Un matin, pas comme les autres.

Vous ne vous douteriez pas de qui peut se passer entres quatre murs, suivez l’histoire d’un homme, qui en recherche d'une aventure inespérée d’un matin pas comme les autres, fini par la trouver. Vous entendrez les pas dans l’escalier….et puis….

Proposée le 7/07/2023 par maximilien7

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Je viens de prendre ma douche, et j’attends debout face au miroir qui me renvoie l’image d’un homme nu, j’attends que la porte d’entrée claque en se refermant sur elle-même. Lorsque cela se produit enfin, un frisson parcourt mes reins, car je sais qu’elle vient d’arriver !

Bientôt, elle sera là et je serai face à elle, dépouillé de tout vêtement. Déjà mon sexe sort de sa léthargie et s’érige, grossit et s’allonge dans ma main, j’ai le cœur qui bat tambour et les genoux en compote. Que dira-t-elle, quel sera son regard face à cet homme en érection ? Alors, j'attends, comme un élève qui attend son professeur, une pensée qui m’obsède fortement et accentue l’excitation sexuelle qui occupe mon esprit. Elle coulisse dans ma main, cette bite qui maintenant perle, et c’est tellement agréable.

Pendant que je l’imagine montant l’escalier de marbre, ignorant de ce qui se passera lorsque la porte s’ouvrira et que je serai face à elle. Que suis-je donc en train de faire là ?, quelle est cette folie dans laquelle je me suis engagé ?? Elle gravit les marches, je l’entends, son pas est lent et furtif. Elle s’arrête un instant, je perçois un léger frôlement, la poignée de la porte s’abaisse et puis….

Enfin elle s’ouvre lentement. Alors, je baisse les yeux, car elle est belle, très belle !! elle apparaît dans le miroir en face de moi, une ombre chatoyante qui passe derrière moi, ensuite me frôle, je frissonne comme un gosse qui découvre l’érotisme. Elle me jette un regard lascif que je sens courir sur ma peau, elle s’approche, considère l’ampleur du pénis qui a pris toutes ses dimensions, elle le saisie à pleine main, le câline, le presse fermement, le frappe un peu pour le faire sauter, je tressaille de plaisir, j’attends une suite…. !
Puis, d'une main ferme sur mon épaule, elle me fait mettre à genoux. Pas un mot…, juste un souffle dans ma nuque. puis un geste sans équivoque m’astreint à une masturbation dont elle impose le rythme, lent et continu, tandis qu’elle tourne autour de moi et observe mes attitudes. De la pointe de ses pieds, elle me fait écarter les cuisses, alors ma tête est prête à éclater, je suis frappé d’une excitation d’adolescent.

Ma bite s’agite dans ma main, aussi, j'accélère le frottement comme j’ai l’habitude de le faire, afin de voir arriver l’instant béni, pour jouir avec volupté sous les yeux de cette belle femme. Un phantasme que je traîne depuis des lustres, alors je m’applique. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’elle accepte de jouer ce rôle, quelques mots, on suffit à dire mes envies, elle a eu un sourire, et me disait,

‘’ à demain donc, attendez-moi dans votre salle de bain, après votre toilette, vous serez entièrement nu évidemment…’’ !

Je vais jouir et elle le voit assurément, je ne pensais pas qu'elle aurait autant d’assurance. Elle intervient aussitôt, m’obligeant à ralentir, me fait arrêter quand la jouissance lui paraît par trop excessive, et c’est terrible de ne pas pouvoir en arriver à la fin, d’en arriver au plaisir suprême, et de pouvoir enfin éjaculer !, tout homme le sait. Mais, non, tout est fait pour contrarier mes espoirs et elle sait y faire, de temps en temps, elle saisit le membre et le frotte en s’arrêtant sur la calotte hypersensible, son pouce se promène ainsi en cercles concentriques auquel je ne peux échapper sans qu’elle réagisse vigoureusement.

