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Des ébats sur un vieux matelas

Maggie a eu un problème après que Nick et elle ont couché dans l'herbe en pleine nature. Elle ne veut plus risquer d'avoir le même problème. Mais elle est ingénieuse et elle trouve une solution adéquate pour être intime avec Nick...

Proposée le 30/03/2021 par Bruno Pouperque

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Dans le terrain vague à côté du club de jeunes, j'avais baisé Maggie. Cela s'était produit deux fois et la seconde fois ne s'était pas bien terminée. Maggie était allongée dans les hautes herbes avec son cul nu et elle n'avait pas senti pendant que je lui enfonçais ma qeue dans sa chatte qu'une tique s’était attachée à sa fesse gauche. Elle n'avait découvert cela qu’à la maison le soir où elle prenait une douche pour se laver la foune après que je l'avais sautée. Sa sœur cadette Lisa avait soigneusement retiré le parasite de la fesse de Maggie avec une pince à épiler.

Des ébats sur un vieux matelas
Au début, je pensais que niquer Maggie se limiterait à deux fois à cause de cette tique. J'ai pensé que c'était dommage, car elle avait une si belle chatte bien serrée. Quand je giclais mon foutre dans son trou de baise, c'était comme si des oiseaux s’envolaient en sifflant de mon cul, tellement j'avais bon dans sa grotte de baise.
Qu'elle ne me laisse plus la baiser s'est avéré ne pas être le cas. Je l'avais montée à sa pleine satisfaction, et elle était venue en criant et hurlant deux fois. Apparemment, j'étais doué pour le sexe, mieux que les gars qui l'avaient niquée avant.
Le sexe avec moi, c'est ce que voulait Maggie, mais elle n'a plus permis que je la saute dans le pré à côté du club des jeunes. Malheureusement, coucher ensemble n'était pas possible chez elle à cause de ses parents, ses deux sœurs et son frère. Chez moi, ça n’allait pas non plus parce que mes parents ne pouvaient pas savoir que je niquais à gauche et à droite tout ce qui avait des tettes et une chatte.


Pourtant, j'avais sous-estimé Maggie. Elle n'avait pas encore dix-neuf ans, mais elle était très lucide et pleine de ressources. Elle n'est pas restée passive. Elle a cherché un endroit où nous pourrions baiser sans problème et où il n'y avait ni tiques ni autres parasites.


Un jour, Maggie m'a appelé. Au téléphone, elle m'a annoncé la bonne nouvelle qu'elle avait eue. Elle pouvait avoir les clés d'un appartement à louer dans un immeuble qui était situé dans la Rue des Bons Buveurs à Montegnée. L'appartement était à louer à l’agence Lezzet-Ayhan dans la Rue St-Nicolas. Cette agence immobilière s'était récemment installée à Liège dans un belle maison bourgeoise du 19e siècle.
Une amie de Maggie chantait, comme elle, dans la chorale de l’Unité Pastorale Saint-Martin dans la Rue du Mont St-Martin. Cette fille travaillait comme employée pour la société immobilière Lezzet-Ayhan. Elle avait promis à Maggie que celle-ci pouvait garder les clés de l'appartement à louer pendant trois jours pour “inspecter l’habitation à sa guise”, sans que personne ne la dérange.


Immédiatement, Maggie est allée chercher les clés dans la Rue St-Nicolas. Puis, elle m'a appelé. Nous avons visité l'appartement ensemble. Nous n'étions pas vraiment ravis, même si nous avions maintenant trouvé un endroit pour baiser sans être dérangés.
La copine de Maggie ne lui avait pas dit que c'était un appartement plutôt délabré. Il était grand et spacieux, avec de hauts plafonds et avait deux chambres à coucher, mais il était plutôt mal équipée et il y avait une mauvaise odeur. Il n'y avait pas de meubles et l'eau, le gaz et l'électricité étaient coupés. Dans l'une des chambres, qui était bien éclairée par une grande porte-fenêtre en verre, nous avons trouvé un matelas par terre. Les derniers locataires n'avaient pas pris la peine de l'emporter avec eux. Il semblait usé et sentait le moisi.


