Pour se préparer un repas, M et C se retrouvent dans une cuisine déserte où tout bascule dans le sexe, l’érotisme et les plaisirs sans tabous. Ils nous livrent tour à tour leurs envies torrides … (Histoire réellement écrite à 4 mains avec la vraie C.)
Proposée le 12/12/2022 par hannibaal
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
C :
C'était le premier week-end après le Nouvel an, nous ne nous étions pas revus depuis cette fameuse soirée chez lui,humm cette soirée ! J'avais été bouleversée par toutes ces sensations ressenties. Il avait une façon bien à lui de me faire sentir que je lui appartenais et j'adorais ça, être sous son emprise. Il aimait jouer, j’aimais être celle qu' il avait envie que je sois...mais j'avais aussi décelé ses envies de jeu. Il s'y était prêté pour notre plus grand plaisir.
Ce soir je lui ai donné rendez-vous dans un petit restaurant que tient une amie. Il est prévu que nous mangions, qu’il nous faudrait cuisiner notre repas. Mon amie m'a laissé les clefs ,le restaurant étant fermé le Lundi…
20h00:Je rentre par la porte de derrière, me dirige vers les cuisines.Tout est silencieux
Luc ne devrait pas tarder à arriver.
Je dépose mon sac et mon trench.J’ai envie de l‘épater par mes talents ... culinaires.
Je le sais “gourmand”. Ce soir, je vais lui faire une pizza avec une vraie pâte maison.
Je noue sur mes hanches un petit tablier blanc qui recouvre ma petite jupe verte, mon chemisier blanc est entrouvert et laisse apparaitre mon soutien gorge balconnet blanc.
Le four est en marche. Il fait déjà chaud. J’ai l’impression qu’il est en retard. Nous ne sommes pas prêts de passer à table. Je sors tous les ingrédients nécessaires et jette la farine sur le plan de travail. J’entends frapper à la porte, le voilà!
Je t’ouvre. Tu me souris, te penche et vient déposer un baiser dans mon cou qui me fait frissonner.
Je plonge mon regard dans le tien. Tes yeux bleus sont déjà animés d’un feu que je connais très bien.
hum tu es très en beauté ma petite chatte avec ton petit tablier de soubrette.
Tu n’es pas mal non, j’adore quand tu portes une chemise blanche.
Alors que je m’éloigne, tu m’attrapes le poignet, me fait pivoter et je me retrouve entre tes deux bras, ce qui n’est pas pour me déplaire. J’allais te parler mais ta bouche vient s’écraser sur mes lèvres, ta langue chaude et souple vient s’emparer de la mienne. Je retrouve nos saveurs emmêlées, celles qui nous entraînent forcément vers nos envies les plus intenses.
Tes mains se promènent sur tout mon corps. Tu les glisses sous ma petite jupe verte et glisse deux doigts entre mes lèvres déjà bien gonflées.
hum, tu ne portes rien, c’est bien, je te veux toujours sans rien. Tu es humide, j’aime ça.
Tu recules et viens poser tes deux doigts sur mes lèvres que je lèche. Tu reprends ma bouche avidement, la lèche, me respires.
Ta bouche a le goût de ton sexe … me murmures tu
Mes deux mains sont sur tes hanches déjà collées aux miennes et me révèlent ton désir. Ton sexe se dessine sous ton pantalon, formant une jolie bosse sans équivoque. J’imagine déjà le moment où je le libérerai de son textile pour le rendre prisonnier de ma bouche.
M :
J’espérais très fortement que Corine me donne signe de vie pour que nous nous retrouvions pour passer un nouveau moment ensemble. Je dois bien avouer que nos soirées précédentes ont été un feu d’artifice de plaisirs multiples et inoubliables.
Parfois chatte se laissant soumettre à mes envies de la posséder, parfois tigresse dans les intenses moments où nos corps se consumaient l’un pour l’autre et toujours diablesse pour nous entraîner dans des joutes érotiques diaboliques, ses multiples facettes de femme assumée m’ont totalement subjugué. Et nos échanges incandescents au travers des réseaux sociaux ne démentent en rien mon attirance un peu … addict pour elle.
