Où il est question de frangines et d'amies 2

Pour en revenir à la pleus jeune des cinq sœurs, il m’est arrivé avec elle une histoire peu ordinaire. Avait-elle aussi besoin de s’affirmer en tant que jeune femme ? Voulait-elle assouvir un fantasme ou a t’elle seulement décidé de saisir au vol une opportunité par un doux après-midi d’automne 

Proposée le 1/12/2023 par Furet

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

Pour en revenir à la pleus jeune des cinq sœurs, il m’est arrivé avec elle une histoire peu ordinaire. Avait-elle aussi besoin de s’affirmer en tant que jeune femme ? Voulait-elle assouvir un fantasme ou a t’elle seulement décidé de saisir au vol une opportunité par un doux après-midi d’automne ? Le pencherais plutôt pour cette solution,sans en avoir pour autant la certitude. Nous étions chez la mère et deux autres des sœurs qui faisaient des conserves quand la mère demanda à sa fille d’aller dans un petit enclos distant du village ramasser quelques pommes pour faire une tarte.

N’étant pas occupé à ce moment là, je décidai de l’accompagner avec son panier pour ramasser les pommes. Nous ramassions en priorité celles qui étaient au sol, ce qui me permettait quelques coups d’œil furtifs dans son décolleté, mais elle n’en faisait pas cas, ou faisait mine de ne pas s’en rendre compte.

Une fois le panier plein, je fus pris d’une forte envie d’uriner, rançon des deux bières englouties das l’après-midi. Je me dirigeai donc vers un frêne proche du pommier et extirpai le petit oiseau quand soudain la frangine fit irruption derrières l’arbre qu’elle ceintura de ses deux mains, les yeux rivés sur mon anatomie. J’eus un geste de recul et la tentation de cacher mon sexe, mais la frangine me dit avec un sourire :
- Allez le petit monsieur,on fait son petit pipi.

La situation était compliquée mais follement existante et je commençais à avoir un début d’érection. Je tenais mon sexe au plus court pour le laisser visible sur toute sa longueur qui s’approchait de son apogée. Impossible de libérer une goutte avec cette chipie qui me dévisageait, et ce n’est bien entendu qu’une image. Avez-vous déjà réussi à vous laisser aller alors que vous êtes presque en érection et qu’une femme vous regarde sans vous quitter des yeux.
- Allez mon petit monsieur, on ouvre les vannes et on laisse tout aller.

J’étais un peu stressé, j’ai fermé les yeux, tenté de penser à autre chose et à force, tout est arrivé. J’arrosais copieusement le pied du frêne et je jouais même à remonter le long du tronc jusque à frôler ses mains, ce qui la faisait beaucoup rire.

Mon affaire finie, elle m’a dit
- Allez, on secoue la gougoutte !
Je me suis exécuté en la regardant dans les yeux, puis j’ai rangé mon matériel . Elle s’est orientée vers le petit marchepied qui menait à la parcelle supérieure. Je l’ai rejoint un peu géné avec le panier de pommes en main.
- Ouf ça fait du bien de pisser un coup finalement !
J’ai dit ça pour meubler, histoire de masquer ma gène et mon émotion pour ce qui venait de se passer.
- Tu as raison, d’ailleurs…
Et sans attendre, elle a baissé short et culotte et a commencé un énorme pipi. Du fait du décalage de hauteur, ses cuisses ouvertes étaient à soixante centimètres de mon visage et son jet éclaboussait sur une pierre jusqu’à risquer de m’atteindre. J’étais figé, incapable de décoller mon regard de ce magnifique spectacle offert par la frangine de ma compagne.

Son affaire achevée, elle m’a demandé si j’avais un mouchoir en papier, je n’en avais pas. Elle a essuyé ses petites lèvres avec ses doigts et remis sa culotte et son short en éclatant de rire
- Hé ben, tu en fais une tête !

Nous sommes remontés vers la maison, sans mot dire. La sœur m’avait fait un beau cadeau en me regardant, mais surtout en me montrant son intimité. Je sais que cette fois, ce n’était pas un incident provoqué pour cacher une séance d’exhibition, cela en était une.

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