UNE JOURNÉE ET UNE NUIT À MONTRÉAL (Chapitre 1 de 4)

NOTE DE L’AUTEUR : Cette histoire est une suite récit en six chapitres « Chloé la meilleure amie ». Le couple Nath et Mitch, suite aux succès de leur première aventure libertine avec Chloé, ont décidé de pousser l'expérience plus loin en tentant un nouveau trio, mais avec un autre homme cette fois.

Proposée le 6/10/2023 par Nath et Mitch

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Roman

Nath (Nathalie) et moi Mitch (Mitchell) sommes mariés et vivons ensemble depuis maintenant 15 ans et sommes toujours aussi amoureux l’un de l’autre. Notre vie sexuelle se porte également très bien puisque nous évoluons constamment pour éviter que ne s’installe la routine.

Nathalie, 45 ans (en paraît 30) , mesure 1,63 m bien proportionnée avec des seins de 86 bonnet C, de larges auréoles brun foncé et de gros mamelons sensibles. Des seins en forme de poire qui se tienne merveilleusement bien. Je dirais qu’elle possède aussi un gros clitoris, un peu hors normes. Ses cheveux sont noir courts et ondulés. Sexuellement, Nathalie est une fille très cochonne, la plus bandante que j’aie jamais rencontrée.

Mitch, 60 ans, mesure 1,75m, cheveux bruns, poids proportionnel et un pénis de 17cm de longueur sur 6 cm d’épaisseur (comme dirait Nath, une grosse queue mais pas hors norme !) Sexuellement (selon Nath) ma plus grande qualité ce n’est pas la taille de mon pénis, mais le fait que je suis un « giver » ; je prends mon plus grand plaisir dans la jouissance de ma partenaire sous toutes ses formes.

Nous demeurons dans un endroit de villégiature situé à environ 150 km au nord de Montréal au Québec (Canada).

Ce qui fait aussi un peu la particularité de notre couple, nous avons chaque semaine une soirée sexy spéciale. Elle dure généralement un minimum de 3 heures au cours desquelles tout y passe, masturbation, cunni, fellation, pénétration vaginale et anale. Nous possédons aussi un vaste échantillon de jouets sexuels. Bref on ne s’ennuie pas lors de nos soirées sexy ! Depuis quelques mois, nous avons une partenaire occasionnelle lors de nos soirées endiablées. (Voir le récit « Chloé la meilleure amie »).

XXX

Nous sommes à la mi-juin et la chaleur est particulièrement intense cette semaine. Comme je dois faire un saut à Montréal pour affaires, je propose à Nathalie de m’accompagner pour lui changer les idées.

- Quel est l’intérêt pour moi de t’accompagner à Montréal par une telle chaleur accablante mon chéri ?

Nous sommes alors couchés sur le lit, nus tous les deux, elle tournée vers moi et masturbant lentement ma queue en érection.

- Bien, je vais nous réserver une chambre dans un hôtel du centre-ville qui est connecté au Montréal sous-terrain. Tu pourras aller faire les boutiques sans mettre le nez dehors et tu pourras ensuite profiter de la piscine de l’hôtel.
- Oui, finalement c’est un bon plan, je suis partante.
- Lorsque tu feras ta valise, apporte quelques jouets sexuels pour agrémenter notre séjour.

Elle se faufile ensuite le long de mon corps jusqu’à ma queue qu’elle caresse doucement avec sa langue, puis engouffre mon gland dans a bouche de soie. Au bout de quelques mouvements de succion, elle lève la tête et me dit :

- Tu crois qu’on pourrait se faire un trio avec une femme ou un homme pour pimenter notre soirée ?
- Oui, certainement, mais vu qu’on a déjà eu Chloé, j’aimerais bien que ce soit un homme.
- Sérieux ?
- Oui, j’ai envie de tester ma jalousie et/ou mon excitation de te voir te faire prendre devant moi par la queue d’un inconnu.
- ….
- Mais il y aura des règles : pas de sexe hors de ma présence, je peux m’insérer au programme selon mon bon vouloir; pas de sodomie par un autre que moi; pas de double pénétration sans ma participation; et on arrête immédiatement lorsqu’un de nous en fait la demande.
- Ça me va très bien mon chéri, comme avec Chloé.
- Ça m’excite déjà…
- Moi je suis toute mouillée !

Nathalie se relève et se positionne pour me chevaucher. Son corps nu, sa poitrine majestueuse et ses tétons bandés au maximum ont un effet torride. Je la prends par les mains et je la fais approcher pour se positionner au-dessus de ma bouche.

Je passe mes bras sous ses cuisses et les referme au-dessus, de façon à l’emprisonner sur ma bouche.

Je la fixe du regard, elle me tend un sourire, pose ses mains pour caresser ses seins pendant que je liche les pourtours de son vagin. Ma langue se faufile ensuite entre ses petites lèvres et je sens déjà sa sève dégouliner dans ma bouche. Pendant que je lèche l’intérieur de son vagin, elle descend sa main pour décalotter son immense clitoris.

