Delire pipi improvisé

Une bande de potes profite tranquillement d'une soirée barbecue apéro. Au cours de la soirée, un concours de pipi est proposé, les choses vont se gater, surtout pour une fille timide...

Proposée le 11/07/2022 par Benuro

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Toilettes
Type: Fantasme

J’étais invitée à une fête en petit comité avec des potes. Nous nous connaissions depuis notre adolescence. Pour l’occasion, ils avaient louée une chouette villa, avec piscine et grands espaces verts. C’était l’été passé, lors des grandes chaleurs. Nous profitions, après une après-midi baignade, de la soirée plus fraiche pour prendre l’apéro dehors après avoir mangé un bon barbecue.

Nous étions une équipe de 5 personnes, il y avait 2 mecs : marc et julien, 2 filles : Sophie et Melissa, ainsi que moi-même (Carine). Nous avions tous entre 21 et 24 ans.

Sophie avait des formes, elle n’était pas grosse, mais avait des formes là où il fallait. Ses seins volumineux ressortaient bien de par son ventre relativement plat, et ses fesses avaient une belle forme bien ronde, un peu plus grosses que ses cuisses. Comme nous le savions tous, elle plaisait particulièrement à Julien. Nous ne manquions d’ailleurs pas de le taquiner gentiment à ce propos.

Melissa quant à elle, était plutôt mince, avec peu de forme, mais des petits seins biens ronds qui se tenaient bien sans qu’elle ait besoin de porter un soutien-gorge. Je trouvais qu’ils avaient l’air d’avoir une bonne « prise en main ». Elle n’avait pas beaucoup de fesses, mais celles-ci étaient fines et gracieuses.

Moi, eh bien, que dire… je ne peux pas me plaindre du mon 85B qui est plutôt à mi-chemin entre le bonnet B et C. je trouvais qu’il était plutôt agréable d’avoir le choix de les dissimuler selon les situations et mes humeurs, ou au contraire d’avoir quelque chose à mettre en valeur lorsque l’envie m’en prend.

Quant aux garçons, ils étaient plutôt mignons, julien avait une musculature bien dessinée.
Lorsqu’il est sorti de l’eau, après la baignade, j’avais pu remarquer que les formes de son pénis étaient un peu visibles à travers son boxer de bain. Il regardait droit devant, comme si il n’était pas suffisamment long pour retomber. Bien que pas forcément bien gros, cette vision ne m’a pas laissé indifférente.

Marc, lui, passait plus inaperçu. Il était assez mince également, mais avec moins de muscles et son caleçon de bain, plus ample ne laissait pas apparaitre grand-chose, à ma déception.

Lors que nous étions plus isolées entre filles, nous en avons parlé. Melissa, légèrement cochonne, nous a lancé « vous avez vu la bosse de julien ?, on dirait que sa bite est toute droite, je pensais que les mecs la mettait vers le bas». « Ou alors elle est toute rétrécie à cause de l’eau » lança Sophie, qui n’était pas non plus en reste.

Les garçons nous ont surement vu pouffer de rire sans comprendre pourquoi, mais qu’importe, nous savions qu’entre eux, les discussions ne volaient guère plus haut.

La soirée était maintenant bien lancée, tout le monde discutait et rigolait. Toutes ces boisons commençaient à me donner envie de me soulager. Je me disais que je ne tarderais pas à devoir faire pipi mais, étant de nature timide, je ne dis rien. J’étais loin de me douter de ce qui m’attendait. Tout continuait à suivre son cours. Sophie nous fait part de son besoin de pisser qui se faisait de plus en plus présent. Les garçons ont également dit qu’il en était gentiment de même pour eux.

