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Safia, femme de Rachid et les marchands ambulants (1)

Safia est une femme gourmande en sexe mais insatisfaite par son mari Rachid qui est en réalité gay. J'ai essayé d'y subvenir quelques temps mais les besoins de sa chatte étaient trop importants pour moi. Alors je l'ai amenée aux zobs de plusieurs marchands ambulants du souk hebdo. Et ça a marché.

Proposée le 17/06/2024 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Je connaissais le couple Rachid et Safia bien avant leur mariage il y a 30 ans et pas mal de leurs problèmes et confidences. Mais ils viennent de se séparer alors que Rachid a 50 ans et Safia 47 et paraissaient pourtant en bons termes. Je savais depuis toujours que Rachid était gay et aimait faire plaisir ? sa Terma, mais sa femme ne le savait pas. Et pendant toutes ces années, ils ont bien vécu en famille, apparemment sans problèmes majeurs, et ils ont même eu deux garçons, maintenant mariés et travaillent ? l’étranger.

Comme Safia s’était souvent confié ? moi pour ses petites disputes avec son mari, mon ami, je l’ai poussée ? m’expliquer les raisons de leur querelle et séparation ? l’amiable. Elle m’avait donné quelques excuses que j’ai rapidement écarté et j’ai insisté jusqu’à faire semblant de me fâcher. Et après plusieurs jours d’hésitations, en la poussant au fond de la confidence privée, elle a craqué et fini par m’avouer qu’elle avait découvert que Rachid était gay depuis des années et que cela l’avait choquée. Mais comment l’avait-elle su ?

Comme ils avaient depuis des années un PC familial commun, chacun l’utilisait pour ses besoins propres. Si les dossiers et e-mails de Safia étaient en clairs, Rachid, par contre, y avait, en plus, un gros dossier avec mot de passe. Mais sa femme l’avait décodé (c’était la date de naissance de Safia !) depuis longtemps mais n’avait jamais osé l’ouvrir en détails. Mais comme maintenant, depuis plus de deux années, leurs relations sexuelles s’étaient diminuées jusqu’à être nulles les six derniers mois, elle a eu la puce ? l’oreille. Elle a pensé ? une autre femme pour son mari. Elle a donc ouvert le dossier et regardé les fichiers privés de Rachid qui contenait des sites gays, des vidéos de sodomies, des photos d’hommes nus et de zobs de toutes sortes.

D’abord choquée, elle s’est tu pendant quelques jours, puis, un soir, poussée, peut-être, par ses besoins sexuels frustrés, elle s’est disputée avec Rachid et a fini par lui avouer ce qu’elle avait découvert. Il a d’abord protesté pour son fichier secret, puis il a été obligé de lui avouer sa situation et qu’il continuait ? pratiquer, même ? 50 ans. Safia a versé quelques larmes, puis, ils se sont calmés et ont décidé de ne rien faire de fâcheux. Et après environ un mois de réflexions, ils ont décidé de ne plus avoir de relation maritale et de se séparer ? l’amiable, mais sans divorcer.

Donc, ils vont continuer ? vivre dans la même maison dont Rachid assurera tous les besoins, comme avant, mais chacun sera totalement libre de ses actions. En somme, Rachid continuera ses sodomies pour faire plaisir ? sa Terma et Safia est libre si elle désire ? avoir des amants pour satisfaire ses besoins sexuels frustrés, mais discrètement.

Et c’est ainsi que la vie de Safia a complètement changé sexuellement. Privée de sexe sérieux depuis des années, elle a tout de suite cherché une occasion, un zob pour sa chatte sevrée. Mais elle n’avait pas d’expérience, alors elle m’a fait des avances puisque j’étais proche et dans la confidence. Safia était une très belle femme et surtout ? son âge, son corps était plein de vie et de désir, mais j’ai hésité un peu. Elle a du le dire ? Rachid qui m’a contacté pour me dire qu’il préférait que ce soit moi, son ami, qui baise avec sa femme au lieu d’inconnus.

