Elodie

Elodie est engagée comme serveuse dans une brasserie toulousaine. Entre le service aux clients, les yeux du jeune cuisinier Denis et les gros seins de la patronne, elle ne sait plus où donner de la tête. Christian , en bon patron, va prendre l'initiative.

Proposée le 14/03/2019 par marc dubois

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Thème: Couple, passion
Personnages: 2CPL
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

A Elodie qui m'a inspiré cette histoire. Et à Christian pour le clin d'œil...


Macron a beau dire, trouver du boulot dans la restauration, ce n'est pas si facile. Surtout à des conditions correctes. Mais quand on s'appelle Elodie, qu'on a 25 ans, qu'on est blonde, bien foutue et sexy, c'est sans doute moins compliqué. Ca fait 3 semaines qu'elle bosse au "Saint Chinian", une taverne du centre de Toulouse. On peut dire que ça a été rapide : elle a commencé le lendemain de son entrevue avec les patrons, Christian et Monique.

Avec Christian, le courant est vite bien passé. La soixantaine, très grand (presque 2 mètres), débonnaire, Elodie a tout de suite vu qu'il avait du mal à discipliner un regard qui de se perdait volontiers dans son décolleté, ou sur le haut de ses cuisses. Il faut dire qu'Elodie aime porter court, sentir le regard d'un homme sur son corps. Elle est un brin provocante, mais ce je ne sais quoi d'enfantin dans ses yeux noisette rend la chose anodine, voire amusante.

Monique, elle, s'était montrée plus réservée, voire froide. Plus jeune que Christian (la cinquantaine), c'est une petite brune énergique aux cheveux courts. Un peu ronde, elle a pour elle deux très gros seins qu'elle ne rechigne pas à dévoiler dans des décolletés généreux. L'observer nettoyer une table semble intéresser profondément les clients que le mouvement de ces 2 globes blanchâtres fascinent. Depuis l'entrée en fonction d'Elodie, leur rapports sont cordiaux à défaut d'être chaleureux. La "petite" connaît son boulot et ne rechigne pas à la tâche, c'est déjà ça. Et puis Monique sait qu'un joli minois ne fait pas de tort au commerce...

En cuisine, c'est Denis qui s'affaire. Le cassoulet, ça le connait! Vu son âge, il ne doit pas connaître grand chose d'autre. A peine sorti de l'école, il est plus jeune qu'Elodie. Timide, doux, il a deux grands yeux noirs pétillants qui font frissonner Elodie. Elle aurait envie de le prendre sous son aile ce petit! Mais elle ne le voit guère, elle en sale ou en terrasse, et lui en cuisine. Leurs horaires sont décalés aussi. Et Monique, elle commence à le remarquer, ne les laisse jamais seuls...Elodie a remarqué aussi une certaine différence de ton, sec quand elle s'adresse à elle, plus doux quand c'est à Denis.

Ce qu'elle a remarqué aussi c'est que Christian a l'air de les laisser se rapprocher. Ok peut être qu'étant plus vieux, il se sent moins concerné par le sexe, qu'il laisse Monique s'amuser un peu du moment qu'elle lui fout la paix question boulot? Mais d'un autre côté, elle sent souvent son regard sur ses fesses, la naissance de ses seins. Certains frôlements aussi, sans doute pas toujours inévitables. Elodie ne déteste pas ce petit jeu du chat et de la souris. Il lui arrive d'en rajouter, en accentuant une cambrure, en "oubliant" un bouton sur le dessus de son chemisier, en exagérant un peu le déhanché de sa démarche. Surprendre le regard de Christian fait partie de ces petits moments qui rendent une journée de travail agréable.

Aujourd'hui, un car complet de Hollandais a débarqué pour midi, et c'est un peu la course. Ca n'a pas l'air de tracasser Christian qui la joue "tranquille", comme d'habitude. Elodie court d'un coin à l'autre. Et voila qu'il n'y a plus de vin, et Monique est introuvable! En râlant, elle se dirige vers la cave.

En passant devant la réserve, elle remarque que la porte est entrouverte. Pas normal... Elle arrive pour la refermer quand soudain, elle s'arrête, interdite. Dans la pénombre, elle distingue Denis, debout, de 3/4 dos. Devant lui, Monique est accroupie. Elodie voit sa tête animée d'un mouvement de va et vient. Denis respire fort, laissant échapper un gémissement de temps à autre. Monique, gourmande, grogne. Les bruits de succion ne laissent planer aucun doute sur son activité. Elle a relevé sa petite robe sur ses hanches, et sa main s'affaire sur son entrejambe. Elle parle à Denis, essoufflée.

