Le Journal Intime De Claire (partie 2)

À l'occasion d'un stage que je devais faire en fin de première année BTS informatique, j'ai eu la chance d'être hébergé durant une semaine chez Claire, une amie de ma mère. Après ce fabuleux séjour, j'ai trouvé et recopié son journal intime, dont voici une retranscription.

Proposée le 14/08/2023 par

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Lorsque je reviens à moi, je réalise que je jonche le sol. Un sein remplit une de mes mains, quand deux doigts de la seconde s'immiscent encore dans une chatte ruisselante et meurtrie, que ma frêle culotte n'a guère su protéger. Mon visage est masqué du collant noir, dans la fibre duquel ne demeure, semble-t-il, plus qu'un vestige d'éjaculat...
Cependant, le petit parfum masculin qui allait avec ,et qui me fait tourner la tète, est , quant à lui, encore bien présent. Mais je ne saurais dire si cette odeur exhale du vêtement qui va bientôt galber mes jambes, ou plutôt de mon haleine de femelle délurée, ce qui , dans un cas comme dans l'autre, a le don de m'amuser.
Car je n'oublie pas que je vais devoir me rendre à mon travail dans une poignée de minutes, et que pas mal de personnes vont, très probablement, se poser la même question, en reniflant le sillage de la seule de leur collègues à n'avoir jamais eu un retard pareil!
Je me presse pourtant! Je réajuste ma culotte, qui n'est vraisemblablement pas en reste, sur le plan olfactif. Puis j'enfile le fameux collant, avec un enthousiasme indescriptible. Enfin, je remets ma jupe, et je file, sans même me recoiffer.
C'est une évidence, je pue le sexe, mais j'ai décidé d'assumer ce moment fou et rare que j'ai eu la chance de vivre à l'instant, et tant pis si cela déplait!

Et devine quoi, journal adoré? Eh bien, contre toute attente, j'ai vécu la journée la plus gratifiante de ma vie, sur le plan professionnel!

Le client important que nous recevions aujourd'hui ne m'a pas quittée d'une semelle! Il a même donné des consignes pour que l'on se retrouve seuls un instant, lui et moi. Il s'est montré très courtois, et il m'a proposé une invitation à diner dans un très grand restaurant. Heureusement, Seb est à la maison pour la semaine, et j'avais, en cela, une raison légitime de refuser.
Il l'a plutôt bien pris, puisqu'en plus des contrats sur lesquels nous l'attendions, il nous a signés deux autres gros engagements de commandes, en expliquant à plusieurs reprises, devant mon patron et tous mes collègues, qu'il n'avait pas pu résister à mes charmes!
Ensuite, le client est parti, et mon patron nous a offert le champagne, puis il n'a pas arrêté de m'encenser, et de vanter mes charmes irrésistibles... On aurait presque dit qu'il me draguait, j'étais aux anges!
En plus du champagne, il m'a offert ma journée de demain. Je vais pouvoir dédier plus d'attention à Seb, à qui je viens d'envoyer un message, pour lui dire qu'il se mette à l'aise, car je serais un peu en retard, mais que j'allais faire en sorte de ne pas trop trainer.
Cependant, comme j'étais au centre de toutes les attentions lors de cet apéritif, je n'ai pas pu faire moins que d'accepter de me voir offrir trois coupes de champagne, ce qui en fait déjà deux de trop, à mon goût.
Aussi, avant que mon public n'insiste pour m'offrir la quatrième, j'ai fait le forcing, rappelant à tout le monde que j'étais attendue...
Puis je suis rentrée aussi vite que j'ai pu, j'avais hâte de retrouver mon plus intime admirateur!
Et c'est en pénétrant chez moi que j'ai eu la plus belle surprise de la journée: mon petit Seb, qui a faillit tourner de l'œil apercevant mes jambes!
Comme il était seul en m'attendant, je mettrai ma main à couper que cet adorable petit voyou a retourné toute ma salle de bain pour retrouver la paire de collant dans laquelle il avait fauté.
Puisqu'il n'y a de paire de collant nulle part, ni dans la salle de bain, ni ailleurs dans la maison, je présume que Monsieur se pose des questions en me découvrant ainsi vêtue, alors je m'empresse de lever ses doutes:
- J'ai eu un succès pas possible aujourd'hui au travail, je suppose que les collants font toute la différence... Et toi, comment tu les trouves? Ah mais oui, je suis bête... Tu me l'as déjà dit ce matin, et ce sont les mêmes, puisque je n'en ai qu'une seule paire... Il faut que j'arrête de boire, moi!
Il est devenu rouge cramoisie! J'ai souri, et, sans dire un mot de plus, je lui ai adressé un regard rassurant, semblable à ceux auxquels mes partenaires avaient droit par le passé, tandis que ma bouche leur arrachait un orgasme...
Par la suite, et parce que j'étais d'humeur joviale et coquine, je n'ai pas cessé de déployer des trésors d'ingéniosité pour que Seb déculpabilise, et arrête de se poser des questions sur ce que j'aurais pu trouver, ou ne pas trouver, en enfilant mon collant, après son départ, ce midi.
Je l'ai rassuré, en me montrant parfaitement à mon aise avec lui, ainsi qu'avec le collant en question, dans lequel il avait osé des choses qui, selon toute vraisemblance, laissaient encore une trace olfactif subtilement perceptible .
En effet, pour m'être assise ou relevée à de nombreuses reprises, j'ai chaque fois constaté que des volutes parfumées, émanant de mon bas ventre, trahissaient une odeur intime qui n'est pas uniquement féminine. J'ai bien sûr tout fait pour que Seb détecte ces émanations en même temps que moi, et surtout pour qu'il réalise qu'il n'existe aucune raison d'en être embarrassé!