C’est donc avec un intense plaisir que j’ai reçu sa proposition que nous nous retrouvions dans le restaurant que lui prête une de ses amies. Un peu surpris toutefois quand elle m’a précisé que nous allions devoir cuisiner. Moi qui suis tout juste capable de me faire cuire des pâtes ! Mais je prendrai à cœur mon rôle d’aide cuisinier … à cœur et à corps, me dis-je dans ma tête déjà pleine des envies de la retrouver …
Lorsque tu m’ouvres la porte, ton sourire éblouissant pour m’accueillir me subjugue. Je plonge mon regard dans tes yeux et je ne résiste pas à te prendre dans mes bras pour t’embrasser passionnément. Tu n’offres aucune résistance et mon corps s’embrase instantanément.
Tu es, comme à ton habitude, terriblement belle et sexy et je te souffle à l’oreille que je te trouve très en beauté. Ton petit tablier blanc de soubrette me donne tout de suite très envie de mal me conduire … et, lorsque mes mains exploratrices ne rencontrent aucun obstacle vestimentaire sous ta petite jupe verte, mon sexe réagit immédiatement.
J’adore le goût de ta liqueur intime que je dépose sur tes lèvres carmin avant de les embrasser avidement.
Lorsque tu fais mine de t’éloigner pour pour reprendre ton activité culinaire, je te rattrape par la main et je t’attire à moi et je plante un regard malicieux dans tes yeux avec un large sourire coquin
non ! non ! ma petite chatte cuisinière … je ne voudrais pas que tu salisses tes vêtements sous ton tablier voyons …
Tu éclates de rire et tu te prêtes de bonne grâce à mon petit fantasme que tu as deviné. Il ne me faut pas très longtemps pour te débarrasser de ton chemisier et de ton soutien-gorge à balconnet, libérant tes seins magnifiques auxquels mes mains et ma bouche rendent hommage avec dévotion.
Et lorsque, agenouillé devant toi, ta petite jupe n’est elle non plus qu’un souvenir, ma langue s’immisce dans les lèvres lisses de ton sexe pour boire à ta source et jouer avec ton bouton si délicat. Tu ne peux t’empêcher d’attirer ma tête à toi et de t’offrir ouverte à ma caresse en gémissant doucement ….
ooooh Luc ! Tu me rends folle, ta langue dans ma petite chatte est un délice … oooooh Ouiiiiii …tu me fais mouiller si fort …
Je te sens vaciller quelques peu sur tes jambes sous l’effet du plaisir que je te procure, aussi j’interromps ma caresse et en me redressant :
ta petite chatte est un délice ma délicieuse diablesse, et j’adore te boire quand tu es si humide ! Mais maintenant aux fourneaux ma cuisinière …
t’intimai-je en te donnant une petite claque un peu lubrique sur tes jolies fesses nues …
C :
Il fait terriblement chaud….
nous n'avons encore rien cuisiné te dis- je.
Tu souris, tes beaux yeux bleus sont une invitation à consommer tout de toi, sans modération. Tu m'entraînes vers le plan de travail.
Enlève tout ! Ne garde que tes talons et ce petit tablier.
J'obéis à tes désirs tout en sentant les miens se manifester.
Je veux te voir…
Les seins dressés, insolents, je suis nue devant toi avec ce minuscule tablier blanc comme rempart devant mon sexe.
Tes mains viennent malaxer les lobes de mes fesses…
Tu me soulèves et m'assois sur le plan de travail couvert de farine. Un nuage s'en dégage.
M :
Je ris à l’idée de tes belles fesses saupoudrées de farine et de la « marque » que tu vas laisser lorsque tu vas redescendre de ton perchoir. Je me penche pour t’embrasser en posant mes mains dans la poudre blanche et je te murmure, nos bouches presque soudées :
petite chatte, quelle bonne idée cette pizza maison ! Mais là je crois qu’il va falloir que je t’époussette ton petit derrière…
tu es très coquin dis donc ……
me répliques-tu en me mordillant la lèvre inférieure et en déboutonnant ma chemise.
