À l'occasion d'un stage que je devais faire en fin de première année BTS informatique, j'ai eu la chance d'être hébergé durant une semaine chez Claire, une amie de ma mère. Après ce fabuleux séjour, j'ai trouvé et recopié son journal intime, dont voici une retranscription.
Proposée le 29/09/2023 par
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
J'ignore à peu près tout du temps durant lequel j'ai pu rester amorphe, suite au violent orgasme qui vient de me terrasser.
Lorsque je reviens à moi, je suis nue, cuisses entrouvertes, livrée toute entière aux désirs secrets, mais acérés, d'un séduisant jeune homme, dont je ne doute plus qu'il lorgne sur mes attributs avec convoitise, alors que me pénètre encore cet affriolant dessous dans lequel il s'est caressé la verge, avant d'y disséminer la profusion du fruit de sa jouissance, dont je me suis finalement nourrie en défiant son regard.
En pareille circonstance, n'importe quel mâle normalement constitué aurait poussé la porte de ma chambre, pour tenter quelque chose...
L'œil hagard, le souffle court, il se serait jeté sur moi, déterminé à loger sa grosse bite dans n'importe lequel de mes orifices. Et Dieu sait que j'étais toute disposée à laisser faire, mais....
Mon petit protégé n'est pas ce genre de personne, c'est d'ailleurs ce qui fait son charme, et j'assume parfaitement le fait que l'initiative m'incombe. C'est juste que je ne sais pas quelle suite impulser à notre histoire...
Si je bondis hors de ma chambre pour surprendre Seb et le contraindre à une promiscuité propice au contact charnel, je vais assurément le trouver dans sa superbe nudité, dardé du prodigieux objet qui occupe chacune de mes pensées désormais.
Le problème, c'est qu'un garçon réservé comme lui ne se remettrait peut être jamais de la gêne ressentie sur une initiative à ce point brutale, et je pourrais dire adieu à tous les fantasmes salaces que son divin membre m'inspire...
Que faire ?
Devons nous nous contenter de succulents petits jeux autour de ma lingerie ?
Je veux bien croire que cela suffirait à Seb, et j'y trouve moi aussi mon compte, seulement je me demande si devoir sucer du vieux foutre dans le tissu de mes culottes sales ne va pas bientôt finir par me lasser...
Et puis... Je ne dois pas me mentir...
Les vues qu'il m'a été donné d'avoir sur l'érection de mon invité me hantent...
Je ne pense plus depuis qu'à essayer cette chose aux dimensions surnaturelles...
Alors, ne vaudrait-il pas mieux que je guide Seb vers des divertissements plus conséquents?
Quoi qu'il en soit, je m'oblige à penser qu'il ne serait pas judicieux de prendre une décision dans l'immédiat, alors que je viens pourtant d'avoir un orgasme, mais que mon désir de faire l'amour n'est en rien apaisé...
Ceci étant, je dois bien être en mesure de me risquer à une ultime provocation, histoire de finir la soirée en beauté !
Bien que toujours estourbie, je me relève fébrilement, je tourne le dos à l'entrebâillement de ma porte de chambre, puis je pose un pied sur l'assise de la chaise aux délices, sur laquelle je viens d'avouer l'essentiel de ma perversité.
Je ne suis pas dupe de l'intérêt démesuré que Seb semble vouer à mes fesses.
J'ai plus d'une fois surpris des yeux lubriques que je ne lui connaissais pas, fouiller avidement cette partie de mon corps, qui se laisse épier en secret.
D'ailleurs, soit dit en passant, j'en ai chaque fois éprouvé un profond malaise ...
Toutefois, en dépit de réserves personnelles, j'estime que lui concéder une vue privilégiée sur mon salivant petit cul ne devrait pas m'être insurmontable....
En fait, je me dis surtout que Seb aura envie de quelque chose de plus exotique que mes petites culottes, uniquement si je parviens à me défaire de mes appréhensions, et que je paye de ma personne, en lui ouvrant des perspectives inintéressantes sur ce qu'il désire le plus !
Alors tant pis si ce garçon bien membré, qui me reluque sournoisement le cul dès qu'il en a l'occasion, se perd dans une vision erronée, que je vais sciemment lui donner de moi, en lui tournant le dos, dans le seul but de l'aguicher!
Je me penche outrageusement vers l'avant, en ajustant au mieux ma positon, afin que tout petit voyeur lubrique situé dans le couloir puisse distinguer non seulement le divin petit cul qui hante ses rêves, mais aussi, et très ostensiblement, mon adorable petite chatte, ainsi que l'affriolante petite culotte qui y est encore logée, et dont seul un des deux côtés dépasse, formant comme une minuscule boucle, que même le plus timides des jeunes hommes souhaiterait crocheter...
J'écarte exagérément mes fesses, et lorsque je suis pleinement convaincue de la qualité de la vision qui s'offre de moi même, je retire la petite culotte de son fourreau de chair, dans un mouvement qui déborde d'érotisme et de langueur. J'accompagne ce geste lancinant de profonds soupirs, dont la suggestivité va crescendo, jusqu'à ce que le sous-vêtement échappe à mon emprise...
Profondément déstabilisée par les atteintes que le regard de Seb porte assurément à la pudeur de ma petite fleur anale, je continue pourtant de lui exhiber mon cul cambré avec détermination.
Mais assez vite, ce petit numéro d'exhibitionniste se fait moins contraignant, convaincue que je suis du bonheur que je donne.
Je mettrai ma main à couper que Seb rebande en découvrant cette facette inédite de ma personnalité, et cela m'excite plutôt, en réalité...
Prise à mon propre jeu, je pousse le vice jusqu'à apposer un phalange de majeur sur le sphincter chaud et tendre qui se trouve précisément dans le viseur de mon petit voyeur adoré, tandis que j'approche la petite culotte de mon visage.
