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Inès la nouvelle assistante de Bruno 7

Bruno récupère son assistante pour un weekend assez peu professionnel. Il va chercher à la mettre en confiance tout en lui apprenant la docilité. Il va tout faire pour prendre du plaisir, en donner et faire en sorte que son apprentie se "lâche"...

Proposée le 17/06/2024 par Vincent20100

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Samedi matin avant 10h00, Bruno reçoit un message d'Inès lui demandant de la récupérer à la gare.
Le professeur de sexe par contrat d’apprentissage est un peu surpris de ce changement de programme, mais il n'a pas vraiment le choix. De toute façon il n’est pas très loin, il s’est arrêté dans une boutique afin d’acheter une tenue dans laquelle il veut voir son apprentie. Le simple fait de l’imaginer la porter le stimule grandement et il se sent un peu à l’étroit dans son jean. Il doit remonter manuellement son dard discrètement pour se sentir plus à l’aise.

A la gare, après quelques minutes d’attente en voiture, Bruno voit arriver Inès. Elle regarde autour d’elle comme si elle avait peur d’être reconnue, tout en marchant vers lui en tentant de discipliner ses cheveux bruns dissipés par le vent. Elle porte un court short en toile beige s’arrêtant en haut des cuisses et qui est suffisamment moulant pour laisser peu de place à la spéculation sur le contour de son derrière rebondi. Ses cuisses pimpantes et gracieuses, légèrement dorées, sont exposées à la vue.
Pour le haut, c’est un débardeur près du corps qui enveloppe sa poitrine galbée et permet d’en discerner nettement la forme. Le décolleté est suffisant pour laisser entrevoir la naissance de ses seins et l’échancrure qui les sépare. Elle est ainsi habillée comme ces filles qui partent en randonnée avec des copines, mais dont la tenue est plus « stylée » qu’adaptée.
Elle est magnifique on dirait Lara Croft, se dit intérieurement Bruno.

La voilà qui monte. A peine assise, elle s’attache. Et tout en regardant autour, demande à Bruno de démarrer rapidement. Celui-ci n’en fait rien et lui demande pourquoi elle est si inquiète et pourquoi elle ne l’embrasse pas ?
Inès est un peu surprise mais comprend que son entrée était un peu brute de décoffrage. Elle se penche vers Bruno et l’embrasse en collant ses lèvres de tout son poids et ses forces, comme pour appuyer physiquement sa volonté de lui montrer qu’elle tient à ce baiser autant que lui. Au court de ce baiser, le parfum floral enivrant de la belle brune saisi Bruno. Puis, elle se rassoit correctement face à la route. Cette tenue, ce parfum : il est clair qu’Inès veut plaire.

« Voilà ! On peut y aller maintenant ? C’est bon. Je suis désolée je suis perturbée ».
Ce à quoi Bruno répond par un éclat de rire.
« Ce n’est pas drôle » dit-elle.
Bruno démarre enfin pour s’éloigner de la ville et rouler vers son domicile. En chemin, Inès raconte pourquoi elle a insisté pour la rencontre à la gare. Sa mère a posé beaucoup de questions sur cette absence pendant tout le weekend. Inès n’a pas osé avouer quoi que ce soit. Alors elle a menti en racontant qu’elle partait avec sa copine Cindy.

Elle a eu droit à des remarques sur sa tenue trop courte et près du corps. Mais comme il fait chaud dehors et que c’est pour une virée entre filles, c’est passé. Enfin plus ou moins… La mère d’Inès les imagine prudes et sages toutes les deux malgré leur début de vingtaine.
Si elle savait ! Pense alors Bruno. Si elle savait que sa fille n’est pas avec sa copine et qu’elle ne va pas s’adonner à de chastes activités…

Inès continue de parler. Bruno comprend au cours du déballage émotionnel et conversationnel qu’elle a une forme de honte inavouée à passer un weekend avec son patron sachant que l’objectif est purement sexuel. Surtout que depuis plusieurs années, sa mère tente de lui de maintenir et fortifier une morale et un caractère ferme. Pour, justement, que sa fille ne se « donne » pas au premier venu. Elle voulait bien évidemment que sa fille soit raisonnable. Celle-ci s’est, au plus grand bonheur de sa mère, construite au lycée et à la fac une réputation de sainte.

