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Journal de jeunes - 3

Dans ce nouvel épisode relatant mes aventures de jeune étudiante de 20 ans, je vous raconte mon voyage en Afrique, qui a bouleversé mon année et ma vie sexuelle.

Proposée le 26/06/2023 par Sevalan

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


Les choses étaient parties de rien.

C’était la rentrée universitaire, et avec ma meilleure amie, on décida de s’inscrire à une activité hebdomadaire qui nous changerait les idées.
Yoga, salsa, pilates...nous hésitions. Puis en regardant dans les maisons de quartiers proches de chez nous, je tombais sur un cours qui m’interpella : danse et percussions africaines.
Sur un coup de tête, on décida d’aller au premier cours. Nous étions deux manches à balai en danse, avec la souplesse d’un tronc d’arbre et on se dit que ce serait un bon challenge.

Le premier jour, on arriva en retard. Échevelées, on avait couru sous les 30 degrés de la fin d’été, et on entra dans la salle de cours les joues rouges et en sueur.

Ce que je vis me laissa interdite. Un cercle de personnes avec un djembe entre les jambes, mais surtout, le prof. J’eus tout d’abord un sentiment de crainte.
Immense, la peau la plus noire que j’aie jamais vue, des yeux jaunes, une longue tresse tombait en cascade dans son dos. Il était colossal. Ses muscles saillants, noueux, brillaient à la lumière artificielle de la salle de danse.

Mon amie s’était elle aussi figée.

Le regard de l’homme s’éclaira et il nous fit un sourire éclatant.

- Entrez ! Asseyez vous et prenez un djembe.

C’est ainsi qu’on se retrouva à suivre des cours de percussions africaines. On s’attendait à danser, mais il semblait qu’on se soit trompées de cours et on ne le fit jamais, finalement à notre plus grand soulagement.

Ousmane, le prof, me faisait beaucoup d’effet.
En rentrant de notre premier cours, nous avions passé une heure à débriefer sur nos ressentis.
- Il est incroyaaable, ce sourire !!!
- Et son regard ! Et cette prestance !
- Et c’est vraiment un dieu du djembe...
Mon amie était sous le charme, elle aussi.

Un jour, alors que nous étions en cours, il passa derrière moi. Je sentis soudain son odeur, et je vis ses énormes bras m’entourer et ses longues mains prendre les miennes pour les replacer correctement sur le djembe. Mon cœur s’était arrêté : ce simple geste m’avait mis dans un état second.
À ce moment-là, pour la première fois je commençai à fantasmer quelque chose avec lui. Mais la peur me freinait : « Il a 20 ans de plus que moi... » « Il doit avoir une bite gigantesque, je ne pourrais jamais... ».

Un jour, il me prit à part avec ma copine.
« Les filles, comme vous le savez j’organise un stage chez moi, au Sénégal. Je trouve trop dommage que vous ne veniez pas pour des questions d’argent, alors je vous invite. »
On ne pouvait pas refuser.

C’est ainsi qu’on se retrouva à partir toutes les deux au Sénégal. Ma copine, 20 ans, blonde au yeux bleus, et moi, sportive au teint mat et aux longs cheveux bruns. Ousmane promit au père de mon amie, qui était ultra stressé, de prendre soin de nous et de nous protéger.

Arrivées à l’aéroport, une armée d’hommes nous alpagua. Serrées l’une contre l’autre, 30 secondes passèrent avant que j’aperçoive Ousmane, immense, en djellaba bleue.
Il nous fit un grand sourire en écartant les bras en signe de bienvenue, et sans réfléchir, on se jeta toutes les deux contre lui.
Il était dorénavant symbole de protection.

Ce fut un voyage incroyable. Nous logions dans un centre culturel qui faisait aussi office d’hébergement. Ousmane nous avait mis dans une chambre proche de la sienne pour veiller sur nous.
Il y avait d’autres français qui participaient au stage, dont une vieille femme folle, qu’on surnommait Arc-en-Ciel. Celle-ci avait jeté son dévolu sur Ousmane, et le sollicitait à chaque instant. Elle voulait créer « de grandes choses avec lui », « être la mère de tous les enfants d’Afrique », et c’est finalement grâce à elle que tout arriva.