Peu après, Mélissa se lève en nous informant de son intention de se diriger vers les toilettes. Sophie lance en plaisantant « on pourrait tous y aller », tout le monde s’est d’abord mis à rire, mais personne n’était contre. Je compris rapidement que derrière son ton de plaisanterie se cachait une proposition qu’elle n’osait pas assumer seule.
Un mouvement général commençait à se mettre en place…

Nous nous dirigions vers la salle de bains, qui était spacieuse, avec un écoulement pour la douche, comme si la salle de bains toute entière composait le bac de douche. Cela nous paraissait bien pratique pour le nettoyage qui allait s’en suivre.
L’idée nous est donc venue de ramener les chaises de jardin en plastiques, facilement lavable elles aussi.
J’étais en même temps stressée et excitée par ce qui se préparait et profite de la situation mouvementée pour me confier discrètement aux autres filles, en leur expliquant que mon envie de pisser importante, qui commençais d’ailleurs à me faire dandiner légèrement, risquait d’être difficile à soulager devant tout le monde.
Celles-ci me rassurent en me disant que pour elle aussi, le stress est bien présent, mais que nous sommes finalement tous à la même.

Une fois les chaises disposées en cercle autour de l’écoulement, le moment était venu de tomber les maillots de bains. Tout le monde s’observe, ne voulant pas être nu en premier. C’est alors que julien, qui nous avait expliqué avoir déjà eu quelques expériences de naturisme, enlève complétement son maillot.
Avec les deux autres filles, nous avons explosé de rire. Son pénis était comme nous avions pu le voir à travers son boxer de bain, bien qu’au repos, il était droit, et ne retombait pas, semblant ainsi nous observer. Son prépuce tout fripé nous a amusés.

« Bon, ça va être votre tour » lança-t-il joyeusement. Nous décidâmes de compter jusqu’à 3, puis de nous exécuter. Nous étions maintenant tous à poil, personne n’osait vraiment se regarder, n’assumant pas de mater.

C’est alors que julien nous fait part de son importante envie de faire pipi. Melissa suggère qu’il pisse sans les mains, ce qui semblait amuser tout le monde, c’est alors qu’il se plaça devant la grille. Après quelques secondes, il commença à se soulager. Son jet assez fort était dévié par son prépuce, ce qui nous faisait bien rire. Melissa commente alors « on dirait un jet de femme !». Éclatement de rires général. Je compris alors que la vue de ce jet anarchique semblait beaucoup l’exciter, raison de cette suggestion de sa part.

En tant que fille, je ne pus m’empêcher de constater que le pénis de marc était plus pendant que celui de julien, il était plus long, semblais plus lourd et se balançait un peu à chacun de ces mouvements.
Je remarquai que le pénis de Julien, qui semblait d’abord tout rétréci, ressemblait maintenant à celui de marc. « Mmmhhh » me dis-je intérieurement « une érection commencerait à se développer ?». Décidée à ne pas rater un tel spectacle, il fallait absolument que je trouve un moyen de l’exciter. Comme nous le savions tous, Sophie plaisait à Julien. Je devais donc faire en sorte qu’il la regarde. C’est alors que j’eu une idée : « Qu’est-ce qu’ils ont tes seins ? » lançais-je à Sophie, qui, un peu gênée me demande : « ben quoi ? ». Gagné, tous les regards étaient maintenant posés sur sa poitrine. Ne sachant pas quoi lui répondre, je me suis contentée de lui dire que je trouvais ses tétons bizarres.

Le pénis de julien commençait à prendre de l’ampleur et surtout à se redresser progressivement. Celui de Marc était un peu gonflé, mais il se maitrisait encore à peu près. Bien que droit, il regardait encore vers le bas.

