Erwan est secrètement amoureux de sa tante Isabelle, qui séparée depuis longtemps de son mari volage, s'abrutit au travail pour oublier cette mésaventure. Les quelques loisirs qu'elle s'accorde, elle les passe à lire ou faire de longues promenades.
Proposée le 26/10/2021 par jeane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme
Isabelle lâchement trompée par son mari volage, c’est séparée de lui il y a quelques années. Souvent son neveu Erwan lui rend visite pour la réconforter, Isabelle adore le soutient moral de son neveu très prévenant.
Isabelle s'abrutit au travail, les seuls loisirs qu'elle s'accorde, elle les passe à lire ou en faisant de longues randonnées, souvent Erwan l'accompagne dans ses promenades, les deux deviennent de plus en plus fusionnels. Les sourires qu'ils échangent laissent à penser qu'il y à des sentiments entre eux, platoniques ou non ?
C'est les vacances, Isabelle demande à son neveu de les passer avec elle dans un petit mas qu'elle a louée. Erwan jeune majeur, surtout amoureux d'elle, ne le refuse pas. Les deux arrivent au mas non loin de la mer. Les bagages sont vites déchargés de la voiture et rangés dans les chambres. Isabelle en profite pour mettre une robe légère, elle ne ferme pas les derniers boutons de la robe d'été qui laisse entrevoir la naissance des deux seins. Erwan, enfile un short et un t-shirt. Ils déambulent bras dessus dessous, dans les rues du petit village très typique, à la recherche d'une épicerie, pour faire le plein du frigo. Une fois les courses faites et bien rangées, Erwan propose à sa tante de déjeuner dans la seule auberge du village.
Isabelle est ravi de ce choix, elle lui répond avec un grand sourire :
- Comment refuser une telle invitation, allons-y !
Erwan regarde sa tante avec un sourire, ses yeux brillent, chacune des paroles de sa tante lui font battre le cœur plus rapidement. Le jeunot est très amoureux de sa tante, pour lui, la différence d'âge n'a aucune importance, il est vrai qu'Isabelle pourrait être sa maman. Il est l'heure, les deux vacanciers se rendent à l'auberge et prennent la place que l'on leur indique. Pour l'apéro le rosé bien frais est de rigueur. Les deux se regardent comme des amoureux, ils ne cessent de se sourire en se regardant intensément. Ils trinquent plusieurs fois à l'avenir, Isabelle commence à être euphorique, elle ne supporte pas l'alcool.
Le repas commence, les deux consommateurs ont choisi un plat régional, ils prennent le temps de le déguster. Enfin, c'est le dessert, Isabelle a commandée une glace à la vanille. Erwan un gâteau. Isabelle toujours euphorique et dit en souriant à son neveu :
- Regarde !
Elle sort sa langue et lèche doucement le cône glacé, elle prend soin d'en faire le tour plusieurs fois. Soudain elle éclate de rire et ajoute :
- Je suis sûre que t'imagine, que ce n'est pas une glace !
- Oh tante qu'est que tu vas chercher là, je ne suis pas un pervers ! Qu'il répond en souriant. Le repas se termine, les deux regagnent le mas. Isabelle se laisse tomber à l'ombre d'un olivier elle dit :
- Je me suis régalée, je crois que j'ai trop abusée, maintenant il faut que je récupère !
Erwan s'assied à côté d'elle. En s'allongeant, la robe de sa tante a remonté à mi-cuisses. Erwan contemple les cuisses ravissantes de sa tante qu'il aime en secret. Il lui prend la main et y donne de multiples baisers dessus. Il la regarde tendrement et lui dit :
-Tu es ravissante tante et ta robe te va à ravir, tu es magnifique !
Elle lui répond un peu surprise par tant de compliments :
-Merci tu es gentil Erwan cela me touche tu sais !
Il lui lâche la main est se colle presque à elle, il se penche vers son visage, ses lèvres sont très près des siennes. Les souffles chauds se mêlent, leurs yeux brillent d’émotion. Isabelle est perturbée par le regard intense de son neveu, elle se sent moite. Erwan pose un baiser rapide sur les lèvres de sa tante, l’assaut surprise la fait sursauter. Elle fronce les sourcils puis dit :
-Oh Erwan tu es un fieffé coquin !
Il se redresse un peu gêné par l'acte qu'il vient de commettre, c'est en bafouillant qu'il répond :
-excuse-moi tante, tu me fais perdre la tête, je t'aime depuis très longtemps, je n'ai pas pu me contrôler pardonne-moi !
Isabelle reste coite, la déclaration de son neveu l'époustoufle, elle ne s'attendait pas à un tel aveu. Elle le regarde son cœur bat terriblement dans sa poitrine, elle est perturbée comme jamais. Elle arrive à répondre :
- Mais Erwan, je suis ta tante, je pourrais être ta maman, reprends-toi mon chéri !
Le mot chéri dans la bouche de sa tante le rend fou de joie, il se penche sur elle et lui donne plusieurs baisers sur le visage, ses lèvres frôlent la commissure des lèvres de sa tante adorée. Elle détourne la tête en poussant un gros soupir. Le bougre s'enhardit, il pose sa main sur la cuisse dénudée de sa tante et la caresse doucement. Isabelle ravale sa salive, l'audace de son jeune amoureux la rend fébrile. Son corps se met à frissonner, la main monte lentement sous sa robe légère et passe l'aine, elle glisse sur le ventre plat qui n'est protégé que par la culotte, elle fait des cercles de plus en plus petits. Isabelle détourne la tête, elle ne veut pas croiser le regard de son neveu, elle a honte. La main baladeuse monte sur son torse fébrile et le caresse longuement.
