Tante Lice devient mon jouet sexuel 2

Lice enfin se donne à moi, je la défonce comme un forcené. Nos corps ne font plus qu'un, elle geint comme un animal en rut, elle comble enfin le manque d'homme dû à son veuvage. Elle est au bord de la syncope tellement elle est fiévreuse.

Proposée le 6/10/2021 par jeane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ma tante réticente se raidit, elle marmonne des mots inaudibles. Le baiser devient de plus en plus fougueux, elle tressaille. Nos salives se mêlent. Nos souffles chauds deviennent bruyants. Enfin je me redresse, je regarde un bon moment le corps nu de ma tante adorée, je pose mes mains sur sa peau satinée et caresse délicatement chaque parcelle de ce corps qui me rend fou.


Mes mains montent lentement sur le torse de mon amour, elles font des cercles avant de buter contre les lobes mammaires. Ma tante frissonne, son souffle s'accélère, elle ferme les yeux pour ne pas croiser mon regard. Je lui masse doucement les seins, elle gémit faiblement. Mes doigts agiles s'emparent de ses mamelons et les pressent doucement, je les roule entre mes doigts fébriles, je ne cesse de regarder ma tante qui doucement se laisse aller. Elle ouvre les yeux, ils brillent de mille éclats, son corps se met à trembler lorsque j'écrase doucement ses mamelons. Les bougres prennent du volume, ils deviennent larges et épais. Lice entrouvre la bouche et dit faiblement :

- Oh oui, continue mon amour !

À, c’est mots mon cœur se met à battre fortement dans ma poitrine, je n'en reviens pas ma tante m'aime aussi. Tout en lui triturant les mamelons, je pose mes lèvres fiévreuses sur les siennes, elle me prend par le cou et me serre fortement contre elle. Le baiser que nous échangeons est un vrai baiser d'amour. Le baiser prend fin, tante Lice me murmure :

-Aime-moi, j'ai trop envie de toi mon amour !

Je me place à ses pieds, Tante ouvre lentement les jambes, ses yeux sont vitreux elle offre sa chatte à mon bon vouloir. Je caresse sa fente longuement de base en haut, chaque caresse sur sa vulve la fait geindre de plaisir. Elle ronronne comme une chatte, que l'on flatte de la main. Sa chatte dégouline de plus en plus, j'écarte les grandes lèvres puis, saisis son clitoris. Lice se cabre lorsque je presse sa boule d'amour, je branle doucement la boule de chair, je l'écrase fortement de temps en temps. Cela ne déplaît pas à ma tante, car elle gémit de plus en plus fort. Pendant que je la masturbe, je lui enfonce trois doigts dans le conduit brulant, elle se cabre en poussant un :

- Oui, oui oh !

Le lui ramone énergiquement le conduit vaginal, tout en accélérant le branlage de son bouton d'amour. Ma tante se tortille de plaisir, elle grogne comme une bête en rut. Soudain elle se cambre fortement pousse un râle terrible et jouit terriblement. Sa cyprine gicle avec force, j'en profite pour faire tourner mes doigts violemment dans sa chatte détrempée. Cela a pour effet de la faire jouir davantage. Lice halète son corps est secoué de spasmes, je plaque ma bouche sur sa perle gonflée à l'extrême puis, je la suce brutalement, ma tante se cabre en couinant de bonheur. J'avale avec gourmandise tout ce que sa chatte envoie, je me gave de ce jus suave qui me fait défaillir.


Lice jouit en continu, son corps à orgasme sur orgasme. Je me redresse et place ma queue tendue contre le cratère en éruption, un petit coup de reins suffit pour enfoncer ma queue jusqu'aux couilles dans le ventre de mon aimée. Elle s'accroche à moi et donne des coups de reins terribles, la chaude amante veut être empalée au maximum. Ma queue coulisse de plus en plus rapidement dans les entrailles en ébullitions, ma tante ne cesse de geindre, elle agite son bassin en grognant comme une bête blessée.

Soudain, elle se tend comme un arc en poussant un cri terrible. Elle jouit affreusement fort, elle s'accroche à moi comme une pieuvre à son rocher, son corps est secoué de tremblements, elle couine en soufflant fortement.

Je me retire du puits d'amour puis, offre aux lèvres charnues de ma tante ma queue gorgée de sang. Elle la saisit, décalotte le gland, sa langue en fait plusieurs fois le tour, elle titille le frein puis, lape les perles de rosée qui s'échappent du méat. Je rugis comme un fauve, la coquine sait y faire, sa bouche vorace gobe mon engin et le tète sauvagement, pendant qu'elle me suce, je lui écrase les tétons. À chaque pression sur ses mamelons, elle fait un hum qui en dit long. Sa bouche fait des miracles, ma queue a doublé de volume. D'une main, elle me triture les couilles, je suis au summum du bonheur. Ses doigts glissent dans ma raie, appuient sur ma rondelle brune, le muscle anal cède et avale deux doigts. Je me cabre, la coquine me sodomise avec ses longs doigts. Je ne tarde pas à envoyer plusieurs décharges de semence dans la bouche de ma tante qui avale la totalité de mon sperme visqueux. Elle s'acharne sur ma queue et mon rectum. Ma queue et secouée par ne nombreux soubresauts. Ma tante se régale de mon jus gluant.


Elle reprend les succions sur mon membre, je suis au bord d'une nouvelle explosion. Je me raidis, me bloque et pendant que je gicle de jouissance, je lui écrase les mamelons, cela à pour effet de faire jouir ma tante comme une damnée.

Les forces commencent à manquer. Étendus, l'un à côte de l'autre, nous reprenons des forces. Ma tante se met sur le flanc, sa cuisse se pose sur les miennes, elle me regarde amoureusement et me dit entre deux souffles :

- Encule- moi mon chéri encule-moi je suis folle de toi !

Je réponds :

-Oui tu le seras, mais j'aimerais te voir jouir avec d'autres personnes, t'offrir à des couples, tu en penses quoi mon amour ?

- Je suis ta chose maintenant mon amour, tout ce que tu veux je le veux aussi !

Je saute de joie, en lui promettant des délires sexuels.

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