0ù il est question de frangies et d'amies 3

Il est vrai que mater les frangines de ma compagne a du sens, mais il arrive souvent que des amies de la copine ou nos propres amies se mêlent de l’histoire, et cela sans la moindre malice, à priori. La première histoire du genre s’est déroulée en bord de mer.

Proposée le 8/12/2023 par Furet

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Il est vrai que mater les frangines de ma compagne a du sens, mais il arrive souvent que des amies de la copine ou nos propres amies se mêlent de l’histoire, et cela sans la moindre malice, à priori.

La première histoire du genre s’est déroulée en bord de mer. Nous avions une location de quelques jours avec ma compagne et une de nos amies de classe. Nous nous étions baignés l’après-midi, et les deux dames étaient topless au retour de l’appartement. Ma compagne était partie se doucer et j’envisageais de la rejoindre sous la douche pour un calin quand l’amie s’est avancée vers moi en pointant ses seins sur moi
- Tu les trouves comment ?
- Heu ben ils sont bien jolis
- Tu peux les toucher.
J’étais estomaqué, mais de telles occasions ne se présentent que rarement et je me suis laissé tenter. Toucher les seins nus d’une ex collègue de classe avait quelque chose de spécial pour moi. Je les ai pris à pleine main et les ai fortement caressés. Sans un mot, elle a glissé sa main dans mon maillot encore humide, sorti mon sexe et a commencé à me masturber. La douche coulait toujours et elle l’a di dans un souffle :
-Touche moi !
J’ai perdu le contrôle, plongé ma main dans son bas de maillot pour trouver son sexe. L’expérience n’a pas duré, j’ai éjaculé rapidement sur son ventre. Elle s’est crispée et nous en sommes restés là. J’ai rejoint ma compagne sous la douche et nous avons terminé la soirée autour d’une pizza.

Le temps du coucher venu ces dames se sont couchées, ma compagne a pris son demi cachet et à ma droite, dans le lit d’appoint notre amie avait les seins à l’air en me souriant. Sachant ma compagne endormie, je me délectais du spectacle de ses seins et de sa main qui s’agitait sous les draps au bas de son ventre. Elle a joui en me regardant dans les yeux.

Ce n’est pas allé plus loin, ce n’est jamais allé plus loin et je suppose que nous sommes nombreux à avoir vécu de telles aventures. Celles qui suivent sont toutes arrivées avec une collègue de fac. Elle était venu passer quelques jours avec ma compagne et moi dans notre location de vacances. Nous étions en train de nous baigner quand elle s’est sentie mal, elle venait de marcher sur une vive et était au bord du malaise. Je l’ai enveloppée dans une serviette car elle étai seins nus, et l’ai raccompagnée à la location. Très affaiblie, elle n’a pas souhaité s’allonger car son maillot était mouillé et elle n’avait même pas la force de l’enlever. Je le lui ai quitté avant de l’allonger sur le lit. Elle avait les jambes serrées mais j’ai pu admirer un joli ticket de métro bien soigné et la naissance de sa vulve.Je l’ai recouverte du drap avant de me rendre dans une pharmacie chercher de qui apaiser sa douleur.

Deux jours plus tard, au petit matin, je me levais comme tout les jours très tôt pour aller voir les pêcheurs sur le port. Elle dormait toujours dans le lit contigu du notre avec sa lampe de chevet allumée, ce qui me gênait d’ailleurs beaucoup, sauf ce mati là.

En ouvrant les yeux, je vis qu’elle était nue sur le lit avec une jambe repliée qui laissait ouverte la vue sur son intimité. Je me suis levé, me suis attardé au pied du lit pour contempler ce sexe offert, tout près,au risque de me cogner et de la réveiller. Tout doucement,tel un félin je l’ai observée un long moment, puis me suis orienté vers la porte de la cuisine pour me faire un café, et c’est là que j’ai compris qu’elle venait de me faire un cadeau car elle a redressé sa jambe et s’est couverte du drap en regardant dans ma direction. Elle s’est montrée à moi dans un contexte ou elle savait que je n’irais pas plus loin du fait de la présence de ma compagne.

