Irène ma femme, me trompe depuis quelque temps, je découvre qu'elle est accro au sexe comme elle adore ça, je décide de la gaver de la faire prendre jusqu'à ce cette salope demande grâce.
Proposée le 3/07/2021 par michelle2
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Je reviens des courses, pendant que ma femme Irène s'affaire dans l'appartement que nous avons loué pour passer quelques jours de vacances. Je traverse le parking pour prendre un raccourci. Dans un coin retiré du parking, une voiture m'intrigue, car elle remue sans cesse. Je m'avance discrètement, je sursaute, à l'intérieur du véhicule, ma femme avec est un type. Se croyant à l'abri des regards, les deux se donnent comme deux bêtes à des ébats fougueux.
Ils ne m'ont pas vu. Je me fais le plus discret possible, malgré que je suis cocu, il n'y a pas de rage en moi. Je regarde ma salope se faire démonter comme une chienne. Je suis abasourdi mais, J'épie ma femme adultère avec son amant, s'en donner à cœur joie. Je ne sais comment cela se fait, mais ma queue se gonfle dans mon pantalon. Je passe quelques fois ma main dessus, pour apaiser le flux sanguin qui circule dans ma verge.
Les attouchements sur ma queue à travers mon pantalon, me font serrer les dents. J'entends ma salope gémir de plaisir, son cul s'agite, sur la queue du type, qui grogne comme un animal. Soudain je me raidis une puissante décharge visqueuse inonde mon slip. Mes couilles et mon slip sont trempés de sperme. Je me retire doucement sans me faire repérer, je ne veux pas être repéré.
Je rentre et nettoie la souillure que ma queue a faite à mon slip. Je me pose beaucoup de questions, comment ma femme a connue ce type ? Cela fait que trois jours que nous sommes là. Je décide de la surveiller. Elle rentre de ses ébats tumultueux les cheveux ébouriffés, elle trouve une excuse pour son absence. Dans le font de moi, je me dis adultère plus c'est une menteuse la salope. Je fais celui qui gobe son histoire. Après le déjeuner, nous décidons de faire quelques pas dans les rues piétonnières de la ville. Nous nous arrêtons à la terrasse d'un café pour nous désaltérer.
La table voisine est occupée par un homme grisonnant, ma femme et lui ne cesse de ce sourire, les clins d'œils fusent. Je fais celui qui ne vois rien, je sirote doucement mon verre. Soudainement, Irène se lève pour se rendre à la toilette. Presque immédiatement après, l'homme se rend lui aussi à la dite toilette. J'ai un soupçon, je me dirige aussi vers le lieu d'aisance. Dans la toilette homme, il n'y a personne. Je me rends dans celle des femmes. Personnes ? Je tends l'oreille, des sons incongrus se font entendre. Je reconnais les gémissements de ma femme, elle est enfermée dans une toilette avec l'homme grisonnant.
Il n'y a aucun doute sur ce qu'ils font. Je retourne à ma table, je suis pensif. Je décide, puisqu'elle adore la bite de la faire démonter jusqu'à ce qu'elle demande grâce. Je me renseigne ou il y à des lieux spécialisés pour ce genre de chose. Le serveur me conseille un endroit discret, mais très chaud. Enfin ma salope réapparait, elle est souriante, l'homme la suit de près. Je vois la main de l'homme glisser discrètement sur les fesses de ma femme. Elle ne dit rien, mais elle me regarde. Je fais l'aveugle, elle s'assoie je regarde l'homme et lui propose de boire un verre avec nous.
Irène est surprise par mon invitation je lui dis :
- Ma chérie nous sommes ici pour quelques jours, autant faire des connaissances !
- Elle me fait un large sourire et répond :
- C'est une excellente idée mon chéri !
L'homme se joint à nous, nous discutons de choses et autres puis, petit à petit je dirige la conversation sur le sexe. Ma femme croise le regard de son amant, les deux se souris. Sous la table, la main de l'inconnu glisse sur la cuisse de ma femme et passe sous sa courte jupe. Irène écarte doucement les jambes, la salope n'en a pas encore assez. Je fais tomber mon briquet, pour me rendre compte de ce qui se passe sous la table. Je me baisse rapidement. L'homme n'a pas le temps de retirer sa main, elle est plaquée sur la chatte de ma femme qui n'avait par renfilée sa culotte.
Je me redresse le fixe droit dans les yeux, le type ravale sa salive, il est gêné et rougit en baissant les yeux. Ma femme, l'innocente, boit son verre tranquillement. Je dis sans me démonter :
-Alors elle est bonne ma femme, elle baise bien ?
L'homme ne sait que dire, il est rouge de honte, ma femme me regarde surprise et dit :
- Mais Jules, tu ne vas tout de même pas imaginer que monsieur et moi ?
- J'imagine rien je sais, c'est tout ! Que je réplique.
- D'ailleurs, monsieur peut venir chez nous finir le travail, s'il le souhaite ?