Alors j’ai sauté la barrière et j’ai eu avec Safia, dans le lit de son mari et dans le lien, chez moi plusieurs séances de baises. Elle a une soua (chatte) douce et chaude en même temps et dès que je l’ai pénétré, il m’a semblé que mon zob s’est gonflé et allongé encore plus. J’ai eu du plaisir dès le premier contact et j’ai foncé. Elle a eu, très rapidement un orgasme agité et bruyant. J’ai bien ressenti le fleuve de mouille de sa chatte qui pulsait de part et d(autre de mon zob et ça m’a encore affolé. Alors j’ai accéléré jusqu’à perdre presque perdre, moi aussi, conscience et j’ai éjaculé plusieurs fois avec des coups de bélier ? chaque pulsation. Safia hurlait autant que moi et nous sommes tombés dans les pommes.

Après, Safia m’a dit que je baisais nettement mieux que Rachid et que mon zob était formidable. Pour une femme sans expérience en sexe, sauf avec son mari gay, ce compliment n’avait pas beaucoup de valeur pour moi. Mais après plusieurs séances chaudes et jouissantes, pratiquement deux mois de baise, Safia s’est avérée grande affamée de sexe et presque insatiable.

Elle criait toujours son plaisir et s’agitait beaucoup en se tendant vers le zob quant je le retirais un peu puis elle hurlait de jouissances lorsque je m’enfonçais en elle avec force. A tel point, qu’au bout de ces deux mois, j’avais compris que je ne pouvais plus satisfaire ses besoins qui se sont avérés très importants.

Alors, j’ai cherché, pour elle, d’autres amants, mais le problème de la discrétion était majeur, surtout dans notre ville et voisinage. J’ai donc eu l’idée de la faire baiser par des gens de passage, des inconnus qui ne résident qu’un jour ou deux dans notre ville. C’étaient les marchands ambulants des souks d’un jour et qui vont de ville en ville sans se fixer. Je l’ai expliqué ? Safia qui m’a confiée la mission de faire le nécessaire pour elle.

Et un jour, je l’ai amenée au souk de la semaine. Et parmi les marchants qui étalaient leurs effets devant leur camionnette-roulette, j’ai repéré un homme d’une quarantaine d’années qui me semblait faire l’affaire d’après mes critères. Il avait une belle prestance, bras retroussés et chemise ouverte sur sa poitrine velue, ayant de grosses moustaches et était très dynamique dans le contact avec les clients et clientes. J’ai alors invité Safia de choisir des vêtements et surtout de marchander avec l’homme, tout en baissant son voile et en lui découvrant son visage et son sourire. L’homme refusa d’abord de baisser ses prix, mais Safia a du lui faire un ou deux clins d’œil et son sourire a piégé l’homme qui a changé d’attitude.

Je n’étais pas loin et j’ai bien observé la drague de Safia. Elle a demandé ? l’homme s’il avait d’autres choses dans la roulotte et l’homme a sauté sur l’occasion et l’a invitée ? y pénétrer, ce qu’elle fit discrètement. L’homme a appelé son jeune voisin de garder un œil sur sa marchandise étalée et a rejoint Safia dans la roulotte dont il a fermé la porte latérale. Alors, je me suis dirigé derrière la roulotte et, discrètement, j’ai collé mon oreille sur le métal. J’ai parfaitement entendu les gloussements et rires de Safia ainsi que chuchotements de l’homme.

Puis, des froissements de vêtements et enfin un gros cri de Safia que j’ai bien entendu : « Ah ! wach hadha zob ! « (oh quel zob !).
Puis, l’homme poussa un grand « aaahh » suivi d’un «han » puissant, accompagné d’un long « oooh » de Safia. Je savais que le zob de l’homme venait de pénétrer la chatte de la femme avec toute la violence du désir des deux partenaires affamés.

