Histoire Erotique

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Toumi le vieux célibataire et la femme de son ami

Toumi, Ingénieur célibataire en mission à l'étranger a rencontré un viel ami chirurgien et sa femme qui l'ont invité chez eux. La femme, très chaude du sexe lui a fait du charme et quant, plus tard, son mari a été appelé en urgence à l'hôpital, elle et Toumi ont passé toute la nuit à baiser.

Proposée le 21/09/2022 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Je suis Toumi, 45 ans, ingénieur TP depuis plus de 20 ans dans une entreprise d’Etat. J’ai été marié 3 fois mais aussi divorcé 3 fois pour incompatibilité avec mes femmes. Je suis très accroc sur le sexe et j’aime baiser leurs chattes normalement mais je refusais d’éjaculer pour éviter d’avoir trop vite des enfants, ce fut toujours notre premier désaccord. D’autres parts, j’ai toujours préféré les culs et les sodomies, et la aussi, ce furent leurs refus qui ont fait accélérer mes divorces. Hélas, mes femmes voulaient seulement baiser par la chatte pour avoir des enfants, choses qui n’étaient dans mes premières priorités. Alors j’ai décidé d’avoir des aventures sexuelles de célibataire et elles furent très nombreuses. Mais j’ai toujours évité les femmes de la famille et celles de mes proches collaborateurs du travail. J’évitais les ennuis et les aventures dangereuses, mais il m’est arrivé de baiser et d’enculer quelques femmes de mes amis, aventures que je préférais car elles m’excitaient au maximum. Je vais vous raconter la dernière d’entre elles.
J’étais en mission à l’étranger et un jour, après la fin du travail j’ai diné dans un restaurant mixte. Qu’elle ne fut ma surprise d’y rencontrer l’un de mes plus anciens amis d’enfance qui dinait avec des amis. C’est lui qui m’a reconnu et abordé et après présentations aux amis, ils m’ont invité de finir mon diner à leur table. J’ai su qu’il était devenu chirurgien et ses amis tous médecin et travaillaient tous dans le même hôpital mais que lui avait réussi à loger dans une villa juste à l’orée de la ville. Après, vers 23h, ses amis sont retournés au travail mais mon ami m’a invité chez lui pour me montrer où il habite et me présenter à sa femme et me ramener ensuite à mon hôtel. J’ai ainsi rencontré sa femme Zineb qui travaillait avec lui comme infirmière spécialisée et qu’il aimait appeler Zina. Il était heureux de sa femme malgré qu’ils n’aient pas réussi à avoir des enfants. C’était une belle compatriote, brune et bien en chair devant et derrière et au visage très souriant et agréable. Elle m’a plu tout de suite et ma bite s’est réveillée et bandait déjà pour elle surtout quant elle se déplaçait entre le salon et la cuisine et que sa croupe, bien serrée dans la robe d’intérieur traditionnelle mais souple qu’elle préférait aux habits modernes. Sa large croupe balançait par ci et par la, me faisait bander et presque à me faire éjaculer.
Nous avons parlé du bled et de notre enfance et bu des rafraichissements. J’étais assis face à la cuisine où sa femme faisait la vaisselle. Sa grosse croule oscillait en permanence et parfois elle se baissait assez pour que sa robe colle à fond et je voyais très bien le profil de son slip qui occupait seulement la moitié de ses fesses et cela augmentait l’excitation de ma bite. Mon ami, plongé dans nos souvenirs et détails de travail ne remarquait rien. Mais deux ou trois fois, sa femme s’était retournée vers le salon et nos regards se sont croisés. La première ce fut accidentel mais moi je savais que mon regard était brulant de désir et elle a du le remarquer. En effet, elle se retourna une deuxième puis, un moment après, une troisième fois beaucoup plus longue et insistante. J’avais ma cigarette au doigt et je levais exprès ma main pour regarder la femme et cacher mon visage à mon ami. J’étais sur qu’elle avait comprit l’intérêt que je lui portais surtout que dans nos confidences tout à l’heure, elle avait appris, sur insistances de mon ami, que j’étais célibataire et que j’avais eu trois femmes auparavant, mais que j’avais divorcé à cause de mes trop nombreux voyages et absences familiales. Je dis qu’elle avait saisi mon intérêt, à moins que je me fasse des idées, car elle remuait sa croupe plus qu’auparavant et se baissait et gonflait sa croupe à fond. Je bandais comme un taureau et mon regard exprimait bien cette excitation.
