Un rendez-vous non sans conséquence pour un service de plus à rendre par notre jeune aventureuse qui qui ne manque pas de courage. Mais elle ne s’attendait pas à ce qui allait se passer entre quatre murs ce jour-là !
Proposée le 26/12/2022 par maximilien7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman
Je venais de recevoir un sms, ‘’rendez-vous, 18.30 hrs adresse convenue’’ ! Alors je m’y rendais comme prévue, Sylvie m’avait prévenue plusieurs fois, cette pratique n’est pas sans conséquence, disait-elle et ça faisait des mois que nous dérivions elle et moi, vers des horizons de plus en plus extrêmes. Je suis curieuse par nature, ors ce que nous faisons entre nous avait trouvé son apogée, nous avions examiné les recoins les plus intimes de nos consciences. Lorsqu’on me proposa de franchir une étape de plus dans nos relations, je n’hésitais donc pas et acceptais de m’y plier sans contrepartie.
À 18.30 hrs précise je sonnais sous le grand porche d’une maison cossue, et on me reçut assez froidement, peut-être cela, faisait-il partie de la mise en condition, ou à l’établissement d’une ambiance destinée à m’inquiéter ? Quoi qu’il en soit, je l’étais déjà, Sylvie était là, sapée d’une courte robe, ses cheveux ambrés retombant sur ses épaules, le col du chemisier décolleté laissant comme il se doit, apparaître ses seins aux contours attrayants. Je les avais goûtés souvent ses belles poires rosées, je les avais mordus et pelotés à m’en rendre dingue. Elle s’avança, me débarrassa de mon manteau puis elle m’alloua un sourire accompagné d’un baisé furtif dans le cou, ses senteurs de parfum floral m’enivraient une fois de plus, elle me prit par la main et je la suivis le long d’un interminable couloir qui donnait sur une pièce de quelques mètres carrés, très richement meublée, malgré des tapisseries et des luminaires aux décors datés, les propriétaires disposaient apparemment d’une certaine aisance.
On m’attendait là, visiblement très curieux de me découvrir. C’est un couple d’un certain âge qui vint m’embrasser chacun à son tour, la femme plus intimiste me gratifia d’un frôlement sur les bras et d’un baiser furtif sur la joue. Elle était jolie, plus grande que moi, ses cheveux bouclés et des yeux gris obligeaient à une certaine réserve pour une fille de mon âge. L’homme se débarrassait de son veston et de sa cravate en le jetant négligemment sur l’accoudoir d’un fauteuil, il m’octroya un œil curieux en s’appuyant visiblement sur ma constitution générale. J’étais apparemment l’objet sexuel idéal qu’on venait lui présenter et déjà, sa femme tournait autour de moi, palpant mes fesses et se jouant des courbes de ma taille, comme si elle voulait en évaluer les proportions.
Sylvie semblait émue de me voir ainsi instrumentalisée, mais ça faisait partie de l’accord, alors je m’y pliais comme convenu. Les premiers instants de cette rencontre me semblaient être un round d’observation. Lui, s’est assis dans le fauteuil, elle, se voyant offrir ma personne, débuta un effeuillement empreint d’une douceur bien féminine. Bouton après bouton, elle jouait de ses doigts et pénétra mon bustier, caressant mes seins au fur et à mesure de leur découverte.
Moi, je m’abandonnais à ses caresses avec résignation, montant en température à chaque geste qu’elle faisait pour me dénuder, on cherchait visiblement à combler des sentiments quelque peu altérés, l’odorat, la fragrance des parfums et les goûts divers et variés que vous offrent, les peaux suaves d’un corps plus jeune que le vôtre. Cette belle femme dégageait une chaleur presque maternelle en ouvrant une par une les agrafes de ma robe, puis, elle la retira comme elle l’aurait fait pour une jeune vierge dont elle se sentirait responsable. Lui, venait de se débarrasser de son pantalon, puis sa chemise virevolta par-dessus le meuble d’à côté, l’homme bedonnant avait un sexe joufflu, qui rapidement changea de constitution, on aurait dit une sorte de doigt d’honneur prêt à me harponner.
Entre mes cuisses, la source coutumière due à mes émotions, m’informa instamment de mon état mental et physique qui évoluait rapidement. La femme très patiente se consacrait avec beaucoup de plaisir à mes mamelons, pinçant et triturant goulûment les bouts bruns, suçant et tétant pour assouvir une sorte de boulimie puérile, tout en attendant une réaction de ma part. Je restais stoïque, imperturbable, ne voulant pas me rendre aussi facilement et j’avais, c’est le moins qu’on puisse dire, acquis une certaine expérience dans les bras de Sylvie qui ne manquait pas de ressources.
