Histoire Erotique

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Le Grand Jeu — « Guess or loose ur clothes »

Pénélope se réveille au beau milieu d'un plateau télévisé, les yeux bandés. Elle ne se souvient pas d'avoir atterrie là. Il semblerait même qu'elle ait complètement perdu la mémoire. Une seule chose lui paraît familière; la voix suave du présentateur dont elle est plus proche qu'elle ne le pense...

Proposée le 27/05/2024 par LaColombed'Aphrodite

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Le bruit de la foule résonne dans mes tempes. Des rires. Des applaudissements. Ils sont d’abord apparus comme un bruissement léger, puis très vite leur vrombissement s’est intensifié jusqu’à m’engloutir complètement. Ils sont sortis du néant.

Je vacille, passe une main sur mon front. Mon corps me fait l’effet d’une masse engourdie. Une méduse à peine capable de réagir au mouvement. L’univers tangue tout autour de moi. J’ai vaguement la sensation d’une main étrangère sur le bas de mon dos, paume sur mes reins. Un homme parle. Je crois que c’est lui qui me soutient. On dirait qu’il raconte une histoire.

— Où suis-je ? articulé-je la bouche cotonneuse. Pourquoi, il fait tout noir ?
— C’est le bandeau, souvenez-vous, répond l’homme à la voix profonde.
— Le bandeau ?

Mes doigts effleurent aussitôt le tissu à la texture de velours recouvrant mes yeux. À nouveau la musique carillonne. Elle me rappelle le bruit des machines à sous des casinos.

— Qu’est-ce que c’est ?

L’homme se penche vers mon oreille et parle à voix basse.

— C’est le début du jeu.

Je voudrais lui demander de quel jeu il s’agit, mais cela vient de me frapper. Cette voix. Je connais cette voix. Qui ?

— On se connaît. Nous nous sommes déjà rencontrés avant, n’est-ce pas ?
— Vous n’avez pas perdu votre sens de l’humour depuis la dernière fois à ce que je vois, Pénélope. C’est toujours un plaisir d’être en votre compagnie.

Ce nom me paraît lui aussi étrangement familier. Est-ce donc ainsi que je m’appelle ? Pénélope ? Je grimace, puis me fige en sentant le pouce de mon interlocuteur tracer de petits cercles sur mes reins.

— Ne soyez pas inquiète, le public vous adore.

Les dents plantées dans ma lèvre inférieure, je retiens de justesse un hoquet de surprise. Mon pouls s’accélère. Je n’ai aucune idée de ce dont il parle. Cependant, j’ai l’intuition que je peux lui faire confiance. J’entends à nouveau des voix, elles grésillent à mes oreilles sans que je puisse les distinguer. Instinctivement, je me rapproche de l’homme. Nos joues se frôlent. Son odeur boisée envahit aussitôt mes narines. Mon corps se relâche un peu.

— Où… où sommes-nous ? bégayé-je confuse.

Tête renversée en arrière et gorge déployée, il éclate de rire. Un rire franc qui fait vibrer chaque cellule de mon corps. Lorsqu’il finit par se reprendre, il répond en glissant une mèche de cheveux derrière mon oreille.

— Voyons, Pénélope, vous êtes candidate à l’émission télévisée « Le Grand Jeu ». Nous sommes sur le plateau et le tournage vient de démarrer. Tout va bien ?
— Je…

Je n’arrive pas à achever ma phrase qui se noie dans celle plus forte du générique annonçant le début du jeu. Je la reconnais à présent. Je suis prise d’un sursaut lorsqu’il se met à parler plus fort pour s’adresser aux spectateurs à ma gauche. Je l’entends, pourtant je n’arrive pas à assimiler un seul mot de son discours. Dans une tentative de disparaître, mon corps se ramolli davantage contre le torse robuste qui me tient lieu de dossier.

C’est alors que je prends conscience d’être bel et bien assise sur… ses genoux. Mon Dieu ! Je me redresse sur le champ, le souffle court. À tâtons, je cherche une prise sur ce qui je pense être l’appuie coude du fauteuil. Quand soudain, je me glace, les doigts enroulés sur une protubérance tiède et rigide.

