Le Journal Intime De Claire

À l'occasion d'un stage que je devais faire en fin de première année BTS informatique, j'ai eu la chance d'être hébergé durant une semaine chez Claire, une amie de ma mère. Après ce fabuleux séjour, j'ai trouvé et recopié son journal intime, dont voici une retranscription.

Proposée le 2/08/2023 par

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

À l'occasion d'un stage que je devais faire en fin de première année de BTS informatique, j'ai eu la chance d'être hébergé durant une semaine chez Claire, une amie de ma mère.
J'avais alors 21 ans, et cela faisait probablement plus de cinq ans que je n'avais pas revue cette femme qui, avant qu'elle ne déménage très loin de chez nous pour des raisons professionnelles, côtoyait ma maman quotidiennement.
Pour autant, c'est avec un enthousiasme débordant, et une hospitalité hors du commun qu'elle allait ma choyer pendant ce trop bref séjour...
Par chance, j'ai eu le plaisir de recroiser Claire, lors d'autres déplacements sur le lieu de mon stage.
Et c'est à l'occasion de ma dernière visite chez elle, qu'elle m'a demandé de dépanner son ordinateur portable, dans lequel j'ai donc trouvé (et recopié à son insu!) le journal intime qui suit, avec notamment la partie qui relate la période que nous avons partagée.
En voici la retranscription:

19 mars 2010:
Je suis folle de joie! Christine vient de m'appeler pour me demander si je pouvais héberger son fils durant une semaine au mois de juin! J'ai hâte de revoir le petit, qui doit être un jeune homme à présent! Je vais le cocoler comme jamais! C'est une formidable nouvelle, j'exulte!!!
...
5 juin 2010:
Sébastien arrive demain, il m'a demandé de l'appeler Seb au téléphone, j'ai rit! Il a l'air trop sympa, j'espère que je serai à la hauteur de ses attentes, et surtout de celles de ma copine Christine... J'appréhende un peu... Je n'y connais plus grand chose moi, en jeunes hommes!

6 juin 2010:
Il est arrivé, ça y est! C'est un très beau jeune homme, un peu timide, mais avec plein d'humour. Je l'ai installé dans son petit nid, et je vais faire le maximum pour qu'il s'y sente bien. Ce soir je l'emmène au Mc Do, beurk mais il faut ce qu'il faut!


7 juin 2010:
Fin de week-end, c'était grandiose! J'ai l'impression d'avoir 20 ans, Seb devrait venir plus souvent! Demain il débute son stage, j'espère que tout ira bien... J'ai trop hâte de faire la pause déjeuner à midi, pour qu'on se retrouve, et qu'il me raconte sa première matinée.

8 juin 2010:
Cher journal, je ne sais par où commencer... Comment puis- je m'exprimer au sujet de l'invraisemblable incident de ce midi?
Enfin...Allez, je me lance!
Aujourd'hui, l'entreprise où je travaille reçoit un client important, alors ce matin j'ai soigné ma tenue, et j'ai aussi mis un collant, pour cacher l'âge de mes jambes...
En me voyant vêtue de la sorte, Seb m'a complimentée. Il m'a d'abord dit que j'étais canon, j'étais toute fière! Le vil flatteur en a ensuite rajouté un maximum, prétendant qu'il me trouvait hyper sexy, avec les jambes galbées dans le nylon noir. C'était trop mignon de sa part, tous ces petits efforts pour que je me sente flattée comme jamais!
Seulement voilà: un collant au mois de juin, c'est difficile à porter! Alors la première chose que j'ai eu besoin de faire ce midi en rentrant, c'est d'aller dans la salle de bain pour le retirer, afin d' être à l'aise, au moins le temps du repas.
Libérée de ce fardeau, j'ai tout préparé en attendant Seb, qui une fois arrivé, m'a raconté sa matinée.
Tout s'est fort bien déroulé, il était super enthousiaste, et on a eu une discussion vraiment agréable pendant tout le déjeuner, j'ai adoré!
Puis ,au moment de retourner à nos tâches respectives, il a dit qu'il devait aller aux toilettes (qui se trouvent dans ma salle de bain), mais il s'est absenté une bonne dizaine de minutes.
Lorsqu'il en est sorti, nous étions très en retard. Il m'a dit au revoir, et il est parti précipitamment.

