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Des Thaïlandaises pas comme les autres partie 1

Il travaille pour la médecine du travail dans une grande bâtisse...Un midi, il s'aventure près de la gare, proche, et découvre de magnifiques Thaïs qui s'offrent contre rétribution. La tentation est trop forte...Il fait connaissance de Mihn, une jeune femme très douée...

Proposée le 21/03/2025 par jerome james b

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme


Des Thaïlandaises pas comme les autres
PARTIE 1
Ma vie a basculé le jour où j'ai été au bout de l'avenue, ce que je n'avais jamais fait les sept années précédentes.
Je suis médecin, salarié, par l'Agence de Santé, et je travaille dans la branche spécialisée dans le bâtiment. Concrètement, cela veut dire que je vois des travailleurs, des gens qui l'ont été, le sont ou le seront pour des causes diverses. Examiner qu'ils sont aptes, constater les accidents du travail, faire des examens pour d'éventuelles poursuites judiciaires. Des journées bien remplies...On ne chôme pas. Même si on a parfois, heureusement, des moments de répit.
Ma vie a pris un tournant particulier le jour où entre midi et deux, après avoir manger au petit restaurant qui était notre cantine à tous, situé sur l'avenue qui était derrière notre bâtiment, je suis revenu sur celle, plus étroite, sur laquelle nous étions installés. Sur la droite, où nous nous trouvions, il y avait une alternance entre buildings d'habitation et commerciaux ou administratifs. Sur la gauche, la gare, avec son bloc central, des rails, des dépendances.
Je ne sais pas ce que je cherchais. Sans doute pas grand chose. Juste faire un petit tour dans ce quartier que je connaissais mal, au final. Je n'y étais pas très souvent, puisque je parcourais le département pour des consultations très diverses dans des cabinets locaux, privés ou publics.
C'est en approchant de la gare que j'ai remarqué les jeunes femmes. Elles étaient quatre, installées là. Asiatiques. Toutes jeunes, et vraiment séduisantes. Il y en avait deux qui portaient des robes en laine aussi collantes que courtes, l'une avec des cuissardes, l'autre avec des bas et des escarpins à talon aiguille, la troisième avait un tailleur, veste à même la peau, un soutien-gorge rouge dessous, une jupe courte, des bottes du même rouge que le soutien-gorge, qui s’arrêtaient juste en dessous du genou, la quatrième, elle avait opté pour une combinaison en cuir hyper-moulante, qui la soulignait.
Chacune était dans une situation précise. La fille avec la combinaison en cuir était debout devant un homme en costume, que je voyais de trois-quarts et elle le masturbait. Je voyais parfaitement une queue en pleine érection, sur laquelle elle allait et venait d'une main habile, avec un sourire attentif et concentré.
J'arrivais en fin de course. Le gars a lâché une série de gargouillements, et j'ai vu des jets de sperme, copieux, jaillir. La jolie asiate avait ramené sa main au niveau de son gland, le sperme a rempli sa paume, mais aussi atterri le long de son avant-bras.
L'homme n'a pas demandé son reste, il lui a tendu une enveloppe et s'est éloigné, sa queue rangée dans son pantalon. La brunette a nettoyé sa main, son bras, et glissé l'enveloppe dans un petit réticule.
Les deux filles qui avaient des robes en laine collantes discutaient avec deux hommes jeunes, dans la trentaine. Plutôt bien faits de leurs personnes. Comme quoi, il n'y avait pas forcément les moches, les frustrés, ou les deux ensemble, qui allaient avec des prostituées. Car j'avais bien compris qu'il s'agissait de filles tarifées.
