Où la jeune Axelle est surprise par un représentant de l'ordre à forniquer au beau milieu des bois avec son fiancé, et tout ce qui s'ensuit, en particulier une furieuse séance d'exhibition...
Proposée le 22/05/2021 par Sizaxe
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FHH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Cette histoire – vraie – commence par une belle soirée de printemps. Nous dinions, Axelle et moi, chez des amis. Axelle et Marion se connaissaient, tout comme Antoine et moi, depuis le lycée. Marion et Antoine, qui vivaient ensemble depuis plus de deux ans, devaient faire office de témoins à notre mariage, prévu trois semaines plus tard. Comme toujours quand nous étions tous les quatre, l’atmosphère était chaleureuse. Nous avions fort bien dîné (poissons fumés / St Joseph, côte de bœuf au barbeuk / château Poujeaux, fromages, salade de fruits, café, café. La bouteille de rhum avait ensuite accompagné les deux heures qui avaient été nécessaires à la mise au point des derniers détails de la cérémonie. Aussi personne ne s’étonna quand, donnant le signal du départ vers deux heures du matin, j’éprouvai quelques difficultés à me lever de ma chaise. Marion sourit.
- Axelle, je crois que ton bonhomme chasse un peu sur ses ancres ! Il serait plus raisonnable que vous restiez coucher ici ce soir…
J’aurais sans doute accepté si Marion s’était adressée à moi directement, mais elle avait mal évalué la susceptibilité d’un mâle, surtout en état d’ébriété !
- Le bonhomme en question est tout à fait clair, et parfaitement apte à raccompagner sa dulcinée jusqu’au seuil de la demeure de ses parents. Et puis j’ai foot demain matin – enfin tout à l’heure…
- Oui, ben, s’immisça Antoine, t’auras quand même intérêt à faire gaffe sur la quatre voies, parce que si tu tombes sur des pandores, tu fais exploser leur alcootest !
- T’as raison, Gaston ! Aussi vais-je emprunter des départementales où je ne risque pas de croiser des képis. Et pas la peine de me rappeler qu’il y a des virages : je ne dépasserai pas le 60…
Une fois installés dans la voiture, je fis de mon mieux pour démarrer en douceur, sans faire gicler les graviers, façon de montrer à quel point ma conduite était maîtrisée. Je m’attendais à ce qu’Axelle s’endorme dans les cinq minutes comme elle le faisait d’ordinaire, mais elle aussi ne devait me faire qu’une relative confiance, car elle ne cessa pas de me faire parler - de tout et de rien, le mariage, nos amis – avant d’en venir à la question qui devait la préoccuper :
- A propos… est-ce que tu crois qu’Antoine serait capable de tromper Marion ?
- En voilà une idée ! Quoi que… je suppose que tout le monde peut tromper tout le monde, mais rien ne laisse supposer… Il m’en aurait certainement parlé… Et puis, je n’ai jamais vraiment pensé à çà… Qu’est-ce qui t’a donné cette idée ?
- Je ne sais pas si tu l’as remarqué, mais j’ai trouvé qu’il me regardait d’une drôle de manière, ce soir….
- Ah oui ! J’éclatai de rire. Oui, oui, oui. Mais alors là tu fais erreur. Vois-tu, quand une jeune femme qui ne porte pas de soutien-gorge « oublie » de fermer les deux boutons du haut de son chemisier, il peut arriver que la vue provoque, surtout si elle se penche, un intérêt certain chez un homme jeune et en bonne santé, mais s’il est parfaitement honnête. Et une certaine réprobation chez une autre jeune femme portant, elle, un soutien-gorge sous son pull à col roulé..
- Ah ! Tu crois que Marion…
- Pour Marion, je ne fais que supposer. Mais pour Antoine et moi, pas de doute ! Et pour renforcer l’affirmation, je posai ma main sur son genou, la glissai sous la jupe et remontai très lentement le long de sa cuisse.
Il faisait trop sombre pour que je le voie, mais je la sentis rougir. C’est alors qu’elle inclina le dossier de son siège, s’étira, passant les bras derrière l’appuie-tête, non sans faire sauter un troisième bouton au passage, et écarta effrontément les cuisses. Il eût été goujat de ne pas glisser la main dans sa petite culotte. Je le fis donc. Axelle ronronnait presque… Elle jouit assez vite, serra les cuisses pour me coincer la main, se pencha vers moi et me glissa à l’oreille :
- J’ai très envie que tu me lèches…
- Ce sera avec beaucoup de plaisir, mais il faut d’abord que je m’arrête…
- Ne tarde pas trop ! dit-elle en retirant sa petite culotte…
Je connaissais comme ma poche cette forêt où mes copains et moi avions passé pendant trois ans une bonne partie de nos après-midis lors des vacances d’été, et savais que quelques centaines de mètres plus loin, une piste cavalière coupait la route. Je ralentis, la dépassai de quelques mètres et revint m’y garer en marche arrière, reculant suffisamment pour que nous ne risquions pas d’être éclairés par d’éventuelles voitures passant sur la route. J’éteignis les phares, bloquai les portières, coupai le contact, et me penchai sur la chatte trempée d’Axelle. C’était vraiment une urgence ! Je fis de mon mieux pour la satisfaire et en fus bien récompensé, comme aurait dit le cher Brassens : elle me gratifia de deux orgasmes comme elle n’en avait jamais connus – avec moi, du moins. Je me redressai pour l’embrasser.