Sa peau souple frissonne, Isabelle tente de reprendre ses esprits elle marmonne :
- Arrête Erwan, je t'en supplie, ce n’est pas bien !
Mais le coquin lui saisit un sein et le presse doucement, Isabelle pousse un :
-Non, non oh mon Dieu, tu es un monstre Erwan arrête !
Le sein, prisonnier dans son carcan de tissu, gêne la palpation. Le neveu n'est pas satisfait, il retire sa main. Sa tante soupir de soulagement et dit :
- Tu deviens raisonnable enfin !
Mais le coquin a autre chose en tête, il commence à déboutonner la robe, Isabelle se débat sans trop de conviction. Le dernier bouton cède, Erwan, écarte les pans de la robe. Son regard se pose sur la culotte qui étrangement a une tache humide à hauteur de la vulve. Le jeune gredin regarde droit dans les yeux sa tante et lui sourit.
Elle lui répond une certaine gêne dans la voix :
-Eh oui tu m'as fait mouiller cochon !
Erwan plaque sa main sur la tache et caresse l'endroit humide. Isabelle se cabre en poussant un :
-Non Erwan, je deviens folle !
Mais trop tard, les doigts glissent sur sa fente cachée par la culotte, la vulve lâche de plus en plus de cyprine, la culotte est maintenant trempée, le jus divin s'écoule le long des cuisses de la tante qui maintenant ne résiste plus. Mécaniquement elle ouvre les jambes et accepte, les attouchements de son neveu amoureux. Les mains du jeune étalon saisissent la culotte et la descend doucement le long des longues jambes de la femme, qui est devenue une proie. Au passage, Erwan hume les effluves odorantes qui s'échappent du puits d'amour, il en profite pour donner un baiser rapide sur la vulve en fusion.
La culotte se retrouve au sol, le soutien-gorge ne tarde pas à suivre. Les doigts agiles se posent sur la fente et s'insèrent entre les grandes lèvres, ils longent le sillon peu profond et s'agrippent au bouton d'amour. Isabelle ferme les yeux en soupirant fortement. Les doigts fins triturent la boule de chair qui a presque doublée de volume, Isabelle geint de plaisir, elle s'accroche au cou de son amant et l'embrasse fougueusement, les langues se nouent pour un long baiser. Isabelle se cabre lorsque les doigts branlent doucement son clitoris. Elle geint, en s'agitant son bassin. La tension monte dans son corps, ses râles sont de plus en plus bruyants. Elle tente d'étouffer ses gémissements en se mordant le poignet.
Erwan, tout en masturbant le clito de sa tante, lui enfonce trois doigts de sa main libre au plus profond de son vagin. Isabelle pousse un grognement terrible, les doigts qui la fouillent la font défaillir. Sa vulve malmenée, laisse échapper un bruit étrange de succion. Cela, excite le neveu qui s'acharne sur sa proie devenue docile. Ses doigts s'agitent férocement dans la gaine détrempée par l'abondante cyprine. La tante donne des coups de reins violents, en grognant comme une bête enragée. Elle cri en s'agitant :
- Erwan, Erwan, mon Dieu je viens !
Elle n'a même pas le temps de finir sa phrase, qu'elle se cabre et jouit atrocement fort. Sa cyprine odorante gicle sur les mains de son jeune amant, qui sourit fier de sa performance. La tante halète, sa respiration est rapide, son souffle est court. Erwan retire ses doigts englués de cyprine, du temple de l'amour. Il caresse maintenant les lobes mammaires, ses doigts tournent sur les aréoles grenelées, en frôlant les mamelons. Isabelle pousse de grands soupirs, elle a du mal à se contrôler, son corps se met à trembler, ses bouts comme par miracle se dressent en prenants du volume. Le neveu amoureux, les roule entre ses doigts habiles, les étire, les presse de temps en temps pour les faire enfler davantage. Isabelle est au bord de la syncope, la coquine jouit une nouvelle fois en haletant fortement.
Erwan en profite pour retirer ses vêtements, sa queue et tendue comme un arc, il l'agite fièrement, sous le nez de sa tante qui la saisit d'une main. Elle la presse, cela fait grimacer Erwan, qui se cambre sous la forte pression. Elle décalotte le gland le regarde avec ses yeux vitreux qui sont encore sous le choc de la jouissance. Elle ouvre la bouche et le gobe, cela fait déjà un bon moment qu'elle n'a pas sucé de verge. Sa bouche fait des merveilles, elle suce et tète comme une déesse, la queue de son neveu et secouée de spasmes. La coquine s'évertue du mieux qu'elle peut, elle ne veut pas décevoir son jeune amant.
La queue prend encore du volume, Erwan se bloque et envoie en rugissant dans la gorge de la suceuse sa semence épaisse. Le flot important de sperme manque de l'étouffer, elle repousse son neveu vivement et déglutie difficilement le divin nectar. Elle s'essuie la bouche d'un revers de la main, elle regarde son amant et lui dit :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
À suivre
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