— Mais vous… vous êtes nu ? me récrié-je dans un murmure.
— Main baladeuse ? chuchote-t-il, badin.
— Pardon, m’exclamé-je d’emblée en lâchant ma prise, la main encore brûlante de ce contact fortuit. Est-ce qu’ils… est-ce qu’ils peuvent vous voir ?
— Vous me demandez si le public a remarqué que je suis actuellement en train de bander contre votre cuisse ? Je ne sais pas… Qu’en pensez-vous, Pénélope ?

Bouche bée, je le dévisage à travers mon masque sans le voir. Quel culot ! Je peux presque sentir son sourire satisfait flotter au-dessus de ma tête.

— Mon ego vous répondrait qu’il est impossible de rater un membre pareil, reprend-il d’humeur taquine. Surtout avec un œil avisé, ou une main cela dépend…
Malheureusement, je vous avoue que la distance entre eux et nous est assez grande pour que des détails comme celui-ci s’y perdent. Et puis, vous êtes au premier rang. Je doute que le public n’ait d’yeux pour autre chose que vous.

Mon cerveau tourne à toute vitesse. J’essaie désespérément de me souvenir de quelque chose. N’importe quel indice qui me permettrait de comprendre pourquoi je suis là, les yeux bandés, sur les genoux d’un présentateur de jeu télévisé vraisemblablement nu que je ne connais pas, mais qui ne m’est pas inconnu non plus !

Je n’ose pas même penser aux spectateurs à quelques mètres de nous dont j’entends les voix étouffées. Il fait subitement trop chaud. La présence du corps tout en muscle sous le mien devient omniprésente, brûlante. Je halète.

— Pourquoi ? grommelé-je sous l’emprise d’un mal de tête naissant.
— Vous doutez encore de vos charmes ? N’oubliez pas, ici, c’est moi qui pose les questions. D’ailleurs…

Sa voix se fait à nouveau plus forte pour que le public l’entende. Comme un post radio mal réglé, un signal sonore me rend momentanément sourde.

— … qui aura l’honneur de poser notre première question de ce soir.

Alors qu’il tend le bras pour désigner la personne concernée, le fauteuil pivote et je manque de perdre l’équilibre, me rattrapant de justesse à son cou.

— Ça ne rate jamais, glisse-t-il à mon oreille et je devine que trop bien son sourire en coin. Prête ?

J’aspire un trait d’air par mes lèvres entre-ouvertes. Mon estomac est officiellement noué.

— Pourquoi un corbeau ressemble-t-il à un bureau ?

Mes yeux sont plongés dans le noir le plus profond et mon cerveau dans le blanc le plus total. Sous le choc, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. Ceci ne peut être qu’une vaste blague.

— Je rappelle à notre candidate que le chronomètre tourne. Il ne vous reste plus que dix secondes pour répondre.

Soudain le tic-tac du décompte résonne dans la salle. Je secoue la tête, poings serrés. Et le voilà qu’il recommence avec son pouce ! Toute mon attention est désormais fixée sur mes reins où il trace des cercles de plus en plus rapides. Je suis sûre que cette question n’a même pas de réponse ! Alors que l’alarme se déclenche, je lâche en panique la première chose qui me passe à l’esprit ;

— Tous les deux portent des plumes ?
— De justesse ! s’exclame-t-il.

Tandis que les rires du public s’élèvent, je croise maladroitement les jambes pour me donner un semblant de contenance qui part aussitôt en fumée lorsque je sens sa main se poser sur le haut de ma cuisse.

— Malheureusement, c’est une mauvaise réponse. Quel dommage !

Le verdict est accueilli par des huées de réprobation surjouées qui me donnent la sensation d’être au centre d’une sitcom de mauvais goût. Cependant, c’est le ton de sa voix qui attire le plus mon intérêt. Il n’a manifestement pas l’air désolé du tout. Et ce constat me fait grincer des dents.

