Tante Lice devient mon jouet sexuel 4

Régulièrement, nous démontons sauvagement ma tante, maintenant la coquine en veut encore plus, elle a pris gout aux queues monstrueuses de Paul et de Pierre. Elle devient de plus en plus exigeante. Pierre lui promet une surprise pour la semaine prochaine.

Proposée le 9/10/2021 par jeane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Régulièrement, Paul, pierre et moi nous faisons délirer ma tante à grands coups de queues. La cochonne devient de plus en plus accro au sexe. L'étreinte d'aujourd'hui a été terrible, mais pour ma tante cela ne suffit pas. La cochonne nous a épuisée.

Pierre lui propose une surprise pour la semaine prochaine. Lice jubile à cette annonce qui l'excite au plus au point. Enfin seul avec mon amour, les baiseurs ont quitté la maison. Toujours nue, Lice me regarde, elle s'étend sur la table du salon, ouvre les cuisses et commence à se masturber en me regardant. Ses doigts agiles glissent sur son clito qui n'a pas encore désenflé. Elle l'étire fortement en grognant et se cabre et hurle :

- Prends -moi Marc, fais-moi jouir donne-moi ta queue mon chéri !

Je m'approche en me caressant la bite, elle est tendue comme jamais. Ma tante replie les jambes sur son ventre en les s'ouvrant au maximum. Je frotte mon gland violacé contre sa vulve en ébullition et enfonce mon glaive dans le ventre de ma tante qui pousse un râle de bonheur. La femme en furie s'agite sur mon pal, en gémissant comme une dingue. Elle jouit plusieurs fois en râlant de plaisir. Je me raidis et envoie le restant de semence qui reste en moi. Ma tante couine en s'accrochant à moi. Je parvins après un bon moment de pilonnage de jouir à nouveau. Enfin rassasiée ma tante me libère.

Le jour tant attendu arrive enfin, Pierre se présente avec une vieille femme maigrichonne, elle s'appelle Hildegarde, elle tient dans sa main une petite mallette en alu. Elle a la réputation d'être une experte des minous. Les deux femmes se regardent longuement, la vieille s'approche de Lice et commence à la tripoter, elle lui palpe les seins à travers son corsage et lui caresse de nombreuses fois la chatte protégée que par une jupe très courte.

Hildegarde, ordonne à Lice de se dévêtir. Le ton autoritaire ne déplaît pas à ma tante qui fait tomber rapidement ses vêtements. La vieille regarde avec insistance les formes généreuses de sa proie, elle se déshabille à son tour. Ses seins pendent sur son torse, les grandes lèvres de sa chatte sont bien développées, elles pendent affreusement. Hildegarde dit :

-Bon maintenant passons aux choses sérieuses ma salope, allonge-toi sur la table basse !

Elle réclame un gros coussin pour le mettre sous les reins de Lice. Elle lui ordonne de replier ses jambes sur son ventre et de ne pas rechigner à ce qu'elle va lui faire. Elle ouvre la petite valise, en sort des développeurs de tétons. Elle les place sur les mamelons et actionne les engins. Le vide se fait dans l'appareil. Lentement les bouts enflent, Lice ronronne au son des engins. Un temps plus tard, les tétons ils sont devenus monstrueux.

Hildegarde retire les pompes, elle appuie plusieurs fois sur les bouts méconnaissables, les étire, les roule entre ses doigts noueux. Ma tante geint sous les doigts de la femme experte, un filet de cyprine s'échappe de sa chatte. La vieille est satisfaite de la tournure des choses. Elle pose sa bouche sur les mamelons et les suce sauvagement, elle les mordille férocement les étire. Elle regarde Lice et lui demande :

-Tu aimes ça salope hein, dis-le

Elle lui donne un claque violente sur la cuisse, en souriant.

- Oh oui, c’est trop bon continue je t'en prie ! Répond ma tante qui est presque en transe.

La bouche vorace gobe les bouts qui ressemblent à des doigts tellement ils sont gros. Ma tante couine de plaisir, soudain elle se cabre et jouit. C’est incroyable la vieille vient de la faire jouir en lui triturant les seins. Enfin elle délaisse les lobes mammaires.



Elle lui taquine le clito en secouant la tête négativement. Elle place sur la petite boule de chair une pompe à clito et met l'engin en marche. Lice se cabre la sensation qu'elle ressent est terrible sont corps est parcouru de frissons. Ma bite est raide, je l'approche de la bouche de ma tante. Hildegarde dit :

-vide les couilles de ton chéri il en a besoin, vas- y suce sa queue salope et avale tout !