Avec cet air aguicheur qui m'est devenu coutumier depuis que j'héberge le fils de mon amie Christine, je feins de me doigter l'anus, pendant que je hume amoureusement le dessous moite.
Puis, sans signe avant coureur, je mets un terme à cette provocation, en commençant par projeter spontanément ma petite culotte dans l'entrebâillement de la porte, avec une dextérité qui me surprend moi même. Et, alors que le sous-vêtement fond dans l'obscurité du couloir, je me précipite sur la porte de ma chambre, pour la fermer.
Dans la foulée, je coupe mes lumières, et je reste immobile, faisant la morte tout en restant attentive au moindre signal sonore qui pourrait provenir du couloir...
Comme je l'espérerais, et après un long silence, je devine quelques discrets bruits de pas, suivis d'un mouvement de porte, associé à cet inimitable grincement, tellement caractéristique...
Seb m'a donc vraisemblablement accompagnée tout au long de mes facéties, et obtenir confirmation de sa complicité me réjouit au plus haut point!
Ce qui me réconforte par dessus tout, c'est qu'il soit resté jusqu'à la fin. Cela signifie qu'il était demandeur de pareille démonstration. Si tel ne fut pas le cas, il serait parti beaucoup plus tôt, choqué par mon audace, et qui sait, peut-être en aurait-il parlé à sa mère, ce qui m'aurait valu de gros ennuis, et un profond regret...
Je me laisse gagner par une bouffée d'enthousiasme, en comprenant qu'un secret nous unis à présent. Mon cœur palpite! J'éprouve désormais le besoin de marcher dans les pas de mon compagnon d'onanisme....
Je rallume la lumière, j'enfile ma nuisette et je me rends prudemment dans le couloir, pour essayer d'en savoir plus sur ce qui vient de s'y passer...
Premier constat: ça sent le sperme! Et pas que... J'ai mis le pied dedans par inadvertance, en sortant de ma chambre... J'allume le couloir, et après une rapide évaluation, je constate l'ampleur des dégâts: il y en a partout, y compris sur la porte et le mur!
Mais cela m'amuse plutôt! Je peux même affirmer que je suis flattée de l'avoir poussé dans ses derniers retranchements orgasmiques!
Cette première constatation établie, je suis assez rapidement conduite à la seconde: la culotte est introuvable!
Seb a compris que cet objet doit nous servir de trait d'union, et qu'il scellerait notre complicité en me dérobant une nouvelle fois ce sous-vêtement.
Et puis, en acceptant ce petit cadeau que je souhaitais lui faire, il me signifie indirectement qu'il ne se désolidarise pas de mes désirs au gré de leur évolution, ce qui ouvre la voie à des perspectives alléchantes...
Mais même si je suis de repos demain, il commence à se faire tard, et je suis complètement lessivée!
C 'est la raison pour laquelle je souhaite rejoindre mon lit au plus vite, bien qu'avant d'aller me coucher, il soit encore question de nettoyer ce dont mon compagnon de jeu s'est délesté devant ma porte.
Ce faisant, je reste sans voix face à la faculté qu'a ce garçon de recharger ses batteries. Deux éjaculations, coup sur coup, et pas la moindre perte de volume apparente ici, voilà qui est stimulant!
En attendant, quel gâchis, tout ce sperme épongé au papier essuie-tout...
Il reste bien cet imposant grumeau, qui semble tout droit sorti des jeunes et productives couilles de mon bel étalon, et qui me fait de l'œil, en combattant fièrement les lois de la gravité, du haut d'une boiserie de porte...
Impossible de me résoudre à l'essuyer...
Je dois avoir perdu toute dignité pour préférer m'en saisir du bout des lèvres, et le gober...
Je ressens toujours cette petite poussée d'excitation fort agréable, lorsque je malaxe l'épaisse et savoureuse sécrétion masculine entre ma langue et mon palais.
Je réalise, non sans vergogne, que je suis littéralement accro à ce que Seb éjacule...
Je déglutis cette ultime douceur, tout en méditant sur mes déviances...
Je me presse d'achever le nettoyage, puis j'éteins les lumières, lorsque je perçois une lueur bleutée sous la porte de la chambre de mon invité.
Je suppose qu'il est sur son ordinateur portable, mais je paierais cher pour savoir ce qu'il y fait à cette heure tardive, alors que je croyais l'avoir épuisé...
Consulte-t-il un site porno, pour calmer un retour d'ardeur qu'il doit à ma lingerie?
Discute-t-il de nos aventures, sur des forums dédiés aux appétits extravagants de vieilles nymphos délurées?
Consigne-t-il son ressenti dans un journal intime, comme je le fais moi-même?
Le seule proposition sérieusement envisageable ici, c'est qu'il soit en train de regarder un porno, en se masturbant dans ma pauvre petite culotte...
Mais à cette idée, mon envie de savoir si il peut encore bander, voire même éjaculer, après tout ce qui vient de se passer, devient oppressante !
Pour le coup, cela serait aussi étonnant que captivant !
Demain, je suis à la maison, et Seb m'a dit qu'il abordait la partie technique de son stage.
Par conséquent, il n'emportera que des outils, et aucune affaire scolaire, pas même son ordi, donc....
Maintenant que je suis obnubilée par la question de savoir si ce jeune étalon est capable de bander à nouveau, je dois en avoir le cœur net!
C'est décidé : demain, dès que Seb part au travail, j'irai jeter un œil dans son ordi !
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Bonjour, à quand la suite ?
Posté le 26/10/2023
Anonyme
Trop top , hâte de lire la suite. Très excitant ce récit
Posté le 29/09/2023
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