On ne naît pas voyeur, on le devient en fonction de circonstances qui vous mettent le feu à l’âme, c’est ce qui m’est arrivé un beau jour de juin. Nous étions trois étudiants partis pour réviser sur une plage de méditerranée. Allongés sur le ventre dans les dunes, nous débattions et révisions qua
Proposée le 1/12/2023 par Furet
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
On ne naît pas voyeur, on le devient en fonction de circonstances qui vous mettent le feu à l’âme, c’est ce qui m’est arrivé un beau jour de juin.
Nous étions trois étudiants partis pour réviser sur une plage de méditerranée. Allongés sur le ventre dans les dunes, nous débattions et révisions quand soudain, sans crier gare, une femme d’une quarantaine d’années en monokini, comme c’était à la mode en cette période, est arrivée devant nous en gravissant la dune qui nous faisait face, abaissé son maillot et s’est mise à éponger une envie qui la pressait à deux mètres de nous, tout cela sans nous regarder. Nous étions médusés, sa miction a duré un petit moment, puis elle a remonté son maillot, toujours sans nous voir et est repartie comme elle était venue. Nous savions qu’il était impossible qu’elle ne nous ait pas vus. Pourquoi a-t-elle fait cela ? Fantasme spontané assouvi ? Pari stupide avec une amie ? Challenge érotique avec son conjoint ? Nous ne l’avons jamais su, mais ce jour là est né chez moi une passion pour ces situations inattendues qui vous ouvrent des horizons que les yeux n’oublient jamais.
Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour retrouver ce plaisir visuel, ayant noué une relation amoureuse avec une jeune femme qui avait cinq sœurs et deux frères.
Ma compagne et sa sœur ainée n’étaient absolument pas pudiques et avaient cette particularité, outre de se baigner topless, de ne pas se cacher pour se libérer de leurs besoins urinaires, si bien que je les ai vues maintes fois, l’une ou l’autre, dans cette position qui caractérise les filles en besoin de se soulager. Elles le faisaient en toutes circonstances en tout point que j’ai eu plusieurs fois la chance d’admirer leur intimité. Je me souviens notamment d’une balade après déjeuner ou, me retournant, je les ai vu toutes les deux culottes sur les mollets se soulager tout en discutant. Je ne suis attardé sur ce superbe spectacle et ai d’ailleurs deviner un regard courroucé de ma compagne qui n’appréciait pas que je passe plus de temps à regarder l’entre jambes de sa sœur ainée que la sienne, ce qui pour moi était naturel, et quand nous en avons parlé le soir, elle m’a dit que ces choses naturelles ne devaient pas prendre une dimension sexuelle, ce dont je l’ai rassurée en lui montrant l’intérêt que je portais à son égard.
Elle m’a d’ailleurs un jour laissé sans voix, et cette histoire me revient en boucle. Nous étions e, promenade, elle et moi et un de ses frères. Elle portait un short salopette qui faisait que pour se libérer, elle devait quitter le haut de sa tenue. Prise d’une envie pressante et gênée, semble-t ’il par la présence de son frère, elle nous a demandé de nous tourner pour ne pas la voir, ce que nous avons fait quelques secondes, le temps qu’elle se libère du haut de sa tenue. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et lorsque d’un commun mouvement, nous nous sommes retournés, elle était la, torse nu et cuisses ouvertes pour ne pas mouiller sa tenue à se libérer de son besoin pressant. Il se trouve que, quelques jours avant, dans un jeu érotique, elle avait accepté – pour la seule fois- que je lui rase entièrement le pubis. Elle nous a interpellés
• Surtout, ne vous gênez pas !
Ce à qui j’ai répondu
• Je vois, en effet que tu ne te gènes pas ».
Son affaire finie, elle a remonté sa culotte et son short, puis remis son haut sans la moindre gène. Nous avons continué la ballade et quand j’ai dit à son frangin
• Mais tu as déjà vu ça ?
Il m’a répondu
• Je l’ai déjà vue pisser, mais jamais seins nus et avec la chatte rasée. Il faudra que j’essaye ça avec ma copine
Quand je lui ai lancé comme un défi :
• Tu crois que je pourrai voir ?
Il m’a répondu que surement pas, qu’elle n’était pas de ce genre, mais qu’il ferait des photos, et j’ai compris quelques jours plus tard qu’il avait tenu sa parole, pour mon plus grand plaisir.
Quand le soir j’ai fait la remarque à ma compagne sur son manque de pudeur, elle m’a tout simplement répondu.
• Ben quoi, c’est naturel ! Vous êtes de sacrées chochottes et vous n’avez jamais rien vu ! c’est la nature qui parle, les humains n’en sont qu’une partie. Tu crois que les animaux se cachent pour faire ça ? Et en Inde on fait comment ?
Quand je lui ai dit que c’était quand même son frère qui était là, elle s’est contentée de hausser les épaules.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email