J’avais fini mon verre de jus et mon ami a appelé sa femme pour me le remplir de nouveau. Elle a arrêté sa vaisselle et elle s’approcha de moi tournant le dos à son mari en s’abaissant sur moi. En remplissant mon verre, je voyais la chair de ses seins dans l’échancrure assez ouverte de sa robe. Nos regard se sont croisés un bref instant et elle a levé la main vers cette échancrure, j’avais pensé qu’elle allait la refermer, mais elle fit le contraire en l’écartant un plus. Ce qui me permit de mieux voir une partie de la chair laiteuse de son sein gauche. J’ai levé les yeux comme pour la remercier du jus mais elle a vu que mes yeux étaient sur son sein et brillait d’excitation. Quant elle fut debout, elle répondit un murmure mais en me souriant et elle rejoignit sa cuisine. Ensuite, elle disparut vers les chambres. Une demi heure plus tard, nous avions épuisé nos confidences et j’avais décidé de partir en appelant un taxi, mais mon ami refusa en insistant que je passe la nuit chez lui car il était très tard et impossible de trouver un taxi maintenant.
Il insistait mais je refusais sérieusement, c’est alors que sa femme, toujours en robe d’intérieur apparut au salon. Elle nous disait que c’était inconvenant de laisser un ami partir en pleine nuit pour l’hôtel, alors notre villa possédait des chambres de dépendances, à coté. Ce ne fut pas l’insistance de mon ami qui me poussa à accepter mais la proposition se sa femme qui me plaisait. Elle retourna sur ses pas et une minute plus tard, elle revint avec un pyjama pour moi et son mari me demanda de le suivre. Nous sommes sortis tous les trois de la villa. Juste à coté il y avait toute une aile attenante à la villa avec une longue véranda le long de laquelle il y avait plusieurs chambres de dépendances. Il ouvrit la première dans laquelle il y avait le nécessaire. Un grand lit, une grande armoire et deux tables de chevet, et sur le fond une porte donnant sur une petite salle de bain, c’est ce qu’il m’a expliqué. Elle m’a tendu le pyjama pendant que son mari sortit de la chambre.
Pendant tout ce temps, elle marchait devant moi et pas un mot sur nos regards d’auparavant, même sa robe était bien fermée sur sa poitrine. Je me suis dis que peut-être je m’étais trompé sur son attitude dans la cuisine et que c’était ma bite, toujours gonflée qui me jouait des tours. Mais au moment de sortir, la main sur le loquet, elle me lança un lourd regard qui attrapa le mien et elle abaissa ses yeux vers mon pantalon en souriant. J’en ai fait autant et j’ai constaté que ma braguette formait visiblement un grand chapiteau. C’était ma bite, bien gonflée, qui tendait ainsi mon pantalon, j’ai relevé les yeux et elle souriait toujours largement en refermant la porte. Rapidement, je me suis déshabillé, fais quelques toilettes dans la petite salle de bain puis j’ai mis le pyjama de mon ami. Son pantalon était assez étroit et j’ai décidé de ne pas le mettre avant de m’allonger, à moitié nu, sous les draps du lit. J’ai éteint la lumière et rapidement le sommeil m’a pris car j’étais assez fatigué.