Elle s’est mise à genoux pour retirer mes chaussures, puis ce fut le tour de mes bas qu’elle faisait rouler avec le geste naturel d’un savoir-faire bien féminin, puis elle porta toute son attention à mes jambes, ses lèvres étaient douces et quelques fois plus agressives quand elles cherchaient un endroit plus délicat, plus sensuel à goûter ou à mordre. Sa tête disparut entre mes cuisses et créait naturellement la stimulation mentale nécessaire pour l’homme avachi dans son fauteuil, dans sa main reluisait le phallus couronné de ses petites auréoles libidineuses, alors au son gélatineux de sa masturbation, je perdis moi aussi ma liberté de penser. La sensation des doigts chauds de la femme sur la peau de mon bas-ventre, l’élastique qui résiste puis qui se détend, le slip qui s’immisce entre les lèvres de ma chatte quand elle tire dessus, et cette prise de pouvoir sur moi. Oui, j’aimais me laisser aller et ressentir ses mains qui jouaient de mon corps et elle savait, je le voyais dans ses yeux bruns, que je lui appartenais et que je me plierais entièrement à sa volonté.
Puis doucement presque cérémonieusement elle tira la fine lingerie vers le bas, dégageant mon ventre, l’œil rivé sur mon sexe et sa touffe de poils, stupéfaite d’accéder à ce que j’avais de plus intime sans que je ne puisse m’y opposer. J’ai toujours aimé cette sensation d’une lingerie qui glisse le long de mes jambes, car dans mon esprit, se libère aussitôt la pensée d’une étape qu’on vient de franchir, l’ultime frontière qui permette à une femme de garder sa pudeur. En étant ainsi livrée aux regards aventureux et aux mains indiscrètes, on abandonne sa candeur, et à chaque fois, consciente de cette exhibition qu’on m’impose, j’en frissonne d’un réel plaisir.
Elle découvrit entre mes jambes les fruits de ma passion, et sur ses doigts la sirupeuse preuve de mes sentiments se dévoilait sans que je ne puisse m’en cacher. C’est le résultat d’un désir pur que j’avais tant de fois provoquée en masturbant mes parties génitales de longues, très longues minutes. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle me délaisse pour rejoindre l’homme gémissant, ni à la voir saisir son galant pour l’avaler entièrement comme on se régale d’un fruit mûr. Elle savait faire, l’homme se tortillait et se débattait comme une misérable larve, un insecte qu’on chercherait à déguster pas son milieu, elle fit une pause pour se déshabiller et quand elle reprit ses attaques sur le pénis rétif, s’en était trop. Il fallait que je laisse mes doigts jouer sur mon clitoris qui sortait de sa cachette, c’est un bonheur toujours renouvelé, toujours aussi inimitable, un bonheur qui touche à l’âme comme l’abeille butine le pistil d’une fleur.
Je le vis sursauter comme une puce, le fier chevalier, dans les mains de sa femme obéissante, son bout rougit frétillait et s’agitait, on aurait dit un poisson rouge sortit de son bocal, alors sentant arriver la fin du suspense, il cessa de se battre pendant que jaillit un jet laiteux, long et puissant. Il se répandit abondamment, je regardais la manne blanchâtre s’étendre sur le ventre rond, il avait de même aspergé les seins de sa femme alors un peu folle, sa muse reprit le mouvement, en le consolant de ses pleurnicheries de gosse maltraité.
Cette vue provoqua instamment un premier orgasme qui me fit tressaillir et debout dans une sorte d’abandon la cyprine furtive et chaude fila hors de moi, doucement elle suintait, lascive, visqueuse. Je ne tentais rien, car la nature sait faire ce qui lui incombe, irrémédiablement, elle prépare les femmes à recevoir le membre d’un mâle en rut, alors j’attendais qu’on veuille bien s’occuper de moi et ce fut encore plus excitant de me trouver là, à regarder s’accomplir devant moi des actes pornographiques d’une autre époque et persécutée d’une envie sexuelle que je ne contrôlais plus qu’avec beaucoup de peine.
Je devenais soudain l’objet de toutes leurs attentions, ils s’étaient levé pour s’approcher de moi, les regards désireux de prendre ce qui leur avait été promis, l’homme, visiblement, était au repos et je ne m’inquiétais pas d’une possible attaque sexuelle de sa part, mais elle, elle avait choisie l’art et la manière de se rassasier. Car là aussi, et je suis bien placée pour le savoir, une femme est une femme, la pénitence d’une semblable engendre pour elles une stimulation érotique qu’aucun homme ne saurait imaginer, sa démarche me faisait comprendre le sens qu’elle voulait donner aux instants qui allaient suivre.