Ensuite, les hans de l’homme et les « flop-flop » des vas et viens du zob dans la chatte mouillée devinrent très distincts et les gémissements de Safia de plus en plus bruyants et accélérés. Elle hurlait :« ya souti ! achab’3i ! hadha zob kh’chine wa m’tine ! wa h’lou )
( ô ma chatte ! rassasies toi ! c’est un zob gros, épais et puissant ! et aussi doux !) et l’homme en haletant ; « 7al’li ! 7al’li fkhadhak ! » (ecartes ! écartes tes cuisses ! » puis : « dhoug ya zébi ! soua
s khouna ! » ( goutes ô mon zob la chatte échaudée !) et encore :
« ya ka7ba ! e nikak ! bi zebi lakhchine ! » ( putain ! je te nique! avec mon gros zob)

Elle riait de manière hystérique à ses paroles et à ses coups de zob dans sa chatte. Et lui, dans un râle lui promit :
« wa’n jiblak r jaal inikouk wa chab3ouk ! »
(puis je t’aménerais des hommes pour te niquer et te rassasier !).
Ceci dit au milieu de souffles saccadés de désir. Leurs ébats durent beaucoup plus qu’un quart d’heure durant lesquelles j’ai entendu le cri affolé de Safia lors de son premier orgasme.

Curieusement, elle cria dans un rire bruyant et hystérique : « ah ! ya zob ! k talatni ! zidni ! zidni !» ( ô ! zob ! tu m’as tué ! encore ! donnes encore ! ) Et ils ont continué et enfin, ce fut un autre cri commun, presque un hurlement qu’ils essayaient vainement d’étouffer, ce fut l’éjaculation du zob du marchant dans les entrailles dans la chatte de Safia. Ensuite, Safia entièrement satisfaite, lui a dit très nettement :
« b’sa7tak ya rajal ! t naffass tou n ta wa zebek fi souti ! »
( bravo ! ô homme ! tu t’es soulagé toi et ton zob dans ma chatte !) .

Mais comme c’était le premier gros zob étranger à part celui de son mari et du mien, elle a été secouée de désir et en a eu encore envie. Alors elle lui dit d’une voix pleine encore de désir :
« rani n chouf zebek mazal wagaf ! » (je vois ton zob encore gonflé ! » et en riant : « n zidou nikou ! ana rani mazal khawya !»
(on nike encore! moi, je suis toujours affamée).

Mais l’homme qui s’était bien soulagé avait d’autres projets pour cette putain d’occasion : « yassar 3’lya ! ya ka7ba mazalti 3atchana ! »
(suffit pour moi ! putain encore assoiffée).
Et je l’entendis lui ajouter en rigolant :
« dhourouk n jiblak zbouba li ichab’3ouk ! »
(! maintenant je vais t’amener des zobs qui vont te rassasier ! )

Ensuite, du silence puis quelques chuchotements. Enfin j’entendis l’homme ouvrir la porte de la roulotte. Alors, rapidement j’ai accouru de l’autre coté. Le marchant discuta avec le jeune homme auquel il avait confié la garde de sa marchandise. Mais Safia était restée ? l’intérieur de la roulotte. Puis, j’ai vu le jeune qui s’éloignait en courant comme si le marchant lui avait confié une mission. Quelques minutes plus tard, un autre homme, visiblement un autre marchand est arrivé et après quelques discussions avec le baiseur de Safia, il a pénétré, ? son tour dans la roulotte et a fermé la porte.

J’avais compris que ce nouvel homme venait de rejoindre Safia, donc pour une autre séance de plaisir et de jouissances pour la chatte de mon amie. Le premier marchant avait donc appelé un de ses copains comme client pour une partie de plaisir dans sa roulotte avec cette putain visiblement affamée de zobs. Et encore une fois, je suis retourné derrière la roulotte et j’ai écouté.

Et comme auparavant, quelques chuchotements puis rapidement des « oooh » et des « aaahh » extasiés de Safia à la découverte de ce nouveau gros zob étranger. Et rapidement, suivis de ses gémissements de plus en plus bruyants et accélérés. L’homme, excité et affolé à la vision de cette nouvelle chatte bien gonflée s’est jetée sur elle, en extrême vitesse, le zob gonflé ? bloc de désir.

