Le baroudeur est de retour 3

Les deux femmes, aux corps brulants, sur les glands que les pourfendeurs leur ont offerts généreusement. Les langues tournent sur les glands gonflés aux maximums, les bouches aspirent les perles de rosée qui s'échappent des méats ouverts.

Proposée le 27/11/2022 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Josette suce avec délectation la queue de son beau-frère, sa langue voyage sur le gland volumineux un bon moment, puis se met à titiller le frein. Luc pousse des gémissements de bonheur, en se cambrant. Cloé, elle, s'évertue à faire du mieux possible, elle tète le gland de son papa en ronronnant comme une chatte. Les succions successives sur le gland marbré font cabrer le papa de plaisir. La fellation intense, produit sur les deux hommes un effet terrible, ils se cabrent chacun leur tour pour jouir dans les bouches avides. Cloé recrache le gland en s'essuyant les lèvres d'un revers de la main, en faisant une moue affreuse. Tendrement son papa lui dit :

-avale ma chérie, avale !

Elle regarde son papa, fronce les sourcils, et déglutit difficilement la totalité de la décharge visqueuse, en faisant toujours la moue. Josette, elle tète avec ardeur le gland, sa langue monte et descend sur la hampe gorgée de sang un long moment, avant que sa bouche reprenne possession du gland et le suce à en faire hurler de plaisir le beau-frère tendu comme un arc. Elle s'acharne et reçoit enfin la récompense tant attendue. Une formidable giclée lui remplit la gorge, elle en a un haut le cœur, mais avale sans rechigner la foudroyante décharge.

Les deux hommes profitent que leur queue soit toujours opérationnelles pour changer de partenaires. Luc regarde sa nièce avec insistance, il contemple le temple dégoulinant du trop-plein de sperme, en passant sa langue sur ses lèvres. Le sourire que lui lance Cloé ressemble fortement à une invitation. Luc remonte le top de Cloé au-dessus de ses seins, il sourit en regardant les petits bouts fièrement dressés au centre des aréoles brunes. Il caresse un instant les lobes bien fermes et roule entre ses doigts les mamelons qui prennent rapidement du volume.

Paul, moins délicat, arrache le corsage de sa femme et dégage les seins du carcan de tissu qui les emprisonne. Il malaxe avec force les lobes charnus, Josette serre les dents, elle adore dans l'acte un peu de brutalité. Il lui écrase les mamelons, les étire fermement pour faire gémir Josette. La coquine ne retient pas ses râles, elle est aux anges, elle jouit puissamment sous les sévices portés à ses seins.

Cloé sursaute, son oncle vient de lui gober les mamelons et les suce à tour de rôle. Les succions sont phénoménales, Cloé tremble de tous ses membres à chaque aspiration sur ses bouts devenus énormes. Elle s'agite en couinant, ses gémissements font sourire l'oncle qui commence à s'acharner sur les mamelons. pendant qu'il suce avec ferveur les tétons tendus, sa main descend jusqu'au temple de l'amour et avec agilité, ses doigts s'accrochent au clito qui ne désenfle pas.


Luc, habilement, branle entre son pouce et son index la boule de toutes les jouissances. Cloé s'agite, son bassin ondule comme un serpent, elle semble à la recherche de la jouissance. La masturbation devient intense, Cloé s'agrippe à son oncle en grognant comme une bête malade. Soudain, elle se cambre comme un pont en pleine tempête et explose de jouissance. L'oncle lui écrase fortement le clito pour que la jouissance soit plus violente. Il lui embrasse, les seins, sa bouche experte descend sur le ventre plat de la jeune jouisseuse, la langue habile, qui lui fouille le nombril, la fait délirer.

-Oh mon tonton, mon tonton, prends-moi, tu me fais mourir !

La bouche de l'oncle se plaque sur la chatte en fusion de Cloé, sa langue, lui fouille chaque recoin du vagin. Elle est au bord de la syncope, elle pousse un hurlement lorsque le gredin de tonton lui aspire le clito. Les succions répétées sur sa boule d'amour la font disjoncter :

-Prends-moi tonton, prends-moi, tu es un monstre, je vais mourir mon Dieu !

Elle se tend comme un arc en jouissance, comme une damnée. Luc la regarde, elle a les yeux exorbités, et halète comme une locomotive. Il lui dit :

-C'est maintenant que tonton va te baiser !

Il place sa verge contre le puits intarissable et l'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de la jouisseuse. Elle s'accroche à lui en gémissant :

-Oh mon tonton, mon tonton, oui, oui, oh comme ta grosse queue me fait du bien, démonte-moi fort mon tonton d'amour !

Luc commence un va-et-vient qui prend rapidement de l'intensité. Sa queue dilate la gaine vaginale de la nièce, qui ne cesse de geindre de plaisir. Ses coups de reins deviennent violents, il pilonne Cloé comme un soudard. La chatte étroite rend heureux le tonton qui dit entre deux coups de reins :

-Oh Cloé comme tu es serrée, c'est merveilleux ma chérie, ta chatte enveloppe ma queue comme un étui ajusté, oh comme tu es bonne ma chérie !

Cloé geint de plaisir, elle serre les dents, car la jouissance approche à grands pas. Luc lance les chevaux, il démonte avec violence le petit bout de femme qu'est sa nièce. Ses coups de bélier sont très brutaux, le corps de Cloé se met à trembler, elle se cabre en grognant comme un animal, pousse un cri monstrueux et jouit en même temps que son oncle. La douce chaleur du sperme qui lui remplit les entrailles, la fait jouir encore plus fort.

Paul plante sa queue dans le ventre de sa femme, il la défonce comme un malade pendant de nombreuses minutes, elle s'accroche à lui en gémissant de plaisir, le traitement qu'elle subit est terrible, Paul retire sa queue de la chatte en furie pour la replonger violemment au plus profond des entrailles brulant de sa femme. Elle geint terriblement, la queue qui se retire pour revenir avec violence dans son ventre, la rend dingue de bonheur. Elle finit par jouir affreusement fort, en grognant comme un fauve blessé. Paul décharge sa semence au tréfonds du ventre inassouvi. Josette en veut encore. Paul retire son mandrin et saisit le clito monstrueux qui trône au-dessus des grandes lèvres et le branle énergiquement. Josette se cabre en gémissant fortement :

-Plus fort mon chéri, oui, oui, plus fort, oh putain, ça vient !

Elle pousse un cri strident et gicle comme un geyser islandais.

Il est temps de reprendre des forces, une pose avec un petit encas est nécessaire, pour recharger les accus.

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