Donc, la première fois qu’elle a dit à Bruno qu’elle n’était pas une pute, c’était sans doute pour assoir devant lui sa mentalité d’innocente. Mais quand elle lui a demandé auparavant qui il fallait sucer pour avoir un poste, c’était sous le coup de la colère. Et la colère révèle parfois des idées ou des volontés cachées…
Or, il semble que la veille de leur première rencontre, Cindy lui avait mis l’idée dans la tête (pour rire) de se préparer à sucer pour le poste. Et Inès en avait rêvé pendant la nuit (ou plutôt fait un cauchemar ?), ce qui l’avait un peu perturbée.

Etait-elle prête à sucer pour le poste à ce moment ? Surement pas. Pourtant le charisme et la résolution de Bruno l’ont incontestablement amenée à faire bien plus que ce que sa copine lui soumettait. Au début, c’était juste faire de petits gages comme les tenues. Éventuellement, si cela allait plus loin grâce aux encouragements grivois de Cindy, elle aurait fini par lui tailler une pipe. Et encore, avec peu d’assurance et du bout des lèvres.
Mais elle n’aurait jamais imaginé qu’elle irait jusqu’à se laisser baiser sur le bureau comme une petite friponne dévergondée tout en signant un contrat de sexe. Et le pire si sa mère savait : c’est que sur la fin elle a réclamé à se faire baiser !

Sans compter la suite… Passer un weekend avec un supérieur hiérarchique ? De surcroît le patron de l’entreprise ? Avec le but avoué d’orgie de sexe pendant 2 jours ? Et cela sans certitude d’une relation amoureuse ?
Non : visiblement l’éducation raisonnée donnée par sa mère n’autorise pas Inès à ce genre de comportement. Ce qui va aujourd’hui en contradiction totale avec son désir, ses envies, les appels puissants de son corps ardent de jeune femme assoiffée de sensualité et ne demandant qu’à s’enivrer de plaisir. Et cette opposition, cet interdit bravé, échauffe la jeune apprentie.
Est-ce que je ne vais pas devenir une grosse cochonne comme Cindy ? Pense-t-elle.

Arrivés chez son patron, Inès sort de la voiture et admire la demeure. Une maison simple, élégante, un peu à l’ancienne et avec le charme de ces maisons en meulière. De jolies fleurs et un beau gazon agrémente l’entrée. C’est assez romantique, ce qui rassure la jeune assistante qui craignait un peu les mises en garde de sa mère. Depuis quelques années, elle lui dit que les hommes ne pensent qu’à une chose mais pas aux conséquences. Qu’il ne faut pas se laisser faire pour ne pas devenir une trainée que l’on ne respecte pas.

Bruno l’invite à entrer. Il dépose dans le salon un sac en papier marron, du style des magasins de vêtements. Puis, il la débarrasse, lui propose un verre. Elle accepte un peu d’eau.

Elle absorbe lentement l’eau d’un verre, buvant presque goutte à goutte, comme pour ralentir le temps et retarder l’échéance. Inès sait bien qu’elle va passer à la casserole tout le weekend, mais cela la rassure de freiner les activités prévues par son patron. Celui-ci attend sagement, se doutant qu’il lui faut la mettre en confiance alors qu’elle arrive dans un environnement qui ne lui est pas encore familier et chez quelqu’un qu’elle ne connaissait pas il y a une semaine.
Tout en enchainant les petites gorgées quasi goutte à goutte dans ce verre qui se rempli de buée, son regard scrute la maison. Décorée simplement, propre, avec des couleurs primitives et claires. De beaux meubles ni trop modernes ni anciens et visiblement confortables. Un vrai piège à filles.

Le regard intense de Bruno hypnotise Inès et la sort de sa rêverie. Elle cesse de boire et garde le verre penché en bouche. Il passe les doigts dans les cheveux de son apprentie. Un frisson parcourt le corps d’Inès, qui, du regard, réclame un surcroît de contact physique. Sans doute le corps angélique de la petite brune se rappelle-t-il du plaisir pris la veille…

Bruno pose une main sur le cou d’Inès et de l’autre attrape le verre qu’il pose sur la table. Puis, il approche sans prévenir le visage angélique du sien et l’embrasse à pleine bouche en la plaquant contre le mur. Sa langue envahit la bouche d’Inès, laissant imaginer et présager le destin proche de sa chatte. La langue du professeur de sexe plonge dans la bouche de l’apprentie avec intensité, faisant ainsi voler chez elle toute hésitation sur ce qu’elle doit faire à cet instant. La langue s’enfonce le plus profondément possible et caresse celle de sa maitresse. Visiblement le patron est impatient. Il attend depuis hier soir cet instant.

