Un amour de grand-père 3

Maintenant, le grand-père, se place entre les cuisses de sa petite fille pour une bonne estocade, le vieil homme la fait jouir plusieurs fois, avant de retirer son glaive enduit se liquide visqueux du ventre de sa petite fille qui en redemande.

Proposée le 17/07/2023 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Juliette regarde son grand-père en souriant, elle s'essuie d'un geste rapide les quelques gouttes de sperme qui luisent sur ses lèvres. Elle reprend d'une main le gland gluant et se met à le lécher avec beaucoup d'amour. Le vieil homme souffle de bonheur, il ce dit que ce qu'il fait est une horreur. Cependant, l'amour véritable que les deux ont l'un pour l'autre est si fort, qu'ils en ont oubliés la morale.

La langue habile de la jeunette s'active sur la verge enduite de résidu visqueux. Le papy geint de plaisir, la tension monte encore d'un cran dans les corps fébriles. De temps en temps, la petite fille relève la tête, pour sourire à son grand-père et reprendre une bouffée d'air. Le membre du vieil homme et tendu comme jamais, ses gémissements prouvent que le gredin prend un plaisir immense à se faire sucer. Il n'en peut plus, tout en caressant la longue chevelure de son petit amour, il murmure :


-Je vais t'aimer ma petite princesse comme tu le mérites !

La jeune suceuse délaisse la verge et s'étend sur le lit. Le grand-père se place entre les cuisses ouvertes et frotte plusieurs fois son gland bien décalotté contre la fente humide. Il pousse doucement, les grandes lèvres s'écartent, et le cèpe s'engage dans la gaine étroite. La jeune adule pousse un long râle pendant la pénétration, la verge puissante de son grand-père qui lui dilate la gaine, en s'enfonçant de plus en plus dans son ventre, la fait geindre comme une bête blessée.
Bien qu'habituée de recevoir le membre dans son ventre, la pénétration et un peu douloureuse. Juliette s'accroche à son papy comme un animal sur sa proie, ses gémissements sont très bruyants.



Le grand-père cesse de pousser et dit tendrement :

-ça va ma petite princesse, je ne te fais pas trop mal ?

Juliette répond en se cambrant davantage :

-Non ça va papy, vas-y à fond, oh comme ta queue monstrueuse me dilate, c'est un délice, continue, continue mon chéri !

Le grand-père reprend la pénétration, son gland bute contre le col de l'utérus de sa petite fille qui pousse un râle en se cabrant :

-Oh oui, oui, papy, vas-y baisse-moi, baisse-moi fort !

Bien que d'un certain âge, le grand-père assure. Il commence un va-et-vient très lent au début, que le vieil homme adapte aux gémissements de la jeunette. Au fur et à mesure, le rythme devient rapide, La verge entre et ressort du ventre de Juliette avec de plus en plus de violence. Les mains de Juliette se cramponnent sur les hanches de son papy, elle souffle terriblement. Soudain, il retire son membre du ventre de sa petite fille, reste un petit moment sans bouger, avant de le replanter brutalement dans le ventre de Juliette qui se cabre sous la pénétration violente, elle dit entre deux souffles :

-Oui papy encore, oh, c'est trop bon ce que tu me fais, vas-y, vas-y !

Le grand-père, très coopératif, réitère plusieurs fois le mouvement qui fait hurler de plaisir sa petite fille. L'assaut est de plus en plus violent, Juliette donne des coups de reins pour être empalée le plus loin possible. Elle dit des phrases inaudibles, en agitant son bassin. Le papy redouble ses attaques, sa petite fille est au bord de l'évanouissement tellement c'est bon. Elle pousse un cri terrible et jouit en plantant ses ongles dans les hanches de son papy. Il serre les dents, se cabre à son tour et remplit de sa semence épaisse le ventre de son jeune amour.

Il continue de pilonner sa petite fille, avant de retirer sa verge de son ventre en feu. Juliette regarde avec ses yeux embués, la verge qui tressaute, elle semble secouée par des spasmes violents. Elle saisit d'une main l'engin recouvert de liquide blanchâtre, le presse fortement pour en faire sortir le jus qu'elle a dans la hampe. Les veines apparentes sont impressionnantes. La verge, sous les nombreuses pressions de la jeune fille, recrache le surplus de semence.

Juliette sait que son papy a une résistance exceptionnelle, est qu'il peut la prendre plusieurs fois de suite, d'ailleurs, il l'a deja fais de nombreuses fois. Elle se redresse et enlace son vieux grand-père, elle l'embrasse comme une malade et lui dit :

-Papy prend moi le derrière !

Le grand-père sursaute et réplique :

-Tu veux vraiment que je te sodomise ma chérie ?

-Oui papy, la dernière fois que je te l'ai demandé, tu m'as répondu plus tard, alors fais-le, j'en ai trop envie mon papy adoré !

-Mais, tu vas avoir très mal ma petite princesse !

Juliette le regarde droit dans les yeux et réitère sa demande :

-Encule-moi papy, je veux tout connaitre de l'acte sexuel, tant pis pour la douleur !

Juliette se met à quatre pas, son grand-père se place derrière elle, lui crache sur l'anus, l'enduit le mieux possible de salive, et enfonce doucement un doigt dans le rectum, le fouille profondément pour le préparer à la pénétration anale. Il reussi à en enfoncer deux, le bougre lui travaille le canal un long moment pour l'assouplir. Enfin, il faut passer à l'action.

Il place sa verge qu'il a décalottée, contre l'anus, il saisit Juliette par les hanches et pousse doucement. Elle grimace, souffle comme un dragon. L'anus résiste un instant puis, l'anneau cède et avale lentement le manche de chair jusqu'à la garde. La petite fille croit mourir, elle ouvre grandement la bouche, mais ne crie pas, elle supporte tant bien que mal la pénétration de son fondement. Elle pose sa tête sur ses avants bras. La position ainsi obtenue et plus favorable pour la sodomie.

Le grand-père attend un instant que sa petite fille s'habite au manche qui lui distend le rectum. Le va-et-vient est très lent. Juliette souffle comme un taureau en colère. La vitesse augmente, Juliette serre les dents. Son grand-père, d'une main, lui saisit le clito et le triture pour que sa petite princesse ait moins mal. Au fur et à mesure de l'enculage, Juliette commence à prendre du plaisir. Le ramonage est au maximum de la vitesse. Juliette couine, s'agite, sa croupe comme une forcenée. Les assauts terribles du grand-père la font jouir du cul pour la première fois de sa vie. Juliette défaille et ne cesse de dire :

-Oh putain papy ce que c'est bon de jouir du cul, c'est une expérience inouïe, vas-y encore, encore !

Le vieil homme lui défonce le cul comme jamais, il se raidit, se bloque et remplit le cul de sa petite fille avec son sperme abondant. Le bougre de papy, avant de libérer sa petite fille, l'a fait jouir encore plusieurs fois.

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