Lorsque décontracter ce pauvre garçon fut chose faite, il était largement l'heure d'aller se coucher, et donc de mettre en œuvre un plan que j'avais élaboré au cours de l'après-midi.
Il ne s'agit évidement pas de chercher à avoir des relations avec mon invité, sachant avant tout que c'est le fils de ma meilleure amie, ce que je considère comme une barrière infranchissable!
Mais je suis sensible au désir que Seb a manifesté envers moi, à travers une modeste paire de collants. Car ce n'est pas pour ce bout de tissu inerte, mais bien parce que c'est moi qui l'avait porté, que ce garçon a perdu ses moyens ce midi, et je ne trouve rien de mal à cela, bien au contraire!
Pour tout dire, j'y ai longuement réfléchi depuis l'incident de la salle de bain, et j'estime avoir été trop restrictive en mettant ma lingerie sous clé... En effet, le bonheur de Seb serait peut-être fait, si un petit coup de pouce au destin lui permettait de disposer, pour un temps, d'une de mes petites culottes...
Je décidais donc de prendre les choses en main, et d'appliquer un plan, qui s'est déroulé comme suit:
Avant tout, puisqu'il est tard, et que nous devons aller dormir, je suggère à Seb d'aller dans sa chambre. Tandis qu'il y entre, je fonce dans la mienne pour me dévêtir entièrement, choisir une nuisette sexy mais pas trop, n'enfiler que ça, rouler mon linge du jour en boule, et courir jusqu'à la porte de mon invité, avec mon baluchon sous le bras.
Je frappe, et je demande à Seb si je peux entrer, et tandis qu'il répond timidement par l'affirmative, j'ai déjà pénétré les lieux. Il est allongé sur son lit, couvert d'un simple drap, probablement nu, à en juger par le nombre de vêtements rependus au sol, tout autour de lui.
L'attention du jeune mâle cible tantôt mes seins, tantôt mon entrejambe, sans qu'il puisse dire un mot.
Indifférente à sa stupeur, j'entreprends de faire le tour de sa chambre, comme si j'y cherchais quelque chose. Je lui explique alors que j'aimerais bien lancer une machine avant d'aller me coucher, mais que mon linge seul n'y suffit pas, et donc que ça m'arrangerait beaucoup qu'il en ait du sien à me faire laver.
Je scrute sa réaction d'un rapide coup d'œil. Manifestement, ce que je raconte l'importe peu, son regard semblant uniquement focaliser sur la question de savoir ce que je porte en dessous de ma nuisette.
Il me tarde de satisfaire sa curiosité!
Avec l'innocence que mes occupations ménagères semblent pouvoir m'octroyer, je tourne le dos à mon admirateur, et sans oublier tout ce que ce geste doit garder de candeur, je me penche en avant, pour ramasser ses chaussettes... Dès lors, afin qu'il n'ait pas la moindre fraction de seconde pour réagir, je m'empresse de demander :
- Tes chaussettes, je peux les prendre pour les laver?
Immobile, j'attends longuement qu'il me réponde, tout en me délectant de l'insatiable caresse de son regard...
Il finit par balbutier:
-Ah, euh... oui! Oui, oui...oui!
Je me redresse, j' avance un peu, et je recommence avec le slip, dans lequel je perçois avec malice la présence de jolies traces blanchâtres et granuleuses:
-Ton slip, je peux aussi?
-Euh...
En réalité, comme pour les autres vêtements, je ne lui demande pas vraiment son avis pour le slip. Et avant qu'il ne puisse formuler une réponse intelligible, je me saisis machinalement du sous vêtement masculin, et je le hume en fermant les yeux. Comme je tourne toujours le dos à Seb, il ne me voit pas clairement faire ceci, mais il a largement de quoi supposer que je l'ai fait!