Après plusieurs secondes de contact exquis entre leurs lèvres et langues, il la relâche. Inès est un peu frustrée de cette interruption, mais cela fait partie du jeu.

Le professeur de sexe attrape la main d’Inès et l’entraine dans le salon. Il la place près de la table face au sac en papier marron et attend juste derrière elle. « Ouvre ! » lui dit-il. L’élève s’exécute docilement. Mais sans doute plus par curiosité que par obéissance.
A peine attrape-t-elle le paquet, qu’elle sent les mains fermes et puissantes de Bruno sur ses hanches. Les mêmes mains s’insinuent rapidement sous son débardeur et remontent pour lui peloter les seins. Il poursuit ensuite le pelotage d’une main, et dégage de l’autre main le visage d’Inès en passant les cheveux derrière les oreilles et embrasse ses joues, puis, ses épaules et son cou.

Inès, sans se laisser perturber, se laisse guider par sa curiosité. Elle ouvre le sac et en sort un vêtement : une robe noire et blanche ? Non, se dit-elle une fois déballée. Enfin, si. C’est une petite robe noire avec un tablier blanc et une petite coiffe blanche à poser sur les cheveux.
Inès s’immobilise : c’est une tenue de soubrette ! Elle se demande si Bruno veut vraiment la voir dedans. Elle frissonne : va-t-elle porter cette tenue devant lui ?

Les deux mains reprennent le malaxage de la poitrine et l’intensifient. Le patron est émoustillé. Inès demande si elle doit porter ça. Il s’arrête. La retourne. Il la fixe droit dans les yeux. « J’ai acheté ça ce matin avant de venir te chercher. Je ne pense qu’à ça depuis tout à l’heure ».

Puis, il l’étreint vigoureusement, l’embrasse passionnément, comme si sa vie en dépendait. Il enflamme ainsi Inès qui se sent très excitée par cet engouement.

Alors que Bruno libère la bouche de sa docile assistante pour lui embrasser son cou, ses joues et lui pétrir son derrière rebondi, Inès se demande si son patron ne la prend pas pour une fille facile ?
Elle veut se raisonner et abaisser l’excitation de son patron en restant immobile, mais c’est peine perdue. Étant elle-même sous le coup d’une intense tension sexuelle, elle va devoir se l’avouer : elle a besoin de plus, besoin de contact, besoin de caresses, de se sentir désirée, prise, pénétrée, de jouir comme la veille…

Tout en l’embrassant, Bruno soulève sans prévenir le débardeur et le jette par-dessus, déboutonne le short et le pousse vers le bas. Sa soumise l’aide et remue des cuisses et des hanches pour faciliter la descente de ce morceau de toile. La voilà au milieu du salon en soutien-gorge noir semi transparent et une assez petite culotte noire à bords en dentelle qui couvre le strict nécessaire.

Les mains du patron parcourent le corps de son assistante. Inès s’abandonne, se laisse faire, murmure, soupire de désir… Elle est en apparence naïve et innocente mais elle se laisse bien aller à la tentation.

Le professeur de sexe a bien embrasé son apprentie. Son regard témoigne qu’elle veut poursuivre. Qu’elle en veut plus. Bruno sourit et lui montre du doigt la tenue de soubrette. Inès baisse la tête, mets la robe, le tablier. Elle glousse en voyant la tenue sur elle. Puis elle enlève ses chaussettes pour les remplacer par les bas blancs qui se sont révélés dans le sac. Enfin, Bruno pose la coiffe sur la tête de son apprentie enthousiaste.