_ Oh, petit salaud! Hmmm oui donne moi ta grosse queue!

Visiblement, Denis aime. Un grand Hmmmmm s'échappe de sa gorge! Puis Monique retourne comme une affamée pomper le membre dressé. Sa main devient frénétique. Elodie est complètement absorbée par ce spectacle. Passée la surprise, une certaine excitation l'envahit. Sa main vient soulager ses tétons dressés. Puis une autre main, nettement plus grosse, vient la rejoindre.

_ Chhht! Et alors, tu espionnes? Ne bouge pas!

C'est Christian! Elodie est paralysée par la surprise, ne sait que faire. Donc ne fait rien. Puis c'est trop tard. Christian commence à lui peloter les 2 nichons en les englobant dans ses grosses paluches. Elle sent son sexe durci frotter sur ses fesses. Devant elle, Monique suce tant et plus. Elle sent la chaleur envahir sa chatte. Son coeur s'emballe. La gêne, l'envie, la peur se mêlent. Tous ses sens sont en alerte. La main de Christian descend, passe sous sa jupe. Une douce chaleur envahit le bas ventre d'Elodie, la tranquillise. Elle s'abandonne. Immédiatement, un doigt vient s'insérer entre ses lèvres. Il est très doux. le majeur s'anime d' un mouvement circulaire lent, sensuel. Hmmm c'est bon!

_ Donne moi vite ta queue! Baise moi maintenant!

Monique s'est relevée, et, en posant un genou sur un tonneau de bière, offre sa croupe à Denis. Le gamin, chauffé au rouge, la prend d'un coup, à fond dans un grand "HAN". Monique pousse un petit cri à la fois réprobateur, surpris, et admiratif. Piquée au vif, elle se cambre très fort, lançant sa poitrine en avant. Ses 2 gros seins se mettent à danser, à trembler au rythme du marteau pillon qui défonce sa chatte.

Derrière la porte, Elodie s'est penchée, invitant Christian à aller plus loin. Il ne se fait pas prier, l'index rejoignant le majeur dans le vagin d'Elodie, large, accueillant, humide et glissant à souhait. Elle a du mal à rester silencieuse, le plaisir l'envahissant doucement. La scène qu'elle observe met le feu à son entrejambe. Sa main s'est portée sur la braguette de Christian, et caresse cette grosse bosse bien dure! Ca semble bien exciter le vieux qui la doigte avec beaucoup d'énergie.

Devant elle, le clap clap des hanches de Denis sur les fesses bien grasses de sa patronne ne cesse de s'accentuer, d' accélérer. Monique gémit de plus en plus, feule comme une chatte couverte. A son jeune amant, elle souffle des encouragements, toutes sortes de paroles qu'Elodie ne comprend pas exactement mais dont elle saisit le sens! Puis Denis plaque ses mains sur les énormes nichons de Monique, les arrache de la robe et du soutif, s'empare des larges aréoles et des tétons, les pince, les écrase, mes pétrit sauvagement, brutalement. Monique devient folle, envoie son cul claquer encore plus fort sur les hanches de Denis. Voir Monique si salope, la voir se faire baiser comme une chienne, ses seins triturés, maltraités, son sexe pilonné dans cette position de soumission fait passer un cap à Elodie. C'est comme une flamme qui démarre et se propage très vite. En un instant, tout son corps brûle, puis se bloque, et une vague de bien être l'envahit. Christian le sent et redevient plus caressant, accompagnant la jouissance d'Elodie aussi longtemps et doucement que possible. Puis, comme si de rien n'était, il repart vers le bar et la terrasse. Denis, lui aussi est en bout de course et se déverse dans la grosse chatte de Monique. A ses grognements bestiaux, Monique répond par un "hooooooon" long et doux.
Revenue à elle, Elodie s'éloigne doucement avant de se faire "griller"...

Elle est encore un peu tremblante lorsqu'elle rentre dans la salle. Légèrement excitée, tendue, génée. Christian, par contre, ne laisse rien paraitre, reste pareil à lui même, tranquille. Puis Monique revient derrière le bar, avec du vin. Son visage est un peu défait, mais elle rayonne. Bien hauts, ses gros seins ont quelque chose de triomphant. Est ce la première fois qu'elle goute au "gamin"? Christian n'avait en tout cas pas l'air de se formaliser de la situation...Elodie n'a guère le loisir de se plonger dans ces réflexions. La terrasse est pleine, on doit même refuser du monde. Puis, après 20h, la brasserie se vide doucement, et les derniers clients sont partis avant 22h. Christian a un large sourire. Très belle journée!