Tes mains sur mon torse sont électriques, ce qui ne fait qu’augmenter la tension qui règne dans mon pantalon en toile légère. Ton regard se porte cette bosse que je ne cherche pas à masquer, puis tes yeux très provocateurs viennent se planter dans les miens, un léger sourire aux lèvres.
je crois que ton pantalon ne va pas résister longtemps à tes pulsions Luc. Je pense que tu devrais l’enlever …
Et je me retrouve,en quelques secondes, aussi nu comme un vers que toi, mon sceptre raidi offert à la convoitise de ton regard. Tu te cambres légèrement en prenant appui sur le plan de travail de la cuisine. Je ne peux résister à l’offrande de tes seins aux pointes dressées qui me provoquent, et je m’en saisis, laissant sur eux l’empreinte de mes mains enfarinées.
J’aime la sensation de leur douce fermeté et de leurs pics pointus au creux de mes paumes.
la marque de mes mains sur tes jolis seins est très érotique ma petite chatte. Tu es marquée de moi maintenant !
te dis-je sur un ton légèrement possessif.
Puis remontant ma main sous ton minuscule tablier par l’intérieur de tes cuisses, je me fais plus conquérant. Et, en liant mes lèvres aux tiennes pour t’embrasser fougueusement :
je vais te marquer partout de moi …
Et alors que mon bras entoure tes épaules les couvrant de poudre blanche et que mon autre main se glisse dans ton intimité trempée, tu me caresses le torse et tu te saisis de ma queue bandée me couvrant moi aussi de farine.
C :
Le plan de travail est un vrai chantier, il y a de la poudre blanche de partout.
Si il est vrai que tu m’as marquée de tes empreintes, tu m’as marquée aussi du feu, du feu de ce désir qui brûle en nous.
Devant moi, le sexe dressé, je te trouve terriblement beau. Je caresse ton torse, les mains enfarinées, puis je descends sur ton sexe que j’enrobe de farine.
et là, je te lance une oeillade enflammée, en attrapant le pot de coulis de tomate qui est à ma portée.
Nan.. me dis tu avec un sourire aux lèvres
Oh si ! te dis- je me faisant très chatte, il faut bien que je sache si elle est bonne.
Munie d’une cuillère j’étale sur ton torse de façon grossière une grosse cuillère de coulis qui dégouline tout le long de ton ventre et bien plus bas.
Désolée Luc, j’en ai mis de partout
De mon regard provocateur, j’essaie de t’incendier tout entier.
Je m’approche de toi, frotte mes seins tendus contre ton torse, je suis maculée tout comme toi de tomate. Puis doucement je t’embrasse langoureusement, descend dans ton cou et commence à jouer avec ma langue. Je viens laper la tomate étalée sur tes tétons, je descends encore. On peut suivre le trajet de ma langue en suivant le tracé du sillon.
Luc, j’ai envie de te lécher, de partout.
Sous l’effet de ces quelques mots, ta queue se raidit davantage. ma bouche continue sa vertigineuse descente.
Je suis devant toi à genoux, ma langue lape le bas de ton ventre, lèche le contour de ton membre érigé.
Ouiiiiii ! c’est délicieux ma petite chatte me murmures tu….
M:
Ta bouche et ta langue font des miracles de sensations électriques sur mon torse et mettent en feu mon sexe très tendu. Et si tes caresses continuent à être aussi insistantes et … persuasives, je crains que tu me fasses perdre tout contrôle et que la pizza se trouve parée d’un ingrédient peu … conventionnel pour un tel plat.
Je ne peux toutefois pas m’empêcher de profiter avec délectation et plaisir grandissant de tes caresses incendiaires, en te caressant doucement les cheveux.
tu as un savoir faire diabolique pour faire gonfler … la pâte, ma petite chatte, mais il ne faut pas la … brûler trop vite …
Te dis-je en te prenant par la main pour te redresser.