— Ce n’est que le début, soyons un peu indulgents ! Il faut lui laisser le temps de se remettre dans le bain. Mais, trêve de bavardage, que pourrions-nous faire pour satisfaire nos chers spectateurs ? Nous ne voudrions tout de même pas les décevoir, n’est-ce pas Pénélope ?

Prise de cours, je fixe naïvement devant moi, là où je suppose que le public se tient. Sous mon nombril, mes mains jointes s’agitent.

— Je crois qu’elle est devenue muette.

Alors que tous se mettent à rire, je détourne la tête pour fuir leur regard.

— J’imagine que vous êtes tous impatients de découvrir la voluptueuse poitrine de notre chère candidate ?
— Comment ça ? pressé-je d’un ton cassant.
— Voyons, c’est la règle… Je crois que notre candidate a oublié les règles du jeu ! Peut-être qu’un petit rafraîchissement s’impose.

Une huée d’encouragements se lève dans la salle.

— Quelle est notre devise à « Le Grand Jeu » ?
— « Guess or loose ur clothes », s’écrit en cœur le public avec un accent à faire pâlir un anglais.
— Je… je ne comprends pas. Pourquoi ferais-je une chose pareille ? murmuré-je en penchant la tête vers le présentateur.
— C’est moi qui ne comprends plus. D’ordinaire, c’est la partie que vous préférez, me confie-t-il.
— Je ne suis pas sûre de…
— Attendez, voilà ce que l’on va faire ; nous allons poursuivre comme prévu et si cela vous déplaît, je vous promets de mettre un terme au spectacle. Qu’en dîtes-vous ?
— Je…
— Laissez-vous tenter… Vous êtes en sécurité sur ce plateau, rien ne peut vous arriver.

Alors que mon mental me crie de mettre un terme à cette plaisanterie, mon cœur me pousse encore une fois à lui faire confiance. Qu’est-ce qui avait bien pu me pousser à participer à ce jeu avant que je ne perde la mémoire ? Et pourquoi était-il ma seule familiarité dans ce décor ? Mon discret hochement de menton me surprend la première.

— On dirait bien qu’elle souhaite faire durer le suspense ce soir ! Allez, c’est parti, faisons sauter le premier bouton !

Ses mains sont sur moi au moment où la salle se fond dans les applaudissements. Elles remontent le long de mon ventre et épousent la courbe de ma poitrine jusqu’à mon décolleté. Je ne sais plus respirer. Il déboutonne lentement mon cardigan en coton, un bouton après l’autre. Ses doigts effleurent par intermittence ma peau à nue.

— Vous tremblez, Pénélope, susurre-t-il au creux de mon cou de sa voix suave. C’est mon contact qui vous rend fébrile ou simplement la nervosité ? J’espère que vous n’êtes pas timide de montrer cette si jolie poitrine qu’y est la vôtre. Saviez-vous qu’elle est généreusement baisable ?

C’est le moment qu’il choisit pour dégrafer mon soutient gorge, un modèle qui apparemment s’ouvre par le devant. Et c’est seulement à cet instant que je percute à quel point il doit avoir raison. Mes seins jaillissent du tissu, impatients d’être libérés. Je mords ma lèvre en constatant leur lourdeur.

— Vous entendez ? Il semblerait que le public soit du même avis que moi. Quand je vous regarde, cela semble presque douloureux à porter. Je me trompe ?

L’approbation du public me paraît feutrée, lointaine. La découverte de mon propre corps l’a relégué au second plan. À moins que ce ne soit l’arête de sa mâchoire qui glisse sur ma clavicule alors qu’il se penche sur moi. Sa respiration à lui aussi s’est accélérée. Un gémissement incontrôlé m’échappe. Ses grandes paumes m’empoignent avec douceur, me tâtent, me malaxent, exercent une pression qui fait naître le feu dans mon bas ventre. Je halète la tête reposée sur son épaule. De son ongle, il érafle la pointe dure et sensible de mon téton, m’arrachant un frisson de plaisir.

— Je crois que nous nous sommes assez égarés comme ça, m’indique-t-il, ses mains disparaissant quelque part sur les accoudoirs du fauteuil.
— Nous passons réellement à la télévision ? m’enquièré-je mollement, la sensation d’être éparpillée en flaques le long de son corps.

