Premier émois érotiques masculins et découverte de la sexualité avec un homme.
Proposée le 26/09/2019 par p'titpierre
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman
Au lycée, l'année scolaire venait de se terminer. Je partais en train passer les vacances d'été à la ferme de mes grands parents et pour aider mon oncle.
Tonton Jean m'attendait sur le quai de la gare avec Mémé Louise toute heureuse de me retrouver.
« Que tu as grandi mon Pierrot » s'écriait Mémé en m'enlaçant. « Tu es aussi grand que ton oncle à présent ».
« Oui presque un homme » répondit tonton Jean en me faisant la bise. « Mais il va falloir muscler tout ça » tout en tâtent mes biceps.
J'avais beaucoup grandi pendant l'année et je mesurai 1,73 m pour 60 kg. Châtain comme mon oncle j'avais un corps fin et complètement glabre.
Tonton Jean avait 36 ans, c'était le petit frère de ma mère. Il était aussi grand que moi mais très charpenté et très musclé. Poilu sur tout le corps il portait toujours des débardeurs l'été qui mettaient ses biceps en valeur. Les cheveux courts et le visage toujours rasé de près avec une petite moustache fine qui lui allait si bien.
A l'époque je me questionnais sur de ma sexualité. Les filles m'intéressaient pas trop et la virilité des hommes me troublait énormément. Je trouvais tonton Jean très beau,
Arrivé à la ferme j'embrassai Pépé Jules toujours aussi bourru et déposais ma valise dans la grande chambre que je partageai avec tonton. J'avais un petit lit dans un coin et le sien plus grand se trouvait à l'autre bout de la pièce. J'avais toujours dormi dans sa chambre en vacances, la maison ne disposant que de 2 chambres.
Après avoir soupé en famille avec Victor le commis de la ferme, je filais vite seul dans la chambre avec un bon bouquin pour me tenir compagnie avant de m'endormir rapidement.
Mon oncle se couchait toujours plus tard après avoir fait un dernier tour de ses bâtiments et de ses bêtes.
Le premier soir très fatigué je ne l'entendis même pas se coucher et le matin quand je me réveillais il était déjà parti au travail.
La première journée passa vite et je fis un peu plus connaissance avec Victor. Mon oncle l'avait engagé peu de temps avant. Très réservé, il ne parlait pas beaucoup. Il avait 24 ans, était rouquin et avait beaucoup de charme. Plus grand que moi, il était musclé sec et imberbe. Il logeait à la ferme dans une petite pièce attenante au fournil.
Le deuxième soir je n'étais pas encore endormi, quand tonton alla se coucher. Il rentra en silence dans la chambre obscure, alluma sa lampe de chevet et commença à se déshabillé. Je l'observais discrètement à l'autre bout de la chambre en faisant semblant de dormir.
Il était de dos et enleva en premier son pantalon qu'il posa sur une chaise. Ses jambes étaient très poilues avec des cuisses bien dessinées. Il retira ensuite son slip. Je scrutais avec application ses fesses bien rondes et très poilues et ressenti un début d'excitation dans mon bas de pyjama. Il enfila rapidement un caleçon de nuit avant de retirer son débardeur et de se glisser torse nu dans son lit. Il éteignit aussitôt la lumière avant de s'endormir rapidement. Moi tout excité je me caressais le sexe devenu bien raide et je finis par m'endormir avec difficulté .
Le soir suivant j'attendais le moment du couché avec impatience dans l'espoir d'apercevoir son sexe.
Ce moment tant attendu arriva que le quatrième soir. Je ne sais pas pour quoi mais cette fois là il se déshabilla face à moi. Je fixai avec attention mon oncle qui se déshabillait et découvris enfin l'objet de mes désirs. Son slip retiré j'aperçus un long sexe, épais avec un très gros gland et des grosses couilles bien pendantes le tout dans un forêt de poils foncés. J'étais au comble de l'émotion...et me caressais longuement se soir là.
