Elodie E10

Elodie va devoir montrer de quoi elle est capable. Dans les rues chaudes d'une ville qu'elle connait. Lui montrer qu'elle n'a pas froid aux yeux... et qu'un métier, même le plus vieux du monde, ne l'impressionne pas.

Proposée le 2/01/2024 par DomiNancy

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Ils prirent quelques minutes pour se remettre de leurs émotions et reprendre leurs souffles. Puis il se leva. Sans un mot.
« Il part déjà... c'est du fast sexe sur commande » se dit elle en rigolant intérieurement.

Mais à sa surprise, il alla jusqu'à sa penderie et commença à fouiller à l'interieur.
« Que.... ». Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il se retourna pour lui intimer le silence.
« Tu as encore ton collier. Tu n'as rien à demander. Juste à obéir ».
Et c'était vrai. Il l'avait dit et elle l'avait accepté. Elle le laissa alors continuer tout en surveillant ce qu'il faisait.

Il sortit plusieurs de ses robes et d'autres vêtements pour les examiner. Puis il les remettait en place, visiblement pas satisfait de ce qu'il voyait. Ce jeu dura plusieurs minutes. Puis il trouva quelque chose à son goût. Il sortit une jupette en cuir ainsi qu'un petit pull blanc très fin.

Il se tourna vers elle en souriant.
« Enfile ça avec juste un string, des bas et sors des escarpins. Je t'attends dans le salon »
Et il sortit sans un mot de plus.

Elle comprit qu'il avait décidé de sortir. Ce qui la surprit mais ne manqua pas de l'exciter. Elle sortit du lit, débarbouilla le peu de sperme que ses doigts avaient oublié sur elle et elle enfila la tenue. Elle l'avait déjà portée évidemment. Mais pas depuis un certains temps. Alors prit le temps de s'admirer dans son grand miroir.

Cette jupe lui arrivait à mi cuisse. Et ce pull était bien moulant malgré sa petite poitrine. Elle était très sexy là dedans. Surtout que le haut des bas se voyait au moindre mouvement. Franchement, elle ne savait pas ce qu'il avait en tête mais elle était sure qu'elle allait encore se faire baiser.

Quand elle arriva dans le salon, elle vit dans ses yeux qu'il était très satisfait de ce qu'il voyait. Si elle savait qu'il était obligé de se contenir pour ne pas lui sauter dessus une nouvelle fois. Mais il avait mieux en tête.

Il se leva et ils sortirent de chez elle. Ils montèrent rapidement dans sa voiture. Elle avait toujours son collier autour du cou. Rapidement, il s'engagea sur l'autoroute. Elle le vit suivre les panneaux indiquant une autre grande ville de la région. Pas très loin, à peine 25 minutes de route.

Elle mourrait d'envie de lui demander où ils allaient. Mais elle se rappela que son collier lui interdisait de le faire. Alors elle garda le silence. Mais son collier ne lui interdisait pas de jouer. Alors elle décida de s'amuser un peu avec lui.

Elle retroussa sa jupe et glissa sa main en dessous. Elle commença à se caresser doucement et elle tourna la tête vers lui. Évidemment, il la regardait tout en conduisant. Comment pourrait il faire autrement. Il ne dit rien, préférant la laisser continuer.

Elle décida alors de se masturber franchement. Elle se doigta comme ça devant lui tout en faisant comme s'il n'était pas là. Ses cuisses grandes ouvertes, son souffle qui s’accélérait. Sa chatte était bien trempée et elle se souvenait des grands coups de reins qu'il lui avait mis il n'y a pas si longtemps que ça.

Elle ferma les yeux, profitant de son plaisir tout en sentant la voiture vibrer sous elle. Elle ne revint vraiment dans la voiture que quand elle le sentit ralentir. Ils entraient en ville. Elle se rajusta un peu et rabaissa sa jupe après avoir sortit ses doigts plein de cyprine de son ventre. Elle n'avait pas eu le temps de se faire jouir mais cela n'avait pas d'importance.

Elle le vit tourner en ville et se diriger vers le quartier chaud. Celui des boites de nuit. Elle s'imagina alors qu'ils allaient en boite et qu'ils joueraient là bas. Il tourna pour chercher une place de stationnement, chose rare dans ce quartier à cette heure.

Il trouva une place dans une petite rue transversale et il descendit. Il contourna la voiture pour lui ouvrir la porte et elle sortit en souriant, se disant qu'elle avait eu raison de l'appeler.