Alors penché en avant, je ne résiste plus à cette douce pression qui se poursuit jusqu’aux premières coulées fluides qui enduisent le gland. Je ne respire plus que par saccades, désespérément plié comme un fétu de paille qui s’est brisé sous la contrainte du vent. Elle me fait redresser, puis caresse mon poitrail, remonte au cou, ensuite au visage et sa bouche doucement se colle à la mienne. C’est un baiser long et doux, un sentiment de gratitude m’envahit aussitôt, sa langue se promène dans ma bouche et explore ses moindres recoins, et je bande encore au point ou cela en devient un supplice. Ensuite, à genoux, je rencontre ses magnifiques yeux verts, ce visage est divin, il est d’une finesse sans égal. Elle est si douce, cette langue qui me séduit tant, elle mordille mes lèvres, je me rends à ces sensations, à cette femme, que manifestement j’avais sous-estimé.
Ses lèvres retournent au poitrail puis au ventre et enfin sa bouche avale mon sexe qui enrobé de cette chaleur humide sursaute. Je ferme les yeux, espérant de se voir prolonger éternellement les suçons et les aspirations. Bientôt, je vais rendre les sèves de tout mon corps, je vais asperger cet antre chaud, car rien désormais ne peut plus retenir cette envie qui s’annonce et la volonté ne peut y remédier.

Mais encore une fois, elle s’arrête à point, et c’est une torture pour l’esprit et pour le corps, un abandon, un renoncement, une frustration que je réfrène avec douleur. ‘’Maudite diablesse’’ me dis-je, pendant qu’elle me fait lever, puis, poussé dans le dos, j’avance vers le salon, la honte au cœur de me voir ainsi instrumentaliser. Je bascule par-dessus l’accoudoir du canapé, on me passe des menottes.
On enfonce ma tête dans l’un des coussins et j’attends la suite des évènements, docile et honteux de la position avilissante dans laquelle je me trouve en ce moment, les fesses offertes et le sexe pendillant entre mes cuisses. Elle est là, derrière moi, toujours silencieuse, sur la table une verge de bambou attire mon attention, ce qui ne laisse aucun doute sur son utilisation.

Je devine alors le sort qui me sera réservé. Un sifflement puis une brûlure sur mes fesses s’annonce sans prévenir, je hurle, elle frappe encore, je tente d’éviter le coup suivant, il arrive sur l’arrière de mes cuisses, je crie, elle double le traitement !! La verge siffle encore sur mes chevilles, je supplie et espère qu’elle soit moins brutale, pendant que le prochain coup arrive sec et sans pitié !…, Piquante et mordante est la douleur en haut des fesses, je me tords et accuse une forme de révolte. Je l’insulte copieusement, elle frappe encore et encore, plus haut sur le dos, puis encore les fesses, les chevilles, etc.…je pleurniche comme l’écolier lors de sa punition, la fantasme de la maîtresse s’installe aussitôt, mon sexe est dur et me fait souffrir, je tente de le saisir pour me satisfaire enfin. Plusieurs coups se rajoutent et je comprends que je n’en avais pas le droit, alors en hurlant, je me résigne et frotte le membre contre les tissus rugueux, un bien qui me paraît inestimable en cette circonstance.

Une main saisit ma bite et en un mouvement anarchique trait cette mamelle comme on le ferait pour une bête. Il ne faut pas longtemps avant que je n’arrive à terme, je gicle longuement, puissamment et la traite reprends, violente et assidue. Une post éjaculation terrible secoue mon corps, je subis, je pleurniche pour que l'on s’arrête avant de m’affaler. Elle arrive face à moi, un sourire moqueur aux lèvres, et me présente victorieuse au fond d’un verre le foutre laiteux que je viens d’éjaculer. Un trophée sans doute qu’elle espérait avoir ce jour.

Puis, elle passe derrière moi, disparaît de ma vue, un temps rien ne se passe, une coulure froide sur mon sphincter, annonce le pire. Une pression légère, ensuite plus affirmée, c’est un membre de latex qui entre en moi ! Ma respiration cesse, je gigote et me révolte ! La chose force le passage, le sphincter résiste, je cris comme un nouveau-né !
Ça glisse, les tissus enfin cèdent, et le membre s’enfonce lentement, loin, très loin, je me sens empalé, torturé, souillé !!

