Où il est question de frangines et d'amies 4

Je parlais dans le chapitre précédent de ce fameux trou résultant d’un changement de chauffe-eau, et je reconnais qu’il m’a bien servi en d’autres occasions lors de visites de parentes ou d’amies. Mais il m’a permis un jour de vivre une expérience assez exceptionnelle.

Proposée le 8/12/2023 par Furet

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Je parlais dans le chapitre précédent de ce fameux trou résultant d’un changement de chauffe-eau, et je reconnais qu’il m’a bien servi en d’autres occasions lors de visites de parentes ou d’amies. Mais il m’a permis un jour de vivre une expérience assez exceptionnelle.

J’avais deux jeunes femmes qui avaient été mes étudiantes et avec qui j’avais noué des liens d’amitié. Elles étaient lesbiennes et très amoureuses, je le savais depuis longtemps. Elles venaient de randonnées et ont voulu passer pa la salle de bain avant le repas du soir, j’ai pu assister en spectateur discret à leur bain et leurs caresses mutuelles avec le gel douche, mais cela n’a pas duré longtemps.

Nous avons mangé, et bien bu et discuté après le repas, et tout naturellement la discussion est arrivée à des dimensions un peu compliquées, et l’alcool aidant, je leur ai avoué un fantasme qui était à mon avis celui de beaucoup d’hommes : voir deux femmes faire l’amour, ce à quoi elles m’ont répondu que cela n’était pas dans leurs pratiques et nous en sommes restés là.
Je leur ai laissé ma chambre et pris possession du canapé, mais au bout d’un moment, j’ai été alerté par leurs gémissements. Les sachant en pleine action, j’ai pris le risque de me rendre dans ma chambre pour prendre un cachet qui se trouvait dans ma table de nuit. Elles avaient allumé une bougie et l’une d’elle faisait un formidable cuni à sa copine. Elles ne se sont pas arrêtées à ma vue, mais la femme léchée m’a regardé en souriant entre deux soupirs de plaisir. Elles était en travers du lit et sa copine était à genoux pour lui faire cette caresse intime, ce qui fait que je voyais bien son fessier. Je me suis mis à genoux à mon tour et ai commencé une furieuse masturbation en matant ce superbe cul qui me laissait deviner, en ondulant, la fente de la demoiselle.
J’ai joui en même temps que la jeune femme, et me suis enfui vers mon canapé sans mot dire.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, alors que sa copine était dans les toilettes, la jeune femme qui avait été gratifié d’une caresse bucale par sa copine m’a dit :
- Je t’ai vu hier te masturber devant nous, on n’avait jamais fait ça avec un mec. J’ai déjà eu des relations hétéros et je t’aurais bien invité à me toucher, mais j’ai eu peur de sa réaction. Elle est assez jalouse, et quand tu es parti, elle m’a dit « tu as vu, il a maté mon cul ». je lui ai dit que c’était pas grave et je lui ai rendu sa caresse.
C’est à ce moment que sa copine est sortie de la salle de bain et nous a demandé ce que nous complotions. Nous l’avons rassurée, je remerciais seulement ces demoiselles de leur visite en leur rappelant qu’elles seraient toujours es bienvenues.

Une autre séance de voyeurisme a eu lieu cette fois en, groupe. Nous avions fait un méchoui copieusement arrosé. Nous étions une vingtaine, hommes et femmes qui ont partagé quelques expériences amicales dans le temps. A la fin du méchoui, nous avons mis en œuvre une pratique qui se fait à l’armée autour du bivouac du soir , éteindre le feu en faisant pipi dessus.
Nous voila donc une dizaine de bonhommes en cercle à arroser le feu la lance à la main sous les éclats de rire de ces dames. Expérience peu concluante sur les braises fumantes jusqu’à ce qu’un copain dise
- A vous mesdames, venez à notre rescousse !
Stupeur et rires embrassés chez ces dames ,mais l’alcool aidant, cinq d’entre elles nous ont pris au mot. Pas facile pour une femme de faire pipi debout, il faut tirer sa vulve vers le haut pour mettre le méat en avant, mais elles l’ont fait sous nos rires et compliments, et ce fut une très belle occasion de nous rincer l’œil sur les femmes des copains.

D’autres occasions m’ont été offertes, notamment par une amie qui nous avait accompagnés sur une rando champignon et qui, prise d’un soudain besoin en plein milieu d’un pré nous a demandé de nous tourner, ce que nous avons fait partiellement avant de nous retourner pour constater que l’épisode n’était pas termine ; Une belle engueulade mais un beau souvenir.
Voila, ces histoires m’ont marqué ; mais je ne suis pas uro et n’ai jamais pratiqué dans ce sens, c’est juste le plaisir de voir un instant furtif et fugace, un petit incident provoqué, un soutien gorge qui s’arrache avec les vagues, un besoin pressant dans un bois ou entre deux portières sur une aire d’arrêt, une fille qui se baisse sans précaution et sans regarder de devant elle, mais je ne peux pas croire que ces moments se soient passés sans qu’elles en soient conscientes et qu’elles aient décidé de laisser faire.

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