Tes superbes seins sont maculés de farine et de sauce tomate, au point que j'en discerne à peine les tétons dressés. Je les suces délicatement pour profiter de leur joliesse et tu gémis doucement sous la pression sans équivoque de mes lèvres.
je crois que nous n’avons pas encore utilisé tous les ingrédients, ma délicieuse cuisinière…
Ce faisant, je t’enlève ton petit tablier devenu superflu, et j’attrape un pot de crème fraîche posé sur le plan de travail en te regardant avec un grand sourire malicieux et embrasé
nan ….. !? Me dis tu en pouffant de rire
siiiiii ! Je n’ai jamais goûté la crème fraîche de cette façon et l’essayer sur ton superbe corps à toi ne peut qu’en être …. que plus délicieusement érotique…
J’en dépose une fine couche sur ta bouche carmin et je t’embrasse fougueusement. Le goût de tes lèvres sucrées mélangé à la crème est tout simplement divin.
Puis je te soulève pour t'asseoir sur le bord de la table en te guidant avec fermeté pour te faire t’allonger à plat dos et j’entreprends de te badigeonner tout le corps. De ton cou jusqu’au bas de ton ventre, le haut de tes cuisses et ton sexe délicatement offert.
Ma bouche et ma langue prennent aussitôt le relais, dessinant des arabesques sur tes seins qui se gonflent, ton ventre qui frémit, pour venir avec empressement explorer les lèvres de ton intimité que tu tends à mes caresses dans de petits gémissements. La saveur de la crème associé à la délicatesse de ta cyprine est enivrante
ooooooh ! Luc ! Tu es le meilleur aide cuisinier que j’aie rencontré ! Tu me rends folle …
C:
Tu me rends folle, je ne te le dis pas, je te le crie.
Ta langue glisse sur ma peau, tu me lèches, me déguste. j’ai l’impression de fondre sous ta langue. Mon clito fond sous les succions de ta bouche. À ce rythme-là, toute cette crème fraîche risque de t’écoeurer !
Mes mains qui appuient sur ta nuque pendant que tu dévores ma chatte en feu, te redressent.
Je t’explose du regard louchant de désir gourmand sur ta belle queue couverte de crème à son tour et je te dis
A cette allure, je suis une pizza déstructurée à moi toute seule Luc.
Je te chuchote au creu de l’oreille pleine de vice:
Ferme les yeux mon beau pizzaiolo, je vais cacher un ingrédient sûr moi, viendras tu le chercher?
Et là, je profite que tes paupières soient closes pour glisser entre mes cuisses, à l’intérieur de mes lèvres trempées, une petite olive noire…
M:
Ton regard gourmand sur ma verge crémeuse bien dressée ne m’échappe pas. J’aime sentir la caresse de ton regard sur mon corps qui glisse sur mon torse et vient se poser sur ma queue, avec envie. Je ne peux m’empêcher de me délecter de ta belle nudité étalée sur la table, même si elle porte les stigmates de nos errances culinaires qui ne font qu’aiguiser un peu plus mon appétit de toi.
Bon sang ! Que tu es belle et désirable ! J’avoue que nos petits jeux décuplent mon envie un peu sauvage de te posséder …
j’adore les innovations culinaires … surtout avec toi ma petite chatte … et tu sais bien que ton pizzaiolo t’es dévoué corps et âme … et là surtout de mon corps … et encore plus au tien de corps …
je te réponds dans un sourire envieux, en fermant les yeux pour me prêter avec envie à ce nouveau petit jeu auquel tu m’invites.
Toi, dans un petit rire provocateur :
vas mon pizzaiolo, sois mon intrépide Indiana Jones à la recherche du trésor caché ….
À l’aveugle, mes doigts effleurent ta bouche
tu es froid … me sussures tu en me mordillant le bout des phalanges.