Je remarque que son pantalon à une grosse bosse !
L'homme avale son verre d'un trait et répond :
- Il est vrai que votre femme et un bon coup !
- Alors, pourquoi s'en priver venez avec nous, cela sera mieux qu'un coup à la sauvette ! Que je réponde en souriant.
Irène nous regarde en faisant la moue douteuse, elle prend une grande aspiration et dit :
-Eh bien, allons-y puis que mon mari le demande !
Tous les trois, nous arrivons à l'appartement. Je sers à boire pendant que ma femme s'occupe de son amant. Elle lui retire sans se poser de question le pantalon et le slip. L'homme s'assied sur une chaise, moi je donne un claque sur les fesses de ma femme et lui dis :
- Aller au boulot, salope défonce-toi bien, je te resserve quelque chose pour ce soir tu vas te régaler !
Elle me sourit fait tomber sa jupe, retire son top et son soutien-gorge à balconnets. Elle s'agenouille devant le type et saisit sa queue, elle commence une masturbation dans elle seule en a le secret. Rapidement la bite du mâle se dresse, elle la décalotte, la regarde longuement avant de gober le gland. Sa bouche d'experte fait geindre l'homme. Sa queue est tendue comme jamais, Irène suce et tète le cèpe avidement. Les succions terribles sur l'engin sont bruyantes. Moi, je prends place dans un fauteuil, lentement ma queue enfle dans mon pantalon.
L'inconnu grince des dents, il souffle comme un animal en rut. Il se cabre et envoie dans la bouche de ma femme sa semence épaisse. La salope s'évertue à tout avaler, elle enjambe l'éjaculateur, saisit sa queue gluante et la dirige vers sa chatte assoiffée de bite. Elle descend lentement son corps et s'empale sur la verge large et épaisse. Elle s'accroche à son cou et fait l'ascenseur, son corps monte et descend sur la queue puissante. Aisément la queue voyage dans le corps de ma femme, qui s'agite de plus en plus vite. Elle geint à chaque descente de son corps sur la queue du mâle, il la saisit par la taille et accompagne chacun de ses mouvements.
Irène accélère la cadence, elle remue du bassin comme une dératée. La verge qui la fore la fait défaillir de bonheur. Soudain elle bascule la tête en arrière, se cambre et jouit atrocement, sa cyprine gicle sur les couilles de son amant. Le bougre ne faiblit pas, ma femme se redresse doucement, il en profite pour placer sa queue contre son l'anus Irène prend une aspiration et se laisse tomber de tout son poids. Elle grimace, la coquine vient de s'empaler jusqu'à la garde sur la bite noueuse.
Moi, je me masturbe, comme un sauvage. Le spectacle m'excite fortement, je suis au bord de l'éjaculation. Ma femme ondule de la croupe, elle gémit à chaque descente, le type lui suce les mamelons sauvagement, il étire les bouts avec ses dents. La tension est à son comble, Irène ne retient plus ses râles de chienne. Elle se plaque contre le torse de son enculeur et pousse un cri terrible de jouissance. L'homme donne de violents coups de pistons, il se raidit est joui à son tour. Moi j'ai les yeux presque exorbités, ma queue va gicler j'augmente le branlage, je serre les dents et envoie sur mon ventre et mes doigts plusieurs giclées de sperme. Ma femme descend de sa monture, elle n'en a pas encore assez. L'homme est épuisé, sa queue baise la tête.
Irène prend dans le frigo un concombre, elle le pose dressé sur le sol et commence à s'empaler dessus, l'énormité du légume lui distend la chatte, Irène à la bouche ouverte, elle descend lentement sur l'engin. Une fois que le légume est au maximum en elle, elle commence à faire l'ascenseur. Je me demande comment la chatte peut absorber un truc pareil. Rapidement la salope jouit, ses râles prouvent qu'elle prend un pied d'enfer. Elle retire le légume de sa chatte distendue et le dirige vers son anus. L'homme et moi écarquillons les yeux, lentement ma femme s'encule à fond sur le gode improvisé. Elle s'agite comme je ne l'ai jamais vu faire, ses râles rauques me stupéfient. L'engin est enfoncé en elle de trente centimètres. Elle s'acharne sur le légume, elle veut jouir encore et encore. Elle pousse un hurlement, un flot de cyprine gicle de sa chatte béante. Sa jouissante est terrible. Enfin elle s'écroule sur le sol à bout de souffle.
L'homme prend congé, ma femme récupère très lentement, mais ce soir, elle va déguster la salope.
À suivre.
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Commentaires de l'histoire :
humeuriste
Michelle, êtes vous fatiguée ? Le nombre de fautes d'orthographe est catastrophique alors que vous m'aviez habitué à mieux ! Et puis le passage de l'adultère (secrète) à l'acceptation de se montrer en train de baiser devant son mari me paraît bien rapide ! Pourtant j'ai apprécié l'érotisme de votre récit. Didier
Posté le 12/11/2021
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