Quelques sifflements appréciateurs viennent me remémorer qu’en effet nous ne sommes pas seuls.

— Je crois que vous avez la réponse à votre question, Pénélope.
— Ce jeu est totalement indécent.
— Et vous, vous êtes parfaitement scandaleuse.
[…]
— Avec quoi calme-t-on le Loir lorsqu’il entend le mot « chat » ?
— De la confiture, répondé-je plutôt sereine cette fois-ci.
— C’est une bonne réponse, bravo !
— Soulagée ?
— Je crois.

Le manque d’assurance dans ma voix provoque le rire de plusieurs personnes.

— Pas certaine, hein ? jubile-t-il la bouche collée au lobe de mon oreille tandis que d’un mouvement intentionnel du bassin, il presse son érection contre mes reins. À ce jeu, il est facile d’oublier si l’on souhaite perdre ou gagner…

Déglutir ne m’avait, semble-t-il, jamais demandé autant de sang-froid.

— Mille euros sont donc dès à présent ajoutés à votre cagnotte d’une valeur totale de douze mille euros ! Cagnotte que je rappelle ; vous emporterez avec vous à la fin de ce jeu télévisé. Félicitation, encore une fois à notre séduisante candidate !

[…]
— Qu’est-ce que le temps ?

Je pince les lèvres. Je crois que c’est une question piège, malheureusement, je ne me souviens plus pourquoi. Le tic-tac du chronomètre pèse au-dessus de moi.

— Il… rien, il n’existe pas, dis-je sourcils froncés.
— Et c’est une seconde mauvaise réponse ! Cependant, je ne pense pas me tromper en disant que nos spectateurs sont plus que ravis de cet échec.

L’acclamation de l’auditoire le confirme aussitôt. Mâchoires serrées, je maudis mentalement notre présentateur et le choix de ces questions farfelues !

— Quel tonnerre d’applaudissements, de quoi faire rougir notre Pénélope ce soir ! Je crois que notre public est impatient de découvrir la suite. Est-ce que l’on est partante pour retirer cette jolie petite culotte en dentelle ?

L’indignation monte quand l’évidence me percute enfin, balayant tout sur son passage.

— Je rêve, c’est ça ?
— C’est à vous de me le dire, Pénélope. Qui peut dire où commence le rêve et où finit la réalité ?

L’assurance dans sa voix suffit à me faire perdre de ma superbe.

— Je… je ne sais pas.
— Peut-être que si vous me laissiez vous débarrasser de cette culotte, la réponse apparaîtra d’elle-même qui sait.
— Vous êtes vraiment pervers.
— Vos mots me touchent en plein cœur.

À nouveau confuse, je ne sais plus quoi penser de cette situation. Le souvenir encore frais de ses caresses sur mes seins flotte dans mon esprit. Je me sens rougir.

— Alors qu’en dîtes-vous ? Vous avez fait preuve de beaucoup de courage jusqu’à présent. Pas tout le monde n’en ferait autant.
— Ça, je veux bien le croire… Allez-y.
— Merveilleuse, souffle-t-il le nez enfoui dans mes cheveux. Notre candidate, nous bénis ce soir !

Les applaudissements bourdonnement à mes tempes alors que j’essaie d’oublier le public en face de nous. Ses mains sont encore une fois sur moi, sur mon ventre, puis sous mon nombril. Mon attention se focalise sur son torse plaqué contre mon dos. J’ai l’impression que l’ensemble de son corps épouse le mien. Il fait chaud, mais j’ai la chair de poule.

Ma bouche s’ouvre lorsqu’il glisse un doigt sous l’élastique de ma culotte. Je n’avais jusque-là pas conscience de ne porter aucun pantalon. C’est de la triche, si j’ai commencé la partie avec si peu de vêtements sur le dos !

— Votre peau est délicieusement douce. Vous l’a-t-on déjà dit ?
— Je… j’ai oublié.
— Quel dommage, murmure-t-il alors que sa bouche effleure mon épaule.