Bruno fait un pas en arrière, fait tourner Inès sur elle-même. Elle sourit, elle est radieuse. Elle se sent admirée, belle, sublime, alors même qu’elle est un peu confuse de porter cette tenue.
Elle sait qu’accepter cette tenue, c’est accepter le sexe qui va avec. Du sexe dominant et primitif : rien à voir avec les conversations feutrées et romantiques que sa mère imagine pour elle. Non, plutôt des ébats intensifs et bestiaux.

Inès se mort la lèvre inférieure et lance un regard de braise à son amant. Un regard qui dévoile ce qu’elle veut. Elle se sent un peu provocante dans cette tenue de soubrette qui épouse ses formes, les mettant en valeur. Ce qui la rend tout de même légèrement anxieuse mais pas en danger.
Bruno se rapproche d’elle pour l’attirer vers lui. Inès quand à elle, se laisse aller, glissant les mains sur les cheveux courts de son patron, ouvrant la bouche sur intrusion des lèvres et la langue de Bruno, et participe ainsi sans retenue à cette expérience nouvelle pour elle.

Bruno recule et l’entraine avec elle. Puis, s’assied sur le canapé. Il l’attire en tirant sur une main. Inès dans sa tenue de soubrette, se met sur le canapé à côté de lui, à genoux, assise sur ses talons. "Et maintenant demande-t-elle ?"

Sans rien dire, Bruno la fixe de son regard résolu. Résolu à la baiser bien sûr.
Inès soutient son regard, elle est hypnotisée par la situation et les yeux de son patron, professeur de sexe et maintenant maitre de ses activités sexuelles. Sa tenue de soubrette l’excite et la met en position de docilité. Bruno déboutonne son jean, sort son sexe et attrape une main d’Inès qu’il pose sur sa pine. La soubrette baisse les yeux et, tout en regardant le pieu de son maitre, commence à le branler spontanément, sans réfléchir. Après tout, Inès n’est pas stupide, elle se doute que c’est ce que son prof veut. Et puis ça l’amuse de tenir cette colonne de chaire dure et chaude dans sa main.

Après quelques va et viens plus ou moins assurés par la main angélique, la bite dressée de Bruno ne demande qu’à passer à l’action. Il presse la tête de sa soumise pour l’approcher de sa queue. Bizarrement, le fait que sa nuque soit « commandée », augmente l’excitation d’Inès : elle aime ça.

Elle peut, sans s’en vouloir, enfreindre la morale de sa mère. Après tout, elle est en apprentissage, elle doit obéir. Et puis, elle n’a pas trop le choix, se dit-elle intérieurement pour se convaincre qu’elle n’y est pour rien.
Ses douces lèvres enveloppent le gland de son maître sans qu’il ait besoin d’insister ou de commander. Elle le fait d’elle-même. Comme si la pression exercée par la main du professeur n’était que l’impulsion qui manquait à la petite soubrette pour franchir le dernier point de non-retour à ce weekend de débauche.

Confortée par le fait qu’elle soit soumise et (qu’en apparence) elle n’ait pas le choix, Inès avale autant que possible la queue qu’elle a en main et commence à la sucer goulument. Elle sent sur sa langue le contact chaud et rigide de l’engin qui occupe sa bouche. Elle suce et suce, en enserrant le pieu entre sa langue et son palais. Elle repense à sa première baise avec Bruno et se dit que si elle s’applique, elle sera récompensée par un délicieux et intense cunni comme hier. Inès n’a plus d’hésitation : elle lèche, suce, tète, gobe, aspire… Elle pompe et pompe cette bite ardente comme si elle cherchait à en extraire le maximum de jus…

Ses talents buccaux d’hier ne sont pas dus à un coup de chance. Si elle est toujours aussi douée aujourd’hui encore, c’est certain, Inès n’a pas menti sur son CV : elle détient une vraie habileté linguistique ! Une salope pas si farouche qu’elle le prétendait, se dit intérieurement Bruno.

Pendant ce temps, il lui prodigue des caresses lentes, assurées et décidées. Elle est si mignonne dans cette tenue de soubrette qui enserre ses seins et leurs donnent un air provoquant et proéminant. Si mignonne avec cette petite robe qui couvre à peine ses fesses fermes, rondes et à demi exposées.
Tandis qu’il caresse les cheveux d’Inès comme pour la conforter et l’encourager à continuer à lui pomper consciencieusement le dard, de l’autre main, il s’occupe de l’entre cuisse.

