Journal de jeunes

Un étudiant multipliant les aventures rencontre une jeune fille douce mais coquine, et lui donne rendez vous chez lui. Elle ne s'y attend pas, mais elle va passer la meilleure nuit de sa vie.

Proposée le 16/09/2022 par Sevalan

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Ça faisait un moment que j’avais envie d’elle.

Nous n’étions pas dans la même promo : elle en licence de mathématiques, moi en master de biologie, pourtant nous nous croisions très souvent sur le campus.
C’est comme ça que je l’avais repérée, d’abord sa chevelure blonde qui volait derrière elle, ses jambes fuselées et son visage d’ange. Immédiatement, mes réflexes de queutard m’avaient soufflé : « elle, il te la faut ».

J’avais trouvé son profil sur Facebook, et rapidement on s’était mis à discuter par messages. Je ne voulais pas paraître forceur alors je la laissais venir, j’espaçais nos discussions.

Mais finalement, j’avais découvert que c’était elle qui n’était pas si angélique que ça…
Cela faisait maintenant deux semaines qu’on se chauffait. Elle restait prudente, mais j’avais découvert d’elle quelque chose qui me rendait fou : cette faculté d’être à la fois mignonne comme un cœur et diaboliquement bandante. Son innocence n’était qu’une apparence.

Et ce soir, elle allait me donner l’occasion de savoir à quel point : je l’avais invitée à passer boire un verre dans mon appart.

En me préparant, je songeais à notre dernière discussion : « t’as une aura de mâle dominant » elle m’avait écrit. Je pense que c’était une manière de me dire que mes diverses aventures ne la gênaient pas.

Enfin la sonnette retentit, et je pris tout mon temps pour aller ouvrir.
Elle était là.
Elle avait lâché ses cheveux et mis une courte robe bleue qui me donna instantanément envie de lui arracher. Ses yeux bruns bordés de longs cils me regardaient.
Sans même dire bonjour, je lui fis un clin d’œil et lui fit signe d’entrer. Elle monta les escaliers à ma suite et lorsqu’elle pénétra dans mon appartement, elle parcourut toute la pièce du regard, avant de poser ses yeux sur moi.
Je lui sourit :

- Tu veux boire quelque chose ?
- Juste un verre d’eau, merci.

Elle s’assied sur le lit qui me sert aussi de canapé, et je lui apporte son verre sur la table basse.

Elle regarde mes lèvres, je la dévisage. Je ne l’avais jamais vu d’aussi près, elle est vraiment belle.

Je m'assied à côté d'elle et un silence s'installe.
Enfin, je n’y tiens plus, je prends son visage dans mes mains et je l’embrasse. Elle me rend mon baiser, nos langues se trouvent et je la serre contre moi. Quand nos bouches se séparent, elle me regarde, ses yeux brillent, et elle m’enlève mon t-shirt.
- La vache ! t’es encore plus musclé que ce que je pensais !

Je lève les yeux au ciel et pour toute réponse, je l’emprisonne dans mes bras et la bascule sur le lit pour continuer à l’embrasser.
Je passe une main sur sa cuisse pour remonter doucement sa robe, sa peau est douce et chaude.
J’embrasse son cou, et je baisse les bretelles de sa robe, qui en tombant découvre sa poitrine nue. Ses seins sont ronds et fermes, ses tétons pointent vers moi et je me jette dessus : je les lèche, les mordille, je les engloutis tandis qu’elle respire de plus en plus fort.
Elle me rend fou, elle a un goût de miel, je veux la dévorer, qu’elle coule de plaisir entre mes bras.

Elle se déshabille et je reste scotché. Elle est vraiment magnifique nue, elle ne porte aucun bijou, aucun tatouage, aucun artifice, elle m’offre simplement la vision de sa beauté sauvage, assise devant moi.

Soudain elle fait un mouvement et elle se retrouve à califourchon sur moi.
J’attrape son visage pour l’embrasser encore, mais elle m’échappe, elle vient déposer une série de baisers dans mon cou, sur mon torse, mon ventre, je sens que je suis sur le point d’exploser.
Elle enlève mon jean et mon caleçon, et mon sexe vient se dresser devant son nez, plus dur et veiné que jamais.
Elle lève son regard de biche sur moi et je retiens mon souffle.