J'approche ma bouche du gros bouton et je me mets à le sucer tout en le martyrisant avec le bout de ma langue. Elle se met à gémir bruyamment et sa cyprine coule presque comme un robinet, de chaque côté de ma bouche, pour aller choir sur le lit.

Nathalie est maintenant au bord d’un orgasme foudroyant. Elle hurle son plaisir de plus en plus et soudainement, elle se met à trembler et je la maintiens fermement sur ma bouche qui continue son travail.

- Ah salaud, oui, oui, ouiiii, vas y, je viens, oui, argh, argh, arghhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiii.

Je laisse aller son clitoris et continue à laper son miel. Je la laisse se dégager et elle se replie vers le bas de mon corps. Elle se met à onduler lentement sur mon pénis, ses petites lèvres ouvertes de chaque côté et son clitoris frottant sur le renflement de mon gland à chaque passage.

- Tu sais que ce sera ma première queue autre que la tienne depuis nombre d’années ?
- Oui et crois-moi je suis excité juste à y penser avec bien sûr une petite touche de jalousie.
- J’espère bien tomber sur un beau morceau…
- Rien de plus simple ma chérie, demande lui de te montrer sa main ouverte et les doigts collés ensemble. Si l’annuaire est plus long que l’index, il aura une belle queue, dans le cas contraire ce sera plus petit. Selon les études, ça marche dans plus de 90% des cas.
- Montre moi ta main…
- …
- Effectivement c’est ton cas !
- Ensuite, tu devras choisir entre un sprinter et un marathonien. Généralement si il est jeune, ce sera un sprinter et si il est âgé… un marathonien.
- Et si je veux un vieux pervers comme toi ?
- Simple, assure-toi qu’il a les cheveux gris !

Elle me fait un beau sourire, puis me fixant de son regard de feu, elle se relève passe sa main entre ses jambes et s’empare de ma tige qui est sur le bord de l’explosion. Elle frotte le gland frénétiquement contre son clitoris avant de s’empaler lentement jusqu’à la garde.

Elle fait une pause, passe sa main derrière et caresse doucement mes testicules. Elle entame lentement de longs va-et-vient, mon pénis sortant presque de son vagin à chaque passage.

Elle étire ses tétons déjà en érection, les fait rouler entre pouces et index de chaque main et continue sa lente chevauchée. Elle accélère ses mouvements tout en gémissant fortement.

Soudainement elle arrête sa chevauchée. Elle me tend ses deux mains que j’empoigne les doigts croisés avec les siens. Elle se penche légèrement vers l’arrière et se met à onduler rapidement du bassin.

Ce mouvement lui permet une violente masturbation de son clitoris sur mon pubis. Elle crie de plus en plus sa jouissance. Ce mouvement a un effet dévastateur sur mon pénis, je sens la sève monter rapidement.

Soudainement, elle s’agite encore plus, mettant tout son poids sur mon pubis et se met à hurler.

- C’est bon, c’est bon, c’est bon, je viens, je viens fort oui, oui, ouiiii, arghhhhhh.
- Je viens aussi, continue deux ou trois coups encore, ouiiii, je viens aussi, ouiiiiii.

Trois bonnes giclées de sperme son éjectées au fonds de son puits. Elle s’effondre sur moi tout en continuant à haleter. Ses jambes se mettent à trembler pendant une bonne dizaine de secondes.

Elle relève un peu la tête, me fixe puis me dépose amoureusement un tendre baiser.
On s’endort rapidement en cuiller.

XXX

Mercredi matin, il fait 30 degrés C, 41 avec le facteur humidex. Après 1h30 de route, on arrive devant l’hôtel du centre-ville. Un valet nous accueille, s’occupe d’aller garer la voiture dans le garage souterrain de l’établissement pendant qu’on se dirige vers la réception.

- Bonjour Madame et Monsieur, bienvenue au Belaventure Centre-Ville. La réservation est à quel nom ?
- Mitch DB…
- Une suite Junior avec très grand lit et forfait dîner et petit-déjeuner brunch demain matin ?
- Oui exactement.
- Suite 105, avec vue sur la piscine. Besoin de quelqu’un pour les bagages.
- Non ça va aller merci.

En nous dirigeant vers la chambre, je prends un dépliant sur le Montréal sous-terrain qui détaille aussi les noms et types de boutiques. J’explique à Nathalie où elle doit passer pour y accéder et que si jamais elle se perd, il y a plusieurs stations de métro et elle n’aura qu’à prendre celle qui rejoint notre station qui porte le même nom que celui de notre hôtel.

- Je dois y aller mon amour, je reviens entre 15 et 16 heures. Laisse-moi un SMS vers 15 heures pour me laisser savoir à quel endroit te retrouver.
- Merci, mon amour, je te souhaite une belle journée et garde un peu de forces pour ce soir !
- Je te le promets.

