Elodie E07

Une décision va s'imposer à Elodie. Une décision importante mais pas définitive. Une décision de celle qui peut changer une vie, en bien ou en mal. Mais qui va décider? Son cerveau? Ou son bas ventre?

Proposée le 8/12/2023 par DomiNancy

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Sa nuit s'était terminée plus tranquillement. Elle était restée avec lui dans le club, une petite pipe en privée lors de laquelle elle avait fait preuve de sa maestria habituelle et qui l'avait amenée à tout avaler puis ils étaient partis.

Ensemble mais chacun de son côté. Et depuis, rien. On était le vendredi de la semaine suivante et lentement mais surement, elle sentait son bas ventre frétiller.

Son téléphone bippa. Un sms. Son numéro. Elle déverrouilla l'écran pour lire ceci :
« Ce soir 20h. Chez moi. Une petite robe noire mi cuisse, des bas, des escarpins et rien d'autre. Tu acceptes ? »
Elle prit un peu de temps pour répondre. Répondre trop vite enverrai un mauvais signal. Elle aimait cette manière qu'il avait de lui parler. Il lui imposait son envie et il n'y avait rien de négociable là dedans. Et à la fois, il lui laissait la possibilité de refuser. Elle pouvait soit tout accepter en bloc, soit refuser en bloc. Mais pas négocier. Et ça lui plaisait.

Elle accepta l'invitation et lui répondit par l'affirmative. Et plus rien.
Elle rentra chez elle vers 18h30 et elle commença à se préparer doucement. Elle prit la route vers 19h40. Elle avait une petite robe noire qui n'était pas moulante et plutot courte. Elle n'avait mis ni culotte ni soutien gorge comme exigé. Ses bas lui tenaient chaud aux jambes et les escarpins s'occupaient de sa démarche.

Il faisait un peu frais mais la chaleur dans son bas ventre compensait. Et elle n'en avait pas pour longtemps. Elle arriva chez lui et sonna. Il ouvrit rapidement. Un jean noir et une chemise pour sa part. Il lui sourit et la fit entrer.

Ils allèrent au salon et il lui proposa un verre qu'elle accepta. Ils discutaient tranquillement depuis quelques minutes quand il attaqua le vif du sujet.

« Tu as respecté mes demandes ? »
Elle comprit qu'il demandait pour la culotte et le soutif.
« Pour le soutif ça se voit je pense »
Elle avait de tout petits seins donc l'absence de soutif était effectivement visible.
« Certes. Et le reste ? »
Elle ne dit rien et se contenta de soulever le bas de sa robe pour lui offrir la vue sur son sexe lisse. Il sourit.
« Parfait. Ne bouges pas, je reviens »

Il la laissa seule avant de revenir. Et de poser sur la table basse un collier en cuir noir et une laisse. Le silence plana entre eux pendant quelques instants avant qu'il ne reprit la parole.
« Tu sais ce que c'est je pense »
S'il savait que la simple vue de ces objets avaient fait monter sa température de plusieurs degrés entre ses cuisses !

« Oui bien sur »
« Tu sais ce que ça implique »
« Oui j'en ai une idée »
« Si je le pose sur ton cou, tu m'appartiens tant que tu le portes. Je fais ce que je veux de toi, je t'utilise. Si tu le portes, tu es une chienne. Tu es MA chienne. Et tu l'acceptes »
« Et je doit me prononcer maintenant ? »
« Maintenant, non. Mais ce soir oui. Si tu as des questions vas y, poses les. »
« Si je l'accepte, ça signifie que je suis ta soumise ? »
« Tu veux l'être ? »

Elle prit le temps avant de répondre :
« Non »
« Alors ce collier signifiera juste que tu es ma chienne quand tu le portes. Et uniquement quand tu le portes. »
« Et ça impliquera quoi ? »
« Si je t'envoie un message comme ce soir, tu viens et je le poserai sur ton cou. »
« Et si je ne veux pas ? »
« Comme ce soir. Tu es libre de venir ou non. Mais si tu refuses trois fois de suite, ça sera terminé entre nous. »

« Et si je viens, je n'ai plus mon mot à dire ? »
« Tu peux poser toutes les questions que tu veux. Tant que tu n'as pas encore le collier sur le cou. Quand tu l'as, tu acceptes implicitement tout ce qui suivra sans poser de question. Mais tu pourras poser des questions ensuite »
« Et si je ne veux pas faire telle ou telle chose quand je le porte ? »
« Tu auras un mot de passe. Un safe word. Si tu le dis, on arrête ce qui est en cours. Si tu le dis deux fois dans la même séance, on stoppe la séance. Si tu le dis trois fois dans la même séance, c'est fini entre nous »
« Pourquoi ? Pour me punir parce que je ne serai pas assez bonne ?! »
« Du tout. Ca voudra juste dire que nous nous sommes tous les deux trompés. Toi en l'acceptant, moi en te le proposant. Si il y a 3 refus de suite en une journée c'est que nos envies et plaisirs sont trop éloignés »

Elle prit le temps de digérer ces informations en sirotant son verre tout en réfléchissant. Puis, elle reprit :
« Quelles sont tes limites ? »
« Zoo, scato, sang et violences pures. Une fessée, une gifle ok mais pas de coups pur et dur »
« C'est acceptable » se dit elle.
« Et donc, je n'aurai plus que toi ? »
« Non. Déjà, comme évoqué, tu n'es pas ma soumise en tant que telle. Ensuite, te prêter ne me dérange pas comme tu l'as vu »
« Donc je pourrai faire ce que je veux ? »
« Non plus. Tu as envie de baiser ? Tu me contactes. Si je suis disponible, tu es à moi et je m'occuperai de toi. Si je te dis que je ne peux pas, tu seras libre de faire ce que tu veux. Je veux juste être ton premier choix quoi qu'il arrive et avoir la primauté »

La proposition était un peu folle. Mais cet homme semblait savoir ce qu'il faisait. Il faisait chauffer son bas ventre et quand il s'introduisait dedans, il lui donnait pas mal de plaisir. Et après tout, elle avait accepté des choses bien plus folles et plus dangereuses. Comme cette fois où, encore adolescente, elle avait accepté que son petit ami amène des potes. Un grand souvenir......

« Et donc, je dois faire quoi ? »
« Si tu l'acceptes, tu te lèves devant moi, tu enlèves ta robe et tu t'agenouilles. »
« Et si je refuse ? »
« Tu t'agenouilles entre mes cuisses, tu me suces et tu pars »
« Si je refuse, je dois te sucer ?! »
Il sourit avant de dire « Une forme de compensation dirons nous... »

Elle laissa passer quelques secondes, se leva et fit tomber sa robe. Avant de s'agenouiller devant lui en le regardant dans les yeux....

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email