Au milieu de la nuit, quelqu’un m’a réveillé en me secouant. C’était mon ami qui m’a prévenu qu’il devait aller à l’hôpital pour une urgence, puis il est parti. Je n’étais pas bien réveillé et j’ai rapidement repris mon sommeil entre les draps. Quelques temps après, je fus encore réveillé, mais par un corps qui se glissait entre mes draps et qui se collait à moi. Mes mains ont vite repéré des seins donc que c’était la femme de mon ami qui m’avait rejointe au lit. J’étais au paradis et comme son corps m’avait excité dés le début, j’ai décidé d’allumer la veilleuse de la table de chevet. Elle a essayé de se cacher sous le drap mais je l’ai repoussé pour bien découvrir son corps. Elle était merveilleuse, bien remplie avec des seins lourds et biens dressés avec des boutons très bruns et gonflés par le désir. Déjà ses mains avaient atteint ma bite qui s »était automatiquement réveillée et s’allongeait de plus en plus. Je voulais la lui offrir, alors je me suis allongé à fond, dos sur le lit et cuisses écartées, donnant ainsi une totale à ma bite pour se dresser verticalement.
Ses mains se sont joint autours de mon zeb et sa bouche a plongé sur sui. Elle la avalée et commencé à la sucer et lécher tout en la branlant vigoureusement. Elle était penchée sur mon bas ventre, alors j’ai tourné mon regard vers sa croupe tout en allongeant ma main avide vers elle. C’était un joyau, rond, large et dorée malgré que la femme fût brune. Mes doigts sont vite allés vers son cul et touché son anus. Je m’attendais à ce qu’elle recule sa croupe, comme mes autres femmes, mais au contraire, elle tourna son cul vers moi. J’ai donc enfoncé doucement mon doigt dans son cul et il est entré sans trop de difficultés. Alors j’ai écarté son anus et branlé son cul puis j’ai poussé pour ajouter un second doigt et j’y ai réussi. Elle a donc l’habitude des sodomies, c’était formidable.
Il fallait d’abord contenter sa chatte, alors je me suis redressé et je l’ai poussée dos dur le lit et les jambes et cuisses largement écartées. Elle était merveilleuse et quant je me suis dressé au-dessus d’elle, empoignât mon gros zeb, elle riait en silence mais haletait déjà et respirait en force. J’ai enfoncé mon zeb dans sa chatte et il a pénétré en vitesses jusqu’aux couilles. C’était donc une baiseuse et comme elle avait accepté mes hommages et mon zeb facilement, c’est que ce n’était pas la première fois qu’elle trompait son mari, et c’était tant mieux pour moi. Et pendant une demi heure, je l’ai baisée à fond et, chaque que je ralentissais un peu, c’est elle qui s’activait elle aussi en tendant son bas ventre et me donnant des coups de reins aidant aux vas et viens de mon zeb dans sa chatte. Elle a gémis longtemps presque en continu mais elle a hurlé comme une folle par trois fois en se collant à moi puis se détendait les yeux fermés et la respiration presque coupée. Je savais qu’elle avait eu trois orgasmes et j’ai laissé faire avant de reprendre mes vas et viens vigoureux et rapides.
Mon zeb était super gonflé, sa chatte était douce, humide par ses orgasmes et d’une souplesse affolante. J’enfonçais ma bite au maximum, elle avait une chatte profonde et elle savait en faire des pressions internes et des relâchements brefs puis des serrements à mon zeb. Elle était experte et moi aussi et notre baise a été formidable, merveilleuse. Quant mon sperme allait venir, j’ai essayé de sortir de sa chatte et je l’ai averti mais elle a refusé catégoriquement et m’a informé qu’elle prenait toujours ses précautions. Alors j’ai éjaculé par trois ou quatre fois avec des coups de reins et des hurlements de plaisir et de jouissances. Ensuite, j’ai retiré mon zeb pour m’allonger a coté d’elle sur le grand lit.