Le lendemain très excité par la vision de la veille, je décidai de regarder tonton lorsqu'il ferait sa toilette avant le dîner. L'œil collé au trou de la serrure j'espionnais tonton nu tout en me tripotant le sexe dans ma culotte.
Je renouvelai mon voyeurisme plusieurs fois de suite jusqu'à ce que je me fasse surprendre par Victor. Ce soir là il venait voir Jean pour lui demander quelque chose lorsqu'il me trouva l'oeil collé à la porte de la salle d'eau la main dans le pantalon.
Alors petit vicieux on observe son tonton sous la douche...
Tout rouge et tout honteux je bafouillais en lui disant ne rien dire et que je ferai ce qu'il désirerait.
« Ok on verra ça demain... »
Pendant le repas Victor n'arrêta pas de me lancer des petits regards appuyer tout en souriant discrètement.
Je me demandais bien ce qu'il allait me demander...
Je ne tardais pas à le savoir car dès le lendemain matin il me dit de le rejoindre dans les écuries après le le déjeuné. Jean était parti au village et Pépé et Mémé faisaient la sieste à la maison.
J'avais à peine franchit la porte que Victor arriva derrière moi avec un sourire de satisfaction. Sur un ton très directif il me demanda de me déshabiller rapidement. Tout ému et tremblant je m'exécutais aussi vite que je le pouvais. Une fois nu il s'approcha de moi et posa ses grosse mains caleuses sur mon corps, Il caressa avec douceur mon torse, mes fesses et mon sexe qui restait tout recroquevillé.
« Tu es très mignon tu sais, on devrait bien s'amuser ensemble... »
Il posa sa bouche sur mes lèvres et enfonça sa langue autour de la mienne avec délicatesse.
C'était la première fois qu'on m'embrassait ainsi.
Il baissa la fermeture de sa côte de travail, sorti son sexe de son slip et me demanda de le caresser.
Je posai ma main hésitante sur sa queue et commençais à le branler. Entouré d'une couronne de poils couleur or, son sexe grossissait rapidement d'excitation. Je tirais sur son prépuce pour faire apparaître son gland épais en forme de champignon. Je m'appliquai comme je pouvais quand tout d'un coup on entendit la voiture de Jean arrivée dans la cours de la ferme,
Victor se reculotta vite fait et dit de me rhabiller rapidement avant de disparaître par la porte arrière de l'écurie.
Le lendemain, jour de congé, Victor demanda à mes grands parents s'il pouvait m'emmener le soir au bal du village.
« Soyez sage les garçons « dit mémé Louise en me glissant un billet dans la main et en nous regardant partir à pieds.
Victor, plus intéressé par boire avec ses copains que par le bal, les retrouva à la buvette et commença à payer sa tournée à tous le monde. Deux heures plus tard, je commençais à m'ennuyer fermement. N'ayant pas l'habitude de boire, je commençais à avoir mal à la tête après mon troisième demi, alors que lui et ses amis en avait déjà avalé au moins le double. Je demandai à Victor si on pouvait rentrer que je n'étais pas bien.
Sur le chemin du retour la vessie bien pleine il décida de se soulager à la lumière d'un réverbère. J'en fis autant et une fois fini alors que je refermai ma braguette. Victor encore la queue à l'air m'attira à lui, m'embrassa à pleine bouche et me demanda de le sucer.
Il me fit agenouillé et approcha son sexe encore mou de mes lèvres. Une légère odeur d'urine s'en dégageait et me faisait hésiter. Impatient et légèrement éméché Victor m'attrapa par les cheveux et me dit d'ouvrir la bouche. Ayant peur de sa réaction je m'exécutai et avalai son membre promptement. Son sexe pris vite du volume et me rempli rapidement la bouche. J'essayais de faire de mon mieux pour le satisfaire et le pompais avec application. En effet cette fellation était également pour moi une première.
