Journal de jeunes - 2

- Je peux rester dormir avec toi ? Epuisée par un premier orgasme intense, la jeune fille se blottit contre son amant. Mais la nuit est loin d'être finie...

Proposée le 13/10/2022 par Sevalan

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Cet orgasme m’avait foudroyée.

J’étais venue à ce rencard avec une pointe d’appréhension, mais tous mes doutes avaient été balayés par ces dernières minutes de plaisir.

Épuisée, je me levais du lit défait et je me dirigeais vers la salle de bain. Je croisais mon reflet dans la salle de bain et je souris : mes longs cheveux blonds en bataille encadraient mes joues rougies, mes petits seins pointaient et ma peau était encore luisante de sueur.
Ce mec était incroyable. Il m’avait fait jouir du premier coup.

Je retournai dans les draps et je me blotti contre lui. Il me serra dans ses bras forts et une vague de bonheur m’envahi. Il était chaud, protecteur, je me sentais en sécurité enveloppée par son corps massif. Son torse encore humide de sueur collé contre mon dos et sa respiration contre mon oreille me procuraient un bien-être fou.
Soudain je me mordis la lèvre : je sentais son sexe grandir contre mes fesses. Je chuchotai :
- Déjà ??
Pour toute réponse, il me serra encore plus fort et déposa une série de baisers dans mon cou.

Ses doigts commencèrent à parcourir ma peau et je me sentis fondre face à sa douceur. Il effleura mon ventre, remonta à la courbure de mes seins, descendit par mon flanc jusqu’à ma cuisse, et un million de frissons me prirent quand il commença à caresser mes lèvres.
Joueuse, j’exerçais une pression avec mes fesses contre sa queue tendue à craquer et il grogna dans mon cou. En réponse sa main se fit plus sûre et très lentement, il inséra deux doigts en moi. Malgré la douceur de ses gestes, mon premier orgasme m’avait rendue ultrasensible et je poussai un gémissement incontrôlé.
Il me bâillonna avec sa main libre et entama brusquement une sarabande brûlante dans mon sexe : il me doigta de plus en plus fort, de plus en plus vite et enivrée par mes cris étouffés et le clapotis de ma mouille je senti que je perdais pied.
Soudain je me figeai. Je senti un doigt trempé effleurer mon anus.
- T’as jamais...?
- Non !

J’avais peur, mais en secret l’idée de ce plaisir interdit m’excitait au plus haut point depuis des années. Je savais que c’était mon point faible même si j’étais complètement vierge de ce côté là.

Ignorant ma réponse, il cracha dans sa main et étala sa salive contre mes fesses. Son bras enserra fort ma gorge pour me maintenir contre lui et à cet instant là je me sentis complètement soumise, mon ventre se liquéfiait de désir.
Il commença lentement de douces caresses, j’étais paralysée par la peur et l’excitation et je n’osais même plus respirer. Ma mouille inondait mes cuisses.
Tandis que son souffle rauque s’intensifiait dans ma nuque, je senti son doigt exercer une pression contre mon cul, puis forcer, forcer jusqu’à écarter mes parois et s’enfoncer doucement dans mon anus beaucoup trop serré pour sa main d’homme. Il n’eut même pas le temps de faire un vas et vient dans mon cul que je senti une vague gigantesque déferler au fond de mon ventre et je jouis violemment.

- Putain, mais toi...

Sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il me retourna sur le ventre et s’enfonça en moi sauvagement. J’hurlais de plaisir, il attrapa mes cheveux, plaqua ma tête dans l’oreiller et m’asséna une énorme claque sur la fesse. Sa main puissante étrangla mon cou pour me coller encore plus contre lui et je fermai les yeux. Je n’étais plus qu’un bloc de jouissance qui vibrait entre ses mains, mon ventre était ravagé par des milliers de tsunamis de chaleur. Ma chatte soumise coulait entre mes cuisses tremblantes et mon cul me rappelait encore l’empreinte brûlante de ses phalanges.
Il tira soudain mes cheveux en arrière pour mordre mon cou. Ma respiration se coupa.
Il faisait vraiment ce qu’il voulait de moi, je n’étais plus qu’un corps dans ses bras et cette idée achevait de me rendre folle de désir. Je l’excitais tellement que ses instincts primaires avaient pris le dessus, balayant tout son self control.

Sa bite épaisse me remplissait presque trop, elle ressortait débordante de mouille à chaque vas et viens. Elle était tellement dure que je sentais les irrégularités des veines qui la parcouraient glisser contre mes parois.
Brusquement, il me releva sur les genoux pour me prendre en levrette.
Je compris que j’allais prendre cher.
- Défonce moi...

Il me claqua le cul avant de l’empoigner sans ménagement. Et là, il se déchaîna.
La violence de ses coups de reins m’écrasa sur le matelas : il n’en avait plus rien à foutre. Plus de douceur, plus de tendresse, que du sexe brut, sauvage. J’étais sa chienne et cette idée me faisait exploser de plaisir. Je voulais qu’il se vide en moi, qu’il me traite de petite pute, qu’il défonce mon cul de claques, qu’il me remplisse et me souille de sperme.
Je touchais mon clito et tandis que je montais vers la jouissance, je sentis un doigt forcer mon trou serré et s’y enfoncer sans que je puisse y résister.
Pénétrée des deux côtés, mon plaisir monta encore d’un cran.
Il me doigtait le cul tout en me donnant d’énormes coups de butoir, son doigt me semblait énorme.
Alors qu’il essayait d’y insérer un deuxième, un orgasme dévastateur me fracassa et j’hurlai dans l’oreiller. C’était tellement fort que je ne sentit tout d’un coup plus mon corps.
Sa bite fut secouée de spasmes et tout en me remplissant de son liquide chaud, il s’effondra sur moi dans un grand souffle.


Mon propre cœur m’assourdissait.
Sonnée par cet énorme orgasme, je mis du temps à revenir à la réalité.
Quand j’ouvrais les yeux, je le vis à mes côtés, sa poitrine musclée se soulevait fort et ses cheveux étaient ébouriffés. Mon cœur se serra : il était vraiment beau.

Il me sourit et me prit tendrement contre lui.

La nuit promettait d’être longue.

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