Elle commence à me lécher, je suis parcouru de décharges électriques. J’ai envie de la retourner, de la pénétrer, de lui tirer les cheveux et de la faire hurler en l’écrasant de mon corps, mais je reste là sans bouger, à la laisser apprivoiser ma queue tendue à craquer.
Elle l’embrasse, puis commence à la sucer doucement, d’abord en se centrant sur le gland. Je suis parcouru de frissons, je me concentre de toutes mes forces pour ne pas jouir. Elle me suce de plus en plus franchement, je sens mon sexe taper dans le fond de sa gorge et je lui demande de venir sur moi pour faire un 69.
Elle s’assied sur mon visage, je la respire de toutes mes forces, j’attrape ses fesses pour la coller encore plus contre ma tête. Son odeur me rend dingue, je veux la bouffer toute la nuit. J’enfouis ma langue dans son sexe et elle pousse un cri, ma bite toujours dans sa bouche. Je lui donne des grands coups de langue et elle s’arrête de me sucer, gémissante de plaisir, offerte à moi. Je souris : elle est ultrasensible.

- Je t’en supplie, prends moi !

Dans la bouche d’un ange pareil, ces mots me font beaucoup d’effet. Je la fais basculer et j’enfile une capote.
Elle me regarde, le souffle court, elle se mord la lèvre inférieure et elle s’allonge sur le dos. Je m’allonge sur elle et je l’embrasse tout en commençant à la pénétrer. Elle est extrêmement serrée, de sa main elle guide mon sexe en elle et j’essaye d’être le plus doux possible, comme si c’était sa première fois.
Elle mouille comme jamais, j’entame des longs vas et viens et elle ferme les yeux, offerte, elle est ma chose à cet instant.

Le contact de son corps nu et brûlant contre le mien m’électrise, mon sexe presque trop gros pour le sien va de plus en plus loin et elle pousse des petits cris dans mon cou. J’accélère, je prends sa jambe et la pose sur mon épaule, elle est serrée mais très profonde et une vague d’excitation supplémentaire s’empare de moi. Je la pilonne, elle crie très fort, les yeux fermés et chaque coup de rein brutal que je lui assène nous fait monter un peu plus. Je glisse si facilement en elle, je sens toute l’étroitesse de son vagin, il aspire le mien comme une bouche, ses seins sont tendus à craquer et je ne peux pas m’empêcher de les caresser.

Je la retourne soudainement, je veux voir son cul pendant que je la baise. Elle pousse un cri de surprise noyé au milieu de ses gémissements de plaisir, et je me mord la lèvre devant ce spectacle. Ses fesses rondes entourent ma bite, elles bougent au gré de mes mouvements, telle les vagues d’une mer montante. Je lui assène une grande claque dessus pour changer ce rythme, elle mord l’oreiller et je sens son vagin se contracter autour de ma queue.
Je n’y tiens plus, je veux la dominer.

- Allonge toi.

Elle m’obéit, je vois sa joue rouge de profil, ses yeux fiévreux à demi clos et je souris. Ça y est.
J’empoigne son cul et j’entame une danse brûlante : je veux qu’elle comprenne qu’elle ne peut plus bouger, qu’elle est prisonnière entre mes mains et que c’est moi qui contrôle.
Ses cris montent crescendo, son sexe est un volcan en éruption, le mien bouillonne et tandis que je maintiens ses bras dans son dos, elle enfouit son visage dans le lit et je sens qu’elle jouit violemment : je suis compressé par une série de spasmes, je la serre très fort dans mes bras pour la maintenir mais je n’y tiens plus et je jouis à mon tour en elle, dans un long et puissant orgasme.

Des minutes plus tard, alors que notre respiration redevient régulière et que les battements de mon cœur se calment, elle me murmure :
- Je peux rester dormir avec toi ?

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