XXX

Aux alentours de 15 heures, je reçois un SMS :

- « Coucou mon chéri, je suis de retour et je n’ai pas abusé de la carte de plastique ! Je serai à la piscine… Tu arrives quand ? »
- « Content de savoir que ça s’est bien passé, une petite heure gros max. À tantôt. »

Quarante-cinq minutes plus tard, j’arrive à l’hôtel et je vais à la chambre. Je jette un coup d’œil par la fenêtre et j’aperçois la silhouette de ma femme qui sort de la piscine portant un maillot noir minimaliste surtout au niveau de la culotte string avec seulement un petit triangle à l’avant couvrant son ticket de métro et une ficelle à l’arrière qui disparaît entre ses deux magnifiques lobes.

Il y a aussi une autre femme, un peu pulpeuse enrobée d’un maillot vert foncé une pièce.
Il y a plusieurs hommes, probablement des commerciaux, toujours en habit de travail, discutant par petits groupes de deux ou trois, tout près du transat de ma femme.

Je me change, et passe un pantalon plus léger en toile beige et une chemise blanche en lin, à manches courtes. Je passe par le bar pour y récupérer un Cosmo pour Nathalie et un Dry Martini pour moi.

Je me présente doucement à la piscine, verres fumés sur les yeux, les deux verres à la main, j’ai l’air d’un riche aristocrate avec ma chevelure grisonnante.

Je jette un coup d’œil à ma chérie qui est étendue sur son transat, portant des verres fumés avec lentilles en miroir, de sorte qu’on ne peut voir ses yeux. Ses seins pointent effrontément et la faune masculine autour n’a d’yeux que pour elle.

Je me faufile devant eux jusqu’à ma chérie, les deux verres à la main.

- Bonjour madame, je suis Mitch et j’ai pensé que sous cette chaleur tropicale, je pourrais vous offrir un Cosmo, question d’hydrater ce corps magnifique qui est le vôtre.

Elle me tend la main pour pouvoir s’asseoir sur le transat devant moi, prend le verre et me fait un sourire.

- Bonjour monsieur, je suis Nath, merci pour cette gentillesse.

Elle se relève ensuite pour me faire face et je la regarde de haut en bas.

- Est-ce que la vue vous plaît monsieur ?
- Madame vous êtes merveilleusement belle, votre corps est tout simplement un appel au sexe.
- Ooooh quelle flatterie de votre part monsieur, mais auriez-vous les moyens de vos ambitions ?
- Je ne sais pas ma chère dame, mais êtes-vous familière dans la manipulation de gros services trois pièces ?

Elle s’approche pour me rouler une pelle d’enfer, son verre d’une main, et l’autre se frottant outrageusement sur mon pénis en érection à travers mon pantalon. Puis se retire.

Elle me tend son verre, puis récupère sa camisole de coton noir très fin crop top, l’enfile. Ensuite, elle dénoue les ficelles qui retiennent le haut de son maillot puis le retire. On peut voir le galbe de ses seins apparaître sous le crop top. Elle reprend son verre en main une gorgée et elle s’élance de nouveau :

- En effet quelle marchandise !
- Mais vous, madame, avez-vous l’expérience nécessaire pour manipuler adéquatement une telle marchandise ? Avec votre bouche, ou bien votre chatte ou même votre cul ?
- Quelle audace monsieur !

Elle faufile sa main sous son crop top pour prendre entre son pouce et son index son téton en érection sous le regard médusé des commerciaux qui se sont approchés pour assister à notre échange. De son avant bras relève une partie de son crop top pour me laisser voir son téton érigé entre ses doigts.

- Et vous monsieur, auriez-vous l’habileté nécessaire pour satisfaire un clitoris de la taille de se téton ?
- Décidément, madame, vous êtes pleine de surprises. A cette taille, ce serait pour moi une première fellation !
- Et votre langue, si habile soit-elle avec la prose, saura-t-elle apprivoiser et détendre mon petit trou de balle afin de le dilater suffisamment pour lui permettre de recevoir un tel obus, sans douleur, au fond de mes entrailles ?
- Mais ma chère dame, un homme qui ne saurait accorder une telle délicatesse à la beauté de votre corps ne mérite sûrement pas votre attention.
La faune masculine tout autour est stupéfaite de par nos propos et certains manifestent également une certaine excitation si on se fie aux quelques bosses qui déforment le devant de leurs pantalons.
- Alors ma chère dame, si nous allions passer de la parole aux actes dans ma suite, mon obus, comme vous le dites, n’en peut plus d’être emprisonné ainsi.
- Et moi, sachez que ma chatte est toute trempée… allons-y MAINTENANT !

Sur ces propos, je prends Nath par le bras, fait un sourire aux voyeurs tout autour et nous nous dirigeons vers notre suite. Et à voix haute…

- C’EST MON ÉPOUSE.
- Chanceux ! dit l’un d’eux.

Nous pénétrons à l’intérieur de l’hôtel. Sa démarche est chaloupée et les voyeurs ne peuvent s’empêcher de regarder sa délicieuse poitrine qui se balance au même rythme que ses pas.

Puis, approchant de notre chambre je lui dis :

- Je suis le plus chanceux des hommes ma chérie, je t’aime tellement.
- Et moi, tu es vraiment le soleil de ma vie !

L’auteur a prévu une suite à ce chapitre.

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