C'est le week-end et ce matin j'ai décidé de cuisiner avant qu'elle ne se lève. Mais à son réveil, elle en a décidé autrement. La cuisine a quatre mains va se transformer en cuisine à quatre pattes...
Proposée le 10/04/2023 par Art Shibal
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je cuisine.
Je me suis levé de bonne heure ce matin, rien d’exceptionnel jusque là. J’ai laissé madame S dormir au chaud sous la couette.
Je suis dans la cuisine, j’ai prévu de nous mijoter un bœuf bourguignon. Mais avant de commencer, comme tous les matins je me prépare mon petit café dans ma cafetière italienne.
En joie de mijoter un plat de mon enfance à madame S, je commence à faire dorer le bœuf, j’ajoute les lardons. Une bonne odeur commence à envahir la cuisine. Je baisse le feu et j’ajoute le vin. La viande commence à dorer, ça me laisse le temps de préparer les légumes.
Le bruit et l’odeur ont dû réveiller madame S que j'entends arriver à pas de velours.
Avant d’arriver dans la cuisine,
Madame S me dit: " Continues ce que tu fais sans te retourner "
Je m’exécute.
Elle s’approche de moi, se colle contre moi. J’arrête de couper les légumes.
Madame S n’est pas venue les mains vides. Un foulard à la main, elle me bande les yeux. Pas pratique pour cuisiner…
Ses mains commencent à glisser sur mon teeshirt qu’elle m’enlève prestement. Maintenant, ses mains glissent sur mon short, puis sous mon short, ses mains chaudes directement sur ma peau. Elle ne tarde pas à me le retirer et à se coller contre moi. Elle est nue aussi, je sens la chaleur de son corps contre moi, la rondeur de ses seins. Cette situation m’excite…
Madame S se colle encore plus près de moi, attrape ma main gauche et me fait prendre une carotte, m’attrape la main droite avec le couteau. Les yeux bandés, j’ai confiance. Madame S commence à me faire couper les carottes. Je ne vois rien, je ne contrôle rien, je sens le couteau s’enfoncer dans la carotte et taper sur la planche à découper. Deux sensations montent en moi. La peur... mais cette peur m’excite, je commence à avoir une érection. Ce non contrôle fait battre mon cœur plus fort, mes pulsations augmentent en même temps que mon sexe durci. Qu’est-ce que Madame S a en tête? Je me maîtrise rien, je me laisse contrôler.
Madame S me lâche les mains. Pendant que les siennes remontent doucement sur mes bras, je pose le couteau. Ses mains continuent à me caresser, elle passent sur mon torse, caressent mes tétons. Elle me fait frissonner, sa main droite glisse sur mon bas ventre jusqu’à atteindre ma verge. Si Madame S ne l’avait pas encore compris ses intentions ont de l’effet sur moi. Elle me retourne et me pose les mains avec autorité sur le plan de travail. Je comprends que mes mains ne doivent pas bouger et rester à cette place. Je sens ses deux mains chaudes sur mon torse descendre sur mes flancs, s’arrêter sur mes fesses...Je sais que mes fesses l’excitent. Ses deux mains sur mes cuisses, ma queue en érection devant elle, je sens la chaleur puis la douceur et l’humidité de sa langue sur mon gland. J’aime ça, quand soudain elle me prend en bouche, je sers le plan de travail et apprécie son jeu de bouche et de langue. Elle s’arrête. Ses mains sur mes fesses, elle me tire vers elle pour enfoncer mon sexe au plus profond de sa gorge. J’adore sentir la chaleur et l'humidité de sa bouche autour de ma verge.Elle reprend son souffle tout en continuant à me branler. Elle remonte, joue avec ses seins contre mon sexe, caresse mon gland avec son téton, elle continue à monter. Maintenant elle joue avec son corps contre moi, bloqué contre le meuble de la cuisine. Son corps est chaud. Mon sexe dans une main, elle l’utilise pour jouer avec le sien, contre ses lèvres, son clitoris. J'entends son souffle dans mon oreille. Je sens aussi la chaleur de son sexe.