Ses doigts décalent sa petite culotte noire. Ils se posent sur les grandes lèvres suintantes et s’immiscent ensuite dans sa chatte. Une chatte si humide, qu’ils pénètrent sans difficulté. Le professeur alterne : d’abord il pénètre de son index et de son majeur dans le doux et chaud tunnel d’amour de sa petite soubrette brune. Ensuite, il prodigue de sa main des massages énergiques de la vulve et des grandes lèvres, avant de réintroduire ses doigts : ce qui fait vibrer de plaisir la petite soubrette improvisée.

Ainsi elle prend du plaisir, plus tôt qu’elle ne l’imaginait, tout en suçant son patron. C’est en fait un bon moyen pour elle d’apprendre à aimer pomper la pine de son professeur. Car, ainsi, en prenant du plaisir par sa chatte pendant que sa bouche travaille, elle assimile la fellation à un plaisir personnel.

Il retire ses mains et se relève, la pine dressée, enduite de salive de sa soubrette. Il lui ordonne de ne pas bouger et se place derrière elle. Inès est toujours à quatre pattes sur le canapé : la voix autoritaire avec une pointe de sensualité de son maitre la fait vibrer et la rend docile.

Sans crier gare, Bruno tire et déchire sa culotte. Elle se sent d’abord un peu révoltée de cette exaction. Elle a payé cher sa culotte et a pris du temps à la choisir ! Mais la profanation ferme et déterminée de la fine barrière de tissu, dernier obstacle entre l’objet de son plaisir et sa chatte humide qui la démange, la fait mouiller encore plus.

Le professeur de sexe lui claque le derrière et recommence immédiatement à la doigter pour maintenir le niveau d’excitation et couper court à toute tentative de protestation.

Inès soupire, elle aime le traitement qu’on lui inflige. Bruno demande alors : « ça te plait ? ». Inès secoue la tête pour approuver.
« Petite garce ».
Tout à coup, le doigtage s’arrête, une autre claque tombe sur le fessier d’Inès qui sursaute de surprise. Elle se redresse, assise sur ses talons, la jupe remontée à mi-cuisse et son chemisier entrouvert qui offre une vue splendide sur son décolleté.

Bruno la dévisage de son regard hypnotisant. La soubrette ne bouge pas. Elle n’ose pas, surtout après la deuxième petite claque qui l’a surprise. Elle reste là soutenant, avec une pointe touchante de docilité, le regard de son professeur, la bouche demie ouverte. Celui-ci insère son pouce dans cette bouche offerte à disposition.

Par défi, par jeu ou par provocation ou même excitation, Inès suce le pouce de son maitre de jeu sexuel. Elle aspire le pouce en souriant des lèvres et du regard.
« Salope ».

Inès ouvre la bouche s’apprêtant à protester. Le professeur retire son pouce, met une tape sur une joue et un revers sur l’autre. Elle ne dit donc rien mais lui lance un regard de défi. Alors, Bruno lui attrape la nuque d’une main, la fait se mettre à quatre pattes, et lui met plusieurs petites claques sur le cul.
« Je t’ai dit que je t’apprendrais à être docile ». Ces quelques fessées, ne sont pas assez fortes pour qu’elle ait mal, mais suffisamment fermes pour que la peau chauffe légèrement. Il s’arrête rapidement et se penche à son oreille : « tu veux une récompense ? Tu veux un bon cunni comme hier ? ». Pour toute réponse, Inès ne bouge pratiquement pas, si ce n’est sa tête qui hoche lentement pour dire oui.

Pour la rassurer, Bruno lui caresse tendrement les fesses et lui rappelle comment il lui a bouffé et léché la chatte la veille. Ce qui non seulement la tranquillise, mais la fait à nouveau mouiller au souvenir du plaisir qu’elle avait pris.
« Alors je t’offres une petite récompense ? ». Inès, toujours à quatre pattes, hoche la tête vigoureusement.
« Ok, mais comme tu t’es rebellée, il faut mériter ta récompense ». Elle opine à nouveau. . Elle se redresse, jambes repliées sous ses fesses, assise sur ses talons. Bruno tend sa queue vers le visage de la soubrette qui s’exécute immédiatement. Elle est partagée. D’abord entre le fait qu’elle veut éviter une autre fessée et obtenir sa récompense qu’elle pensait pourtant avoir déjà mérité. Et ensuite le fait que son maitre de jeu du sexe l’avait prévenue qu’elle devait être docile. Elle s’est rebellée, ou a tenté de le faire, elle doit se racheter : cela fait partie du jeu.

