Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Des Thaïlandaises pas comme les autres partie 2

Il s'entiche très vite de la jeune prostituée ultra douée qui lui fait connaitre le sexe comme il ne l'a jamais connu, même s'il a déjà eu pas mal de partenaires...Il revient vers elle aussi souvent qu'il le peut, une drogue pour lui.

Proposée le 21/03/2025 par jerome james b

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


Des Thaïlandaises pas comme les autres
PARTIE 2
J'avais connu, jusqu'à présent, des moments de plaisir très forts avec des partenaires très diverses, partenaires comme moments que je ne risquais pas d'oublier. Mais là, il y avait quelque de très particulier, qui m'a très vite aiguillonné et obsédé. J'avais envie de la retrouver très rapidement. L'argent n'était pas un problème, je gagnais bien ma vie. Je pouvais m'offrir des moments avec elle. Et c'était bien ce que j'avais envie de faire. J'avais la certitude absolue que chaque moment passé avec elle serait unique. Intense, et particulier. Comme rien de ce que j'avais pu connaître avant et rien de ce que je pourrais connaître après.
Le lendemain après-midi, je suis rentré d'une mission qui avait été plus courte que prévue. J'ai tapé mon rapport. Je suis passé au bureau du responsable. Je repartais le lendemain pour une mission de trois jours, libre pour le moment. J'avais le milieu et la fin de l'après-midi pour moi et pas forcément l'envie de rentrer chez moi.
Je suis reparti vers la gare. Je me doutais bien que la jeune femme, dont je ne connaissais même pas le nom, n'était pas forcément disponible. D'ailleurs, quand je suis arrivé, il n'y avait qu'une seule Asiatique, petite, moulée dans une combinaison en tissu, simple, mais qui mettait en valeurs ses charmes. Elle s'est approchée, voyant que je m'arrêtais. Elle s'était arrosée d'un parfum sans doute bon marché, mais qui était fleuri et agréable.
— Tu veux du sexe avec moi...Je sais faire pas mal de choses...
Et pour me montrer que c'était le cas, de manière symbolique, elle a fait bouger sa langue de gauche à droite. Suffisamment sans doute pour me donner envie, et n'importe quel homme s'en serait sans doute contenté, mais la petite brune de la veille avait à mes yeux un charme supplémentaire, celui de l'initiative. Raison pour laquelle je lui ai répondu:
— Je cherche une de tes copines...Mais je ne la vois pas...
Assez ironiquement, la vie est parfois bien faite, ladite copine arrivait au bout de l'avenue. J'ai éprouvé une étrange satisfaction à la voir. Aujourd'hui, elle portait une robe en lainage beige, extrêmement moulante, avec des cuissardes noires à talons aiguille. Il se dégageait d'elle quelque chose de sensuel, mais aussi de la vie, simplement.
Elle m'a reconnu et a avancé jusqu'à moi.
— J'ai envie de passer un moment avec toi, je lui ai dit. Et de l'argent pour financer ce moment.
Elle m'a souri.
— Pas de problème. Je suis libre. Au fait, je m'appelle Minh. Et ça, c'est Vong.
Elle s'est penchée pour susurrer quelque chose au creux de l'oreille de Vong. Celle-ci a souri, ce qui valait sans doute accord.
— Ca te dit de nous avoir toutes les deux pour la même somme que tu m'as donné l'autre jour?
Somme qui, il était vrai, correspondait au tarif de deux personnes. Mais oui, évidemment, ça me convenait parfaitement. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Au meilleur sans doute.
On a retrouvé l'immeuble, et l'appartement. La même chambre.
Mihn m'a jeté:
— Tu regardes d'abord, et ensuite tu viendras avec ta queue...
Les deux filles ont glissé sur le lit. Des mini-filles par la taille, mais grandes par leur habileté. Les hommes aiment voir les filles se donner mutuellement du plaisir. Je l'avais déjà constaté, me demandant si c'était aussi mon cas. Je n'avais pas forcément de réponse avant ce moment.
J'avais bien sûr souvent vu des clichés pornos, avec des filles qui faisaient l'amour. Avec un sentiment que c'était du chiqué. Là, dès les premières secondes, j'ai su que ce n'était pas le cas. Leurs sexes dilatés et dégoulinants le disaient clairement.
Il m'est resté autant de moments, comme des flashes, qui ont d'ailleurs duré plus ou moins longtemps, et qui resteraient en moi quand je jouerais avec ma queue, comme source d'inspiration et de jouissance.