Après un long silence, j'entends enfin:
- Oui, tu peux!
Je ressens nettement son regard dévorant, et j'adore ça! La tension nerveuse du jeune voyeur est si palpable, que je lui devine déjà une implacable érection, et c'est divinement excitant!
Mais je fais celle qui ne se doute de rien, et je ramasse un-à-uns les habits qu'il a jeté au sol, m'exposant un peu plus chaque fois, avec une insouciance et une langueur qui ont sans doute quelque chose de déconcertant!
Mais, même si je mets tout en œuvre pour faire durer le plaisir, j'ai rapidement fait le tour de la pièce, et je me retrouve avec les bras chargés d'un assez volumineux fardeau. Pour autant, j'annonce sans trembler que je n'ai toujours pas de quoi remplir ma machine.
Je pose le linge sale sur le lit de mon invité, et je lui explique alors distinctement que je vais mettre tout ce que j'ai récolté dans le tambour, que le tambour restera ouvert, avec tout ce linge sale à l'intérieur, en attendant de pouvoir trouver, demain, d'autres habits à laver!
Ce que je ressens quand ce jeune mâle me reluque est absolument vertigineux, si bien que je suis vite devenue accro à mon petit jeu d'exhibitionniste! Selon le plan, je devrais sortir de la chambre à cet instant, mais je ne parviens pas à m'y résigner... J'en veux plus!
Je range un peu, j'ouvre placards et tiroirs, en me penchant allégrement, et en débitant toutes sortes de banalités, qui ont plus pour but d'occuper l'espace de parole, que d'intéresser quiconque les écoute.
Dans le même temps, je cherche désespérément le moindre prétexte, la moindre occasion pour me montrer, pour qu'il me regarde, pour qu'il me désire...
J'ai repéré une toile d'araignée au plafond, juste au dessus de la tête de mon petit protégé. Dans un contexte normal, je l'aurais ignorée, priant pour que Seb ne voit pas cette horreur, jusqu'à ce que j'ai le temps de nettoyer...Mais quelle honte!!!
Sauf que ce soir, c'est différent! Je fixe la toile providentielle en m'exclamant:
-Oh mon dieu, je ne l'avais pas vue celle-ci! Mais que vas-tu penser de moi, mon très cher Seb?
Et j'en rajoute des tonnes:
-Tu ne vas jamais oser me le dire, mais tu as sans doute déjà remarqué cette toile d'araignée, et tu as dû penser que j'étais un femme peu soigneuse....
Avant d'assener:
-Il faut absolument que je la retire tout de suite, sinon je ne parviendrais jamais à m'endormir!
Et hop! Ni une ni deux! Je me retrouve debout sur le lit, tout près de l'endroit où repose la tête de mon voyeur préféré!
Je bondis, je sautille, j'escalade la tête de lit, et je peste...Sans omettre d'en montrer un maximum.
Ma nuisette est assez ample, Seb peut tout voir à cet instant, y compris mes seins! Je jubile en imaginant ses yeux qui pillent ma nudité dans la plus grande hâte.
J'attrape la toile insignifiante, je redescend du lit et je consolide mon scenario comme je peux:
-Oh mon dieu, j'ai honte! J'aurais dû enlever cette toile avant ton arrivée, je ne sais pas comment j'ai pu louper ça.... Je suis désolée, j'espère que tu ne m'en veux pas trop pour cette négligence!
Je crois qu'il a dit non, mais en réalité, il semblait surtout préoccupé par le drap, et par son aptitude toute relative à masquer une érection sévère! Je suis tout autant amusée qu'excitée à cette idée...
Le moment est idéalement choisi pour dérouler la suite de mon plan!
Je dis bonsoir à Seb, en m'inclinant pour lui déposer une bise au front, qu'il a fiévreux!
Puis je récupère mon tas de linge sale, et c'est à cet instant précis que je me débrouille pour que la petite culotte que je portais aujourd'hui s'échappe inopinément du balluchon.