Voyant mon protecteur harcelé, je lui proposais mes services de garde du corps. Un drôle de jeu s’installa alors entre nous. Chaque fois qu’Arc-en-ciel venait vers lui, il m’appelait « ma chériiie » et je me collais à lui. Ça la faisait fuir.

Alors que je sortais de la piscine, ruisselante sous le soleil brûlant, Ousmane m’interpella.
Et merde, j’avais pas vu que la vieille était là...

- Ma chérie, viens avec moi dans la chambre, on va faire la sieste !

Mon cerveau hésitais entre « gloups » et « omg ». Tout le monde nous regardait.
Je courais derrière lui, et pour la première fois j’entrai dans sa chambre.
C’était sombre mais chaleureux. Il y avait une télé, et des noyaux de dattes sur la table de chevet.
Je pris conscience que j’étais quasi nue, dans une pièce seule avec Ousmane.
Je levais les yeux vers lui, gigantesque montagne de muscles, et des frissons me parcoururent.

Le temps se suspendît. Il baissait la tête vers moi, je levais la mienne vers lui, et je bafouillais :
- T’as encore besoin de mes services ?

Il rit et me répondit :
- Non. Fais moi juste un câlin.

Je m’approchai doucement de lui, et il me serra dans ses bras. Son odeur chaude et sucrée me rendait folle.
Ses mains descendirent de mes omoplates jusqu’à mes reins nus. J’aurais aimé rester prisonnière de lui une éternité mais il me dit :
- File.
Je relevais la tête vers lui et nos bouches se frôlèrent.
- À ce soir.
J’acquiesçais et partit, le cœur battant à tout rompre.

L’après midi fut très longue. Mon amie était presque plus excitée que moi.
Le soir, Ousmane chanta lors de la veillée. C’était un instant très émouvant, et j’eus l’impression de découvrir une nouvelle facette de lui.

Je toquais à sa porte lorsque je fus sûre que tout le monde était couché.
Il m’ouvrit, et je m’allongeais directement sur le lit de manière décontractée, sur le ventre. J’étais fébrile mais je ne voulais pas être gênée.
Il s’allongea sur les coussins et audacieuse, je me collai à lui. Il passa un bras autour de moi.

Là, tout proches, on discuta. Il me posa beaucoup de questions sur moi, sur ma famille, sur mon passé, comme s’il voulait me connaître le plus vite possible. Pendant ce moment de confidences, il n’existait plus rien d’autre que nous deux, dans cette chambre sombre sentant le café.
Il plongea son regard dans le mien et me murmura :

- Je donne tout, pour les personnes que j’apprécie.

Puis il m’embrassa. Au contact de ses lèvres, un millier de bulles explosèrent dans mon ventre.
Sa main se posa dans ma nuque et notre baiser se fit plus appuyé, sa langue cherchait la mienne, je mordillai sa bouche en fondant de désir. Malgré mon appréhension, j’avais terriblement envie de lui.
Il me renversa et son corps massif m’écrasa délicieusement.
Des nuages défilaient dans ma tête. Je mourrais d’envie qu’il me possède, j’avais peur, je ne réalisais pas ce qui était en train de se passer.
Ses grandes mains parcouraient mon corps, incontrôlables, elles passaient sur mes seins, caressaient mes cheveux, longeais mes hanches. S’insinuèrent sous ma robe. Ma respiration s’accéléra, tandis que je le senti baisser ma culotte.
Il dut sentir que j’étais au bord de l’infarctus, car il se remit sur le dos et me laissa les rênes.
À genoux sur le lit, je me déshabillai lentement. Lorsque je fus totalement nue devant lui, il garda le silence et me contempla comme si j’étais une œuvre d’art.
Il ne put s’empêcher de palper mes petits seins, ronds comme des pommes.

Je lui enlevai son débardeur, et il baissa son short. Puis son caleçon.
Ma respiration se coupa : la légende était vraie. Sa bite était énorme. Elle ressemblait aux troncs des baobabs qu’on voyait dans la brousse.
Je me baissai et la prit dans mes mains. Elle n’était pas encore tout à fait dure. J’approchai le gland de ma bouche et le suça lentement, comme pour goûter le meilleur bonbon du monde.
Son sexe était très doux, légèrement fruité.
Ousmane poussa un grognement de plaisir et ferma les yeux. J’apprivoisai pas à pas ce gourdin, le dévorant, le léchant avec amour.