Elle s’assit dans le fauteuil d’en face, et me fit signe de m’approcher. Alors, découvrant l’irritation vermeille de mon sexe et les traces de cyprine entres mes cuisses, elle en fit part à l’homme qui, par un sourire idiot semblait se moquer de cette fille mal-élevée qui se laissait aller à de telles abjections. Dès cet instant, le scénario du rôle auquel j’étais destinée, venait de s’écrire, et j’en eu des sueurs froides, avec l’étrange sensation de régresser dans l’idée que je me faisais de ma personne.
‘’ Tu as de la chance, de ne pas être notre fille’’, me disait-on, le ton volontairement culpabilisant, voilà, une bonne raison pour que puisse s’installer entre nous une relation de subordination, qui elle-même permettait d’opérer une suite de court-métrages, évidemment libertins.
- Quel âge avez-vous, mademoiselle ?
- Vingt-deux ans, madame !
- Vingt-deux ans, et vous vous présentez devant nous excitée comme une puce ? Vous méritez une bonne correction, ma petite, ne vous a-t-on pas interdit toute cochonnerie vicieuse ?
Mise en face de mes faiblesses, j’avouais m’être caressé, j’avouais mes déficiences morales, et j’avouais la tête basse, avoir éprouvé du plaisir de les regarder faire des actes sexuels, c’est vrai ! ‘’Oui, madame, je suis une dévergondée, oui, monsieur, je suis une moins-que-rien ! ‘’ . J’admettais mes désirs sexuels, et oui, j’en étais coupable et je méritais la punition, que Madame allait me donner.
Voilà, le cadre étant posé, je prenais une première frappe sur mes fesses, puis sommée de m’expliquer, j’inventais une errance érotique délétère, volontairement étayée par des images subjectives qui eurent l’effet escompté et aussitôt visible sur l’homme dont le sexe se redressait déjà. Encore une paire de coup sur le fessier, on me saisit par une main et je basculais sur les genoux de ma préceptrice qui se targuait d’une colère très imagée, afin que son rôle corresponde à la situation. Cette position est avilissante et j’en ressentais le poids moral, devenant la fille sale et méritante de devoir assouvir sa bassesse, puis, quand un chapelet de coups pleuvait sur mon cul, je criais et pleurnichais à chaque impact…, il fallait bien cela. On aimait recevoir mes supplications, et je ne manquais pas d’imagination invoquant la pitié et la mansuétude dont je ne bénéficierais sous-condition de repentance. Si je vous disais que la douleur initie la jouissance, il vous serait difficile de le croire, et si je vous disais que cet abaissement serait compensé par un orgasme sans nom, vous ne pourriez l’imaginer, mais moi, me découvrant de la satisfaction dans cette forme d’inquisition familiale, j’y trouvais mon compte.
Le couple était expert dans ce domaine, je restais dans cette position haletante, le visage baigné de larme, quand une main ferme se fraya un passage entre mes cuisses endolories, un doigt, puis un deuxième cherchait un passage, écartelant mes grandes lèvres et ce fut une extase, une espérance qui sans nul doute apaiserait le besoin de me livrer aux jeux initiés de main de maître par les deux compères. Elle entra en moi, profondément, sadiquement, une espèce de démon qui perforait mon vagin de mille façons, tournant et masturbant ma vulve m’arrachant des cris et d’incompréhensibles prières. Je ne jouais plus vraiment un rôle, j’y participais activement, m’ouvrant largement pour recevoir la punition pendant qu’on me hurlait dessus. Jamais je n’aurais pensé que de se faire insulter puisse épicer un acte sexuel.
On voulait que j’en aie honte et je le disais autant de fois qu’on me le demandait, puis à genoux elle me fit sucer la bite renaissante, je la léchais goulûment cherchant à ne pas étouffer quand elle poussait ma tête en avant en criant, ‘’ aller ma fille avale, tu peux mieux faire’’.
Puis enfin elle ordonna, ‘’ baise là…, je veux l’entendre couiner jusqu’à ce qu’elle se rende compte de sa mauvaise éducation’’, alors ma tête frappa le sol, le cul en l’air, mes cuisses écartées, il m’embrocha aussitôt, elle, elle s’est assise en face de moi, frottant son sexe avec dextérité, gémissante et préceptrice de ce qui devait m’être imposé. On me laboura fermement, longuement, la fulmination de mon sexe en vint à son terme quand l’éjaculation comblant mon vagin se fit sentir au fond moi.