Elle se redressa et prit ma bite dans sa bouche pour la sucer, la nettoyer et la branler. Rapidement mon zeb reprit sa position verticale et elle sauta sur moi. Elle s’assit sur mes cuisses, me branla un moment puis elle avança et enfonça mon zeb dans sa chatte et s’assit à fond sur lui. Elle se courba vers moi, m’offrant ses merveilleux seins que je baisais et avalait ses bouts gonflés de désir. Elle m’a baisé pendant plus de dix et eu un autre orgasme qui la fit s’écrouler sur moi un instant. Puis elle reprit sa position et continua à danser sur mon zen, heureusement encore tendu. Ainsi, elle eu encore deux autres orgasmes avant de s’avouer vaincue et s’écroula un long moment sur ma poitrine. Je l’ai repoussée sur le coté, puis je l’ai aidée à se coucher sur le ventre avant de m’allonger sur son dos et sa croupe. Mon zeb avait un peu fléchi mais le contact avec la chair douche et chaude de sa croupe le réveilla e nouveau. J’ai fais quelques vas et viens sur ses fesses que j’écartais de la main pour glisser ma bite dans leur profond sillon. Chaque fois que mon zeb touchait son anus, je plongeais mon doigt puis je le sortais et le remplaçait par mon zeb.
Elle avait comprit et se souleva assez pour que son anus puisse être bien en position, face à ma bite. Alors, je l’ai pénétré par le cul en ma bite s’est enfoncée à fond, jusqu’aux couilles, et que mon bas ventre claque sur ses fesses. Elle tendit encore plus sa croupe demandant une plus profonde pénétration. C’était une femme qui aimait les sodomies, juste ce qu’il me fallait et j’en ai profité pendant presque une autre demi heure. La aussi j’ai réussi à lui donner un orgasme mouillé et hurlé par le cul. Elle avait enfoncé sa main, par-dessous, dans sa chatte pendant que les vas et viens de mon zeb lui labouraient le cul. Et enfin j’ai eu mes éjaculations qu’elle a reçues en gonflant encore sa croupe. Voyant qu’elle gémissait et haletait toujours, je n’ai pas retiré mon zeb et dès ma troisième éjaculation, j’ai continué à lui labourer le cul. Rapidement, par mes reculs assez grands, le maximum de sperme a été évacué et quand j’ai ressenti la douceur de la chair de l’intérieur de son cul, j’ai repris mes coups de reins violents, profonds et accentués.
Cette femme était très sensible car elle a réussi à avoir un autre orgasme par ma série de vas et viens rapides. Je l’ai laissée souffler un peu puis j’ai repris ma saillie sauvage, affolante. J’étais merveilleusement dans les nuages, par les jouissances continues de mon zeb, et par le spectacle de cette croupe qui oscillait sous mes coups de reins. J’ai souvenir de ces petits mouvements de sa croupe quant je la voyais travailler dan a la cuisine et qu’elle le faisait exprès. Maintenant ce souvenir gonflait encore plus mon zeb et je le lui ai dis. Je luis dis que ça me rappelait sa croupe dans la cuisine et elle m’a répondu qu’elle avait ressenti la chaleur de mes regards et qu’elle imaginait mon gros zeb gonflé. Maintenant tous les deux, nous réalisons nos espoirs et à fond. Enfin, j’ai ressenti ma deuxième série d’éjaculations et je lui ai encore rempli le cul qu’elle tendait pour jouir à fond. Enfin, épuisés, elle s’est écroulée le ventre sur le lit et moi sur son dos, mon zeb toujours dans son cul.