Puis soudainement, il ouvrit les yeux et me bascula sous son corps. Je compris que j’allais passer à la casserole, et les battements de mon cœur s’emballèrent.
- N’aie pas peur, je vais être doux.

J’étais quand même très inquiète. J’avais une toute petite chatte, où deux doigts ne passaient pas.

- Ouvre les jambes, m’ordonna t-il.

J’écartai les cuisses et il s’allongea de tout son long sur moi.
Je fermai les yeux, et il m’embrassa avec tendresse. Je sentis son sexe caresser le mien, forcer légèrement pour en trouver l’entrée...
Le visage collé contre celui d’Ousmane, j’haletai alors que je le sentis s’enfoncer lentement, impitoyablement en moi. J’étais comme un chaton entre les griffes d’un lion.
Il me serrait très fort contre lui, me dévorant les lèvres, puis il commença d’impitoyables vas et viens en moi. Je ne pouvais plus retenir mes gémissements. Il me murmura :

- Détends, détends...

Sa voix chaude me rassura.
Le plaisir se confondait avec la douleur. J’avais l’impression qu’il me transperçait avec sa bite.

Puis il se courba, et accéléra ses vas et viens en me bouffant les seins. J’avais envie d’hurler. Je m’accrochai à ses tresses, gémissante de plaisir. Sa bite glissait loin en moi, elle me remplissait et rien qu’à imaginer mon petit minou défoncé par cette énorme verge, j’avais envie de jouir.

Puis brusquement, il se retira et me retourna sur le ventre. J’étais vraiment son jouet.
Il me pénétra, ignorant mon cri, et passa un bras autour de mes seins pour me maintenir contre lui. Tandis que ses coups de reins s’intensifiaient, il saisit mes cheveux de son autre main et les tira vers lui pour dégager ma gorge. Puis, en me baisant sans ménagement, il me dévora le cou tandis que je hurlai.
J’étais complètement dominée.

Je compris qu’il perdait le contrôle lorsqu’il m’assena d’énormes coups de boutoir, tentant d’enfoncer au maximum son gros mandrin en moi, semblant ignorer que je faisais 50 kilos de moins que lui. J’étais son objet, sa chose.
Il me mordit la lèvre, et je sentis son sexe se contracter violemment, me remplissant de jets de sperme chaud.

Il se releva vite, me laissant exténuée, pantelante et en sueur, nue sur le lit.
Épuisée, je m’endormai immédiatement sur les draps trempés.


***

Une sensation agréable me tire du sommeil.
Un corps chaud et lisse contre le mien, une odeur de poussière et de sueur. Des doigts qui effleurent mon ventre, mes seins, ma cuisse. Un souffle léger dans mon cou, et des baisers.
La main se fait plus audacieuse et je la sens s’aventurer plus bas, entre mes cuisses fermes. Je soupire d’aise et je remue le bassin : mes fesses se collent à un énorme sexe qui grossit et j’ouvre brusquement les yeux. Le bras musclé qui m’entoure est noir ébène et tout me revient d’un coup.

- Je te préviens, tu vas pas dormir cette nuit, me chuchote Ousmane.
Je me retourne vers lui et il embrasse tendrement mon sourire.

J’entends le ronronnement du ventilateur au plafond, qui brasse l’air torride de la chambre.

Mon lion a l’air de vouloir un deuxième round...

Être dans ses bras est la meilleure sensation au monde. C’est aussi très excitant...
Ousmane prend mon visage entre ses mains et m’embrasse passionnément. Il s’installe sur moi, et je souris de plaisir en sentant ses 96 kilos de muscles moites me recouvrir. Comme un instinct de petite salope, j’écarte les cuisses. Il ondule maintenant, et c’est moi qui dirige son pieu vers mon petit minou trempé.
Plus nos langues se caressent, plus j’ai envie qu’il me prenne fort. J’agrippe son dos musclé tandis qu’il me pénètre avec douceur. Je ne peux pas m’empêcher de gémir, c’est trop bon. Il m’ordonne :
- Écarte plus.