Elles ont sorti l'une et l'autre leur langue de leur bouche, et elles l'ont frottée l'une contre l'autre. En prenant tout leur temps et faisant comme si elles étaient seules au monde. Jusqu'à ce que l'une après l'autre, elles fassent passer leurs robes par dessus leurs épaules. Ni l'une ni l'autre n'avait de slip, par contre elles avaient toutes les deux un soutien-gorge qui enveloppait leurs poitrines proches, rondes mais quand même menues, et puis il leur restait bottes pour l'une et cuissardes pour l'autre. Elles ont défait mutuellement leurs soutien-gorge et elles ont, l'une après l'autre, bouffé les tétons de leur complice, qui se sont durcis et étirés.
— Approche-toi sur le lit et montre nous ta queue.
C'est elles qui m'ont défait, mettant ma queue à nu, roide de désir...Elles se sont penché dessus l'une après l'autre. Frottant mon gland, ma tige, mes couilles de leur langue, pendant que l'autre continuait d'honorer les tétons à présent très durs.
Elles m'ont laissé en plan pour basculer sur un 69 classique qui m'a rempli les mirettes. Une en dessous, l'autre au-dessus, fouillant de la langue le sexe de sa partenaire avec avidité. Voulaient-elles me troubler, c'était le cas, mais aussi en profiter pour se donner du plaisir? Ou les deux? Leur langue était habile, comme sur moi, pour venir frotter le gland clitoridien, caresser les lèvres, se glisser dans la muqueuse, lubrifiée, et qui se lubrifiait encore plus.
J'avais parfaitement conscience qu'il fallait que je profite au maximum de tels moments, qui ne se renouvelleraient pas une fois que notre relation aurait été rompue.
Mihn, qui était en dessous, a tendu la main vers moi pour me masturber tout en continuant sa caresse buccale...Et à en subir une.
Je suis vraiment entré en scène quand, cassant le rythme de leur caresse mutuelle, elles se sont mises l'une et l'autre à quatre pattes devant moi et elles se sont offertes autant qu'on pouvait s'offrir. Leur cul ouvert sur leurs plissements anaux, leur sexe, entre leurs cuisses, gorgé de sang et dégoulinant de sécrétions...Elles se sont tournées vers moi, de concert, toutes souriantes, et elles m'ont dit:
— Viens nous baiser...Nos chattes et dans nos culs t'attendent...Fouille-nous bien, autant que tu peux le faire...
Il y a des propositions auxquelles on ne résiste pas. Je me suis gainé d'un préservatif et je suis venu me ficher dans l'une des vulves, chaude et humide, saisi par ce plaisir intense d'être dans le ventre d'une fille. Je l'ai fouillée, prenant mon plaisir, me demandant si elle en avait...La réponse tenait sans doute dans les jus, chauds, qui coulaient autour de ma queue et venaient poisser nos chairs. Vong se masturbait fébrilement, attendant que je vienne en elle, frottant son sexe, ses jus intimes ruisselant sur ses doigts...J'ai dégagé ma verge, la latex ruisselant de jets liquides ou plus épais qui s'y accrochaient...Et j'ai glissé dans l'autre vulve qui m'attendait, pour la fouiller comme j'avais fouillé la première. Laisser une fille, c'était donner du plaisir à l'autre, et se donner du plaisir, c'était aussi voir la délaissée se masturber fébrilement pour garder une constance le temps que je revienne.
Il y a eu ce moment, où Mihn m'a jeté:
— Encule-nous, on en a envie toutes les deux!
Et où je suis venu appuyer mon gland contre sa muqueuse anale. J'ai glissé dans le conduit serré. Certes, j'étais lubrifié par la cyprine qui recouvrait le latex, mais l'une comme l'autre avaient l'habitude de se faire sodomiser, ça rentrait facilement. J'ai été de l'une à l'autre. Elles s'embrassaient et se masturbaient mutuellement. Mihn a crié, crachant des jets de cyprine dans les draps. J'ai dégagé le latex souillé de sur ma queue, et j'ai fait quelques mouvements de va-et-vient sur ma trique, pour commencer à cracher ma semence sur les fesses de Vong, avant de venir sur celles de Mihn. Vong s'est fiché trois doigts en elle, se pistonnant pour jouir, éjaculant elle aussi, et enfin.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Des Thaïlandaises pas comme les autres partie 4
Des Thaïlandaises pas comme les autres partie 3
Des Thaïlandaises pas comme les autres partie 1
Une femme pas comme les autres (1ere partie(
Une femme pas comme les autres (2eme et dernière partie)