Il restait une dernière fille, celle qui avait le tailleur avec le soutien-gorge et les bottes rouges. Elles étaient toutes les quatre très belles, indéniablement, mais celle-là avait quelque chose de plus. Un sourire qui était peut-être plus sincère, moins commercial, une manière d'insolence aussi. Assise sur un banc, elle a ouvert les jambes plus que ce n'était le cas jusqu'à présent. L'occasion pour moi de remarquer plusieurs détails. D'abord que ses jambes, quoi que fines, étaient extrêmement bien dessinées. Ensuite qu'elle les avait gainées de bas stay-up, ce que je n'avais pas remarqué au premier abord. Son sexe était par contre nu, et plus elle a ouvert les jambes, plus je l'ai vu. Une fente, qui coupait une proéminence en deux, et dont dépassaient deux bouts de lèvre. Deux fesses rondes sur lesquelles elle était posée, et sa muqueuse anale, elle aussi visible.
Ce qui m'a peut-être le plus séduit, toutefois, ça a été de voir que, contrairement à la mode, et contrairement à ce qu'on aurait pu attendre d'une fille qui exerçait le plus vieux métier du monde, elle n'avait pas une chatte entièrement épilée, mais au contraire, je voyais un tapis de poils bruns, certes taillé en triangle, un triangle large.
— Tu veux profiter de ma chatte?
Pour me convaincre, au cas où j'aurais encore hésité, il faut savoir se vendre, elle a ouvert un peu plus les jambes, fiché ses deux index dans son sexe, et elle s'est ouverte, quelques secondes, histoire de me laisser voir un intérieur tout rose.
— Tu peux mettre ta queue dedans. Moyennant finances, bien entendu.
Le sexe avait toujours eu une place importante dans ma vie. J'en suis à mon troisième mariage, j'ai eu pas mal de petites copines hors mariage, pour des relations courtes ou plus ou moins longues...J'ai 52 ans, ma femme en a 15 de moins, elle est ravissante et très sensuelle. Je n'ai jamais eu recours à du sexe tarifé.
Si je voulais avoir cette fille, clairement il me faudrait payer. Et elle m'attirait terriblement. Pourtant ça ne me gênait absolument pas. Comme on dit toujours, qui veut la fin, veut les moyens.
Je me suis approché d'elle. J'utilisais énormément ma carte, mais j'avais aussi toujours du liquide au cas où. C'était une excellente illustration de ce 'au cas où...'
Je n'avais aucune idée de ses tarifs. J'ai péché dans la poche arrière de mon pantalon une petite bourse dont j'ai extrait un billet de 50 et un autre de 20. Tout ce que j'avais, en dehors de menue monnaie...
— Pour ça je peux avoir quoi?
— Tout. Tout ce que tu veux. Mais généralement, la totale c'est 50 euros.
— Prends tout. Tu me donneras du plaisir, j'en suis sûr et tu mérites plus que les 50 réclamés. Au moins pour ton sourire, et ta manière de te présenter.
Elle a attrapé les deux billets, ses doigts ont frôlé les miens un instant, j'ai eu l'impression qu'elle était brûlante comme l'enfer. Je n'étais qu'à quelques mètres du local où je travaillais, et pourtant j'en étais à des centaines de kilomètres.
Il y avait un hôtel un peu plus loin, mais, au lieu de cela, elle s'est approchée de l'immeuble juste en face. Elle a tapé un code pour débloquer la porte. Je pensais qu'elle allait prendre l'ascenseur, au lieu de cela elle est partie dans l'escalier. De larges marches, celle d'un immeuble qui accusait déjà son âge. Elle était devant, moi juste derrière. Elle a soulevé sa jupe pour m'offrir ses fesses nues, rondes et bien fermes. Entre ses cuisses, je distinguais parfaitement sa vulve, toute gonflée.
— On n'a pas besoin d'aller à l'hôtel à côté. On loue un appartement ici. Ca réduit les frais pour tout le monde.
Elle ne m'en a pas dit plus et je me suis posé la question de savoir comment ça pouvait se passer. J'imaginais mal une des filles, dont l'activité était pour ainsi dire inscrire sur elle, se présenter à l'office d'HLM. Un prête-nom? Ou alors l'homme ou la femme qui les gérait, si elles n'étaient pas indépendantes, et je doutais qu'elles le soient.
L'appartement était au premier. Trois portes sur le palier. Elle a choisi la première.