- Tu sais bien que je n’aime pas le goût de mon sexe…
- Oui. Mais ça me rassure toujours de savoir que tu ne me quitteras pas pour une femme ! C’est pourtant ce qui arriva vingt ans plus tard…Souvent femme varie, disait le bon roi François. Je n’ai plus que la moitié de la population mondiale à surveiller…
- Ne crois pas en avoir fini avec moi, mais je ne voudrais pas être la seule à m’envoyer en l’air.
Elle se redressa, se pencha sur moi et déboucla ma ceinture. Je soulevai les fesses pour qu’elle puisse faire glisser pantalon et caleçon sur mes cuisses, puis je fermai les yeux quand elle aspira mon gland. Axelle ne me prodiguant des pipes que depuis peu, et de manière parcimonieuse, j’étais au paradis…
Tout à coup, l’habitacle s’éclaira a giorno… Axelle se releva brusquement, se cognant la tête au volant, ce qui se traduisit pas un « Merde » sonore, et regagna vivement le siège passager. J’ouvris quant à moi brusquement les yeux : une silhouette se dessinait à ma portière, porteuse d’une puissante lampe-torche. Deux doigts repliés frappèrent à la vitre, puis me firent signe de la baisser. Ebloui, j’obtempérai, créant une fente de deux ou trois centimètres. Je devinai un homme en jean et blouson de cuir, qui se pencha, mâchoire glabre, moustache noire
- Police nationale. Bonsoir, Monsieur. Voulez-vous me présenter les papiers du véhicule ?
Totalement paniqué, je ne perçus pas le ridicule de la situation, mis plusieurs secondes à intégrer la demande, me souvenir que mon portefeuille était dans ma veste, sur le siège arrière, récupérer cartes grise et d’identité, les passer par la fente. Le flic les examina, me fit confirmer l’adresse, sortit un carnet de sa poche qu’il posa sur le toit pour y noter quelque chose, puis me rendit mes documents.
- Il me faudrait aussi ceux de Mademoiselle…
- Ma femme les a malheureusement oubliés chez nos amis… Pour préserver l’anonymat d’Axelle, j’avais commis un mensonge par anticipation dont je m’auto-absous sans complexe…
- Ah bon, vous êtes mariés… Mais ça ne change rien, en ce qui concerne les deux infos que j’ai à vous donner. Une bonne : je n’ai plus d’alcootest, ce qui vaut sans doute mieux pour vous. Et une moins bonne : vous vous doutez bien que vos activités récentes relèvent de l’attentat à la pudeur… S’en suivit un grand blanc, qui me laissa le temps de penser que folâtrer dans une voiture par une nuit sans lune dans une forêt profonde ne devait pas grimper bien haut sur l’échelle des attentats. Je choisis bien entendu de ne pas exprimer cette idée, et baissai la tête, faussement penaud, attendant la suite du sermon qui ne manquerait pas de venir… Bien entendu, vous allez me dire que je pourrais choisir de ne pas mettre en branle la justice pour ce que vous pensez être une peccadille. Je pourrais, certes… Mais il est une chose (il parlait vraiment bien, pour un flic !) que je ne saurais supporter, c’est que Madame soit obligée de se passer du plaisir qu’elle réclamait il y a peu !
La torche disparut pendant que le gars contournait la voiture. Axelle, qui n’avait même pas tiré sur sa jupe pour cacher ses cuisses, ni sur les pans de son chemisier pour cacher ses seins, comme l’aurait fait toute femme honnête, en profita pour murmurer à mon intention :
- Kèstukroikiveut ?
- Je pense qu’il aimerait que tu caresses un peu devant lui, répondis-je en remontant prestement caleçon et jean pour camoufler un sexe qui ne faisait plus le faraud.