Baignée dans son odeur boisée, je suis sur le point de fondre quand l’élastique se rétracte d’un coup au son du déclic de l’attache. Le tout me faisant sursauter.

— Désolé, il m’a échappé.

Le tissu abandonne lentement ma peau. Mais ce qui me captive, c’est le membre dur et chaud collé à la naissance de mes fesses qui semble lui aussi animé d’un soubresaut.

— C’est à cause du mouvement, explique-t-il.
— Vraiment ?

Il étouffe un rire dans mes cheveux et je ne peux m’empêcher de sourire à mon tour.

— Ouvrez-les cuisses, Pénélope, m’invite-t-il de sa voix suave. Ne soyez pas timide. N’est-ce pas enivrant de sentir tous ces regards avides posés sur vous ? Croyez-moi quand je vous dis qu’ils sont plus qu’admiratifs.

Il est si facile d’oublier le public, les yeux bandés, blottie dans ses bras. Ses paroles coulent sur moi à la manière d’un envoûtement, comme une sorte de magie invisible qui me pousserait à faire exactement ce qu’il veut de moi. C’est donc sans réellement comprendre que j’écarte les jambes jusqu’à ce que mes genoux encadrent les siens.

— Bien. Vous êtes sublime.
— Je me sens totalement… exposée.
— Vous l’êtes. Alors cette réponse ?
— Tout ceci me semble bien trop réel, je ne pense pas être en train de rêver.
— Je ne pense pas non plus que vous le soyez.

Il a placé ses paumes sur le haut de mes cuisses et ses pouces font désormais des mouvements de vas et viens à l’intérieur de celles-ci. Ma respiration est complètement désordonnée.

— Découvrons maintenant si nos encouragements ont eu de l’effet sur notre candidate.

En transe, j’entends à peine l’approbation des spectateurs. Sa bouche est à nouveau sur moi. Quelque chose d’humide titille le lobe de mon oreille. Je gémis. Il profite de sa diversion pour caresser mon entre-jambes. Je retiens un cri en mordant ma lèvre.

— Détendez-vous. C’est agréable non ? souffle-t-il dans mon cou, tel le démon tentateur qu’il est.
— Oui, avoué-je penaude.

Lentement, il glisse un doigt entre mes lèvres. Je halète, les ongles plantés dans ses cuisses.

— Vous êtes tellement… mouillée. Divinement décadente ! déclare-t-il plus fort à l’attention du reste de la salle.
— STOP ! me récrié-je.

La musique de machine à sous des casinos retenti. Je me redresse et ferme les cuisses aussitôt. Les mains du présentateur ont disparu sur les accoudoirs.

— Comme je vous l’avais promis, le rideau est tombé, plus personne ne peut vous voir à présent à part moi.
— Je… c’est trop. Cela va trop loin ! explosé-je. Je ne comprends pas ce qui se passe ici !
— Vous ne vous souvenez donc vraiment de rien ?
— Non, je suis confuse et je souhaiterais comprendre ce que je fais ici !
— Il y a un lit à baldaquin sur notre droite. Si vous êtes d’accord, je souhaiterais vous porter pour vous y allonger.
— Est-ce que le jeu va continuer ?
— Non. Il n’y a plus que vous et moi.
— Comment le saurais-je ?
— Vous me faites confiance ?

Malgré l’étrangeté de la situation et tout ce qu’il vient de se passer, je sais que je le peux. Et cette conviction est la seule chose dont je semble me souvenir depuis mon réveil. Je hoche la tête.

— Bien. Alors ma proposition ? Est-ce que c’est… trop ?
— C’est d’accord, murmuré-je fatiguée par le lot d’émotions qui m’a assaillie depuis le début du jeu. Mais, en quoi cela va m’aider à comprendre ?
— Pénélope ?
— Oui ?
— Tu te souviendras de tout lorsque je serai profondément en toi.

"Profondément en toi". Et il avait raison… Ce n’était pas un rêve. Ni la réalité. Mais un monde entre les deux. Liam est mon amant et un talentueux hypnotiseur.

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