Une autre occasion s’est présentée bien plus tard, je vivais seul à cette époque et elle venait assez souvent me voir pour passer un week-end. Nous avions fait l’apéro,mangé et nous étions devant canal + quand est arrivé l’heure d’un film X. j’allais changé de chaîne quand elle m’a dit :
- Non laisse, c’est rigolo !

J’ai laissé, après tout, nous sommes des adultes et le film a commencé. Les actrices étaient belles, quoi de vulgaires, et deux d’entre elles étaient dans un rapport lesbien torride sous les yeux d’une troisième femme plus âgée.
J’étais très excité par la scène et me suis levé pour aller me calmer dans les toilettes.
- Ou tu vas ?
- Ben je reviens
- mais tu vas faire quoi ?
- heu rien pourquoi ?
- Je crois que tu vas te masturber.
- Non mais ca va pas, qu’est ce que tu racontes ?
- Je crois que tu bandes et que tu vas te masturber .
- Mais non enfin

Derrières moi, les femmes s’excitaient de plus en plus et leurs soupirs me troublaient.
- prouves moi qu’elles t’excitent pas !
- Hein, mais non , comment d’ailleurs ?
- Montre moi ton sexe, et si tu bandes, tu as un gage.

J’étais aussi troublé qu’excité, et montrer mon sexe tendu à mon amie étaie tune expérience unique mais j’avais la crainte et l’envie qui se partageaient mes émotions
- Allez montre !

J’ai fini pas céder et baisser mon caleçon.
- Ah tu vois que tu bandes, tu as un gage !
- C’est quoi ?
- Tu te masturbes là, devant moi.
- Non mais ca va pas, je vais pas faire ça devant toilette
- Si, c’est ton gage, il fallait pas jouer avec moi.
J’étais très excité et mon sexe battait au rythme des gémissement des deux actrices. Je lui ai dit-elle- -Tu n’as qu’à me le faire toi.
- Non, je suis fiancée, je ne veux pas faire ça, je ne veux pas te toucher mais je veux voir, je n’ai jamais vu un homme se branler devant moi.

J’étais piégé, il fallait y aller, alors j’ai tenté un ultime coup
- Ok, mais tu me montres tes seins
- Tu les a déjà vus cent fois
- oui mais pas ici. Tu me les montres ou je me rassois
- Bon, si c’est que ça !

Elle a ôté son t-shirt et je me suis caresse à quelques centimètres de son visage et de ses seins, c’était bon et ça n’a pas duré, le coup est parti, mal maîtrisé, et un jet de sperme a teint sa poitrine.
- Ah mais t’es nu :! Bon, je vais me doucher

Je l’ai laissée partir, me suis essuyé et me suis rendu quelques minutes après aux toilettes. J’avais remarqué depuis mon installation que le chauffe eau avait été remplacé et qu’un trou de fixation n’avait pas été rebouché. J’en avais d’ailleurs averti le gérant de l’immeuble qui n’avait rien fait. Il suffisait d’aller dans le WC, d’enlever le petit dessin qui bouchait le trou sans allumer la lumière, et de profiter du spectacle, ce qui était bien pratique quand je recevais de la famille ou des amies.

Mon amie était debout dans la baignoire, un pied sur le rebord et se caressait furieusement, ce qui a provoqué une érection spontanée et j’ai pu jouir une seconde fois en la regardant atteindre un orgasme discret. Je suis retourné dans le salon, et quelques minutes plus tard, elle est venue en pyjama dire bonsoir avec un regard satisfait.
- Bonsoir, fais de beaux rêves
- Toi aussi, bonne nuit !

Nous sommes partis tous deux nous coucher dans nos chambres respectives. Elle convaincu de m’avoir joué un bien vilain tour, et moi ravi de l’avoir vu jouir sans qu’elle se rende compte que je le regardais par le petit trou de la lorgnette.

Ce trou m’a bien servi en d’autres occasions, mais c’est une autre histoire….

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