodomie.
Et puis, le sperme de Bruno lui semble moins visqueux et dégoutant que celui de son copain. C’est vrai après tout. Celui de Bruno a un petit parfum sympathique.
-On continue ?
-Quoi ?
-L’apprentissage petite soubrette.
-Ok.
-Ok qui ?
-Ok patron.
-Parfait. Lèche-moi la pine. Tu gouteras à la dernière goutte de jus de bite que tu y trouveras. Si ça te conviens pas, on continuera une autre fois.
Inès fait la grimace, hésite. Mais bon… Elle a promis, elle a déjà repoussé l’échéance, elle vient de mettre un stop… Il faut bien qu’elle compense en avançant sur son apprentissage. Surtout si elle veut être récompensée.
La petite brune se remet face à l’engin et lèche du bout de la langue le gland de son professeur. Celui-ci presse à nouveau dessus. Une goutte de semence sort et se colle à la langue. Inès se demande si le gout lui plaira. Elle n’est pas rassurée et cherche une solution pour s’en débarrasser. Elle frotte alors sa langue sur sa lèvre supérieure pour que la perle y reste sans entrer en bouche.
-Eh ben ! Eh ben !
-Pardon…
-Ce n’est qu’une goutte ma petite choute… Allez, juste une. Si tu ne veux pas après on continuera plus tard.
Promis, on a un contrat de sexe et je le respecterais comme toi avec tes promesses.
Inès se détend. Ce n’est pas si terrible. Et puis elle peut arrêter après. Juste gouter. Elle ferme les yeux, se pince le nez, lèche sa lèvre supérieure, prend enfin en bouche la petite perle de sperme, la pousse au fond de la bouche avec sa langue et avale enfin. Elle ouvre ensuite les yeux, libère son nez : tout va bien. Elle n’a rien senti en fait. Enfin, si : elle a senti la petite perle visqueuse en bouche mais elle n’a senti aucun gout particulier. Sans doute que la dose était trop minime pour qu’elle ressente quelque chose.
-Alors ? Demande Bruno souriant.
-ça va. Dit Inès en haussant les épaules.
Bruno prend sa queue en main. Il frotte le bout de son gland contre la joue d’Inès afin d’y collecter une goutte de son jus.
-Allez une autre goutte ma petite choute.
Inès inspire fortement et expire. La première goutte est déjà passée toute seule, la deuxième ne devrait pas être plus difficile. Elle ouvre la bouche en grand, lèche le gland de Bruno du bout de la langue et colle la semence contre son palais. Elle ressent un goût qu’elle croit connaitre : une note amère comme pour un pamplemousse insuffisamment mûr. Elle avale pour évacuer la fadeur qui s’installe. Puis, lui reste finalement en bouche un arrière-goût sucré. Voilà Inès un peu surprise. Elle a eu peur d’être dégoutée. Mais ça va. Bon, ce n’est pas une explosion de saveur du guide Michelin, mais ce n’est pas insurmontable.
-ça va ma petite choute ?
Inès opine timidement de la tête. L’air peu sûre d’elle, montrant qu’elle reste visiblement dubitative.
-Une dernière goutte pour la route ?
Tout en se mordant la lèvre inférieure, Inès opine. Elle a été un peu surprise du goût de la deuxième goute et elle est curieuse de vérifier son ressenti.
Bruno récupère de la même manière une autre goutte de semence sur le visage de sa petite apprentie soumise et lui met le gland dans la bouche. Inès referme ses lèvres dessus. Le goût est le même. C’est tiède remarque-t-elle. Mais ça passe. Cet apprentissage se passe plutôt bien pense-t-elle.
Oui, Inès se dit qu’en fait, ce n’est pas plus difficile que la première fois qu’elle a bu du soda qui lui piquait la langue en bouche avant de lui laisser un arrière-gout sucré. La première gorgée de soda était désagréable. Elle ne sentait que les picotements sur la langue et le palais. Puis, au fur et à mesure, elle s’est habituée et peut aujourd’hui en boire sans soucis.
Il faut croire que ce sera pareil avec le jus de pine. Pensant à l’idée qu’elle a surmonté une épreuve. Quelle a franchi un interdit, Inès sourit. Elle sourit de sa victoire. Maintenant elle est prête à avaler. Elle qui ne s’en croyait pas capable. C’est Cindy qui n’en reviendra pas. Sa copine va surement l’appeler pour faire le débriefing du weekend. Et lors de ce bilan, Inès pourra se vanter d’avoir surmonté son appréhension.
Oui, Inès est fière d’elle, de son accomplissement, de l’impression que cela fera sur sa copine et fière de sa nouvelle capacité à faire plaisir à son professeur.
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