Je dois avouer que les gros seins de Sophie et surtout sa gêne face à tous ces regards m’excitait vraiment beaucoup, tout comme la montée de julien que je trouvais vraiment magnifique, bien que semblant stagner à l’horizontale depuis un moment.
N’allant pas me contenté d’un demi spectacle, je me décide à exciter Julien jusqu’au bout. C’est alors que, dans un élan d’excitation, je sors sans réfléchir un « regardez Julien, je crois que les gros seins de Sophie sont à son goût ». Tous les regards qui étaient jusqu’alors dirigés sur sa poitrine se sont maintenant tournés sur l’entrejambe de Julien, pour le plus grand soulagement de Sophie, qui semblait plus sereine sans tous ces yeux fixés sur elle.
Le pénis de julien, qui semblait un peu gêné, continuait sa montée et avait largement dépassé l’horizontale. Melissa était stupéfaite de la grande différence de taille par rapport à ce qu’elle voyait il n’y a seulement que quelques minutes, ce qu’elle ne manqua pas de faire remarquer. La gêne de Julien sembla maintenant se transformer progressivement en excitation. Son prépuce était en train de s’ouvrir telle une fleur, ce qui nous laissait voir son gland que, personnellement, je trouvais magnifique. J’étais contente de ma réussite et d’avoir eu ce beau spectacle.

D’abord Sophie, et maintenant Julien, je me trouvais moi-même presque méchante et vicieuse de mettre les gens aussi mal à l’aise. Le pire étant que ces situations de gêne m’excitent énormément.
Cela me permettait en plus d’éviter que les regards soient trop tournés vers moi.

Sophie, dans un esprit de vengeance que je qualifierais d’amical me dit (en faisant en sorte que tout le monde entende) : « dis-voir Carine, tu n’avais pas un important besoin de pisser ?». J’étais à présent démasquée, je savais que toutes ces manigances ayant pour but de diriger les regards sur les autres allaient me revenir en plein visage.

« Heu, oui un peu, murmurais-je timidement », alors que je savais bien que les filles m’avaient vu dandiner tant mon besoin grandissait.
Tout le monde me fit bien comprendre que la seule possibilité de me soulager était là tout de suite, devant eux.
Je pris place, comme tout le monde, sur une des chaises et me mis en position, assise au bord de ma chaise, dos penché vers l’arrière en écartant les cuisses et mes lèvres. Tout le monde regardait attentivement mon anatomie. Je comprenais alors ce que Sophie et julien avaient enduré lorsque tous les regards étaient sur eux. Je commence à rire nerveusement.
Mon besoin de pisser, toujours bien présent, était bloqué par tous ces yeux me fixant l’entrecuisse.
« Tu pisses ou tu nous montre ton minou ? » lança Sophie. « Ça ne vient pas » répondis-je ». Sophie, qui avait maintenant largement obtenu vengeance, était redevenue sympa et aidante. Elle venait maintenant me susurrer un « ssssss » vers mon oreille et avais gentiment demandé aux autre de détourner les regards, le temps que je me débloque. Je ne sais pas si cela m’aidais ou me gênais mais cela m’apaisait. C’est alors que j’avais l’impression de sentir venir l’urine et l’annonça : « je crois que ça va venir ». Peu après, je laissais échapper une giclée suivie de quelques autres, cela au prix d’importants efforts de contractions de ma vessie. Mon annonce ayant attiré le regard sur moi, ça rebloquait malgré que mon besoin commençait à me faire un peu mal.

Nous décidions donc continuer l’apéro tranquillement afin de penser à autre chose. Mélissa, voulant m’aider à me détendre se mis à pisser sans prévenir afin de distraire tout le monde. Ce qui amusa tout le monde. Marc était maintenant lui aussi en érection totale, comme Julien.

Je sens de nouveau le pipi qui arrive progressivement mais décide cette fois de ne rien dire et de rester assise normalement, comme si de rien n’était. Je sentais que ça allait être imminent. Au bout de quelques secondes je commence à pisser en douceur, essayant de ne pas trop me faire remarquer, de peur de rebloquer. Mais mon besoin étant si important, je perdis très vite la maitrise de ma vessie « tant pis » me suis-je dit intérieurement.
Le jet devin vite puissant. Un « PSSHHH » se fit entendre, ce qui excita tout le monde, en particulier les 2 mecs. Afin de bien profiter du spectacle, Sophie et Mélissa sont venues m’écarter les cuisses.
Je ne pouvais rien faire d’autre que me laisser aller, mon jet devait gicler à au moins 2 mètres et durer bonne minute. Une fois terminé, je me sentais tellement bien et détendue.