Après un long moment, je me suis réveillé et j’étais toujours sur elle, le zeb sur ses fesses polluées de sperme. Je me suis retiré pour m’allonger dos sur le lit. Apres un moment, elle a reprit conscience et s’est redressée sur les coudes. Elle me regardait et sa main caressait mon zeb endormi. Je lui ai rappelé que le temps passait et que son mari allait revenir. Elle sourit et me dit de ne pas m’inquiéter car c’est avec la voiture de l’hôpital qu’ils sont venus le chercher et il ne reviendra pas car il lui a laissé sa voiture pour aller au travail le lendemain et pour me ramener en ville. Donc, on avait toute la nuit pour nous jusqu’au lendemain. En souriant, elle me demanda si j’étais d’accord, j’ai sauté sur elle m’allongeant sur son merveilleux corps ; embrassant et massant ses seins et sa croupe. Ma réponse était claire, mais à condition était à la hauteur. Elle me rassura, me déclarant qu’elle connait ce genre de zeb et que pour le regonfler rapidement, elle en avait la technique. Et tout de suite à l’œuvre, elle me repoussa pour m’allonger dos sur le matelas et, se baissant sur ma bite, elle commença à la sucer et à la branler. Elle se chargea aussi de mes couilles qu’elle manipula, quelle suça et lécha à fond. Mais elle avait, en supplément, une autre technique surprise.
Quant ma bite commença seulement à donner quelques signes de vie, elle me demanda de relever mes jambes et cuisses, e les écarter, puis de poser mes pieds sur le lit, ce que je fis aussitôt. Alors, tout en me branlant, il glissa sa main sous mes couilles, toucha mes reins et le cul par-dessous. J’ai réagi en essayant de reculer mais elle me chuchota de la laisser faire, après tout c’était moi l’homme et j’ai obéis. Elle me caressa l’anus par-dessous mes couilles puis glissa un de ses doigts, juste un peu dans mon anus. Puis elle commença à me branler le cul tout en me branlant et suçant le zeb. Et miracle, à chacun de ses glissements dans mon cul, mon zeb réagissait et se redressait. Je ressentais bien l’excitation et le plaisir qui augmentait et très rapidement, mon désir était au top et ma bite était bandée, gonflée et verticale. J’étais de nouveau prêt à une nouvelle saillie.
Elle s’agenouilla de nouveau sur le lit et écarta ses cuisses et m’offrit et sa croupe et sa chatte par-dessous. J’ai aussitôt enfoncé mon zeb dans sa chatte qui contenait encore les restes de mon sperme. Tout à l’heure, je l’avais invitée à aller se nettoyer la chatte et le cul dans la petite salle de bain mais elle a refusée m’expliquant que ses organes sexuels fonctionnaient mieux en plaisir avec le sperme du mâle. Moi, ça ne me dérangeait pas beaucoup. Après quelques coups bien sentis de vas et viens allongés, je réussissais à faire évacuer les restes de spermes et ainsi j’avais la chair de sa chatte direct contre la chair de mon zeb. Et rapidement, sa chatte reprenait son humidité de désir et ma bite glissait facilement. Et ainsi, je l’ai encore baisée pendant plus d’un quard-d’heure et par derrière.
Elle a encore eu deux ou trois orgasmes hurlés mais je ne me suis pas arrêté dans mes vas et viens. Elle avait glissé sa main par dessous et manipulait une partie de ma hampe et mes couilles, puis elle a réussi à atteindre mon cul par-dessous et a plongé carrément son doigt. Ce fut un choc pour moi et mon zeb. J’ai donné n violent coup de reins et comme par miracle, mes couilles se déchargèrent pour trois éjaculations que j’ai criées à fond. Je restais collé à sa croulé, mon zeb enfoncé dans sa chatte et je l’entendais rigoler. Puis je me suis retiré mais elle m’a dit de continuer plus haut.