_ Elodie, Denis, on ferme, mais vous restez, je paie le coup!

Après la fermeture, Elodie n'est pas fâchée de s'asseoir. Pour une fois Denis est assis à côté d'elle, elle profite de ses beaux yeux. Dommage qu'il les détourne si vite... Elle aime regarder un mec droit dans les yeux. Lui faire sentir son désir, et ressentir le sien. Sa mini jupe remonte très haut, dévoilant de superbes cuisses hâlées, galbées à souhait. Sans avoir l'air d'y toucher, elle croise souvent les jambes, l'air innocent. Denis semble un brin mal à l'aise. A cause de Monique? Elle termine sa caisse et vient s'asseoir en face d'eux, tandis que Christian revient de la cave, le sourire aux lèvres et une bouteille poussiéreuse à la main.

_ Héhé! je savais qu'il en restait!
_ Du 2001?
_ Oui!

Christian ouvre religieusement sa bouteille, pendant que les 3 autres commencent à décompresser. Le vin est magnifique. Un premier verre réchauffe l'athmosphère, même Monique semble détendue. Le décolleté de sa robe baille un peu. Elodie y jette un oeil rapide. Elle aimerait les toucher, surtout en lècher les larges aréoles, et sentir un teton pointer sous sa langue. Puis l'agacer, l'abandonner, y revenir avec sa petite langue nerveuse et agile. Elle aime les poitrines plantureuses. Surtout chez les femmes mures. Allez savoir pourquoi...

_ Elodie, tu es avec nous?

Christian l'a encore "grillée"...

_ Euh oui! Pardon...

_ Bon! Je voulais féliciter tout le monde pour le bon travail d'aujourd'hui. On a vraiment cartonné! Mais il y a quand même un truc que je dois dire...

Ce disant, il se tourne vers Elodie qui se sent rougir.

_ Aujourd'hui j'ai surpris Elodie qui vous regardait dans la réserve!
_ Quoi?!

Monique est furieuse!

_ Salope! T'es pas honteuse?

Devant les regards accusateurs, Elodie rougit, tente de se justifier.

_ Mais je savais pas! La porte était ouverte, et puis Christian est arrivé, et...
_ Ca va être de ma faute en plus!

Le regard de Christian, habituellement bienveillant, se fait sévère, accusateur. Les nichons de Monique frémissent d'indignation. Denis rougit et reste bouche bée.

_ Je ne peux pas tolérer ça sans mon établissement! Debout!

Elodie, perdue, s'exécute. Christian lui met la main aux fesses.

_ Ca avait l'air de bien l'exciter en plus! J'ai du la soulager!

Outrée, Monique se lève et la gifle!

_ Salope!

Puis elle déchire son chemisier, et, sans douceur, arrache les petits seins d'Elodie de leur gaine de dentelles. Ca se passe très vite. Elodie ne peut réagir. Elle aussi reste bouche bée.

_ Tu m'as vue sucer Denis? A mon tour maintenant! Allez, sort ta queue toi!

Denis, penaud, sort doucement un sexe flasque de son bermuda, un peu honteux. Monique prend Elodie par les cheveux et la fait mettre à genoux.

_ Allez montre que sais faire bander un mec, au moins!

Toujours tétanisée, la jeune fille ne résiste pas. Elle approche sa bouche su sexe mou de Denis, semble hésiter. Monique pousse sa tête et Elodie prend Denis en bouche. Denis, très mal à l'aise, se laisse faire. Il en a rêvé de cette bouche. Elle est chaude, humide. Il sent les seins fermes caresser sa cuisse. Il se détend très vite, et son sexe gonfle, durcit. Elodie s'applique. Sa langue est douce, légère. Ses mains participent, caressent les testicules gonflés, poilus, rejoignent parfois la bouche sur la hampe maintenant aussi dure que de l'acier. Elodie profite de l'instant. Cette belle queue si dure, si chaude dans sa bouche la fait vibrer. Un peu malgré elle, l'excitation la gagne, son bas ventre s'échauffe. Ses hanches ondulent au rythme de ses caresses. Elle laisse échapper un petit gémissement. La grosse paluche de Christian, qui depuis le début flattait la jolie petite croupe bien ronde, s'insinue maintenant entre les cuisses légèrement ouverte. Elodie pousse sa chatte à sa rencontre.
.
_ Mais c'est qu'elle mouille déjà bien la petite!