C'est donc à ce moment précis que je suis retournée dans la salle de bain, pour remettre mon collant, juste avant de retourner au travail, avec la même précipitation que lui, tant il est vrai que l'heure avait tournée...
Mais en pénétrant dans ma salle de bain, j'ai très vite détecté une odeur particulière qui emplissait la pièce. Une odeur qui ne m'est pourtant pas inconnue, mais que j'avais beaucoup de mal à redéfinir...
Bref, je conclue simplement que c'est une odeur que je n'ai pas sentie depuis longtemps, et je recentre toute mon attention sur le fait que je dois me presser!
Sans plus tarder, je retire donc ma jupe, j'ajuste ma culotte, et je saisis mon collant, m'apprêtant à l'enfiler...
Mais dès l'instant où je l'attrape, j'ai la sensation de quelque chose de chaud et détrempé au toucher, comme si un liquide poisseux avait été déversé dans l'entrejambe de mon collant.
Je retire ma main du vêtement, et je frotte mon index sur mon pouce, réalisant aussitôt qu'il s'agit d'un produit à ce point visqueux, que des fils s'étirent entre mes doigts, lorsque je les entrouvre... Refusant l'évidence, je cherche encore à comprendre ce qui a pu se produire ici, quand j'approche mon nez du vêtement souillé, afin de renifler l'intrigante substance...
C'est le parfum que j'ai senti en entrant dans la salle de bain. Je hume longuement la fragrance oubliée, qui m'évoque bel et bien de lointains souvenirs, mais que je peine à situer...
Je pousse alors mes investigations plus loin, je veux en avoir le cœur net!
Je prélève une noisette de ce fluide mystérieux entre deux de mes doigts, et je l'ingère avec prudence... Cela n'a finalement pas un goût infecte, et je savoure avec moins d'appréhensions...Voilà, ça me revient! Je n'ai plus de doute, à présent.....
Je déglutis, et je m'exclame:
-Oh, mon dieu.......c'est du sperme!
Seb s'est donc masturbé avec mon collant, et il a éjaculé dedans. Cela vient de se produire, c'est encore tout chaud... J'en ai plein les doigts! Je viens même d'en avaler un peu...Je suis désemparée, je ne sais plus quoi faire ou penser...
Le pire, c'est que je n'ai qu'un seul collant, et que je vais absolument devoir le remettre, et le porter tout l'après midi...