C'est avec gourmandise que ma tante s'acharne sur mon gland, je geins de bonheur chaque succion sur ma queue me fait cabrer, la langue qui tourne sur mon gland me rend dingue. Soudain je lui saisis la tête et enfonce ma bite jusqu'aux couilles dans sa bouche. Habituée aux gorges profondes mon amour savoure ce moment délicieux. Je lui envoie une puissante giclée qu'elle déglutit difficilement et finie par avaler la totalité de mon sperme. La vieille s'écrie :

-Oui, c’est parfait ma salope régale-toi du nectar des dieux, maintenant je vais m'occuper de toi, tu vas devenir une chienne !

Le clito de ma tante est devenu énorme, Hildegarde sourit et retire la pompe. Elle presse la boule de chair fortement, ma tante se cabre en grognant entre ses dents. Sa bouche vorace se plaque sur le clito et l'aspire fortement, ma tante se tend comme un arc, la vieille sait se servir de sa bouche. Elle suce et tète avec voracité le clito qui est devenu très sensible. Ma tante est aux anges, ses sens sont soumis à rude épreuve, elle geint sans cesse. Hildegarde mordille la perle monstrueuse, Lice pousse un râle terrible et jouit fortement.

La cyprine abondante coule à flot sur les cuisses de ma tante, Hildegarde a les yeux rivés sur la chatte de ma tante, elle se lèche les babines. Elle sort de la mallette un gode ceinture étrange. Il se compose d'un double gode qu'elle peut enfoncer dans la chatte de ma tante et dans son cul en même temps. À l'intérieur de la ceinture, un gode que la baiseuse doit s'enfoncer pour être synchro. Les deux femmes vont être pénétrées simultanément par des bites en silicone, les manchons sont interchangeables. Hildegarde enfile le gode ceinture, elle pousse un petit souffle lorsque la bite factice s'enfonce dans sa chatte. Elle place le monstrueux engin contre la chatte et l'anus de ma tante, elle s'accroche à ses hanches et donne un violent coup de reins. Lice pousse un hurlement de douleur, elle grince les dents. Les engins sont bien ancrés dans ses orifices, la vieille commence un infernal va-et-vient, chaque enfoncement arrache à ma tante un petit cri. Les queues voyagent de plus en plus rapidement dans les entrailles des deux femmes.


Hildegarde rugit, elle se bloque et jouit affreusement, ma tante continue de s'agiter sur les fausses queues qui la font délirer, La vieille reprend la chevauchée avec acharnement. Elle fait jouir ma tante comme une fontaine, sa chatte est un vrai geyser. Hildegarde retire du corps de ma tante les engins de silicone. Elle change, les manchons par des très gros, garnis de picots. Elle replace la ceinture, elle grimace le manchon lui dilate la gaine vaginale au maximum. Elle regarde ma tante qui la supplie :

- Vas-y enfonce-moi c'est trucs je veux être défoncée éclate-moi, vieille peau !

- Oh là ma salope, la vieille peau va te faire déguster, je vais te vider de ta sève entièrement, tu vas être une machine à jouir !

Elle donne un coup de reins violent, les godes s'enfoncent jusqu'à la garde dans les entrailles de ma tante. Hildegarde appuie sur un bouton qui se trouve sur la ceinture. Les deux femmes soufflent fortement, Les manchons ornés de picots tournent dans les orifices visités. Les picots arrachent des couinements rauques de bêtes blessées, aux deux femmes. Les pointes de silicone raclent les parois des gaines distendues devenues très sensibles. C'est un festival de jouissance, les deux giclent atrocement fort, une tache énorme de cyprine, s'étend à côté de la table basse. Pierre et moi nous avons les yeux écarquillés, nous queues sont prêtent à reprendre du service. Les deux actrices ne cessent de jouir. La vieille hurle :

-Pierre, Pierre encule-moi vite, je défaille !

Pierre n'attendait que cela, il écarte la sangle qui cache l'anus de la vieille et s'enfonce d'un seul coup jusqu'aux couilles. Hildegarde ondule du bassin, elle donne des coups de reins violents. Le gode bute fortement contre le col de l'utérus de ma tante qui grogne comme un fauve. La vieille s'écroule sur ma tante, car sa jouissance et phénoménale. Les engins tournent toujours dans les gaines de chair. Les deux femmes sont des rivières intarissables. Pierre arrête les rotations des manchons. Il retire avec difficulté, Hildegarde de son accouplement. Les deux femmes en les yeux vitreux, elles halètent, leur soufflent est court. Moi, je retire le gode ceinture de la taille de la vieille, elle pousse un râle de soulagement puis, s'écroule sur le sol. Ma tante est en sueur, elle souffle comme un bœuf.

Mais Pierre dit que la séance n'est pas terminée.

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