Où il est question de frangines et d'amies 1

Pour en revenir aux frangines, il m’est arrivé avec la sœur ainée de ma compagne, dont je connaissais le sexe pour quelques pipis accidentels, et surtout les seins pour les baignades, une aventure assez spéciale et qui m’a laissé perplexe. Cette femme était mariée et avait des enfants, mais ils éta

Proposée le 1/12/2023 par Furet

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie

Pour en revenir aux frangines, il m’est arrivé avec la sœur ainée de ma compagne, dont je connaissais le sexe pour quelques pipis accidentels, et surtout les seins pour les baignades, une aventure assez spéciale et qui m’a laissé perplexe. Cette femme était mariée et avait des enfants, mais ils étaient assez petits et faisaient leur vie sur la pelouse de la location de vacances que nous partagions. .
Nous étions en vacances et partagions un appartement, ma compagne, moi et la sœur ainée. Nous revenions de la plage et, alors que ma compagne allait commander des pizzas pour le soir, je finissais de me doucher dans la baignoire quand la sœur ainée est rentrée sans crier gare pour prendre une éponge dans la baignoire en me disant tranquillement
• N’aies pas peur, je ne vais pas te toucher le zizi
Sur ce, la voilà qui éponge quelques gouttes qui avaient rejailli sur le sol, puis soudain abaisse son maillot et s’assoit pour faire pipi sur la tinette alors que je coupais le robinet. J’entends encore le bruit de sa libération. Puis elle se redresse, quitte tous ses vêtements en me disant et me tendant une serviette
• Laisse-moi un peu d’eau au lieu de tout prendre.
Sur ce elle rentre dans la baignoire et commence à se mouiller tandis que je m’essuie, sans me rendre compte que lorsque je m’essuie la tête, le cou, les épaules et le torse, mon sexe est en libre-service et la coquine s’en aperçoit. Alors qu’elle enduit son intimité de gel douche, elle éclate de rire et me lance :
• On est toutes pareilles, mais je vois qu’on te fait toutes le même effet !
Je finis de m’essuyer en évitant de cacher mon sexe maintenant en érection totale, puis, en m’attardant quelque peu sur sa libation, je quitte à regret la salle de bain ravi du spectacle. J’avais déjà vu son sexe furtivement lors des balades et arrêts pipi, je connaissais ses seins lors des baignades en monokini, mais je ne l’avais jamais vu nue en pieds avec la volonté de tout me montrer, c’était chose faite et je garde de ce moment un souvenir inoubliable.

Mais le temps des vacances et des moments partagés ont aussi leur dimension de surprises. J’étais en camping dans les landes avec trois des frangines, dont ma compagne. Nous avions passé l’aprèm à la plage par une mer bien agitée. Ma compagne en mono comme d’habitude et ses deux sœurs en bikini, mais il faut dire que les vagues particulièrement agitées dévoilaient souvent, entre deux éclats de rire, leurs seins qu’elles cachaient rapidement avec un sourire ingénu.

La soirée passée, et quelques apéros et verres de vin avec, nous nous sommes réfugiés dans une tente partagée. Il faisait chaud et nos duvets n’étaient que de simples couvertures posées. Il était tard et ma compagne dormait profondément à mes côtés car elle avait pour habitude de prendre un demi cachet le soir, sa sœur à ma droite flanquée de sa plus jeune sœur. Elles dormaient, et moi non, impressionné par ce moment entre deux -voire trois- femmes. Je ne dormais pas et la respiration tranquille de ma compagne d’intriguait tout autant qu’elle me semblait logique. En clair, j’avais une érection que cette situation provoquait, et, pris d’un fantasme inavouable, j’ai baissé mon caleçon et ai commencé une masturbation discrète, mais oh combien coupable.

J’étais aux anges dans la plus pure discrétion quand soudaine une main se posé sur la mienne. Tétanisé, je me dis que ma compagne s’était éveillée et voulait m’aider dans mon entreprise. Je lâchais donc mon sexe et la main retomba naturellement dessus, ce qui me laissa interloqué. En remontant le bras de la main, quelle ne fut pas ma surprise de constater que le bras remontait vers la droite, à savoir vers la sœur de ma compagne.

Dilemme, accident, les mots se bousculent tandis que sa main se referme doucement sur mon sexe tendu. Une étreinte à la fois douce et ferme, un moment d’incompréhension.

J’ai voulu en savoir plus, et j’ai à nouveau remonté le bras jusqu’à sa poitrine à travers le t-shirt. Elle n’a pas bronché mais la pression de sa main a augmenté. Enhardi, j’ai glissé la main sous le t-shirt et pris son magnifique sein à pleine main. La pression s’est accentuée sur mon membre, et chaque fois que je titillais son téton, elle serrait mon sexe. Nous avons ainsi joué un moment en nous renvoyant les pressions. J’étais aux anges, mais j’ai voulu chercher ses limites. J’ai abandonné lé sein à regret et descendu ma main sur son ventre. J’ai un temps caressé l’élastique de sa culotte et elle a serré très fort, j’ai pris cela pour un encouragement et ai glissé ma main dedans pour atteindre son sexe doux et humide. J’ai juste glissé mon doigt sur toute la longueur de ses lèvres qui l’emprisonnaient. Les caresses ont vite fait effet, elle s’est cambrée et a étouffé un soupir tandis que je jouissais dans sa main. A ce moment, ma compagne s’est réveillée et m’a donné un coup de coude en me disant
• T’as pas fini de gigoter, il n’y a pas moyen de dormir tranquille !
Si elle avait su, mais c’est une autre histoire…Ce moment a été révélateur car le lendemain, la frangine était convaincue des bienfaits du monokini et me permettait d’admirer à longueur de journée ce que j’avais touché la veille.

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