Le Journal Intime De Claire (partie 3)

À l'occasion d'un stage que je devais faire en fin de première année BTS informatique, j'ai eu la chance d'être hébergé durant une semaine chez Claire, une amie de ma mère. Après ce fabuleux séjour, j'ai trouvé et recopié son journal intime, dont voici une retranscription.

Proposée le 4/09/2023 par

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman

Je prends conscience que l'amitié que je voue à Christine est un rempart qui se fissure, lorsque je lorgne sur ce jeune mâle qui, pour extraire ce qu'il reste de semence visqueuse dans son pénis flétrissant, presse sans ménagement sur son gland turgescent, et qui, dans un manque de délicatesse absolument étourdissant, s'essuie avec de la lingerie fine, que je portais il y a si peu de temps, qu'elle est encore toute imprégnée de mon odeur de femelle...

Mais mon intarissable éjaculateur semble s'agiter! Il replie ma culotte, et s'en saisit comme si il s'agissait d'une patate chaude. Il est temps que je m'extirpe de l'onirisme latent!

Je reprends possession de tous mes moyens, et je me retire promptement dans ma chambre, derrière la porte entrouverte de laquelle je me poste silencieusement.

Je reprends mon calme, tapie dans le noir... C'est la partie la plus délicate du plan...
J'attends... Si je m'y suis bien prise, il va....Ah, je crois qu'on y est!
La porte de sa chambre vient de s'ouvrir, et j'entends des bruits de pas! Il approche...Je devine son souffle maintenant, il est pendu à ma porte.... Il veut juste s'assurer que je dors...Donc je ne fais plus le moindre geste, et je coupe ma respiration.
Ouf, le plus dur est passé! Seb se déplace à nouveau, et semble s'éloigner de nos chambres respectives...

Si tout se passe comme je le souhaite, il est allé cacher le sous-vêtement gorgé de sperme dans la machine à laver. C'est, du moins, pour l'inciter à faire cela, que j'ai précisé à maintes reprises que le tambour resterait ouvert, un peu plus tôt.
J'entends la porte de sa chambre qui se referme, à présent. Je m'avance prudemment, et j'observe qu'après quelques secondes, la lumière s'éteint.

Le moment est venu! Je me faufile furtivement en direction de la machine à laver. Comme je ne veux pas me faire remarquer , je reste dans le noir, et je tâtonne pour fouiller le tambour...
Par chance, après seulement quelques palpations, une de mes mains entre en contact avec quelque chose de détrempé et chaud !
Je jubile! Je me saisis de ma précieuse découverte en toute hâte, et je la porte immédiatement à mes narines: ce que je tiens dans les mains est incontestablement imbibé du fruit d'un orgasme masculin!
Grâce à de rapides investigations tactiles, j'obtiens aussi confirmation qu'il s'agit bien d'une petite culotte.
Pour autant, j'ai besoin d'être sûre, et sous couvert de chercher à lever le dernier doute qui aurait encore l'audace de subsister, je porte à mes lèvres l'objet inspecté, dans le but de confirmer la nature de la masse tiède et parfumée qui semble y être agglutinée...
Il ne me faut pas plus d'une fraction de seconde pour constater qu'il s'agit bien de sperme frais. Et il y en a tellement que je n'ai eu aucune peine à en prélever une quantité respectable, simplement en butinant le sous-vêtement du bout des lèvres...

Le désir commence à me lacérer le ventre, et si je m'écoutais, je boufferais tout ce foutre chaud en me doigtant, à même le tambour de ma machine à laver... Mais je dois m'en tenir aux rigueurs du plan! J'avale avec langueur cette première bouchée que mes inavouables appétits ont soutirés à la petite culotte, je me lèche les babines avec gourmandise, et je me remets à l'ouvrage....

Jusqu'à ce que la certitude de tenir la petite chose dans laquelle j'avais vu Seb éjaculer me soit acquise, il me fallait impérativement rester discrète. Mais maintenant que j'ai en ma possession l'objet du délit, je dois tout mettre en œuvre pour me faire remarquer!
J'allume autant de lumières que possible, et je m'agite. Je fais tomber un bouchon en plastique, qui produit un bruit monstrueux chaque fois qu'il rebondit au sol. Je le ramasse, et le fais tomber à nouveau...Puis, j'actionne distinctement le mécanisme de fermeture et d'ouverture du hublot de la machine à laver, à plusieurs reprises.
Et lorsqu'il me semble avoir suffisamment attiré l'attention vers moi, j'éteins tout, et je retourne dans ma chambre, mon pesant trophée entre les mains, et un lancinant goût de sperme en bouche ...