Il lui a sauté dessus avec une extrême rapidité et presque en silence car, immédiatement, avec la force et la violence du désir sexuel, il a du enfoncer son zob dans la chatte de la femme, certainement jusqu’aux couilles car j’ai pratiquement entendu le choc et le claquement des deux bas ventres l’un contre l’autre et le hurlement de plaisir de Safia, surprise par la violence de la pénétration brutale du gros zob affamé :
« aaah ! ya m’ma ! » (aaah ! ô maman ».

Et après un bref instant, elle ajouta :
« bi sassya ya rajal ! zebek g’3arli souti ! »
(doucement !ô homme! zebek a défoncé ma chatte !) et dan ses premiers râles de plaisir :« rah idawar youkhroujli mine dhahri ! »
(!il veut sortir dans mon dos !). Et l’homme
« 7al’li fkhadhak zayne ! sakri foumok ! » (écartes bien tes cuisses et fermes ta gueule !)
et avec une voix bourrue complétée d’un d’un fort « han » il ajouta :
« dhourouk t choufi h lawate zébi ! qouwat e nayka n ta3ou ! »
(tu vas voir la félicité de mon zob ! et la puissance de sa baise !).

Cette pénétration sauvage a provoqué chez les deux amants des cris de jouissances, presque des hurlements et j’entendais parfaitement leurs souffles bruyants et saccadés. En collant mieux mon oreille, j’ai aussi distingué les flops répétés et accélérés des vas et viens du zob gonflé dans la chatte mouillée et encore pleine de sperme de Safia. Et malgré les halètements et souffles bruyants des deux partenaires, j’ai presque clairement entendu les paroles de Safia qui hurlait sans retenue :
« ya zob lakhchine ! ziid ! nikni ! ziid ! baradli souti ! » (ô gros zob ! continues ! niques moi ! continues ! éteint ma chatte !).
Et l’homme de répondre dans le même désir :
« hati ! hati soutik lam3asla ! zébi m’ta’n’nane 3’liha ki loutad ! » (donnes ! donnes ta chatte mielleuse ! pour elle mon zob est gonflé comme un pieu !).

Et ils continuèrent ainsi en s’excitant mutuellement par l’acte et les paroles. Mais, cette seconde séance de jouissances a duré moins que la première car l’homme semblait pressé et Safia encore chaude de désir et leurs deux sexes déjà gonflés et prêts à éjaculer.
Et l’homme, lorsqu’il a éjaculé, a autant crié que le premier et Safia en a fait de même. Ensuite, je suis retourné de l’autre coté, mais, surprise, la porte de la roulotte restait fermée. Alors, encore une fois, je suis revenu rapidement derrière la roulotte et j’ai recollé mon oreille.

Et je les ai entendu, distinctement et qui baisaient encore une fois. L’homme avait donc de la ressource dans son zob et dans ses couilles et Safia était toujours consentante car affamée de zob gonflé.
L’homme, dans un souffle saccadé disait : « hatiha ! mazalat s khouna bi chahwa ! zébi mazal m’ta’n’nane 3’liha »
(donnes la moi ! elle est encore chaude de désir ! mon zob est toujours gonflé pour elle ! et « n zidou nikou soua ! 7amrat chouarab !) »
(on vas encore niquer la chatte qui a ses lèvres rouges!).

Et le rire gras et hystérique de Safia rassasiée de lui répondre :
« hahi layk souti ya rajal al qawy ! zébék 3jab ha ! habalha ! «
( elle a toi ma chatte ô homme puissant ! ton zob lui plait et l’affole !) et rire saccadé :
« chahia a’t’nayk m’3ah bil qoua ! layh nikni ya rajal ! nikni ma ta7bassach ! »
( elle désire niquer et avec force !vas y niques moi ô homme ! niques moi et ne t’arrêtes pas !)