Alors, elle reprend avec conviction la pine qui se présente à elle en bouche et la pompe avec détermination.

Après un traitement approprié mais avant de risquer de barbouiller le minois de sa trop mignonne soubrette, Bruno se retire et ordonne à Inès de s’allonger sur le canapé.

Elle se met sur le dos, les jambes légèrement écartées, les bras collés l’un contre l’autre, couvrant ses seins et les poings refermés devant sa bouche. Elle anticipe le plaisir qui arrive. Son professeur agrippe ses cuisses, les écarte avec calme et puissance. « Ta chatte est à moi ? ». Inès opine en souriant.

Bruno, satisfait de la réponse, se penche, plonge entre les cuisses et lui dévore alors la chatte avec toujours autant de détermination qu’hier. Mais avec plus d’avidité et en jouant avec le clito de son pouce humidifié par la salive d’Inès. Elle se laisse sombrer dans le délice de l’action. Elle subit mais prend du plaisir. Elle s’abandonne. Cela fait-il partie de son apprentissage de la docilité prévu par Bruno ?

Après un moment, elle commence à couiner. Bruno lui demande à nouveau : « ta chatte est à moi ? ». Elle soupire et couine.
- Ta chatte est à moi ?
- Oui, oui !
Il poursuit son traitement. Le plaisir envahit Inès. Elle sent que c’est plus fort que la veille. Elle tente d’étouffer ses gémissements. Bruno s’interrompt : « te retiens pas Inès. Gueule ! Crie ! Joui ! Je sais que t’es une petite garce... C’est bon hein ? ».
Inès opine et caresse d’une main la tête de Bruno pour l’encourager à poursuivre.
« T’en veux encore ? Salope… ».
Inès ne proteste pas, elle a trop envie de se faire dévorer l’abricot devenu bien juteux grâce aux bienfaits de son professeur. Celui-ci, reprend la fouille approfondie du vagin liquoreux et brûlant de sa soubrette. Inès, trop heureuse, n’arrive plus à se contraindre au silence.
« Oh putain ! Oh ! Oh ! Oh ! Putain! Putain! Merde, merde ! Oh! Oh! ».

Bruno sent que son apprentie vient de jouir. Il se place au-dessus d’elle. Il l’embrasse et lui caresse les cheveux en les plaçant derrière l’oreille. « Ta chatte est à moi ? ». Inès soupire de satisfaction, sourit et opine à nouveau. Elle est sur un petit nuage de plaisir. Cette phrase assimilée à un moment de plaisir semble encore permettre à Inès d’associer sa docilité au plaisir.

Le professeur de sexe caresse de sa main la vulve et les grandes lèvres. Il y introduit à nouveau index et majeur. La fente est si humide que les doigts y glissent sans effort. L’apprentie soupire et caresse la tête de Bruno.

« Ta chatte est à moi, je peux te baiser quand j’en ai envie ». A peine a-t-il fini sa phrase qu’il retire sa main, relève les cuisses de sa soubrette, les lui collent contre son ventre et introduit sa pine lentement. D’abord juste le gland. « Tu veux ? ». Elle sourit.
- Tu veux ?
- Oui…
Il s’introduit complètement, et commence à la pistonner lentement mais de façon régulière et franche. Il s’arrête après quelques allers retours, se retire et la regarde droit dans les yeux. « Ta chatte est douce et ferme, tellement confortable qu’on veut toujours y revenir ». Inès sourit et glousse, mais se demande pourquoi son maitre de sexe ne reprend pas le pistonnage.
Elle veut à nouveau du plaisir. En plus, il la pousse à se libérer, assumer ses pulsions… La voilà moins angélique que tout à l’heure : ses yeux de biche docile sont devenus des yeux de chienne affamée de sexe bestial et primitif !