Et il écarte le mince string pour jouer avec les lèvres humides, ouvertes. Elodie pousse maintenant un gémissement plus fort, plus expressif. Elle suce Denis de manière plus saccadée. Lui aussi grogne et gémit. Monique prend Elodie par les cheveux, et de manière inattendue, l'embrasse à pleine bouche. Elodie accepte le baiser, le lui rend fougueusement. Les langues se combattent plus qu'elles ne se caressent, l'une cherchant à emprisonner l'autre dans une lutte à la fois nerveuse et sensuelle. N'y tenant plus, Elodie plaque une main sur les gros seins qui depuis 3 semaines lui font envie. Elle les malaxe, les soupèse, en vérifie sans fin la rondeur.

_ Allez, enfile le maintenant!

A cet ordre soupiré, Monique joint le geste en poussant Elodie sur Denis, toujours assis sur sa chaise, la queue à l'air. Elodie, bouillante, béante, vient doucement s'y empaler. Les 2 jeunes amants soufflent, gémissent, tentent de se retenir, mais très vite, leur coït devient a****l, presque agressif. Monique prend la main de l'un, puis de l'autre, se fait peloter les seins. Elle embrasse Denis, puis Elodie. Le vice se lit sur son visage, fendu d'un sourire féroce. Assis à côté, Christian se branle tranquillement, caressant distraitement les fesses rondes et douces qui s'offrent à lui. Puis il se lève et prend la petite bouteille d'huile d'olive sur la table, et s'en enduit le vit.

_ Oui vas y salaud! Prend la cette petite pute!

Ainsi encouragé par son épouse, Christian vient se placer derrière Elodie qui continue son va et vient exalté sur la bite de Denis. Elle sent le gland de son patron s'insinuer entre ses fesses. Elle stoppe son mouvement et se cambre, offrant son derrière. Christian, calmement, lui prend les hanches et la guide, tout en poussant son gland bien lubrifié dans l'anus qui le bloque. Elodie remue les hanches, Christian son sexe, et soudain, ce premier obstacle est franchi. Elodie pousse un petit cri et Christian, toujours calme, la laisse reprendre son souffle, avant de la laisser s'empaler à son rythme, dans de petits va et vient précautionneux. Puis il se joint doucement au mouvement jusqu'à introduire l'entièreté de son membre dans le petit cul qu'il profane dans un grand grognement de satisfaction. Denis reprend son mouvement, suivant Christian. Ces 2 glaives qui la transpercent à l'unisson font perdre pied à Elodie, qui gémit de manière continue, de plus en plus aigue. Les 2 hommes grognent, accélèrent leur mouvement.

Monique a relevé sa robe jusqu'aux hanches, et, profitant du spectacle, se branle sans retenue. Puis, posant un pied sur la chaise de Denis, elle offre sa moule à Elodie qui vient la bouffer comme une affamée. Très vite, Monique se saisit de la tête de la jeune fille, l'applique très fort sur son sexe tandis que ses hanches se bloquent et et qu'elle pousse un long grognement a****l. Puis la patronne se dégage et vient s'agenouiller à Coté de Christian an lui caressant les fesses. Celui-ci, comprenant le message, se dégage et offre son sexe à son épouse qui le prend en bouche et le suce vigoureusement. Puis elle le sort de sa bouche et le branle contre ses seins en le regardant droit dans les yeux. Christian n'en peut plus et arrose la poitrine généreuse de sperme brûlant, tout en poussant un grand mmmmm aigu.

Mais Monique n'en a pas fini. Avec un sourire mauvais, elle écarte Elodie, qui baise Denis frénétiquement. A la fois étonnée, frustrée et déçue, la petite blonde regarde sa patronne sucer le jeune sexe dont elle profitait l'instant d'avant. Elle y met tout son coeur et rapidement, Denis décharge dans la bouche experte. Monique n'en perd pas une goute, puis se lève et embrasse Elodie, partageant avec elle la récolte de bon sperme bien chaud.

_ Tu vois ma petite, ici je suis la patronne. C'est moi qui décide qui jouit, quand et avec qui...

Elodie, encore étourdie de plaisir et d'excitation, reste bouche bée. Tout ça n'était qu'une mise en scène? Ses pensées sont interrompues par un "plop" révélateur. Christian verse quatre nouveaux verres de vin.

_ Alors les jeunes? Ca ne vous a pas donné soif?

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