Un appartement très classique. Une enfilade de pièces. Il était moins classique dans son arrangement. Plusieurs pièces avaient été aménagées en chambre, avec du mobilier sans doute récupéré à Emmaus. Elle s'est glissée dans l'une des pièces. Un lit avec un montant en bois, issu d'un temps passé, une petite table. Il ne s'agissait pas d'un lieu pour vivre mais pour avoir des rapports sexuels.
Sur la table, entre autres choses, il y avait une boite de préservatifs. Elle l'a attrapée, avant de s'asseoir sur le lit, et de venir, j'étais encore debout, défaire mon pantalon. Et en tirer une queue qui était déjà bien raide de désir.
--Tu as une belle queue, elle a dit, et elle a commencé à balader sa langue dessus.
Je me suis demandé si c'était un cliché, qu'elle sortait à tous les hommes ou si elle le pensait vraiment. A vrai dire, je m'en fichais un peu. C'était une relation tarifée, et donc avec pas mal d'hypocrisie, mais elle me faisait envie, et j'avais la certitude qu'elle me donnerait du plaisir. Elle était programmée pour ça.
Elle m'en donnait déjà en caressant ma queue, tournant dessus d'une langue experte.
— Tu durcis encore...Tu vas avoir une queue énorme quand tu vas me fourrer.
Elle a déchiré l'emballage métallique. La rondelle de latex huileuse est apparue. Je pensais qu'elle allait la faire coulisser le long de ma queue de la main, dans un mouvement classique. Ça a été tout sauf ça. Elle a posé le préservatif encore écrasé contre ses dents et elle est descendue de sa bouche le long de ma tige. J'ai senti son chaleur et son humidité autour de moi, en même temps qu'elle ajustait le latex autour de ma verge dure. Une manière originale de faire, qu'aucune fille n'avait tenté sur moi avant.
Le résultat était là, en tout cas, en plus de la caresse buccale, le latex arrivait à la racine de ma queue. Satisfaite, elle entreprit de me sucer d'une manière classique, allant et venant sur moi. C'était bon, et j'étais très loin de l'après-midi morne qui m'attendait, que je devais consacrer à rédiger des rapports.
--Tu vas voir, je suis douée.
Elle a défait l'agrafe qui tenait la jupe courte de son tailleur et s'est retrouvée le ventre nu. Elle m'a poussé sur le lit, et elle est venue se caler au-dessus de moi. Je voyais, pile à l'aplomb de ma queue, son sexe entrouvert, avec un peu plus de lèvre sorti. Je me suis posé la question, absurde, de savoir si une fille comme elle, qui était une professionnelle, pouvait éprouver de l'excitation à avoir des rapports sexuels.
La seule chose qui a été sûre, c'est ce qui s'est passé dans les minutes qui ont suivi. Preuve, une fois encore, de son expertise. Elle a attrapé ma queue du bout des doigts, la tenant sans vraiment la tenir, et elle l'a amenée tout près de son sexe. Nos chairs ne se touchaient pas encore.
C'est vraiment dans les minutes qui ont suivi qu'elle m'a montré ce qui faisait la différence entre elle et d'autres filles. Celles avec qui j'avais déjà pu avoir des rapports sexuels. Une expertise qui faisait qu'elle était précieuse. Elle a fait en sorte que mon gland, tout gonflé et enveloppé de latex, elle avait laissé de l'espace pour le réservoir, en tirant dessus, vienne frotter contre ses lèvres, sans me faire rentrer dedans. A ce moment, puisque je me posais beaucoup de questions, j'ai bien perçu l'évidence d'un plaisir, qui se manifestait sur son visage, ses yeux mi-clos, son sourire un peu différent mais aussi parce que ses lèvres, contre mon gland, se sont épanouies, elles se sont mises à gonfler, et ont pris du volume, et surtout il y a eu de la mouille qui a trempé le préservatif. Elle m'a caressé comme ça un moment, avant de me faire enfin glisser dans sa vulve, avec un conseil:
— Il faut que tu tiennes aussi longtemps que possible, pour que je te fasse bien le parcours du plaisir.