Je commençai à trouver le temps long, mes genoux me faisaient mal quand il fini enfin par éjaculer dans ma bouche me maintenant fermement la tête. Surpris et écoeuré je recrachai son sperme tout chaud dans l'herbe du fossé. Il se rebraguetta puis me releva et me fit un bisou sur la bouche. Une fois rentré à la maison je me rinçais la bouche et bu une grande gorgée d'eau avant de me couché discrètement sans faire de bruit.
Au milieu de la nuit, pris de vomissement je réveillai mon oncle en sursaut. J'avais vomi dans mon lit et j'étais complètement trempé.
A moitié groggy tonton m'envoya à la douche et me dit de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller les grands parents. Pendant ce temps, il aéra la chambre et ramassa mes draps en boule pour les jeter dans un coin de la salle d'eau. Il pris ma serviette et se mit à m'essuyer avec douceur. J'étais nu devant tonton et je me laissais faire en lui disant : «je crois que j'ai trop bu tonton...»
Aller vient te coucher avec moi on refera ton lit demain, les draps propres sont dans la chambre de Mémé. Et ne vomi plus sinon tu iras dormir dans l'étable.
J'enfilai un slip et un tee shirt propre et me glissais dans le lit tout chaud de tonton avant de m'endormir rapidement.
Je m'éveillai au levé du jour. Tonton sur le dos respirait profondément et m'enlaçait avec son bras gauche. De profil, j'avais la tête au creux de ses aisselles et une main posé sur son ventre. J'étais bien et j'osai à peine bougé. Je m'enivrai de sa bonne senteur. Un mélange d'odeur masculine et d'eau de toilette. A quelques centimètre de mes doigts une érection matinal formait une énorme bosse dans le caleçon de tonton. J'avais très envie de toucher son sexe de caresser ce torse poilu et viril. Mais je ne fis rien. Au bout d'un moment tonton se retourna sur le côté et m'abandonna de la chaleur de son étreinte. Je restai dans mon coin, immobile, à contempler la courbure de son dos nu et poilu...
Le lendemain Jean parti en ville avec mes grands parents pour un rendez-vous chez le médecin et faire des courses au super marché.
Je restai seul avec Victor à la ferme pour m'occuper des animaux. Une fois les travaux de la ferme effectué, Victor, tout excité de s'occuper de moi, entreprit de continué mon éducation sexuel et m'entraîna dans sa chambre. Il me fit déshabiller et se mis nu à son tour. Il bandait déjà et m'embrassa avec fougue, me caressa sur tout le corps et me m'allongea sur son lit. Il se mit tête bêche, pris mon sexe dans sa bouche et m'ordonna de le sucer. Après un bon moment à se donner du plaisir mutuel, il décida d'exploré mes fesses avec sa langue et ses doigts enduits de salive. Il me fit mettre à quatre patte me lécha ma petite rondelle vierge et introduisit un premier doigt délicatement dans mon petit trou serré. Il le fourragea un bon moment et ensuite il remouilla ses doigts et m'enfonça un deuxième puis un troisième. Une fois mon petit trou bien dilaté, il écarta mes fesses avec ses mains et cracha sur ma rosette. Il cracha à nouveau dans sa main puis s'en enduire le sexe. Il colla ensuite sa grosse queue bien raide dans ma fente et commença à forcer mon intimité. Je criais de douleur lorsqu'il me pénétra. Il s'arrêta un moment jusqu'à ce que j'ai moins mal, puis repris son exploration plus profondément. Au bout d'un certain moment je fini par me détendre et à pousser des petits gémissements. Pierre forniqua mon cul un bon moment avant de lâcher un cri de satisfaction et de répandre sa semence au fond de mon petit trou. Il s'affala sur le lit et me pris dans ses bras.
Je venais de perdre ma virginité...
Tout le long des vacances Victor abusa de moi dès qu'il en avait l'occasion, dans différentes positions et dans tous les coins de la ferme. J'étais sa chose, j'obéissais car j'étais soumis à son chantage.
La fin des vacances arriva et je quittai avec regret la ferme et ses habitants..
Cet été là j'étais rentré dans le monde des adultes en ayant perdu ma virginité
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