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Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45. (2)

Quand on découvre que son grand-père pendant la guerre est passé de puceau à jeune coq utilisé par toutes les poulettes du coin. Dans ce temps, il fallait biner pour faire pousser les jeunes plantes en fleurs.

Proposée le 11/09/2021 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme


Le lendemain matin au petit déjeuner une fois qu’Aline se fut absentée, leur comportement changea et elles furent toutes au petit soin pour moi, commentant cette nuit de débauche comme si je n’existais pas.
-Notre coq à la queue plus verte que Juan, lui n’a jamais tenu les trois rounds, expliquait Lina.
-Et il était encore « en forme » quand je l’ai quitté. Confirmait Luisa. Et quel gourdin !
-Eh ! Je veux bien le partager avec vous ! S’exclama Ninon. Mais vous allez le dépraver et le rendre malade si vous lui donnez trop souvent votre potion. En une nuit, il a vécu ce que peu d’hommes ne connaîtront jamais !
-Eh ! Je suis là ! Je m’emportais. J’ai peut-être mon mot à dire !
Chaque jour jusqu’au retour de mes parents, que ce soit la nuit ou dans les « conches », Il fallait que je contente l’une ou l’autre. Heureusement que j’étais jeune et en pleine possession de mes moyens au niveau sexuel car il fallait que je donne de ma personne.
Le feu d’artifice eut lieu la veille du retour de mes parents où, m’ayant fait à nouveau boire de la « potion magique », ces trois bacchantes se déchainèrent ensemble sur le « pôvre gosse » que j’étais. Mais j’étais fier comme un coq avec toutes ces « poules ».

Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45. (2) Le drame, même plusieurs, eurent lieu l’année suivante. Lors du bombardement de la base sous-marine par les alliés, des bombes détruisirent des maisons dont celle de mon copain Pierre, il y perdit la vie ainsi que sa mère. Je perdis alors mon insouciance et se fut encore pire quand mon père se fit arrêter par la Gestapo. Je ne le revus jamais. Nous ne quittions plus la minuscule ferme où mes cousines de Dieppe, Virginie et Colette nous avaient rejoints. Il ne faisait pas bon de vivre dans ces coins là à cette époque…
Pour oublier mon chagrin, je n’avais pas trouvé mieux que de me noyer dans la luxure, dans ces courts moments de bonheur où j’oubliais tout. La bicoque était si petite que Lina avait prêté une dépendance pour en faire un dortoir pour mes cousines, ma sœur et moi. Elle avait récupéré des lits superposés, d’un coté, moi et ma sœur, de l’autre mes cousines. La nuit, il était interdit d’allumer et la minuscule fenêtre qui donnait sur l’océan était obturée par une couverture épaisse car si une lumière était aperçue par les marins de leurs vedettes ou des boches qui faisaient des rondes, ils n’hésitaient pas à lâcher une rafale de mitrailleuse ou des coups de fusil.
Mais c’était sans compter l’insatiable Ninon. Elle se coulait subrepticement dans la pièce en pleine nuit, se suspendait des mains aux lattes du lit supérieur et me chevauchait comme une amazone déchainée, serrant les lèvres pour ne pas réveiller les filles endormies. J’eu la surprise un matin en voyant une tache de sang sur les draps et inquiet, m’en épancha à Ninon.
-Tu étais bizarre cette nuit, on aurait dit que tu ne savais pas comment faire et j’ai ressenti comme de la résistance quand mon sexe s’est enfoncé dans le tien.
Sa réaction fût étonnante.
-Ah la petite pute ! Elle a osée !
-Osé quoi ? Et qui ?
-Ma sœur pardi ! J’ai dû passer la nuit à l’étable car la « Rousse » était malade. Cette salope d’Aline en a profitée pour allez se faire dépuceler sur ton gourdin ! Et tu n’as rien remarqué ?
-Eh bien, euuuhhh, je dois dire que… j’ai bien remarqué que l’étui avait l’air plus serré que d’habitude et que tu/qu’elle n’a pas tenu longtemps avant de geindre, j’ai même dû la bâillonner des mes mains pour qu’elle ne réveille pas les autres.
Mais le mal était fait, et les poulettes dessalées. Dans les semaines qui suivirent, deux fois encore, des taches de sang tachèrent mes draps. J’étais devenu le coq de la basse-cour, le seul et unique… Et toutes les poules caquetaient entre elles pour comparer leurs impressions, ce qu’elles avaient fait ou non, en voulant encore plus de ma part. Un vrai défilé je vous dis !!! Il manquait une tache de sang, ce qui voulait dire que : Où l’une d’elle s’abstenait, ou elle était déjà dépucelée, mais laquelle ???

Le pire, c’est que je ne savais jamais quelle poulette montait sur le coq tellement la pièce était dans le noir complet. Et à part Ninon, sa mère ou sa tante qui demandaient elles aussi leur dû quand je partais avec elles aux travaux des champs, je ne savais laquelle j’étais en train de troncher… Je n’ai jamais su laquelle, quand elle arrivait à l’orgasme, m’inondait comme si elle me pissait dessus que mes draps en étaient à tordre. Par accord tacite d’ailleurs, mes draps étaient changés chaque jour sans qu’un seul commentaire de l’une ou de l’autre ne trahisse l’auteure de cette performance. Mais je suis sûr qu’entre elles, elles se disaient tout.
Des années plus tard, un jour un compagnon de cellule me raconta dans une longue lettre les derniers jours de mon père qui fut fusillé par les boches un matin sans avoir trahi son réseau. Heureusement pour Lina et tous ceux qui vivaient sous son toit.
Pendant plusieurs années, sans que ma mère le sache, j’étais souvent invité de droite et de gauche car les poulettes, devenues de belles poules, attendaient avec impatiences de revoir leur « coq », se déplumant le cou à coup de bec entre elles pour avoir la meilleure place du poulailler qui s’étoffa d’autres cousines qui voulaient tester « le coq ». Je ne sais pas si un jour quelqu’un lira ces lignes. Mais je lui demande d’être discret car s’il est de ma famille, il est bien possible que son cousin ou sa cousine soit son demi-frère ou sa demi-sœur.

Bordel de merde !!! Quelle révélation !!! A part faire des recherches génétiques, je ne saurai jamais si sa prédiction est devenue réalité. Mais il a raison, à part semer la merde ça n’apportera rien de bon.
Je vais brûler ces cahiers mais après en avoir écrit un livre « édulcoré de certains passages ».

NB : Ce livre existe vraiment. Je m’en suis inspiré après l’avoir lu pour la trame de ce texte et les malheurs arrivés dans cette histoire sont aussi bien réels. Tous les prénoms ont été changés, sauf un.

Mlkjhg39

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Commentaires de l'histoire :

anonyme
Mélange de plaisir et de drame. Bien écrit. Ma vie sexuelle a commencé à la fin des années 1970, époque des sexes masculin et féminin encore bien poilus. Les jeunes et moins jeunes qui se rasent pour suivre la mode d'aujourd'hui oublient les propriétés très érogènes du poil. Espérons que cette mode va finir par passer.
Posté le 14/09/2021

Anonyme
Un sacré pic
Posté le 12/09/2021


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