Safia me semble affolée par les prouesses du zob de cet homme et elle lui en redemande. Alors ils repartirent encore une fois de plus belle dans leurs plaisirs et jouissances avec cris et hurlements sans retenues. J’entendais les mêmes gémissements et les mêmes vas et viens du zob dans la chatte et le souffle bruyant et saccadé de l’homme et ses
« hans » quant il enfonçait brutalement son zob. Les clapotis du zob dans la chatte mouillée étaient encore plus bruyants qu’avant et cela excitait mes sens et mon zob, mais je suis resté tranquille.

Et ce n’est qu’après un long moment où ils se sont assouvis l’un dans l’autre que la séance arriva à son terme. Enfin, l’homme poussa son cri de délivrance, plutôt un hurlement de victoire, lorsqu’il explosa une seconde fois dans les entrailles de la femme. La chatte de Safia doit être, maintenant remplie, inondées des trois spermes qu’elle a reçus. Safia a du vider une partie sur le sol de la roulotte mais sa chatte doit encore avoir avalé pas mal de ce nectar masculin.

Enfin, et après quelques minutes, j’entendais la porte s’ouvrir, alors, je suis vite retourné vers la partie avant. J’ai alors vu le second homme, qui bouclait encore son pantalon, et ensuite seulement donner quelque chose au premier baiseur. J’étais sûr que c’était le prix de la baise de Safia, puis il s’est éloigné. C’est alors que le marchant a ouvert la porte et parlé avec Safia, qui était restée à l’intérieur, puis il a refermé sur elle.

Ensuite, il a encore appelé le jeune homme pour lui glisser quelques mots ? l’oreille et aussitôt le gosse est reparti en courant. Trois minutes plus tard, un troisième homme, marchant c’était sur, s’est présenté et après quelques mots, il est entré dans la roulotte rejoignant ainsi Safia. On était parti pour une autre séance de baise, alors je suis encore retourné derrière la roulotte pour écouter.

Et ce fut presque la même chanson que pour le second amant, mais cette fois Safia était restée presque silencieuse alors que je n’entendais nettement le souffle bruyant et saccadé de l’homme, ses « han » de pénétration du zob ainsi que les clapotis de sa bite dans la chatte mouillée. A la fin de la baise j’ai aussi bien entendu le cri de délivrance de l’homme au moment de son éjaculation, mais aucun signe de Safia.

Mais j’ai entendu l’homme lui demander une seconde baise car il avait encore quelques ressources dans les couilles : « ya ka7ba ! n’zidou a’nikou ! mazal zébi wagaf ! qlawya fihoum 3assal rjaal ! »
( ô putain ! nikons encore ! zobi est toujours gonflé ! mes couilles sont encore remplies du miel des hommes !).
Et Safia lui répondit d’une voix, me semble t-il, assez lasse : « nike ya rajal ! nike ! hahi souti miliana za’n’na ! t’ssahalak a’nayka ! faraq qlawyk ! »
( nikes ô homme! nikes ! vois ma chatte pleine de sperme ! elle te facilite la baise ! vides tes couilles !).
Ainsi Safia joue bien son rôle de putain en offrant sa chatte plusieurs fois, même remplie et débordant de sperme.

Et effectivement, l’homme qui désirait une seconde séance avec elle il a repris ses coups de zob avec les mêmes souffles et gémissements bruyants et saccadés jusqu’à une seconde éjaculation où il souffla sa délivrance : « ah ya zébi ! ch’7aal 7louwa soutak ya ka7ba ! toussroute m’li7 e’za’n’na ! »
( ô mon zob ! putain ! ta chatte est tellement douce ! et elle avale bien le sperme !).

Je savais qu’il allait se retirer et que le marchant allait chercher un autre client pour Safia, mais je n’étais plus d’accord. D’abords, ça devenait ennuyeux et j’ai décidé de faire arrêter la chose. Safia n’a pas l’air de comprendre qu’elle était en train de faire des passes comme une putain pour les marchants et ses copains, alors qu’on désirait seulement faire un peu de plaisir extra pour sa chatte. Alors, dès que j’ai entendu la porte s’ouvrir, j’ai tapé sur le métal de la roulotte et j’ai crié :
« khlass ! khlass ! khlass ! » ( ça suffit ! ça suffit ! ça suffit !)