Sitôt arrivée, j'allume toutes les lumière à l'intérieur de la pièce, dont je me suis bien gardée de fermer la porte!
Elle est juste assez entrouverte pour qu'il soit possible de m'observer confortablement, mais sans risquer d'être vu, depuis le couloir où règne la plus totale obscurité!
J'ignore combien de temps cela va prendre à Seb pour oser venir profiter du spectacle que je souhaite lui offrir, ni même si il viendra d'ailleurs... Il se peut que toute cette entreprise soit vaine, mais je ne peux plus reculer désormais...

Le fait est que je suis parvenue à me procurer le foutre particulièrement onctueux d'un charmant jeune homme, dans une quantité des plus appréciable. Qui plus est, il vient de s'en défaire il y a une poignée de secondes à peine, en éprouvant manifestement un désir charnel féroce à mon égard..
Alors, même si c'est dans le but louable d'attendre que mon invité se décide à jouer les voyeurs à ma porte, résister à mon envie de livrer ce butin à mes bas instincts est largement au dessus de mes forces....

Rendue à cette évidence, je m'autorise à puiser une seconde lichette dans le sous-vêtement, tout en oppressant frénétiquement un de mes seins.
À cet instant, je porte encore la nuisette avec laquelle j'ai fait du charme à Seb, juste avant de lui confier incidemment cette petite culotte. Le sperme dont elle regorge a la texture gélatineuse que j'affectionne tout particulièrement. Lorsque j'en étale à mon palais avec la langue, la saveur exhale, au point que cela m'extirpe de long soupirs de plaisir, dont j'accentue exagérément le niveau sonore...

J'ai suffisamment patienté, et peu importe si quelqu'un en profite ou pas, je vais devoir céder à la tentation des plaisirs solitaires que ce que je viens d'ingurgiter m'inspire...
Celle de mes mains qui ne tient pas la culotte effleure mon pubis, et je ne peux contenir le râle rauque que ce contact tant attendu m'incite à libérer. Mais j'ai aussitôt le sentiment d'avoir crié plus fort que de raison, et je me ressaisis instinctivement, pour écouter si ce bruit un peu hors norme suscite des réactions ...

C'est alors que je crois entendre le grincement presque imperceptible, mais inimitable, que la porte de la chambre de celui que j'attends émet chaque fois qu'on l'ouvre.
L'hypothétique approche du jeune étalon me met en ébullition!
Toutefois, je m'impose une ferme interdiction de diriger mon regard vers le couloir, cela même si la curiosité de m'assurer de la présence d'un spectateur devient insoutenable!
Si il a fait l'effort de venir, je dois faire en sorte qu'il ne craigne à aucun moment d'être surpris en train de m'épier...
Et si il a fait l'effort de venir, je dois également être prête à m'offrir à sa vue. J'ôte ma nuisette, et je m'expose en pleine lumière, face à l'entrebâillement de la porte, debout, et entièrement nue....

D'une main, j'exhibe la petite culotte, dont je savoure religieusement le contenu, et de l'autre, je joue tantôt avec un sein, que je malaxe en soupirant, tantôt avec ma vulve, tout en contorsionnant mon bas ventre, pour ne rien cacher de ce petit bijou soyeux à quelque éventuel admirateur.

Je ne saurais peut-être jamais si il a osé venir jusqu'à ma porte ou non, pourtant, je n'ai aucun mal à visualiser le fils de ma copine Christine, me dévorant du regard avec des yeux salivants, en tenant sa grosse queue à pleine main. Je crois que c'est en imaginant cette scène que j'ai pris conscience à la fois de la force du désir insensé que j'éprouve pour ce jeune homme, et des limites aux serments d'amitié...

Quoi qu'il en soit, la chose est, à ce stade, devenue obsessionnelle! Plus moyen de me sortir de la tête l'image de celui que j'héberge, m'observant en ce moment même. Il doit être nu, ou en petite tenue, et peut-être qu'il pense à ce qu'il me faire d'osé.... En tout cas, je ne doute pas qu'il bande sur moi. Il m'est de plus en plus difficile de contenir les pulsions que cette dernière pensée me vaut...