Quand j'ai vu ce matelas, j'ai pris Maggie dans mes bras et j'ai voulu la coucher dessus. Elle m’a regardé avec indignation, a glissé de mes bras et a quitté la chambre. Elle s'est arrêtée dans le couloir. Elle s'appuyait contre le mur et m’a dit de ne pas être si impatient.


Pour les jours suivants, elle avait imaginé un scénario spécial. J'ai été surpris et j’ai
douté. Ce qui m'intéressait, c'était d'avoir du sexe simple et direct avec elle. Sa chatte était si délicieuse et je ne savais pas ce qu'elle voulait dire par son “scénario”. Vivre peut-être des fantasmes sexuels? Ce n'était pas vraiment mon truc. Maggie m’a dit:


“J'aime que tu me baises, Nick, autant et aussi souvent que possible. Mais comprends-moi bien: le faire à ta façon tout le temps, moi sur le dos, les jambes ouvertes, et toi sur moi, non, ça ne va pas. Tu devrais aussi m’accorder quelque chose. C'est juste, tu ne trouves pas, Nick?


Comme je ne trouvais pas immédiatement de réponse appropriée, Maggie est devenue impatiente et a répété, avec une certaine amertume dans la voix:


"Tu veux juste me baiser, juste profiter de mon corps. Tu ne tiens pas compte de moi."


Sa voix était très ferme lorsqu'elle a ajouté:


“Écoute, Nick, nous avons cet appartement pour trois jours maintenant. Jeudi matin, je dois rendre les clés au bureau de la Rue St-Nicolas. Donc, à partir de maintenant et jusqu'à mercredi soir, tu peux me baiser ici dans la position que tu veux. Seulement, de temps en temps, moi aussi je choisirai la manière dont je veux que tu me baises.”


J'ai été un peu surpris et j'ai demandé à Maggie:


"La manière de te baiser? Que veux-tu dire? Vais-je devoir faire des tours d’acrobatie pour te sauter?”


Maggie a ri:


“Mais non, pas du tout. Je ne veux juste pas que tu sois toujours au-dessus de moi et que tu claques ton zizi dans ma foune d’en haut. J'adore le faire couchée sur le côté, tendrement et intimement, pendant que tu me regardes profondément dans mes yeux en baisant…”


Cela ne me dérangeait pas et je l'ai dit à Maggie.

"
Encore autre chose?" lui ai-je demandé.


"Oui, il y a une autre position que j'aime vraiment," a-t-elle répondu. "Celle-là m'aide à venir plus vite."


“Dis-moi, Maggie?”

"
Je l'appelle "balançoire", mais il y aura probablement un autre nom que je ne connais pas. Tu ne te couches pas, tu t'assieds, je m'assois sur tes genoux avec mon visage face à toi, tu mets ta bite dans ma chatte, et puis je fais tout moi-même. Je monte et descends et frotte mon clitoris contre le tronc de ta bite. Tout ce que tu peux faire, c'est jouer avec mes seins. Tu peux également les presser. Ainsi, je viendrai encore plus vite.”


Je n'avais rien contre ça non plus, et Maggie ne voulait pas plus que ces deux positions. Elle m'a fait promettre que je n'essayerais pas de le faire avec elle à la levrette. Elle trouvait cela humiliant pour une femme. Et certainement, je ne devrais pas essayer de forcer ma queue raide dans son trou du cul.


Elle attendait ma réponse. J'ai répondu que je n'avais aucun problème avec ce qu'elle voulait. Nous sommes ainsi parvenus à un compromis qui nous satisfaisait tous les deux. Quand j'ai demandé à Maggie si je pouvais la baiser pendant que nous étions encore dans l'appartement, elle n'a pas résisté. Elle ne s'est pas complètement déshabillée. Seulement, elle a décroché son soutien-gorge sous son top pour me donner la chance de jouer avec ses tettes. Elle m'a laissé enlever sa culotte moi-même.
Notre partie de baise n'a pas duré longtemps. Maggie n'y a pas participé. Sans enthousiasme, elle m'a laissé la sauter dans la position du missionnaire. Quand j’étais venu , elle a essuyé son kiki avec quelques mouchoirs Kleenex. Immédiatement après, elle a remis son pantalon et a voulu sortir de l'appartement. Je lui ai demandé pourquoi elle était si pressée.


