Après de multiples tentatives infructueuses, je réussis à emmener ma tante Lice dans un club libertin, la lumière est tamisée rend l'endroit intime. Seule la piste de danse est très bien éclairée. On nous installe à une table en bord de piste, sur la piste, il y a deja quelques couples qui font plus que danser.
Proposée le 20/09/2021 par jeane
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Tante Lice est une femme d'une cinquantaine d'années, aux formes généreuses, veuve depuis un bon bout de temps, je loge souvent chez elle, elle dit que cela lui fait de la compagnie. Elle m'attire comme un aimant, je crois que je ne la laisse pas indifférente. Souvent elle me frôle volontairement, elle me caresse les mains et les bras en me souriant. Maintenant, elle prend plaisir à me masser les épaules, ce qui n'est pas pour me déplaire. Une fois terminé, la coquine, me regarde intensément dans les yeux, en ayant un sourire aux coins des lèvres. Elle sait que ses doigts font sur mon corps un effet terrible, à chaque fois, c’est pareil, je bande comme un cerf. Elle regarde avec intérêt la bosse qui déforme mon pantalon.
J'en peux plus, il faut que je couche avec. Je tente souvent de m'introduire dans sa chambre, mais à chaque fois, elle me repousse. J'adopte une autre stratégie, je lui parle régulièrement de clubs libertins, cela ne la choque pas, mais refuse d'y aller. Après de nombreuses tentatives infructueuses, elle accepte enfin de venir voir ce dont il s'agit.
Nous nous rendons au club, une hôtesse nous place à une table en bord de piste, La lumière tamisée rend l'endroit intime. Seule la piste est pleinement éclairée, cela permet aux voyeurs de se rincer l'œil. Les couples ne font pas que danser, rapidement ils passent à l'étape supérieure. Lice ne cesse de regarder deux hommes et une femme enlacés, la femme à la jupette retroussée sur la taille, elle ne porte pas de culotte ici, c’est inutile.
Les mains de l'homme qui fait face à la femme, glissent continuellement sur ses seins, les bougres, ne sont que protégés que par le fin tissu du corsage transparent. J'entends ma tante soupirer fortement, elle ne prête pas attention à moi, ses mains descendent sur ses cuisses et les caressent doucement. Lentement elle écarte les jambes, pose une main sur sa culotte qui s'humidifie affreusement, ses doigts commencent à monter et descendre sur sa fente qui mouille de plus en plus. Soudain elle pousse un cri qu'elle étouffe en se mordant la main. Sur la piste, les queues énormes des hommes viennent de s'enfoncer dans les orifices en feu de la femme. Lice n'a pu s'empêcher de pousser un cri.
La femme soumise couine comme un animal à chaque enfoncement des pieux en elle. Lice ne quitte pas des yeux le trio. Je vois ses yeux briller, elle entrouvre la bouche pousse un gémissement et écarte sa culotte d'une main. Sa chatte est en feu, sa cyprine lui coule sur les cuisses, elle saisit son clito de sa main libre et se branle comme une damnée. Je pose ma main sur la sienne, elle ne réagit pas, ses yeux sont rivés sur le trio, les hommes ne ménagent pas la femme, leurs coups de boutoir sont bruyants, ma tante sursaute à chaque coup de bélier que la femme reçoit. La femme pousse un râle terrible, elle jouit comme une fontaine, pendant que les deux mâles déversent en elle leur semence épaisse.
Le trio rejoint leur table, Lice est déçue, elle aurait voulue que cela dure plus longtemps. Elle me regarde, prend conscience de ce qu'elle fait. Gênée, elle retire rapidement sa main de sa culotte et rabaisse sa jupe. Ses yeux sont vitreux, elle a à peine la force de me dire :
-Rentrons Marc, j'en ai assez vu pour ce soir !
Nous regagnons la voiture, pendant tout le trajet, elle ne prononce pas un mot, son regard est fuyant. Nous arrivons enfin, le chemin m'a paru long. Ma tante entre rapidement dans la douche, dans sa précipitation, elle a laissée la porte de la salle de bain ouverte. J'entends l'eau couler, je m'approche discrètement en me faufilant dans la salle de bain. Elle est face à moi, je me recule rapidement. Heureusement elle ne m'a pas vu. Je peux voir malgré la buée son corps magnifique, soudain elle commence à se caresser la vulve, elle serre les dents, ses doigts s'enfoncent profondément en elle. Je suppose que le spectacle fait encore son effet sur elle. Elle geint de plaisir, en se fouillant le corps de ses doigts agiles.
Je veux qu'elle soit à moi, volontairement je fais claquer la porte de la salle de bain et dit fortement :
-Tante tu en as pour longtemps, il est tard, j'aurais voulu prendre moi aussi une douche !
Coupée dans son élan, Lice retire sa main et répond un peu frustrée :
-Voilà je m'essuie et je sors !
Elle sort enroulée dans une serviette, fixée juste au-dessus de ses seins et qui lui arrive à mi-cuisses. Je défaille tellement elle est belle. Je prends une douche rapide puis monte à l'étage, je passe près de la porte de la chambre de ma tante, j'ouvre la porte sans frapper. Elle est entièrement nue étendue sur son lit. Elle se redresse et d'une voix outrée dit :
-Mais Marc tu dois frapper avant d'entrer, je suis nue !
Je réponds sans me démonter :
-Je dois avouer ma tante, que le spectacle et magnifique !
Sans scrupules, je m'assois sur le bord de son lit, elle n'arrive pas à cacher sa nudité, je regarde ses courbes généreuses un bon moment. Elle rougit et marmonne :
-Marc va dans ta chambre, cela ne se fait pas, je suis ta tante !
Je la fixe longuement du regard et pose ma main sur une de ses cuisses, elle sursaute. Ma main caresse sa peau fine, mes doigts glissent avec douceur vers l'intérieur des cuisses. Lice pousse un soupir bruyant, mais ne me repousse pas. Mes doigts à plusieurs reprises frôlent sa fine toison, mécaniquement Lice ferme les yeux et ouvre doucement le compas de ses jambes. Je pose délicatement deux doigts sur ses lèvres vaginales et les fais glisser de bas en haut. Ma tante se cambre fortement, elle geint en prononçant mon nom plusieurs fois :
-Marc, Marc arrêtes nous sommes fous !
Mais ses paroles changent :
- Continu mon chéri oui continu !
Je suis fou de joie, je pose mes lèvres sur celles de ma tante, nous échangeons un baiser ardent qui dure une éternité, elle ne me lâche plus la bouche, sa langue s'enroule autour de la mienne, nous salives se mêlent. Mes doigts sont toujours en contact avec sa vulve, la coquine mouille atrocement.
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Commentaires de l'histoire :
Manudom
Bonjour désolé pour le 1etoile mais j'ai fait une fosse manipulation.. je trouve cela vraiment super j'ai hâte de lire ci il y as une suite
Posté le 24/09/2021
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