Au toucher, le petit creux à la base de ton cou ne semble rien recéler. Alors je m’enhardis, et les mains posées à plat sur tes épaules, j’explore tes seins qui palpitent dans le creux de mes paumes, leurs pointes durement dressées.
là, c’est moi qui prends chaud … mais toi tu es encore froid …
Je devine ton léger sourire déluré, mais je résiste à l’envie d’ouvrir les yeux. Je me penche pour effleurer tes lèvres
tu es sacrément … joueuse ma petite chatte … j’adore ça …
À regret j’abandonne tes seins pour me concentrer sur ton ventre, si par hasard tu avais caché cet ingrédient mystère dans ton nombril.
Sensation un peu étrange des assaisonnements liquides qui, sous mes doigts, s’étalent sur ta peau d’habitude si douce.
Tu chauffes … me souffles-tu dans un petit rire coquin.
Je souris, conquis une fois de plus par ton effronterie, pensant avoir deviné dans quel lieu, qui ne m’est plus du tout secret, tu as déposé l’aliment inconnu.
Ma main descend très lentement sur ton pubis jusqu’à la limite de la fente de ton sexe où elle s’immobilise, attendant une réaction de ta part qui ne tarde pas à venir
Tu brûles … m’affirmes-tu, … et moi aussi … ajoutes-tu en soulevant légèrement tes reins pour m’inciter à poursuivre mon chemin.
Je ne peux résister. Ma bouche remplace mes doigts pour poursuivre cette recherche.
J’aime trop l’exploration de ton sexe pour la déléguer à mes doigts. Elle enveloppe les exquises lèvres de ta petite chatte et ma langue s’immisce entre elles, remontant lentement le sillon délicat. Elle ne tarde pas à rencontrer sur son chemin, dissimulée dans ce replis, l’olive abondamment assaisonnée de ta liqueur que je recueille entre mes lèvres. Destination ta bouche pour que nous en partagions le goût délicat.
ma petite chatte, tu as tellement incendié mes sens. J’ai très très envie de te posséder.
C:
Hum….ta langue chemine entre mes cuisses, tu as trouvé l’ingrédient indispensable à notre pizza. J’ai aimé chaque caresse, chaque parcours de ta langue sur mon corps.
je suis inondée de cyprine et je n’ai pourtant pas encore joui. Je suis terriblement excitée par notre petit jeu. J’ai presque envie de jouer à la diablesse en te disant de continuer à fouiller.
peut -être en reste-il encore un ingrédient que tu n’as pas découvert ?
Ta bouche gourmande m’embrasse. Je me délecte de ta langue. tu as le goût de moi, ce goût acidulé du désir, mélangé à celui de l’olive. J’aime ça. Je suis sensible aux odeurs, aux parfums. Pendant que tu m’embrasses, je ne peux m’empêcher de caresser ta verge crémeuse. Je la sens vibrer, sous mes mains. J’ai terriblement envie que tu me prennes, alors doucement je me mets à te masturber lentement, ma main glissant puis remontant de façon très indécente vers ton pli interfessier.
Je t’entends grogner ton plaisir, ton sexe pulse dans ma main. Je plonge mon regard brûlant dans le tien, animal quand je t’entends me susurrer:
Je te veux, à moi, maintenant
Je monte alors sur le plan de travail et me positionne à quatre pattes, la croupe tendue vers toi.
Mon corps est un chantier brûlant qui ne demande qu’à être investi par toi.
je me cambre, je veux ta fougue, tes ardeurs, je te veux toi… en moi
M:
L’enchaînement de nos baisers incandescents, de ta main qui branle ma verge tendue, de ton regard de braise qui m’appelle à te posséder et de ton délicieux corps si impudiquement offert à mes envies un peu bestiales, me fouettent la libido. Je te regarde si belle, si désirable, si diaboliquement indécente …
Dans un râle de désir, je m’enfonce au plus profond de tes reins cambrés, prenant possession de toi, de ton antre, de ton corps. Je te sens vibrer dans un feulement de plaisir lorsque je t’investis. À cet instant, plus rien n’existe autour de nous, que notre plaisir immaîtrisable, presque animal.
