Délire amoureux 5

Ludovic est devant le mari de Lise, les deux hommes se regardent sans se dire un mot, c'est le mari cocu qui entame la conversation, il dit : -Voilà l'homme qui a volé la moitié du cœur de ma femme, qu'est qu'il a à me dire le jeune homme pour ce justifier !

Proposée le 30/01/2023 par valeriane

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Le mari consentant entraine sa femme, vers un long siège qui ressemble à un banc très bien matelassé, ou les deux faisaient l'amour souvent dessus. Lise s'étend sur le siège, mécaniquement, elle écarte les cuisses. Ludovic s'agenouille devant elle, ses yeux ne quitte pas le fruit qu'il aime tellement. Il tend les mains, ses doigts caressent la fente puis écartent les grandes lèvres, pour faire sortir de son étui la boule de tous les plaisirs, il passe ses pouces avec délicatesse sur la boule de chair, qui commence rapidement à grossir. Il avance sa tête et l'aspire, la succion fait cabrer Lise qui pousse un petit cri. Le bougre la suce, la tète avec détermination.

Le mari, bafoué, sort sa verge, il bande aussi le coquin. Il masse en profondeur les seins de sa femme, il sait qu'elle adore ça. Lise geint de plus en plus fort, la langue de son amant pénètre profondément dans son vagin dégoulinant de cyprine, et en fouille chaque recoin. Pendant que son mari roule entre ses doigts les mamelons qui se dressent au centre des aréoles brunes fortement grenelées. Les bouts, triturés, deviennent de plus en plus durs et épais. Lise, soumise consentante, agite son bassin en gémissant de plaisir. Ludovic reprend en bouche la boule magique, il connais bien sa maitresse et sait ce qu'elle veut.

Les succions sur son clito et sur ses mamelons sont extraordinaires, Lise grogne comme une bête malade. Elle ne peut résister longtemps à un tel traitement. Elle se cambre sensiblement et jouit en hurlant de plaisir. Elle gicle sur le visage de son jeune amant qui tente d'avaler le plus de jus possible, le coquin en est friand. Il se redresse, place son glaive, raide, contre la fente noyée et le plante jusqu'à la garde dans le ventre de son amante, qui pousse un râle de bonheur. Son mari en profite pour offrir aux lèvres charnues de sa femme, son gland large et épais. Comme une affamée, elle ouvre la bouche et l'engloutit profondément dans sa gorge. Elle suce avec amour la verge qu'elle a déjà tant sucée.

Ludovic fait coulisser sa verge large au gland bien développé contre les parois sensibles du vagin. Cela provoque chez Lise des contractions des muscles vaginaux, si puissants et si délicieux qu'elle se tend comme un arc et jouit abondamment. Son mari l'encourage en lui murmurant tout en lui massant les seins :

-Jouis chéri, jouit, ne te retient pas, prend le plus de plaisir que tu peux !

Ludovic ne la ménage pas, il lui pilonne le ventre avec ardeur, Lise gémit de plus belle, elle ne peut que jouir une nouvelle fois sous les assauts répétés de son jeune amant. Elle reprend le gland qu'elle avait recrachée, et le suce avidement, jusqu'à ce qu'elle reçoive le jus qu'elle adore avaler, plusieurs giclées lui remplissent la gorge. Elle déglutit bruyamment et finit par avaler les décharges. Elle suce encore un peu la verge gluante avant que son mari, lui en prive. Ludovic s'acharne, il ne veut pas décevoir son amour surtout devant son mari. Il donne des coups de reins violents, en répétant inconsciemment :
-Tiens, tiens salope, prends ça !

Cela fait sourire le mari qui hoche la tête. Ludovic se bloque, et envoie au plus profond du ventre de Lise son sperme brulant. Enfin, le bougre, un peu essoufflé, se retire du ventre si accueillant de son amour. Son mari demande à Lise :

-Chevauche-le, mon amour, fais-toi, plaisir !

Lise descend du banc, elle demande à Ludovic de s'allonger sur le sol. Heureux le coquin obtempère. Elle l'enjambe, saisit d'une main sa verge gluante et s'empale dessus en poussant un gémissement de plaisir. Elle s'agite avec frénésie, sur l'épieu qui l'empale à fond. Son mari la plaque contre son jeune amant, Lise se cambre, elle sait ce que cherche son mari. Il lui crache sur l'anus et place contre la petite porte de service son gland volumineux. Il saisit son amour par les hanches et pousse. Bien qu'habituée à être pris de la sorte, Lise grimace, l'introduction est toujours douloureuse pour elle. Les deux baiseurs la démontent comme des soudards. Pour Lise, c'est sa première, double pénétration. Les membres voyagent en elle avec rapidité. Elle jouit tellement de fois qu'elle ne sait plus si c'est du cul au de la chatte qu'elle jouit. Les deux hommes la défoncent comme des forcenés, les coups de bélier sont violents, mais très efficaces, Lise jouit comme une malade, son corps est pris de tremblement. Elle s'accroche à Ludovic comme elle peut, ses râles sont impressionnants. Enfin, les deux baiseurs lui remplissent les entrailles avec leur semence brulante. Son mari se retire du rectum, Lise se laisse tomber sur le côté, elle halète fortement, ses yeux sont révulsés, sa respiration est rapide.

Elle est au bord du coma, petit à petit, elle récupère, ses yeux brillent de mille feux. Elle parvint à dire entre deux souffles :

Mon Dieu mes chéris, c'était fabuleux, jamais, j'ai joui aussi fort, oh comme je vous aime mes amours !

Après une douche rapide, le mari complaisant propose à son rival, de diner avec eux et de passer la nuit là. Car il sent que sa femme aura encore besoin de leur service. Les deux hommes savent que Lise est friande de sexe. Ravit de la bonne résolution de son mari, Lise embrasse les deux hommes fougueusement. Depuis ce jour fantastique, il forme un trio que rien ne peut séparer.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email