Pour autant, et compte tenu du contexte torride dans lequel je nous ai placés (si tant est que mon plan se soit correctement déroulé), je fais tous les efforts du monde pour mettre un peu de langueur à ma démonstration.
Chaque fois que je déglutis un peu du sperme de celui qui me reluque probablement les seins au même moment, j'en ferme les yeux de plaisir, puis je bascule la tête en arrière en soupirant, tout en laissant flâner un doigt hésitant, sur mon plus que sensible clitoris... J'exulte, et je me laisse même aller à glisser un murmure graveleux entre deux bruits de déglutition:
- Ssssssseb!

Mais, en dépit de cette orchestration, je suis incapable de refréner mon appétit pour la semence masculine, et je viens trop rapidement à bout de l'imposante éjaculation, que ma petite culotte peinait pourtant à contenir.
J'en suis déjà réduite à sucer le tissu asséché de mon sous-vêtement, lorsque quelque chose qui provient du couloir, et qui s'apparente au bruit d'une respiration haletante, parvient à mes oreilles...

Cela tend donc à confirmer que Seb est venu! Et si il souffle ainsi alors qu'il m'observe depuis que j'ai cru entendre grincer sa porte, il doit être sur le point de jouir! J'aimerais tant que nous puissions avoir un orgasme simultané...

Sans perdre une seconde, je tire à moi une chaise toute proche, et je m'assois sur son rebord, en maintenant les jambes très écartées. Puis j'habille deux de mes doigts dressés avec l'entrejambe de la petite culotte. C'est avec cette partie du sous-vêtement que Seb flattait fébrilement son gland fiévreux, dans un contact électrisant qui l'a mené jusqu'à l'orgasme, il 'y a de cela quelques minutes à peine...

Puis, en m'efforçant de rendre la chose ostensible, je fais pénétrer lentement ces deux doigts habillés de lingerie à l'intérieur de mon vagin. Je vacille! Le moindre contact avec cette zone érogène s'ajoute à la caresse des yeux de mon admirateur, rendant tout vœu de se contenir presque insurmontable....

Mais je dois continuer, car la portée symbolique du geste que je viens d'entreprendre est forte. En effet, l'entrejambe taché de ma culotte a terriblement excité Seb, tout à l'heure. Il a jouit dessus, presque immédiatement après avoir cédé à son désir inconscient de mettre en contact nos parties intimes respectives, à travers cette fine bande de tissu.

Ce que je cherche à exprimer par le biais de l'intromission inopinée que j'engage, est du même ordre. Si il me regarde, il faut que Seb ressente un frisson similaire à celui qui m'a parcouru, tandis que ce qu'il restait de mon empreinte intime dans la culotte offrait une caresse orgasmique à sa jolie queue.

Lorsque cela s'est produit, j'ai eu des vapeurs, exactement comme si il avait entrepris de frotter le bout son membre raidit directement aux les lèvres de ma vulve...
Je veux qu'il connaisse à son tour ce genre de sensation, lorsque je m'introduis volontairement quelque chose que son sexe en érection a touché, et qui répand en moi un vestige du fruit de son orgasme...

J'espère de tout cœur que Seb ne s'interdira pas de penser que j'agis comme si je cherchais à lui faire savoir que je veux bien qu'il me pénètre, et qu'il jouisse en moi.... Personnellement, je suis submergée par ce genre de pensées, à ce stade...C'est d'ailleurs à cause de cela que je vais bientôt jouir!

Je pousse encore un peu sur la petite culotte, si bien qu'elle est presque entièrement entrée en moi, puis je fais tourner timidement mes doigts sur mon clitoris, et c'est plus qu'il n'en faut pour que je me sente glisser vers un orgasme des plus intenses...

Tout ce que j'ai d'intime est livré au regard indiscret de celui dont je ne doute plus qu'il est dans le couloir. Je fais le grand écart, une culotte maculée de sperme dépasse à peine de ma foufoune, et mes seins pointent vers le ciel! Je ne cache même pas les cris aigus que le plaisir de me masturber en m'exhibant me procure, tandis que je convulse sur ma chaise.

Je sens que je vais jouir! Comme une image subliminale, je revois la monstrueuse bite du jeune éphèbe qui vit sous mon toit, et je m'empoigne un sein, en libérant toute la frénésie que cette vision fait naitre.

Et lorsque l'explosion orgasmique devient inévitable, je hurle:
-Oh, mon Dieu, que c'est bon!! Viens jouir avec moi!! Viens! Aahhh....aaahhhh ouiiiiiii

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