Soudain elle s’éloigne. Pas un mot n’est sortie de nos bouches pour le moment, quand soudain j’entends: « Enlève ton bandeau ». Je m’exécute. Un peu déboussolé par le passage du noir à la lumière, je regarde autour de moi, je vois Madame S les deux coudes posés sur le plan de travail de la cuisine, les fesses en arrière en me regardant et faisant un signe de la tête voulant dire : « Vas-y maintenant, prends moi. »
Je m’approche derrière elle, je peux enfin moi aussi jouer avec mes mains. Je colle ma queue dressée contre ses fesses, saisis ses seins pour les caresser...Mmh. Maintenant avec mon pouce et mon index je fais rouler ses tétons, les pince, les tire… excitée, ses fesses se trémoussent et jouent avec mon sexe de plus en plus dur. Mes mains continuent de se balader sur son corps, ses hanches, ses fesses, ses cuisses… je m’attarde un peu. Il est temps de vérifier si elle est vraiment prête à m'accueillir en elle. Ma main gauche sur sa fesse gauche, je glisse un doigt en elle qui me confirme qu’elle est très excitée aussi. Son petit jeu de cuisine à 4 mains à eu aussi son effet sur Madame S. Je glisse un deuxième doigt en faisant des aller- retours et rapidement j’en glisse un 3ème en continuant mes aller venues. J’accélère doucement, je la sens de plus en plus humide. Sous l’effet de mes doigts elle commence à leur couler dessus. Elle gémit, j’accélère encore. Elle gémit encore plus jusqu’à jouir une première fois, alors j’accélère encore, je veux qu’elle inonde la cuisine. Je lui laisse reprendre son souffle et ses esprits tout en descendant le long de son corps, jusqu’à me retrouver à genoux, ses fesses en face de moi et cette fois c’est à moi de jouer avec ma langue. Je lui écarte les fesses pour avoir accès à son sexe encore coulant, je lèche le liquide qu'il reste sur ses cuisses. J’arrive jusqu’à sa chatte avec ma langue, j’ai une vue imprenable sur son petit trou qui m’attire.
Ma langue dans son sexe je commence à lui caresse l’anus avec un doigt, ma première phalange commence à la pénétrer, je la retire pour la remettre de nouveau mais un peu plus loin.
Ma langue s’occupe toujours de son clito, je suis trop excité, je n’en peux plus. Je me relève, mes mains sur ses hanches, mon sexe se dirige directement en elle, la sensation de chaleur et d’humidité sur ma queue est décuplée. Au moment où je la pénètre, sa tête bascule en arrière et un bruit de satisfaction sort de sa bouche. Mes mains toujours sur ses hanches, toujours dans l’action, j’accélère, elle pousse de petit cris.
Je sens son désir monter alors je m’arrête, la retourne devant moi pour la mettre à genoux. Les deux mains sur ses cuisses, elle attend. Je l’attrape par les cheveux et emmène sa bouche vers ma bite. Je lui fais faire des mouvements de va et vient, elle joue avec sa bouche et sa langue. J’adore ça. Ses mains se déplacent, l’une lentement vers son entrejambe, et l’autre saisi mon sexe. Madame S veut reprendre les choses en main. Je ne touche plus rien.
J’imagine le plaisir qu’elle se donne avec ses doigts pendant que je me laisse aller au rythme des mouvements de sa main, sa bouche et sa langue… elle me branle de plus en plus vite pendant que sa main me sert plus fort. Je vois ses fesses onduler, ses doigts ont de l’effet sur elle pendant que sa main a de l’effet sur moi. Tellement d’effet que je ne peux pas me retenir, ce n’est plus possible. Je jouis. J’éjacule dans sa bouche, ma main bloque sa tête contre moi pour qu’elle s’arrête et qu’elle avale tout mon jus. Mon sexe encore dans sa bouche, elle continue à se donner du plaisir, ses fesses ondulent de plus en plus, elle gémit puis s’arrête en basculant sa tête en arrière, la bouche ouverte.
Madame S se relève pour se coller contre moi, mes mains contre ses fesses, les sienne contre les miennes on s’embrasse.
Nous reprenons nos esprits, quand d’un coup je m’aperçois de la bonne odeur que laisse le bœuf bourguignon dans la cuisine. Etait-elle là pendant nos ébats? Je n’en ai aucun souvenir…
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