Je m'assure discrètement qu'elle repose effectivement sur le drap de son destinataire, puis je la fuis savamment du regard, et, sans me retourner, je me presse de gagner la sortie de la chambre, d'où je pars promptement, en refermant bien la porte.
Mon plan vient de se dérouler à merveilles, et je n'ai plus qu'à attendre que le piège se referme...
Je me précipite pour jeter le linge dans la machine, puis je reviens en quatrième vitesse jusqu'au trou de la serrure, dont la vue donne directement sur le lit de ma victime.
Je constate aussitôt que ce petit salopard a déjà le nez sur ce qui parle le mieux de mon intimité, dans le cadeau que je viens de lui offrir. Il renifle mon parfum de femelle avec tellement de frénésie, que j'ai la sensation d'avoir sa tête entre les jambes, tandis qu'il me respire la chatte...
Sans perdre une miette du spectacle qui m'est offert, je commence à me caresser les seins, ce qui m'arrache un premier soupir graveleux. Il faut pourtant que je me fasse discrète, car je risque de tout compromettre, or le plus intéressant reste à venir...
Mais s'astreindre à la réserve va s'avérer compliqué... D'un geste viril et précis, Seb se débarrasse du drap qui cachait son corps à ma vue. Je lui découvre alors un très imposant membre, qui me met en émoi. Il est visiblement en état avancé d'érection, il a probablement commencé à bander en épiant mes postures aguichantes de lingère lubrique. Je peine à contenir les soubresauts de mon souffle, à cette vision...
Je suis subjuguée par la beauté de la chose, tandis que le jeune éphèbe fait preuve d'un infatigable intérêt pour la fragrance de ma culotte. Mais ses appétits débordent très vite, et je me mords la lèvre inférieure, lorsque sa langue obscène cherche à connaitre ma saveur secrète, dans l'entrejambe souillé de mon petit linge. J'ai la sensation qu'il effleure ma chatte humide avec ses lèvres au même instant, et je me tortille de plaisir à cette caresse virtuelle.
J'ai l'impression qu'il lutte pour soustraire un instant ma lingerie à ses appétits olfactifs, quand il pose une main sur sa queue, la touchant presque aussi tendrement que j'aimerais le faire....
Ah, voilà! Manifestement, il finit par succomber à son envie de frotter son superbe gland violacé à l'entrejambe de mon sous-vêtement.. Et je trésaille, à ce contact pénétrant...
Cela me vaut également un besoin pressant de me toucher, et, sitôt que j'effleure mon pubis, je sens qu'un orgasme va brutalement se saisir de moi.
Toutefois, je ne pense pas lutter contre, car Seb est sur le point d'éjaculer, et, dans l'idéal, j'aimerais jouir en même temps que lui. Il étale délicatement le fond de la culotte sur son ventre, il y expose l'entrejambe au centre avec application, puis il approche son méat de la trace apparente ce dessous me doit, et y abandonne une première longue coulée de foutre gélatineux....
J'étouffe quelques plaintes lascives, et je m'efforce de garder les yeux ouverts, car il m'importe de le contempler, pendant qu'il déverse sa semence parfumée sur l'empreinte odorante de ma chatte...
Regarde moi-le, ce salopard! Il s'est outrageusement vidé les couilles ce midi, mais il a encore des réserves, apparemment! Ou alors c'est ma lingerie qui le pousse à l'exploit... Je ne sais pas, mais il n'en finit plus d'éjaculer.... Je jouis en même temps que lui, tout en gardant le cap sur l'objectif suivant!

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