J’avais rapidement compris et j’ai enfon mon zeb, brillant de sperme, dans son cul. Et à fond de couilles, j’ai repris mes vas et viens dans son cul. Mon zeb, au chaud dans le profond cul, restait assez long et dur pour me donner du plaisir et des jouissances et je continuais. Je n’étais pas dans mon état normal, j’étais excité et je ne me maitrisais plus. Je l’enculais dans une saillie violente, accélérée et continue et le plaisir dans mon bas ventre était aussi continu. Mon zeb et le cul de la femme étaient en symbiose et chaque fois que je devais reculer, j’écourtais le gap et j’attendais avec un plaisir animal l’acte suivant d’enfoncement de ma bite au maximum. Et quant l’excitation est arrivée au moment des éjaculations, je n’avais aucune volonté de les commander, les jets de sperme sortaient en abondance et je hurlais sans pouvoir m’arrêter. Quant j’eu fini d’inonder son cul, je restais collé à sa croupe. C’est alors que je l’entendais rigoler et me dire quelque chose que je n’ai pas saisie.
Ensuite j’ai repris mes esprits et elle me regardait, toujours allongée par le ventre sur le lit mais le corps soulevé sur ses coudes. Elle me dit que dès qu’elle m’avait vu et ressenti la chaleur et le désir de mes yeux, elle avait su que j’étais un numéro spécial qui la désirait sans honte ni gêne de son ami. Et comme je souhaitais comprendre, elle m’avoua que c’était aussi rare ceux qui arrivent encore bander encore et éjaculer autant, à ce stade. J’ai répondu que sa technique du doigt dans mon cul était inédite, c’était la première fois que ça m’arrivait. Elle ajouta qu’elle ne faisait pas cela pour tout le monde mais qu’elle l’avait essayée sur des malades complètement découragés, désorienté. Elle les faisait bander par des branles mais ça ne suffisait pas, alors elle plongeait son doigt dans leur cul et le malade et son zeb se réveillaient en sursaut et ça aidait au moral. Elle a ensuite essayé cela avec deux ou trois ses collègues qui furent ses amants et ça a marché. Avec moi, elle avait deviné que j’étais un homme au cul sensible et qui communiquait directement avec mon zeb. Elle ajouta que ce genre d’hommes était, généralement, aussi amateur de zeb dans leur cul. Donc, ce sont des jouisseurs complets par leur zeb et leur cul, des hommes sexuels formidables. Je ne crois pas être de ce genre, mais après les doigtés de cette diablesse dans mon cul, allez savoir, j’allais devenir un jouisseur double face.
Nous avons dormi un peu, puis elle m’a réveillée pour la baiser et l’enculer encore par deux et lui remplir la chatte et le cul de mon sperme qu’elle aimait garder. Puis, vers 6 ou 7h, elle est partie vers la villa pour se doucher et nous préparer le petit déjeuner. Moi aussi j’ai pris une bonne douche puis, habillé je l’ai rejointe à la cuisine. On s’est restaurée ensemble puis elle a pris ses affaires de travail et a sorti la voiture du garage à coté de la villa. Son pantalon de travail serrait encore mieux sa croupe que sa robe d’intérieur. Ainsi, elle me faisait encore bander ce matin et j’imaginais ses collègues. Je lui ai fait ma remarque mais elle m’a dit qu’elle mettait sa large et longue blouse à l’hôpital, ce qui cachait bien sa croupe qu’elle savait aguicheuse. Elle me fit la démonstration et mit sa blouse. Effectivement, ce n’était plus la même femme, aux trésors devant et derrière. C’était une infirmière sérieuse, au profil sec et difficilement abordable mais elle me souriait. Elle provoquait la politesse et le sérieux professionnel, comme si rien ne s’était passé entre nous. Elle me dit que quant elle voulait draguer un collègue qu’elle choisissait avec soin, il lui suffisait d’enlever sa blouse, de remuer de la croupe et de sourire, ça marchait pratiquement toujours.
Nous avons pris la voiture et elle m’a déposé juste devant mon hôtel, ainsi, elle avait eu de son mari les renseignements sur moi. Elle m’a prévenu qu’elle allait demander à son mari de m’inviter encore chez eux et m’a menacé que si je ne venais pas, c’est elle qui allait venir à mon hôtel, ça m’a fait chaud au cœur et au zeb. Je l’ai remerciée, elle m’a embrassée et elle est partie rejoindre son mari, à son travail.

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