- Oh ! Ben sisekça…
Et ma douce fiancée prit aussitôt la position qu’elle préférait pour se masturber : une jambe repliée sous elle, l’autre tendue, la main gauche s’activant à caresser ses seins, pendant que l’autre… la lumière revint, éclairant Axelle comme sur une scène. Il faut lui rendre cette justice : bien que la prestation fût effectuée à titre gracieux, elle ne la bâcla pas le moins du monde, et ne sembla feindre à aucun moment. Je n’osais pas trop la regarder, supposant que je n’avais pas ma place dans le spectacle mis en scène par le flic. N’ayant rien de mieux à faire, je comptai pendant qu’elle… Son premier orgasme survint à 872. Le second, à 1014, parut la laisser repue. Mais quand une averse de sperme giffla sa vitre, elle ne put résister au désir de se branler à nouveau. Le troisième orgasme, presque immédiat, fut si violent que je crus qu’elle avait perdu connaissance. Je me penchai sur elle, redressai le dossier de son fauteuil, et lui posait un baiser sur la tempe. Elle me rassura d’un « Pfffffou ! » qui en disait long. La torche s’était bien entendu éteinte aussitôt. Je mis le contact, allumait les phares et démarrai sans demander mon reste.
Ce n’est que quelques kilomètres plus loin, arrivé aux premières habitations, que je m’arrêtai sous un lampadaire, un œil rivé sur le rétro, et sans couper le moteur. Je me penchai sur Axelle, encore plus délicieuse avec sa jupe troussée sur son sexe trempé, son chemisier ouvert et chiffonné, ses yeux battus, et lui posait un tendre baiser sur les lèvres.
- Tu n’as pas eu trop peur, ma pauvre chérie ?
- Ben tu parles, au début, si ! Je me voyais comme le Petit Chaperon Rouge, violée par le Grand Méchant Loup au plus profond des bois… C’était pas comme ça que j’envisageais mon dépucelage (Axelle voulant arriver vierge au mariage, je n’avais jamais eu le droit de la pénétrer).
- Et après ?
- Après ?
- Pendant que tu te… caressais… Tu n’étais pas trop gênée ?
- Oh, tu sais, je le fais pour toi (tu m’as même fait faire des photos, non ?), alors…
- Un peu excitée, quand même ?
- Oh, un peu, oui. C’est toujours gratifiant de savoir qu’on excite quelqu’un…
- Même un inconnu ?
- Surtout, un inconnu ! Puis elle biaisa de nouveau. Mais je n’ai toujours pas payé mes dettes. Elle se pencha de nouveau sur moi…
- Ce n’est pas raisonnable, il va être trois heures et je dois te ramener chez tes parents…
- Je ne pense pas que ce sera long, mon petit chéri, dit-elle en souriant…
- Tu es gentille, mais j’ai peur de… de ne pas être opérationnel pour le moment… je suis désolé, mais tout à l’heure, je suis parti tout seul dans mon froc. Quand le flic a joui sur toi…
Axelle parti du grand rire franc et clair que j’aimais tellement, mais qui, là, me perça le cœur : elle se foutait de moi… Elle s’en rendit compte, parce qu’elle essaya de reprendre son sérieux, sans succès, essayant de parler au milieu de son fou-rire.
- Non, non, ce n’est pas ce que tu crois… Je ne me moque pas… Enfin, pas parce que tu as déshonoré ton pantalon – elle repartait de plus belle – c’est que… Crois-tu vraiment que la police dispose d’effectifs lui permettant de disperser des inspecteurs dans toutes les forêts du département ?
- Tu crois que ce n’était pas un vrai flic ?
- Je ne crois pas, non ! Mais si tu veux en être certain, il suffira d’y retourner un soir prochain… Elle pouffa de nouveau.
- Mais alors, pourquoi est-ce que tu as accepté de… de t’exhiber.
- Elle redevint brusquement sérieuse, s’essuya les yeux. Ecoute-moi bien, et tu comprendras peut-être mieux les femmes. Ce garçon n’était tout d’abord visiblement pas dangereux. Mais il était assez imaginatif pour monter son scénario, assez adroit pour faire une fausse carte de police crédible, assez habile pour jouer son rôle, et assez courageux pour attendre le client – enfin plutôt LA cliente – parce que le malheureux ne doit pas pêcho toutes les nuits, qui sont encore fraîches à cette époque. Bref, quelqu’un qui se donne les moyens d’aller au bout de ses rêves.
- Ses rêves de cul..
- Ses rêves de cul, oui, et alors ? Faut bien commencer par quelque chose… Tu le ferais, toi ? Il méritait un encouragement. Et puis… y’a autre chose…
- …
- Une raison stevemacqueenienne. Tu te souviens des 7 mercenaires, la scène où il raconte l’histoire d’un type qui, un beau jour, s’était mis tout nu avant de se jeter dans les cactus et qui avait répondu, quand on lui avait demandé pourquoi il avait fait ça : « Sur le moment, j’en ai eu envie ».
- Tu en as eu envie…
- Oui.
- Alors, tu as bien fait.
Dix minutes plus tard, je la déposai devant chez ses parents. Le comble était que, s’ils l’attendaient derrière la porte, ce qui arrivait parfois, et qu’ils la voyaient arriver pareillement défraîchie, ses turpitudes seraient mises sur mon compte… C’était pôôô juste, mais je lui souhaitai tout de même de faire de beaux rêves.
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