La sodomie est pourtant la chose que j’avais souhaitée, me voilà satisfait, elle bourre et laboure l’ouverture sans ménagement, j’entends le clapotis de sa peau qui percute mon cul. Je bouillonne physiquement et moralement, l’intrusion me sidère et instamment, je bande. Mon sexe frétille et percute le tissu rugueux du canapé, une masturbation involontaire qui accentue encore les sensations au bas ventre. Je mugis, je rue, je me débats, puis dans un râle, je gicle encore. Elle, elle, poursuit l’action, je suis écartelé, démembré et séquestré, esclave de mes propres illusions sadiques, qui là se réalisent, au-delà de ce que j’avais espéré.

Cette maîtresse d’un matin ne porte plus rien! et cette nudité est d’une merveilleuse beauté, elle me redresse, me jette sur le divan et s’emploie à réveiller ma virilité qui ne met pas bien longtemps à sortir encore de sa réserve. Couché sur le dos, je suis sans défense, elle vient soudainement s’embrocher sur le membre qui d’abord plie sous l’effort, puis pénètre dans cette moiteur doucereuse, entre ces lèvres qui se referment. Cela ne suffit pas à l’amazone, puisqu’elle pratique en même temps une masturbation en règle, le temps semble s’être arrêté, j’écoute avec passion ses gémissements et ses voluptueuses complaintes. C’est bien une nymphe qui me fait l’amour, passionnément, alors je m’abandonne avec l’espoir de ne plus me réveiller sans elle, quitte à en mourir. Elle s’est aventurée longuement à choisir les positions qu’elle souhaitait expérimenter avec moi, et dèslors, je deviens l’objet de son plaisir.

Longuement, nous avons fait l’amour ainsi uni, puis, sans que je m'en doute et sans un seul mot, elle m’abandonne…. Je reste là…., nu sur ce canapé qui a connu de nombreuses étreintes, nu et éreinté par cette incroyable expérience. Elle, elle s’est éloignée sans un mot, sans un regard, ensuite elle s’est rhabillée et est répartie comme elle est venue, silencieuse, impérative, majestueuse.

‘’ à demain, vous m’attendrez dans le hall après avoir fait votre toilette, tâchez de ne pas vous lâcher avant que je n’arrive ! sans quoi, il faudrait que j’emploie des méthodes bien moins agréables !!’’

Il est 18.00 hrs, Grâce vient de rentrer, j’ai envie d’elle, de son odeur, de sa chair sous mes doigts, sa robe est courte, ses jambes magnifiques, je n’en peux plus de la voir circuler dans l’appartement en soutient gorges.
Sans un mot, je la plaque sur la table du salon, elle ne résiste pas, je vire sa petite culotte, retrousse sa jupe puis, la pénètre violemment. Grâce s’affaisse et se plante sur mon sexe, elle piaille, elle se débat, j’y vais bien plus fort, elle aime ça il n’y a pas de doute, pour elle le viol est un fantasme et la surprise de ce soir l’a jetée dans un univers qui ne laisse que peu de place et passe du fantasme à la réalité. La violence dans notre couple est quotidienne.
Grâce se soumet aux moindres désirs, elle accepte toutes les folie et même de faire l’amour à trois, quand je l’attrape par la taille sous les yeux de Charlène son amie. Alors, nous jouons aux enfants gâtés, en nous poursuivant dans l’appartement, entièrement nu et si je baise Charlène en sa présence, Grâce la masturbe jusqu’à son épuisement. Je l'ai saisie une fois de plus, pour la jeter sur le canapé, puis me souvenant de ce matin, je la persécute puissamment, longuement, elle en veut, encore et encore, ensuite elle s’apaise tout en gigotant lorsque l’orgasme le frappe.

L’éjaculation la fait hurler de plaisir, ses mots sont bruts et correspondent au jeu pervers que nous venons d’accomplir. Nous prenons le repas du soir vers 20,00 hrs, Grâce est heureuse, souriante, nous parlons de choses et d’autres quand elle me pose la question habituelle :

‘’ tiens au fait, la femme de ménage est passée ce matin ??’’
Comme d’habitude, je réponds par l’affirmative,

‘’et non, il n’y a rien de particulier à signaler, tout va pour le mieux ma chérie’’. ‘’ elle est bien cette femme, qu’est-ce que tu en penses ?’’ ‘’

''oui chérie, elle est très bien, nous pouvons la garder !! ‘’.

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