Que tu es belle … te dis-je dans un chuchotement alors que je suis déjà plongé dans ton sillon brillant de cyprine.
Ta croupe, encore blanchie de farine, offerte à mes instincts les plus primaires, allume un tel brasier dans mon sexe que je ne peux me retenir de me pencher sur toi, t’agripper à tes cheveux et te murmurer au creux de l’oreille
tu es à moi maintenant, totalement à moi ! Je vais te posséder aussi fort et aussi fougueusement que l’envie de toi que tu m’as provoquée …
baise moi Luc, j’en ai tellement envie. J’ai tellement envie de jouir de toi, me réponds-tu dans un souffle.
Tu accueilles ma queue tendue qui ouvre l’entrée de ton vagin et s’enfonce en toi comme un tison ardent. Un flot de cyprine inonde ma hampe bandée et mon bas ventre. Tes parois intimes contractées par le désir s’ouvrent sous mon passage pour mieux me retenir. Leurs pulsations provoquent mille décharges électriques sur ma tige.
De me sentir empalé en toi libère les tensions accumulées et des déferlantes envahissent ton corps.
Oooooh ! Ouiiiiii ! Viens ! Plus fort ! Plus vite … prends moi ! Possède moi ! …
Je te pilonne avec rage. Ma bite gonflée entre et sort de ta grotte d’une vigueur immaîtrisable qui fait trembler ton corps et tes seins à chaque coup de boutoir.
Emporté par ma volonté de te posséder, mon langage se fait très cru, attisant encore plus les brûlures de la lave qui coule dans nos veines.
sens ma bite tendue défoncer ta petite chatte … tu mouilles tellement … je vais me vider en toi, te remplir de mon jus … tu es ma délicieuse petite salope …
À mes mots, ton antre se contracte très fort sur ma queue. Tu te cambres. Tu te tortilles. Tes ongles griffent le plan de travail. Je m’enfonce de nouveau en toi presque brutalement. Je te pilonne de nouveau follement et je ne peux résister à l’envie de te claquer les fesses de temps à autre.
Je glisse une main sous ton buste et je me saisis d’un de tes seins à pleine main que j’écrase dans ma paume, alors que l’autre se glisse entre tes cuisses. Mes doigts s’insinuent entre tes lèvres gorgées de ta liqueur pour pincer délicatement ton clito tout gonflé…
Notre étreinte devient sauvage. Nous ne maîtrisons plus rien. Tu gémis quelques « ooooooh Ouiiiiii c’est boooon … » les hanches agitées d’un mouvement convulsif.
Viens vite ! Remplis moi ! Je n’en peux plus ! Je vais jouir …
Tu as franchi le point de non retour tout comme moi. Mes mains se crispent un peu plus sur ton sein et dans ta petite chatte.
Tiens ma petite salope, ma bite te perfore bien profond ! je te défonce comme une délicieuse catin … Je vais te remplir quand mes couilles vont se vider en toi …
Sous l’effet d’un ultime coup de boutoir, tes parois intimes se contractent brutalement sur ma queue, la retenant au fond de toi. Ta bouche se tord mordant brutalement ta lèvre inférieure, ton nez se pince sous l’effet de ta respiration saccadée. Tes reins se cambrent. Ta tête dodeline de droite à gauche comme si tu refusais l’inévitable.
Tes yeux se révulsent. Ta cyprine jaillit, brûlante, de ton antre en feu. Tu jouis en gémissant des « ooooh ouiiii !!! … ooooh ouiii !! » qui couvrent à peine mes râles bestiaux. Tu me rends dingue et j’explose à mon tour, giclant ma liqueur dans ton vagin dans un cri bestial « Rhaaaaaaan ! … ». Le tsunami de notre orgasme nous emporte, nous dévaste, nous transportant hors du temps ..
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