Safia m’a certainement entendu et compris car je l’ai entendu, juste après, ouvrir la porte de la roulotte. C’était juste au moment où j’ai rejoins discrètement la partie avant. Enfin, Safia est sorti de la roulotte, bien habillée et même avec son foulard qui cachait une partie de son visage, l’hypocrite. Elle a discuté un moment avec le marchant qui lui a remis de l’argent et une étoffe, puis elle s’est éloignée.

Elle a joué son rôle de putain et le marchant l’avait très bien compris et l’a payée, sans problème. Après quelques mètres, je l’ai rejointe. A ma demande, elle m’a avoué que ce fut une expérience merveilleuse, surtout avec un premier inconnu puis avec un autre et puis avec un troisième, comme les putains, avant même que tout le sperme des premiers ne soit totalement évacué déversé sur le sol. Elle m’a dit que le second homme a sorti immédiatement son zob et l’a poussée, le ventre sur les vêtements au sol, puis il a pénétré sa chatte par derrière en lui tenant les hanches.

Et rapidement, après quelques vas et viens dans sa chatte encore mouillée du sperme du premier marchant, il a éjaculé. Ensuite, il s’est relevé et il lui a demandé de se coucher sur le dos car son zob était encore gonflé de désir. Elle m’a avoué que malgré les deux baises qu’elle venait d’avoir, la vue du gros zob aux nervures gonflées de cet homme l’a excitée, même affolée. Il était nettement plus gros et plus long que celui du premier et du mien. C’était un monstre mais si désirable et il l’a baisée, cette fois couchée sur le dos, les jambes et cuisses levées haut et jointes parfois sur les reins de l’homme.

Elle m’a dit qu’elle avait désiré et lui a demandé qu’il reste longtemps dans sa chatte et dans cette position mais, après une dizaine ou plus de vas et viens il a encore éjaculé. Et, malgré que sa chatte était remplie de sperme, elle a joui avec cet homme, même maintenant, elle pense encore ? ce gros zob, hélas éphémère. Je lui ai dis qu’on le retrouvera la semaine prochaine au souk, lui et son zob. Et elle m’a cru avec joie. Elle était étonnante quant il s’agit de sa chatte.

Avec le troisième, elle m’a dit que ce fut rapide même avec deux baises l’une par devant et l’autre par derrière. Elle n’a pratiquement pas eu beaucoup de plaisir, et son zob glissait dans sa chatte avec tellement de facilité, ? cause du sperme, qu’elle ne le ressentait même pas. Et quant il a éjaculé et crié, elle pensait toujours au zob du second. Ensuite, elle a entendu ce que je lui disais ? travers le mur, derrière la roulotte, et a compris et c’est pourquoi elle s’est rajustée et sorti.

Quant elle est sorti de la roulotte, et avec quelques mots de plaisir, le marchant lui a donné de l’argent et offert une robe qu’elle avait choisie et qu’elle m’a montrés. Le marchand lui avait demandé si elle voulait qu’il lui procure encore d’autres hommes pour sa chatte ou sa Terma, mais elle a refusé, lui promettant de revenir une autre fois. Ensuite elle m’a rejointe, toute contente de son expérience.

Curieusement, elle m’a demandé si la sodomie était douloureuse car le troisième amant lui avait demandé de lui niquer la Terma mais elle avait refusé. Mais je l’ai rassurée, lui promettant de lui dépuceler la Terma le plus tôt possible et de l’initier ? ce nouveau plaisir qui lui ouvrira de nouveaux horizons de jouissances sexuelles.

Il faudrait que lui apprenne aussi ? ne plus accepter les éjaculations dans sa chatte mais par terre ou ? la rigueur sur son ventre ou ses fesses seulement, quitte ? faire des sussions et des branles finales aux zobs des clients. Il faudrait aussi que je marchande moi-même, directement, avec les clients, sur le nombre de séances et les prix et bien d’autres choses. Et c’est ainsi que je suis devenu le complice et peut-être le maquereau de Safia dans ses plaisirs et jouissances avec les marchants ambulants des souks.

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