« Regardes toi petite garce. Les petites soubrettes comme toi sont des salopes. C’est tes yeux qui me parlent et me le disent. Tu veux que je te ramone ? ». Inès hésite, elle soupire de désir, elle ne veut pas que ça s’arrête. Elle sourit, opine de la tête : « oui, oui ! »
- Dis le moi
- Je veux… que… vous me ramoniez…
- Alors à quatre pattes. Les soubrettes salopes se font ramoner en levrette.

Inès se retourne, se met en levrette. Bruno lui met une claque sur le fessier : « baisse la tête et les épaules, remonte ton ptit cul ! ». Elle s’exécute immédiatement.

Le professeur de plaisir caresse les fesses d’Inès. « Ah, Inès… Si j’avais su dès le début que tu avais ce potentiel de salope on aurait gagné un jour ou deux… Salope… ».
Il introduit deux doigts dans la chatte d’Inès. Il lui demande si elle aime. Elle lui répond que oui, qu’il peut la ramoner, qu’elle aime ce qu’il lui fait, que sa chatte est à lui et il peut l’investir quand il veut, mais que maintenant ce serait mieux parce qu’elle a envie !
Tout en parlant, il continue à explorer les parois du tunnel d’amour de sa soumise de ses doigts agiles et dynamiques.
-Encore ? Tu as encore envie ?
-Oui.
-T’es vraiment une petite salope alors.
-Oui oui ! Votre petite salope patron. Habillez moi comme vous voulez, insultez moi, faites-moi dire ce que vous voulez, mais me laissez pas comme ça. Pitié, pitié !
-T’es une petite salope parce que t’aimes que je te baise et une petite pute parce que tu seras à ma disposition.

Inès soupire fortement, puis prend quelques secondes avant de répondre. Mais elle est totalement vaincue et dominée par son envie de prolonger son plaisir.
-Oui d’accord… Je suis une salope, une pute.
-MA pute
-Oui, oui, votre petite pute à vous rien qu’à vous.

Bruno jubile. Il retire ses doigts, se place derrière elle, une main sur le dos d’Inès pour la maintenir et l’autre sur une hanche pour s’agripper à elle. Son gland se présente à l’entrée du fourreau d’amour chaud, doux et dégoulinant de mouille. Il introduit lentement son gland. Il s’arrête. Inès respire fortement. Elle est prête à recevoir la colonne de chair qu’elle réclame.

Il entre alors d’un coup sec, son bassin claque sur le cul de la soubrette. Il la ramone copieusement et sans retenue.
-Salope ! Salope !
-Oh ! Oui ! Encore ! Putain, putain ! Encore ! Oh ! Oh !
Les vas et viens claquent et claquent encore. Le gland du maitre de sexe tape au fond de la chatte de la soubrette : elle aime ça et ne lui a pas encore dit. Mais elle couine son plaisir.

Bruno ne va plus tenir longtemps, et prévient Inès qu’il va lui souiller le visage. Alors Inès se redresse pour protester, elle a relevé la tête mais sans se retourner, tend son bras et sa main en arrière comme une supplique : « non ! Non ! Encore un peu s’il te plait ! Oh s’il te plait ! S’il te plaît ! Je suis ta salope, ta pute, ce que tu veux mais encore, encore ! »
Devant l’excitation de son amante, Bruno continue en tentant de tenir. Encore quelques vas et viens et voilà qu’Inès crie en se mordant les lèvres et fermant les yeux. Sa chatte vibre, se contracte et se décontracte sur la queue de Bruno. Son chibre se fait malaxer par le vagin de la soubrette. Il ne tient plus et expulse avec force sa semence.
Inès respire fort, comme pour reprendre sa respiration. Elle a pris plus de plaisir qu’hier, plus qu’elle n’imaginait. Porter cette tenue et ces bas, se faire dominer par son amant et se libérer ainsi décuple son plaisir.
Bruno lâche un râle de contentement. Lui aussi a pris du plaisir. Il aime dominer Inès, lui dire quoi faire et comment s’habiller. La traiter de salope alors qu’elle en faisait un interdit.

Maintenant qu’elle va jusqu’à se laisser traiter de petite pute, il la domine totalement. Inès ne va plus lui tenir tête ni faire mine de se rebeller. A moins qu’elle ait encore suffisamment de caractère pour se rebiffer encore…

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