J'ai effectivement compris dans les minutes qui ont suivi ce qu'était le 'parcours du plaisir' pour elle. Elle m'a fait rentrer totalement dans son sexe. Ses lèvres reposant sur mon pubis, aussi gonflées qu'elles avaient été avant un simple double trait de chair. Elle a commencé par aller et venir sur moi, dans un mouvement très classique. Ce frottement, cette caresse...Le bonheur d'être dans un sexe de fille, chair délicate qui t'enveloppait, te prenait, te donnait du plaisir.
Et pourtant elle a fini par se poser pour me proposer autre chose. Avec ce sourire exquis, qui disait à présent: 'Je te donne du sexe comme aucune fille ne t'en a jamais donné avant et ne t'en donnera jamais...' et l'évidence que c'était effectivement le cas, elle a entrepris de contracter ses muscles vaginaux, de les serrer autour de ma queue, puis de les desserrer, pour une caresse inédite, qui a mêlé au plaisir la surprise. Elle m'a prodigué cette caresse un long moment...Quand elle s'est soulevée, libérant ma queue, ma verge était plus longue et plus dure qu'elle n'avait jamais été. Je me demandais où elle allait m'amener. Je l'ai compris dans les secondes qui ont suivi quand se redressant, elle est venue poser mon gland contre sa muqueuse anale. Elle s'est enfoncée sur ma queue avec souplesse, habituée, le contraire aurait été étonnant, à se faire prendre par le cul. Elle m'a avalé totalement, avant de se mettre à bouger sur moi. Un conduit plus serré, qui m'enserrait, me donnait du plaisir. Différents types de caresse, une sorte d'échantillonnage de ce qui pouvait être entre nous. En même temps, et ça m'a aussi énormément plu, c'est d'ailleurs peut-être même ça qui a déclenché ma jouissance, elle s'est masturbée, pour jouir elle aussi. Son sexe, sa chair répondant à ma question, disait clairement qu'elle éprouvait du plaisir, il était ouvert sur son intérieur, ses lèvres vraiment gorgées de sang, et un fin gland clitoridien dardant en haut de ses lèvres. Elle faisait tourner ses doigts sur elle, sur ses lèvres, sur son gland, ruisselant d'un jus très sirupeux. C'est cette vision, je crois qui m'a fait, enfin exploser et cracher des jets de semence copieux qui sont venus taper contre ses muqueuses anales.
On dit que beaucoup de courtisanes jouent, surjouent même le plaisir. Son corps a été agité de spasmes qui ont été déclenchés par chaque jaillissement de sperme. Sur les derniers, elle a craché des jets blancs, copieux, ça ressemblait à du sperme, mais il s'agissait plutôt de sécrétions féminines.
J'en avais eu pour mon argent, et plus que mon argent, sans aucun doute. Et ce n'était pas tout à fait fini, parce qu'elle a fait glisser le préservatif avec soin, et le souci de préserver le réservoir. Etirant le latex devant sa bouche, comme un ultime cadeau, elle a lapé soigneusement le sperme jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que de la salive sur la capote étirée.
Elle s'est éclipsée. Le temps de se refaire une beauté et de nettoyer ses cuisses couvertes de ses liquides intimes. Pour accueillir les autres queues qui se présenteraient dans la journée.
Mu par le désir de lui dire, maladroitement, merci, pour ce qu'elle venait de me donner, et que je n'attendais pas, j'ai extrait un billet de 20 euros qui me restait. Je pourrais retourner chercher de l'argent au distributeur. C'était maladroit, mais elle ne l'a pas mal pris.
— Si tu as envie de me revoir, tu sais où me trouver.
On a redescendu l'escalier pour se retrouver à l'extérieur, repartant chacun dans notre univers, elle vers ses copines, deux Asiatiques étaient arrivées, elles aussi sexy, tandis que moi je retournais au travail. Dans les temps, qui plus est.

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