Délire amoureux 1

Lise, en quête d'achats, est séduite par le jeune vendeur, ils sympathisent, puis l'homme qui pourrait être son fils l'invite à prendre un verre, car il a terminé son service. Lise accepte et les tout change, les deux s'éprennent l'un de l'autre et s'avouent leur amour.

Proposée le 27/01/2023 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Fantasme

Lise, femme mûre de 45 ans, délaisse son mari, Gorges, pour faire du lèche-vitrine, elle remarque une jupe magnifique dans la vitrine d'un magasin. Elle entre, et cherche sa taille parmi les robes qu'elle envie, elle ne la trouve pas. La voyant dans la détresse, un jeune vendeur s'approche et lui propose ses services. Lise est scotchée par le regard du vendeur. Elle reste un moment sans voix puis lui dit exactement ce qu'elle cherche. Le jeune fronce les sourcils et dit en souriant :

-Je pense qu'il en reste dans la réserve, je vais voir madame !

Il revient en tenant en main deux jupes, il en donne une à Lise, elle s'engouffre dans la cabine d'essayage. Mais cela ne va pas comme elle veux. Elle tire le rideau de la cabine, elle passe la tête et interpelle le vendeur. Il se retourne, lui fait un gros sourire, il écarquille et aperçoit par le bâillement de la porte entre ouverte le bas ventre de Lise que seule une petite culotte cache. Elle le regarde en souriant, en tendant la main pour qu'il lui passe l'autre jupe. Les regards se croisent, ils sont intenses. Les mains se frôlent, Lise semble recevoir une décharge électrique au contacte de la douceur des doigts sur les siens. Le trouble s'installe en elle, ce jeune homme la perturbe tellement, qu'il fait monter en elle l'adrénaline. Elle cherche ses mots, mais reste muette devant le jeune homme souriant. Elle enfile la jupe, ouvre le rideau et en s'adressant au jeune vendeur, elle lui demande en faisant la moue :

-Elle me va bien ?

L'homme lui répond en faisant un large sourire :

-Elle est faite pour vous madame, vous êtes ravissante !

Le compliment fait rougir Lise qui le remercie pour sa gentillesse. Le jeune homme dit :

-Puisque vous êtes très jolie, je vous invite à prendre un verre, je fini mon service dans un petit quelques minutes !

Surprise par cette invitation inattendue, Lise reste sans voix un court instant puis répond :

-Eh bien, j'accepte jeune homme avec plaisir !

Rapidement le jeune homme rejoint Lise, les deux, entrent dans un café et prennent place à une table un peu retirée. Ils passe la commande. En attendant les verres, les deux papotent. En tendant la main, le jeune homme lui dit en souriant :

-Je me présente Ludovic, Ludo pour les intimes !

Lise lui prend la main et donne son nom. Ludovic à beaucoup de mal à lâcher la main de Lise, qui dit en riant :

-Elle est à moi, vous pouvez la lâcher !

Il sursaute et répond :

-Oh, excusez-moi, vous me troublez tellement que j'en perd les pédales !

Lise éclate de rire, en dévisageant Ludovic, qu'elle trouve charmant. La discussion est diverse. Petit à petit, Ludovic se dévoile. Il donne son âge, 22 ans, il est célibataire, et ajoute qu'il vient d'emménager dans la ville il y a peu de temps. Il est très taquin, surtout flatteur, Lise boit les paroles en rêvant. Quelque chose se passe dans son corps, elle ressent une forte attirance vers ce jeune homme qui pourrait être son fils. Ludovic ressent la même chose, car il la regarde amoureusement.

En prenant son verre, Ludovic volontairement caresse la main de Lise, qui frémit en rougissant. Ses yeux brillent, elle est très émue. Une étrange sensation l'envahit, elle est troublée. En reposant son verre, Ludovic lui prend la main et l'embrasse plusieurs fois en répétant :

Je vous trouve désirable Lise, j'ai comme un coup de foudre, je ressent pour vous une attirance incontrôlable que je ne peux m'expliquer !

La main de Lise tremble dans celle de Ludovic, ses grands yeux s'illuminent en s'humidifiant. Elle frissonne sous les aveux flatteurs, son cœur bat fortement dans sa poitrine. Elle aussi ressent une chose étrange qui, lui noue l'estomac. Ludovic déplie les doigts de Lise et les porte à sa bouche. Avec douceur, il les suce un à un. Lise fond, elle respire difficilement, elle ne quitte pas des yeux Ludovic, qui se penche et lui murmure à l'oreille :

-Je t'aime Lise depuis que je t'ai vu !

Lise semble foudroyée par cet aveu, elle bègue :

-Mon Dieu, ce n'est pas possible, je pourrais être ta maman !

Ses yeux s'emplissent de larmes, elle se lève et se dirige rapidement vers les lavabos. Ludovic la rejoint, elle est devant le miroir, elle s'essuie les yeux. Il se plaque contre elle et la serre très sensiblement contre lui. Elle éclate en sanglots et dit :

-Mon Dieu, mais qu'est que j'ai fait pour mériter cela, tu me perturbes Ludovic, je crois, que je deviens folle !

Il la retourne pour qu'elle lui fasse face. Il la regarde droit dans les yeux et lui demande :

-Si tu ressens quelque chose pour moi, dis -le ?

Ses sanglots redoublent, elle se tient la tête et dit entre deux souffles :

-Oui, oui, moi aussi, je ressens quelques chose d'inavouable, j'ai honte de moi !

Ludovic lui relève le menton et dépose sur ses yeux humide plusieurs baisers. Elle se jette dans ses bras et dit :

-Restons en là, tu veux bien, je suis bien trop âgée pour toi !

Pour toutes réponses, il dépose un baiser bruyant sur ses lèvres chaudes. Avec un geste de recul et ajoute :

-Cesse de me perturber, j'ai trop mal !

Il dépose un autre baiser et répond :

-C'est le mal d'amour ma chérie, oh si tu m'aimes comme je t'aime, je veux te l'entendre dire !

Elle répète plusieurs fois, agacée :

-Oui, oui, je t'aime gros bêta, voila, tu es content, je veux rentrer chez moi maintenant ?

Il lui sourit et dit tendrement :

- Je te raccompagne, j'ai ma voiture sur le parking !

En reniflant, Lise accepte, car elle habite à la sortie de la ville et c'est assez loin. Elle entre dans le véhicule, ils se regardent un long moment sans se dire un mot. Il pose sa main sur sa cuisse et la caresse doucement. Lise se met à frémir, elle pose sa main sur la sienne et dit :

-Non, non, ne me persécute pas, c'est déjà assez dur pour moi !

Elle lui presse fortement la main, en la lâchant. Le coquin amoureux la glisse sous la jupe et la monte le plus qu'il peut. Ses doigts butent contre l'aine;il tapote du bout des doigts le fin tissu de la culotte. Elle souffle comme un animal en disant :

-Tu es fou mon chéri, arrêtes je t'en prie !

Au mot chéri, Ludovic se met à frémir, il lui dit :

- Allons chez moi mon amour !

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Commentaires de l'histoire :

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