Mais à sa grande surprise, ils ne se dirigèrent pas vers les boites de nuit. Ils allaient dans l'autre sens. Vers les rues chaudes. Les rues des prostituées. Elle décida de le suivre sans rien dire pour voir où il voulait en venir. Tout en se rappelant sa récente expérience dans un parking. Expérience dont il ne savait rien.

Une fois dans la rue en question, elle vit tout de suite les putes sur les trottoirs. Certaines plus jeunes qu'elle, d'autres plus agée. Mais leur tenue était du même style que la sienne. « C'est ça qu'il cherchait ? » 

Il s'arrêta et se tourna vers elle. Puis il prit sa main et mit quelque chose dedans. Elle baissa les yeux pour voir des capotes. Un ruban de capote attachées entre elle. 8 capotes précsiement. Elle leva les yeux vers lui, ne comprenant pas le message.

Il sourit avant de lui expliquer :
« Je vais au bar là bas en bas de la rue. Reviens me voir quand elles auront toutes servies et qu'elles seront pleines de sperme. Garde les avec toi comme preuve quand tu viendras me rejoindre. »
« Que veux tu dire ? »
« Tu sais ce que font les filles ici. Et tu es assez intelligentes pour savoir comment faire pour que ces objets soient pleins de sperme. Alors tu sais ce que tu dois faire. »

Puis il la laissa seule et se rendit au bar sans se retourner. Elle était là et se sentait idiote. Mais elle se fit aussi deux remarques : la première était qu'elle n'avait pas vraiment le choix si elle voulait rentrer. Et la seconde c'était que cette idée l'excitait. Alors, autant arrêter de réfléchir et s'y mettre. Après tout, sa tenue et son physique devraient lui permettre de trouver rapidement 8 mâles voulant se soulager.

Elle se mit donc sur le bord du trottoir et attendit le premier client. Qui arriva en quelques minutes à peine. A pied.
« Salut ma jolie »
« Salut »
« Tu me proposes quoi ? »
« Tu veux quoi ? »
« Je me ferai bien sucer ce soir »
« Avec capote »
« Non sans »
« Désolé je fais pas sans »
« Si c'est pour mettre une capote, je te baise alors »
« Ok. 100 ça te va ? »
Il la regarda de la tête au pied comme on regarde une voiture ou un cheval avant de l'acheter avant de répondre.
« Ok. On va où ? »
« Ah merde » se dit elle. Elle n'avait pas pensé à ça. Elle tourna la tête puis elle aperçut une porte cochère donnant sur un immeuble. Elle était ouverte et il n'y avait pas de lumière. Ca semblait assez sombre et assez calme pour ça.

« Suis moi ». Et elle se dirigea vers la porte en question. Pour découvrir une cour intérieure sans lumière, à la propreté douteuse et dans laquelle se trouvait des containers poubelles. Mais elle cherchait un endroit calme et sombre et c'est ce qu'elle avait sous les yeux.

Elle trouva un petit recoin et elle s'agenouilla directement devant ce type après qu'il lui ait remis son argent. Elle sortit sa bite sans attendre. Une bite pas encore vraiment raide et pas très grosse. Elle le branla pour lui donner de la vigueur et il durcit rapidement. Assez pour qu'elle enfile la capote.

Puis elle commença son office. Dans sa bouche d'abord ce qui finit de le faire bander. Et une fois bien raide, elle se releva, lui tourna le dos et se pencha en avant. Il n'avait rien dit. Il était timide. Il n'avait pas l'habitude de voir une femme prendre les choses en main.

Elle tourna la tête et lui dit « Allez baise moi »
Il ne se fit pas prier et il agrippa ses hanches avant de s'enfoncer dans sa chatte. Elle comprit en quelques secondes qu'elle allait devoir le motiver si elle voulait que ça ne dure pas des heures et qu'il gicle rapidement. Alors elle se tourna de nouveau vers lui en gémissant :
« Vas y baise moi bien, je suis une pute, traite moi comme une pute » puis « putain j'adore ta bite, je suis une vraie chienne ».

Et moins de 2 minutes après, il se vida dans la capote. Elle cessa de jouer alors. Elle se retourna, retira la capote, la ferma d'un nœud puis la mit dans la petite poche de sa jupe. Elle l'abandonna là et elle retourna sur le trottoir. Attendre le suivant.....

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