"Ce matelas..." dit-elle. “Tu as sûrement senti à quel point cette odeur de moisi est repoussante, et tu as également vu qu'il est tout sauf propre. Nous devons trouver quelque chose. Je ne voudrais pas attraper une méchante maladie ici entre mes jambes ou dans ma chatte.


Maggie avait raison. Il fallait absolument éviter le risque d'attraper des champignons ou quelque chose du genre entre nos jambes. Nous avons donc pris nos précautions. J'ai apporté un grand drap de l'entreprise que nos peintres utilisaient pour protéger les sols lorsqu'ils peignaient les plafonds, et je l'ai tiré sur le matelas. Maggie a apporté une couette. Dans le vieil appartement, il n'y avait pas de chauffage et il y faisait assez froid, voire moite. Elle ne voulait pas attraper froid quand elle me laissait la baiser complètement nue.


Les jours suivants, nous nous sommes dépêchés lorsque nous étions libres de rejoindre l'appartement de la Rue des Bons Buveurs. Nous avons baisé comme les bêtes sauvages, dans les deux positions choisies par Maggie et aussi dans la position du missionnaire. C'était toujours moi qui laissais décider Maggie comment on faisait. Même quand je lui ai demandé s'il y avait une autre position qu'elle préférait ou voulait essayer, elle a répondu que je savais bien ce que nous avions convenu. Pour la “balançoire”, elle s’est assise sur mes genoux, face à moi, et quand elle frottait son clitoris de haut en bas sur mon pénis raide, il n'a jamais fallu plus de deux ou trois minutes avant qu'elle ne vienne. Elle était également très heureuse quand j'utilisais mes doigts et mes lèvres pour l'amener à un orgasme, et j'ai réussi environ une fois sur deux de faire venir Maggie en la baisant quand elle était étendue sur son dos. Elle pensait que c'était suffisant et elle était patiente.


Ce que j'ai trouvé étrange, c'est qu'en ayant son orgasme, Maggie a seulement giclé une fontaine de liquide de jouissance de sa chatte lorsque nous avons fait la “balançoire”. Alors, mes testicules et mes cuisses ont été aspergés de son liquide de chatte très chaud, et bien sûr aussi le drap que j’avais tiré sur le matelas.
Après avoir baisé, généralement deux fois de suite, Maggie nettoyait ma bite et sa chatte avec de l'eau minérale non pétillante avant que nous remettions nos vêtements. Nous nous séchions avec un coin du drap, car ces mouchoirs Kleenex étaient insuffisants.


On était bien dans cet appartement de la Rue des Bons Buveurs à Montegnée. J'y ai caressé, embrassé et léché le corps chaud de Maggie jusqu'à ce qu'elle soit prête pour l'amour. Je l'ai baisée dans sa chatte, à la missionnaire, à la "balançoire" et pendant que nous étions couchés sur nos côtés dans les bras l'un de l'autre.


Il y a eu une fois où j’ai demandé à Maggie si je pouvais éjaculer non pas dans sa foune, mais avec ma queue entre ses nichons. Elle ne voulait pas de ça, car elle pensait que c'était sale et dégueulasse, du foutre chaud et collant entre ses deux tettes. Pas de problème, on a baisé et continué à baiser, le deuxième jour même trois fois de suite, jusqu'à ce que je sois étendu totalement épuisé sur le matelas à côté de Maggie.
Ce matelas portait clairement les traces d'humidité de nos parties de baise. Il ne sentait plus tellement le moisi, mais petit à petit, le drap a également commencé à sentir le sperme et le liquide que Maggie giclait de sa chatte.


Voilà le jeudi arrivé... Maggie a rendu la clé de l'appartement à l'agence de la Rue St-Nicolas. Nous n'avions à nouveau plus d’endroit où nous pouvions baiser sans être dérangés. Ce n'était pas si facile de trouver un endroit comme celui-ci. Mais moi, pas de souci! Je ne m'inquiétais pas, car entre-temps, je connaissais assez de filles qui pouvaient m'offrir un endroit où faire l'amour…


J'ai revu Maggie de temps en temps au club des jeunes. Nous nous souriions et nous faisions des clins d’oeil complices. Mais sinon, c'était fini entre nous deux…

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