Mais qu'est-ce qui lui a pris de faire ça? Et comment je me positionne par rapport à ce dérapage, moi? Je dis tout à sa mère?
Elle ne me croira pas, on va finir par se disputer, et je vais perdre ma meilleure amie...
Heureusement, mais heureusement, qu'en prévision de la venue d'un jeune homme à la maison, je me suis procuré deux coffres que l'on peut fermer à clé: un pour y cacher ma lingerie propre, l'autre ma lingerie sale.
Mais enfin, ce n'est qu'un collant.... Je n'avais aucune raison de me méfier... Qu'est-ce qui pouvait me faire penser que, porté à peine une demi journée, ce vêtement suffirait à faire perdre la raison à un mâle!
Quoiqu'il en soit, je n'ai pas été assez prévoyante, et j'ai une grosse part de responsabilité dans ce drame.
Le mieux que je puisse faire, c'est d'essayer d'étouffer l'incident! Je vais nettoyer ce collant, le porter à nouveau, comme si de rien n'était, et ne jamais parler de tout ceci, à qui que ce soit!
Et après tout, je me suis peut-être un peu emportée... J'avais du mal à l'admettre, mais dans le fond, ce qui vient de se passer a quelque chose de profondément émouvant!
C'est vrai! C'est plutôt flatteur quand on y pense... Imaginez: ce beau jeune homme, plein de fougue et de vigueur, que les plus belles filles de son âge doivent rêver de mettre dans leur lit... Eh bien, cet étalon vient de passer dix minutes à me désirer... Et je ne peux pas nier que je frissonne à cette idée!
J'en suis même retournée au point que je me résigne finalement à préserver le petit secret de ce touchant garçon, occultant tout ce qu'il peut y avoir d'embarrassant, à imaginer le fils de ma meilleure amie, se donnant du plaisir jusqu'à l'orgasme avec un de mes dessous, peut-être même en murmurant mon prénom, avant d'éjaculer sur la partie du vêtement qui collait à mon intimité, une ou deux heures plus tôt...
Déterminée à trouver le meilleur moyen de faire disparaitre toute trace du dérapage de mon petit protégé, je regarde mon collant de plus près.
C'est alors que je réalise l'ampleur des dégâts: son éjaculation semble avoir été outrageusement opulente! J'ignore si l'effet que je fais aux hommes en est la cause...Disons que cela me réconforte de le penser!
Quoi qu'il en soit, une chose est sûre, c'est qu'il y a, dans le nylon du collant que je vais devoir porter cet après-midi, une quantité invraisemblable, de ce qui, en outre, semble être un sperme particulièrement épais...
La profusion, la texture gélatineuse, mais aussi et surtout le goût envoutant du sperme que je viens de découvrir... Tout ceci me confine au désir...
Et même si il est vrai que je me suis d'abord sentie désemparée et furieuse sous l'effet de la surprise, ce que je ressens, avec le peu de recul que je commence à prendre, s'apparente beaucoup plus à....de l'excitation!
Du coup, je suis comme pétrifiée, je réfléchis un long moment en contemplant le collant maculé. Je me perds dans plus de mille pensées contradictoires, mais qui semblent toutes aboutir à une seule et unique conclusion: c'est la nature!
C'est un fait: pour ce qui est de me laisser aller à mes fantasmes, je n'ai plus les facilités qui sont apparemment celles de Seb! Mais à force d'hésitations et de tâtonnements, je me soumet à la tentation, et je me risque enfin à porter, à mes lèvres, cette masse gluante et tiède, dont le petit coquin s'est, sans retenue apparente, déchargé dans mon sous-vêtement, et que je vais, d'une manière ou d'une autre, devoir faire disparaitre...
Tout en faisant cette première concession à un désir qui devient trop pressant, il m'est assez agréable de me rappeler que, par le passé, je n'ai jamais manqué une occasion d'avaler du sperme, quel qu'eut été mon partenaire, et la quantité qu'il lui était possible d'en produire...
Pour être franche, le seul fait de pratiquer une fellation me plaçait déjà dans un état d'excitation indécent, et il n'était pas rare qu'un homme me donne un orgasme sans rien faire d'autre qu'éjaculer dans ma bouche.
En ce qui concerne le sperme, je n'irais pas jusqu'à prétendre que c'est le plus raffiné des mets, non...Ce qui est succulent, en revanche, c'est d'extirper cette substance atypique des profondeurs intimes d'un mâle, avant de la glisser aux siennes... Indépendamment du gout qu'il a, déglutir du sperme se fait sans difficulté, tant ce qu'il y a d'audacieux à ce geste est enivrant.
Je me souviens aussi de la magie, dans les regards qu'on peut échanger, dans ces moments là. L'homme a un regard inquiet, qui cherche à savoir ce que le divin fluide reproducteur dont il a la responsabilité, va devenir. Ce à quoi je renvoie toujours un regard digne et serein, pour que mon partenaire comprenne que je saurai me montrer à la hauteur de l'enjeu, et qu'il peut , sans craintes, se libérer de son fardeau. Dans ce contexte, j'avais toujours le sentiment qu'avaler me conférait un pouvoir inouï sur les hommes, ce qui est déjà, en soi, plutôt jouissif.
Enfin, pour en finir avec ce petit voyage dans mon lointain passé, j'ajouterais que, si j'ai effectivement testé une multitude d'hommes différents, et que chacun a une saveur qui lui est propre, plus le sperme qu'il m'ait été donné de goûter était épais, et plus je l'avalais avec gourmandise!
J'aime quand le foutre est visqueux au point de ne plus s'écouler, quand on peut en attraper des grumeaux avec les doigts, et qu'il ne s'imprègne que très lentement dans les tissus (sauf si on roule un collant en boule pour tenter d'y dissimuler son éjaculation, hihi).
En général, quand il a cette texture, il a aussi une forte odeur, et un gout âpre très franc, qui persiste longuement en bouche... Rien que de l'évoquer, j'en salive... C'est mon type de sperme favori, et c'est, selon toute vraisemblance, les caractéristiques exactes de celui de Seb...
Pour couronner le tout, il y a si longtemps que rien de tel ne m'est plus arrivé, que je commence à trouver cette occasion inespérée, et d'autant plus engageante....
Enfin, je suis sensible à l'idée de me voir offrir le fruit d'un orgasme masculin, avec une mise en scène à ce point émouvante de candeur et de romantisme.
C'est pour cette raison, et pour toutes celles citées avant, que j'ose définitivement me laisser aller à l'inavouable soif, qui m'étreint depuis que j'ai découvert les secrétions intimes de mon jeune admirateur.

Par dessous ma culotte humide, je titille ma vulve, déjà bien émoustillée par la magie du moment, et, tandis que ma bouche encore timorée convoite méticuleusement l'épais épanchement qui est flanqué au nylon de mon collant, j'ingurgite langoureusement tout ce que je parviens à happer ou laper.
Comme je m'y attendais, et comme l'avant-goût que j'en avais eu me le suggérait déjà, la saveur du sperme de mon invité est conforme à mes espérances, ce qui semble décupler la croissante vigueur d'un orgasme naissant, si bien que glisser un doigt dans mon vagin suffit à me faire littéralement exploser.
Une vague de bonheur me submerge. Je me souviens avoir tenté d'étouffer des cris puissant avec le collant vidé de son contenu, en vain! Plus le parfum des vestiges de l'orgasme de Seb me revient au visage, plus mon propre orgasme s'intensifie... Et selon toute vraisemblance, j'ai, peu après cela, perdu mes esprits un court instant.

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