Il se redresse et quand je vois cette montagne me surplomber, mon ventre se noue. Je vois son gros sexe noir s’enfoncer en moi avec lenteur, ses mains forcent mes jambes à s’ouvrir plus. Le contraste de sa peau d’ébène avec la mienne est saisissant, même dans la pénombre. Je lui souffle :
- Je veux te chevaucher.

Il sourit et se laisse tomber sur le dos.
Je monte timidement sur lui, j’ai l’impression que je vais devoir dresser un lion.
Mais il se laisse faire. Je guide son gourdin à l’orée de ma chatte et je me laisse tout doucement descendre sur lui, goûtant chaque centimètre que j’arrive à insérer en moi. Il a fermé les yeux, ses longs cheveux sont éparpillés le long de son corps de colosse. Il est magnifique.

Je pose mes mains sur sa large poitrine et je commence mes vas et viens, lentement, j’écoute chaque sensation que ça me procure, les yeux fermés. Je sens sa bite énorme coulisser en moi, me remplir, s’enfoncer de plus en plus loin.
Ses mains rugueuses caressent mes cuisses, remontent à mes fesses et il accompagne ainsi mes ondulations. Je bouge mes hanches plus vite, je veux jouer avec lui comme il a joué avec moi.
Mais soudain, il m’attrape et me plaque contre lui, liant fermement mes mains dans mon dos. Il empoigne mes fesses et me donne des coups de reins plus intenses. Je crie dans son oreille mais il n’en a rien à foutre, il m’emprisonne dans ses bras et me culbute. Pour riposter, je décide d’accompagner ses mouvements en donnant de grands coups de bassin, et il me mord le cou en représailles. Je suis au bord de l’orgasme.
Notre baise s’est transformée en combat.
Je rugis et lui mordille l’oreille, il grogne de plaisir. C’est son point faible, les oreilles. J’arrive à dégager un bras et m’appuyant sur ses pectoraux, je le chevauche brutalement en le regardant férocement dans les yeux.
Je sens que je le tiens. Je gagne.
Mais soudain, sa main qui tient fermement mes fesses s’approche dangereusement de mon anus. Je me fige et il comprend qu’il a trouvé le mien, de point faible...
Il profite de l’effet de surprise pour me donner une grande claque sur le cul, qui me fait m’effondrer sur lui.
Là, je suis à sa merci, il empoigne ma nuque et enfoui ma tête dans son cou. De son autre bras, il me maintient très fort contre lui et ignorant mes cris, il me pilonne dans un gigantesque bouquet final. Secouée de spasmes, ruisselante de sueur, il m’enserre très fort dans ses bras tandis qu’un orgasme incontrôlable m’emporte.

Je mis longtemps à revenir à la réalité. Quand je relevai la tête, il me regardait, l’air amusé.
- Tu ressembles à une sauvage, dit-il en caressant mes cheveux ébouriffés.

Je me relevais péniblement pour aller à la salle de bains.
J’étouffais un rire choqué. Les cheveux en bataille, mes joues étaient rouges et des suçons parsemaient mon cou. J’avais des traces de morsures sur les épaules et les seins.
Mais mes yeux brillaient.

Durant le voyage, je passai toutes mes nuits dans sa chambre. Nous nous mîmes d'accord : nous ne voulions pas être en couple. J'étais jeune, j'avais la vie devant moi, je voulais être libre. Lui voulait se consacrer à ses projets et son travail.

De retour en France, le manège se poursuivit. Il me laissai sa maison ouverte, et nous passions toutes nos nuits ensemble.

Nous avons fait l'amour des centaines de fois. Doucement, férocement, violemment, tendrement. Des fois, j'ai gagné et un sentiment de victoire me prenait lorsque je le voyais lutter alors que je le baisai, à califourchon sur lui. Des fois, c'est lui qui me laissait effondrée sur le lit, les fesses marquées par les claques.

Durant cette année on a appris à se connaître, par le corps, par les mots, et par le cœur aussi.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Dépaysement intéressant. Érotisme bien senti. Concordance des temps pas très habile. En fait le meilleur moment du récit se fait au présent lors de la seconde baise. Revoir ses conjugaisons?
Posté le 27/06/2023


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