Alors il se retira, laissant la place à sa femme qui poursuivit par quatre doigts la persécution, jusqu’au moment où je m’étalais au sol. S’en était devenu trop, je n’en pouvais plus de subir, alors on me laissa quelques instants pour que je reprenne mon souffle. Je n’aurais pas voulu être leur fille…, mais peut-être aussi qu’à ce moment-là, je devais combler quelques lacunes éducatives, en recevant à sa place des corrections très amères ? On n’aurait jamais fait à sa fille ce qu’on m’imposait, j’en étais devenue l’égérie, et manifestement, on projetait sur ma personne des envies d’inceste réfrénées par décence.
Sylvie entra dans la pièce, une conversation s’est établie comme si je n’existais pas, un moment de culpabilisation surréaliste, on l’on parlait d’elle, de sa façon de ne pas obéir, de ne pas obtempérer quand on lui donnait un ordre.
‘’ C’est une mijaurée, elle se frotte et se masturbe, elle jouit sans qu’on ne l'y autorise’’ disait la femme et Sylvie en rajoutais !
‘’ Oui, on va la punir comme il se doit, vous pourrez assister à ça ! Le chevalet, lui fera assimiler les règles qui instruisent votre relation, elle s’y pliera, ce n’est pas la première qui en fait les frais, et elles reviennent toutes à la raison !’’
Il s’agissait évidemment de moi ! Le chevalet fut amené, on m’y attacha, la tête posée sur une barre centrale, les mains fixées de part et d’autre au cadre, les jambes de même me forçant par conséquent à écarter largement les cuisses. Le bourreau arriva, ce fut un Hercule à la peau brillante et moirée, une statue grecque descendue de son piédestal, entre ses cuisses se dressait un pic semblable à un bras d’enfant, alors, comprenant ce qui allait arriver, j’en perdis mes moyens et l’émotion pris le dessus par une irrépréhensible excitation génitale, un jet exsuda de mon sexe, aspergeant le chevalet en plusieurs jets, tandis que mon esprit cherchait à remettre mes pensées dans le bon sens. Sylvie réagit immédiatement en m’assénant quelques coups sur les fesses déjà très sensibles. La réaction de mes tortionnaires fut à la mesure de l’événement, une série de frottis sur les parties génésiques, et de petits orgasmes imprévus ponctuèrent ma préparation au supplice.
Et le supplice fut à la hauteur de leurs attentes, le monstre purpura vint se faire lécher et sucer, on me tenait par les oreilles et il tapait le fond de ma gorge, m’arrachant des gémissements de réprobation. En face ça gémissait aussi, mais pour d’autres raisons, quand enfin il passa derrière moi, je fermais les yeux en attendant de savoir le choix qu’il ferait entre mon vagin et le sphincter. Une fois en position, on posa la question qui me fit trembler ; ‘’ Madame, Monsieur, voulez-vous qu’on applique la sentence ?’’ Il y eut un silence, les deux compères se regardèrent comme s’ils venaient de gagner à la loterie, et je vis sur leurs visages le plaisir qu’il pouvait y avoir de pouvoir décider de l’application d’une peine. Il suffisait de cela, rien de plus pour les amener à jouir, elle empoigna le pénis de son mari et lui, n’attendais que ça.
‘’ Oui, faites’’.
Sylvie enduisit mes orifices de crème orgasmique, on me saisit par les cheveux, ma tête partit en arrière, la chose n’eut pas de peine trouver l’entrée et tandis que je bloquais ma respiration, il s’infiltra en moi, brutalement, sans pitié, m’arrachant des cris stridents, puis commença le mouvement d’avant en arrière au point de me projeter sur la barre métallique. Le type avait de quoi se faire respecter, et j’en faisais les frais, longuement, il coulissa et quand il en eu assez de ce goulot anal, il bascula un orifice plus bas, pour se plonger encore dans cette ouverture ou fleurissait la rose charnue et sa turgescence, enduite du sirop protecteur. Demander de l’aide était inutile et le spectacle de mon exécution devait être la hauteur, puisqu’à quelques centimètres de moi, la femme se faisait harponner avec l’aide de Sylvie qui jouait son rôle habituel, profitant de la situation pour se faire lécher par l’un, puis par l’autre. Repus et rassasiés, ils finirent par quitter la pièce, me laissant agrafer sur l’instrument de mes tourments, jusqu’à ce qu’enfin l’on vienne me libérer.
Je rentrais chez moi, comme d’habitude, propre comme un sous neuf, avec la récompense promise et l’assurance qu’on ferait encore appel à moi….
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