Marc et Sophie n’avaient pas encore pissé, nous leur avons tous demandé si ils avaient besoin et les 2 répondirent que oui. L’idée nous vint alors de les faire pisser simultanément. Sophie regarda le pénis de Marc et commenta en rigolant : « si tu te mets en face de moi je serai trempée ».
En disant ça, elle pointait du doigt son pénis dressé en sa direction qui était tout gonflé et dont la forme du gland était bien visible sous le prépuce. Son commentaire semblait beaucoup l’exciter, c’est en tout cas ce qu’on pouvait voir de son pénis qui se raidissait de plus belle.

Tous 2 se mirent en place, l’un en face de l’autre, prêts à ouvrir les vannes. Marc bandais tellement fort qu’il n’arrivait pas à pisser, voyant cela, Sophie, dont les gros seins ne faisaient rien pour l’aider, décida de l’attendre avant de se lâcher. Marc essayais de pousser mais rien n’y fis, le seul petit début de jet qu’il a péniblement réussi à expulser n’a fait que de couler les long de son pénis pour s’arrêter sous ses testicules tout resserré par l’excitation. « Je sens que ma vessie est pourtant bien pleine » nous confia-t-il.
Au bout d’un moment Sophie pensa qu’il serait une bonne idée de lui retrousser le gland en nous tenant une théorie foireuse comme quoi, vu que les hommes sortent habituellement le gland pour pisser, cela pourrais envoyer un signal au corps que c’est le moment de pisser. Tout en disant cela, elle tendit la main en direction du pénis de marc et saisis sa hampe entre son pouce et son index. D’un geste délicat et lent, elle fit coulisser son prépuce. Evidemment, tout le monde ne regardait que ça. Le contact des doigts de Sophie en était trop pour Marc, dont la respiration était plus forte qu’avant.
Nous avons vu son pénis de contracter davantage, en plus des gémissements qu’il essayait visiblement de contenir, nous avons tout de suite compris que marc allais entrer en plein orgasme, ce qui ne tarda pas.
C’est alors que marc perdit le contrôle de ses gémissements et devins bruyant, une grosse et puissante giclée arriva, suivie d’une deuxième, puis d’une troisième plus petite, suivies d’encore 2 autres. Il était maintenant en train de reprendre ses esprits, affalé sur sa chaise, cuisses encore grandes ouvertes, son sexe était en train de revenir au repos. « on irait que tu vas enfin pouvoir pisser » sorta Melissa, impatiente d’assister au spectacle,. « je peux te la tenir ?, y pas que Sophie qui a le droit de toucher » dit-elle en rigolant.
Elle vint s’asseoir à coté de marc et lui tenais la bite entre le pouce et l’indexe, comme si c’était la sienne.
Marc ne se fit pas prier pour vider sa vessie toute tendue, il lachat un puissant jet, Melissa s’amusais à diriger le jet partout et arroser tout le monde. Sophie qui n’avait pas encore pissé et qui semblait commencer à se tortiller, se cambra en arrière en levant ses cuisses, et pissa en meme temps qui lui. Ne pouvant que difficilement diriger son jet de par son anatomie, Marc, assis en face, se repris les premières gouttes, mais très vite, son jet devin tellement puissant qu’il passa par-dessus marc, telle une voute au-dessus de sa tête, tout le monde hallucinait sur son jet démesuré.

Lorsque tout le monde eu pissé, il était venu le moment de nettoyer et surtout, de se doucher. Nous commençons à doucher toute la salle de bain, puis nous nous sommes tous douchés en même temps, nous passant la douche à tour de rôle.

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